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  • La démocratie est par nature une illusion et une imposture fin

    Le premier facteur, du moins dans le cas de la France, est celui de l’affaiblissement de l’Etat. En France, on le sait, l’Etat a jusqu’ici toujours joué un rôle déterminant, et ce depuis le Moyen-âge : la France s’est construite autour de son Etat et grâce à lui. En apparence la place de l’Etat est toujours essentielle : les impôts et taxes n’ont jamais été aussi élevés, les fonctionnaires jamais aussi nombreux, les organismes et agences étatiques jamais aussi pléthoriques, les présidents et les ministres jamais aussi arrogants. Mais tout cela n’est qu’apparence : l’Etat en France aujourd’hui est obèse, boursouflé et adipeux mais il est devenu un Etat faible (voir cette chroniquecelle-ci et celle-ci).

    Cet affaiblissement résulte d’abord de la place majeure prise aujourd’hui par les contre-pouvoirs. Au 19e siècle Tocqueville avait souligné que la démocratie pouvait conduire à ce que se mette en place une tyrannie de la majorité : c’est pourquoi il considérait que devaient être installés, face au pouvoir de l’Etat, des contre-pouvoirs suffisamment nombreux et puissants, tels que la décentralisation, les juges, la presse ou encore les associations. Il se trouve que la situation s’est aujourd’hui inversée : les différents contre-pouvoirs, à commencer par les médias, ont pris une place de plus en plus importante, réduisant d’autant les marges de manœuvre étatique. L’Etat a été affaibli également par la mise en place de pouvoirs supranationaux, comme celui de l’UE. Dans les domaines de compétence de l’UE, la liberté d’action de l’Etat est désormais soit étroitement encadrée soit même supprimée, comme c’est le cas dans les domaines monétaire, des frontières économiques et de la concurrence. L’affaiblissement de l’Etat est enfin lié à l’installation en France de la logique anglo-saxonne du contrat et du primat du judiciaire : cette évolution vient là encore affaiblir le pouvoir d’un Etat qui doit le plus souvent adopter une posture contractuelle et renoncer à tout comportement régalien. Encore faut-il préciser, nous y reviendrons plus loin, que ces différents mécanismes conduisant à l’abandon ou à la réduction des prérogatives de l’Etat ont été voulus par les élites mêmes qui se trouvent à sa tête.

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  • La démocratie est par nature une illusion et une imposture partie 1

    La démocratie est l’un des principaux dogmes de la Modernité : nous voulons ici montrer qu’à l’instar des autres « valeurs républicaines », elle constitue une illusion et une imposture.

    La révolution de 1789, qui installe au pouvoir les tenants de l’idéologie des Lumières, met en avant dès l’origine la volonté populaire, laquelle doit venir encadrer la monarchie constitutionnelle qui se met en place dans un premier temps. La révolution « communiste » de 1792-1794 se fait également au nom du peuple : c’est en s’accusant mutuellement de trahir sa volonté et ses intérêts que les révolutionnaires s’éliminent les uns les autres. Depuis lors, la démocratie, ou « pouvoir du peuple », est devenue l’une des valeurs majeures de la république. Mieux, puisqu’elle est universaliste, l’idéologie moderne analyse le monde entier au travers de ce prisme : elle trace une ligne de partage absolue entre les pays démocratiques et ceux qui ne le sont pas et considère la démocratie comme un objectif à atteindre dans toutes les régions du monde.

    Dans l’esprit des républicains, la démocratie va de pair avec les autres valeurs de la modernité, en particulier la liberté et l’égalité des individus. Les individus étant libres, ils doivent pouvoir décider eux-mêmes des lois qui s’imposeront à la société et choisir leurs dirigeants. Etant égaux, ils doivent détenir un droit égal de participer au suffrage.

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  • Les fuites de l’Open Society Foundations de Soros. Ingérence et subversion [rediffusion]

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    Qui est George Soros ? George Soros, né György Schwartz en 1930 à Budapest, est un financier milliardaire américain d’origine juive. Il est connu pour ses activités de spéculation sur les devises, notamment la livre anglaise qu’il a mise à genoux en 1992, sur lesquelles il a bâti une fortune immense ainsi que par ses activités d’influence politique. Il est actuellement président de Soros Fund Management, basé à New York, qui gérait, en 2012, 25 milliards de dollars pour lui, sa famille et ses fondations. Il a fondé et préside l’Open Society Foundations (OSF), dont l’objectif est de promouvoir le « développement de sociétés démocratiques et ouvertes », les sociétés européennes ne l’étant probablement pas assez.

    En France c’est un repris de justice. Il fut condamné pour délit d’initiés dans l’affaire de la Société Générale qui avait vu le gouvernement socialiste de la fin des années 1980 fermer les yeux sur la tentative d’OPA menée par Georges Pébereau et Robert Lyon, président de la Caisse des dépôts. Le jugement fut confirmé en cassation et il fut condamné à payer une amende de 940.500 euros. Ayant fait un recours auprès de la Cour européenne des droits de l’homme en 2011, il fut débouté.

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  • Bistro Libertés : Bigard met le paquet sur TVLibertés

    Martial Bild et les sociétaires reçoivent l’humoriste Jean-Marie Bigard, soutien de Marcel Campion dans la course à la mairie de Paris. Au programme des débats :

    Elections municipales : la grande foire de Paris ?

    A trois semaines du premier tour des municipales à Paris, les listes se multiplient dans les arrondissements de la Capitale. Dati, Buzyn, Federbusch, Campion et dans une moindre mesure Villani et Belliard sont en ordre de bataille pour « renverser » la reine Hidalgo. Dans cette grande foire de Paris, l’objectif est-il possible ?

    Dans la France de 2020, l’humour impossible ?

