L’Italie a enregistré 4.207 nouveaux cas d’infection au Coronavirus ce jour et 475 nouveau décès. Plus de 35.700 italiens ont été touchés par le virus depuis le début de l’épidémie.
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La Chute de l'Occident - Olivier Piacentini
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Les déclarations d’Agnès Buzyn : mensonges et postures, ombre et clarté…
La France vit, depuis une semaine à peine, comme si, brusquement, au monde réel, habituel, s’était substituée une autre réalité. Il y avait une épidémie menaçante, et il y avait des élections municipales. Les aveux étonnants de l’ex-ministre de la Santé, Mme Buzyn, parus dans Le Monde de mardi, jettent à la fois une ombre sur le comportement de l’exécutif et de la clarté sur la chronologie de cette étrange période.
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Contre le nihilisme : Jünger : le recours à l’écrit
Le 18 octobre 1941, le capitaine Ernst Jünger déjeune au Ritz avec son ami Cari Schmitt, qui lui rappelle, au cours de la conversation, cette sentence « Non possum scribere contra eum, qui potest proscribere » - je ne puis écrire contre celui qui peut proscrire. Pourtant, Jünger, déjà suspect au régime nazi depuis la publication de Sur les falaises de marbre, en 1939, perçu par certains comme une « allégorie de la Résistance », et qui ne devait sa relative tranquillité qu'à l'admiration que le Führer conservait à l'auteur d'Orages d'acier, et à la protection que lui apportaient ses supérieurs contre les censeurs du Parti, Jünger va abandonner le refuge que constitue son Journal pour des écrits plus lourds de conséquences. Il consigne dans ledit Journal, à la date du 5 janvier 1942 « Durant l'heure libre de midi, acheté du papier pour le manuscrit de La Paix. Commencé à en tracer le plan. Vérifié également le coffre au trésor. Ce sont là tentatives d'ordre, entre les rochers et les requins. »
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Pendant que l'on s'affole sur le coronavirus, l'invasion continue...
L'envoyé spécial de Valeurs actuelles, Bastien Lejeune, a été à la frontière gréco-turque pour constater la situation. Il décrit une police grecque extrêmement tendue, qui fait face à des tentatives d’intrusions des migrants et qui est abandonnée par l’Union européenne, censée être gardienne des frontières extérieures de l’union.
Valeurs actuelles cliquez ici
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Le Clan des Brigandes présente: "L'Âge des Veilleurs - Évadés de Babylone" (livre de Maxime Billaud)
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Gouvernement hongrois : « La Hongrie et l’Estonie rejettent l’immigration et les plans visant à changer la population européenne »
Hongrie – A l’issue de ses entretiens avec son homologue estonien Urmas Reinsalu, le ministre hongrois des affaires étrangères a déclaré que « les deux pays rejettent l’immigration clandestine et les plans visant à changer la population européenne ».
Lors d’une visite officielle à Tallinn, le ministre des affaires étrangères a renforcé les liens de la Hongrie avec l’Estonie.
Péter Szijjártó, ministre des affaires étrangères et du commerce, a déclaré au MTI que les liens entre la Hongrie et l’Estonie sont basés sur des intérêts mutuels et des valeurs partagées. Il a déclaré que les deux gouvernements sont d’accord sur les défis mondiaux et européens.
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Dans la revue l'Incorrect, « À quoi a servi le principe de précaution qui figure dans la Constitution ? », par Nicolas Lecaussin.
Nicolas Lecaussin dirige l’IREF (Institut de recherches économiques et fiscales), « think tank libéral et européen » fondé en 2002. Grand contempteur du rôle de l’État en France, il vient de publier Les donneurs de leçons (Pourquoi la France est en vrac !) au Rocher, où il s’attaque aux intellectuels de gauche, aux journalistes de l’établissement et aux hauts-fonctionnaires. La crise du coronavirus, ses conséquences et la réaction de l’État sont l’occasion de lui donner la parole.
En tant que directeur de l’Iref, vous dénoncez évidemment dans votre livre, Les donneurs de leçons, le poids certain de l’État dans l’économie française. En période de coronavirus, n’est-on pas heureux pourtant de posséder un État fort, capable de prendre des décisions sanitaires autant qu’économiques pour résister à la crise ?
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Coronavirus en France: les hôpitaux saturés vont devoir « prioriser » les patients
Selon une information diffusée par LCI, un document transmis aux hôpitaux fournit des recommandations pour prioriser les patients en cas de saturation des services. Le ministre de la Santé Olivier Véran refuse de son coté le terme de « sélection » des patients et détaille le rôle d’aide et d’accompagnement des cellules d’éthique aux médecins. Toutefois, celui-ci s’interroge : « Tout malade est soigné. On ne laisse personne à l’extérieur d’un hôpital. La question, c’est jusqu’où vont les soins accordés à des malades dont l’état est critique ?
LCI – La pandémie de coronavirus met à rude épreuve le système hospitalier. Dans un contexte où le nombre de malades augmente de façon exponentielle en France, certains services d’urgences et de réanimation sont déjà au bord de la saturation. Dans le Grand Est, durement touché avec 1.820 cas positifs et 61 décès recensés, l’armée a ainsi été mobilisée pour soulager les hôpitaux en première ligne face à la maladie. Et ce, alors même que le pic épidémique n’est pas encore atteint. Par ailleurs, les personnels soignants redoutent, alors qu’ils souffrent déjà du manque de moyens, d’avoir à sélectionner les patients en réanimation.
Un texte remis mardi 17 mars à la Direction générale de la Santé (DGS), intitulé « Priorisation de l’accès aux soins critiques dans un contexte de pandémie » que Le Monde a pu consulter, vise à aider les médecins à opérer des choix en cas de saturation des services et d’un manque de lits de réanimation, en respect de l’éthique et le principe de réalité. Le document, transmis aux hôpitaux, s’appuie sur un « score de fragilité », qui classe les patients selon leur état de santé préalable au Covid-19.
L’article complet sur LCI
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La Petite Histoire : Fontenoy, une grande victoire pour rien ?
Le 11 mai 1745, dans la plaine de Fontenoy, les Anglais et leurs alliés hollandais et hanovriens, font face aux troupes royales commandées par le maréchal de Saxe. « Messiers les Anglais, tirez les premiers ! », aurait lancé un officier français. Vraie ou fantaisiste, cette anecdote n’enlève rien à la violence de cette bataille où la France remporte, en présence du roi Louis XV, une victoire décisive qui vient marquer l’issue de la guerre de Succession d’Autriche. Malheureusement, la « générosité » de Louis XV lors du traité d’Aix-la-Chapelle atténuera largement la portée de ce succès… Fontenoy, une victoire épique, mais une victoire pour rien ?
https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-fontenoy-une-grande-victoire-pour-rien