    Les réseaux sociaux expriment la crispation de la société autour de la transgression et du politiquement incorrect. Les libertés d’opinion et d’expression plient sous le poids des polémiques, des procès, des dénonciations et des signalements. Dans ce contexte, l’humour va-t-il devenir impossible ?

    Site officiel de Jean-Marie Bigard

    Retrouvez le Zoom avec Marcel Campion : Avec Bigard, pour un Paris du bon sens !

    https://www.tvlibertes.com/bistro-libertes-bigard-met-le-paquet-sur-tvlibertes

  • Le grand business de l’écologie

    Le grand business de l'écologie.jpegOn se croirait dans le meilleur des mondes. Le meilleur des mondes du « bio ». Les uns disent courageusement non aux pesticides, les autres crient à la honte quand on leur propose des poulets chlorés - et ils ont raison. Le XXIe siècle est bien religieux mais écolo-religieux, avec ses grands prêtres et son catéchisme. Nous sommes tous en route pour devenir de bons petits écocitoyens. Et si vous ne vous chauffez pas encore à l'énergie solaire, alors vous êtes, des assassins. Le Big Brother de l'environnement fait plus que jamais recette depuis le « Grenelle » qui n'a encore rien donné de concret.

    Bref, nous sommes en pleine tyrannie. Avec un but : consommer. La bulle verte se développe. Pour vous Élire acheter une nouvelle voiture en profitant du bonus écologique et, dès qu'elle aura quelques années, la remplacer parce que ça pollue (tant pis si on est obligé de fabriquer deux fois plus de voitures pour rouler propre, on sait bien que fabriquer une voiture ne pollue pas…). Dans tout cela, la culpabilité joue à plein, explique Sylvie Brunel. Et qui a les moyens d'acheter bio, de changer de voiture et d'installer un chauffage solaire ? Ce ne sont pas les pauvres et les classes moyennes qui, eux, sont montrés du doigt car ils nourrissent leurs enfants en allant au hard discount.

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  • Orbán promet de protéger les Hongrois alors que la Turquie ouvre le portail aux réfugiés

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    Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a promis de protéger son peuple, alors que la Turquie ouvre à nouveau les vannes aux réfugiés se dirigeant vers l’Europe.

    Au milieu d’une escalade en Syrie à la suite d’une frappe aérienne qui a tué 33 soldats turcs, Ankara a annoncé qu’elle ne freinerait plus la vague de personnes tentant d’atteindre l’Europe.

    Immédiatement, des vidéos ont montré que des migrants se dirigeaient vers les frontières grecques et bulgares, ainsi que sur la côte égéenne de la Turquie.

    démontrant comment les soi-disant «réfugiés» peuvent avoir un impact massivement négatif dans les pays dans lesquels ils entrent.

    Orbán a répondu en jurant de résister fermement à la menace.

    «Malgré toute l’attention que le coronavirus attire, la migration reste un défi historique», a-t-il déclaré.

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  • Ni peste islamiste ni choléra républicain : communautarisme gaulois !

    Retrouvez tous les samedis les réflexions inspirées par l’actualité à Julien Langella, co-fondateur de Génération identitaire et membre d’Academia Christiana.

    La polémique autour du « séparatisme islamiste » évoqué par Manu-les-gros-bras se renforce avec l’hystérie de certaines réactions, comme celle de Danièle Obono (LFI) aux propos de Jean-Michel Blanquer : « C’est une réalité depuis un certain nombre d’années. C’est un phénomène qui s’est accentué […]. Il m’arrive d’aller dans certaines villes où ça se voit. » Les grandes envolées lyriques sur le « retour » dans la République des brebis islamistes sont une impasse totale.

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  • Brest : un lycéen marocain de 16 ans et Mohamad, combattant de l’État islamique accueilli en France comme « réfugié », au cœur des projets d’attentats

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    Ils sont de plus en plus précoces.
    Quant aux fameux « réfugiés syriens »…

    « L’enquête sur les sept interpellés de Brest, en janvier, confirme le rôle de premier plan d’un lycéen de 16 ans dans les projets d’attentats à Brest et Paris. Autre surprise glaçante : le passé de combattant djihadiste du leader présumé de ce groupe, un réfugié syrien.

    […] Les enquêteurs en sont convaincus : l’adolescent, né à Brest mais de nationalité marocaine, a joué un rôle de premier plan dans les projets mis au jour. Son extrême détermination a surpris. Il voulait à tout prix commettre un attentat au nom de l’État islamique, auquel il avait prêté allégeance. Il aurait également participé à la désignation de certaines cibles : le port militaire de Brest, et le nouvel an chinois, à Paris, « en soutien aux frères Ouïgours persécutés en Chine ». D’autres objectifs auraient été cités, comme une patrouille de police au hasard, dans la rue à Brest, et un rassemblement de gilets jaunes.[…]

    Combattant de l’État islamique en 2014

    Un autre suspect présente, aux yeux des enquêteurs, un profil encore plus inquiétant : Mohamad D., 34 ans. Arrivé avant l’été 2015 en France, ce Syrien a trompé la vigilance des services de renseignement et de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), qui lui délivre le statut de réfugié en octobre de la même année. Il dit avoir fui le régime syrien. Il l’aurait en fait combattu… dans le camp des jihadistes. Selon nos informations, l’homme s’est enrôlé dans le groupe État islamique au début de l’année 2014. C’est lui, auréolé de son statut de jihadiste, qui aurait fédéré la petite communauté de radicalisés brestois interpellés le 20 janvier. […] »

    Source  Letelegramme.fr via Fds

    http://www.contre-info.com/brest-un-lyceen-marocain-de-16-ans-et-mohamad-combattant-de-letat-islamique-accueilli-en-france-comme-refugie-au-coeur-des-projets-dattentats#more-61226