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  • L'Europe de l'Est écartelée entre Hitler et Staline

    De 1933 à 1945, les populations de l'Ukraine, de la Pologne et de la Biélorussie furent décimées, à la fois par les communistes et par les nazis. Un livre apporte une lumière nouvelle sur ces massacres.

    Dans un ouvrage qui vient de paraître chez Gallimard, dans la très savante collection « Bibliothèque des histoires », Timothy Snyder, professeur à Yale, traite dans une perspective inédite des massacres perpétrés par les régimes bolchevique et nazi aux confins de la Russie et de l'Allemagne. Son livre, Terres de sang, met en évidence la manière dont ces tragédies, entre 1933 et 1945, se répondent et s'enchaînent. En un mot, il démontre « l'interaction criminelle des deux totalitarismes ».

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  • Attentat islamiste – Justice : la preuve par Vienne !

    Il est facile de s’en rendre compte, on s’en doute, ils nous le font comprendre, ils se moquent dans leur for intérieur de notre état de droit, ils en profitent mais n’y croient pas une seconde, ils n’ont qu’une envie, c’est de recommencer. Alors ils jouent la comédie de la contrition et la plupart du temps ça marche !

    Avec le jeune terroriste de Vienne, un Autrichien né de parents albanais de Macédoine du Nord, qui a massacré quatre personnes (dont un Albanais originaire de Macédoine du Nord), le voile s’est déchiré et la duperie a été ostensible.

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  • Attentat islamiste – Justice : la preuve par Vienne !

    Il est facile de s’en rendre compte, on s’en doute, ils nous le font comprendre, ils se moquent dans leur for intérieur de notre état de droit, ils en profitent mais n’y croient pas une seconde, ils n’ont qu’une envie, c’est de recommencer. Alors ils jouent la comédie de la contrition et la plupart du temps ça marche !

    Avec le jeune terroriste de Vienne, un Autrichien né de parents albanais de Macédoine du Nord, qui a massacré quatre personnes (dont un Albanais originaire de Macédoine du Nord), le voile s’est déchiré et la duperie a été ostensible.

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  • L’escroquerie du Covid-19

    Les langues commencent à se délier. Et une fois de plus, je m’interroge sur le sondage Covid-19 qui affirme que 71 % des Français ne sont pas contre passer un  confiné.

    Je n’arrive pas à comprendre l’intérêt qu’a un gouvernement à enfermer les Français chez eux et à fermer sans doute d’une façon pour nombre d’entre eux, sans doute, définitive les commerçants non alimentaires de nos villes. Il faut donc conclure que le trio Macron-Castex-Véran est soit un trio machiavélique, soit, comme le dit Pascal Praud sur CNews, tellement éloigné des préoccupations des Français qu’il décide selon la température hospitalière, se fondant sur des chiffres sujets à caution, et se moque éperdument de la vie économique et sociale de ses administrés.

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  • Politique & Eco n°274 avec Jean-Pierre Chevallier : Dernières nouvelles du tsunami bancaire

    Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Jean-Pierre Chevallier : business économiste, monétariste et analyste financier.
    « Nos amies » les banques européennes et françaises toujours trop endettées.
    Le tsunami n’a pas eu lieu mais le rapport fonds propres sur dettes reste très inquiétant (Société Générale par exemple). L’utilisation abusive de l’effet de levier (leverage) a conduit la BCE à injecter 1 900 milliards d’euros dans le système.
    Le problème est que ces milliards sont de la pure création monétaire dispensés par Mme Lagarde via le fameux QE (assouplissement quantitatif). Pour l’heure, pas d’inflation consécutive à cette planche à billets mais une lourde menace demeure.
    En revanche, l’Amérique a distribué des liquidités à partir d’emprunts sur les marchés et les a distribués aux citoyens américains. Ces sommes sont revenues vers les banques sur les comptes courants et les comptes d’épargne très liquide, de telle sorte que les banques ne sont pas menacées, aux USA, par ce fameux tsunami, d’autant que le ratio fonds propres / engagements reste dans des limites raisonnables.
    Tout ceci devrait conforter le rôle du dollar car la dette américaine est fortement demandée sur les marchés. Il n’est pas encore venu le temps d’enterrer le dollar et la puissance de l’oncle Sam selon Jean-Pierre Chevallier.


    https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n274-avec-jean-pierre-chevallier-dernieres-nouvelles-du-tsunami-bancaire

  • Politique et religion aux États-Unis, par Gérard Leclerc.

    « Nous croyons en Dieu », la devise américaine.

    © roszred / Pixabay

    L’élection présidentielle américaine est sans aucun doute celle qui nous passionne le plus, en dehors de nos frontières, en raison, bien sûr, du rôle prééminent que continuent à jouer les États-Unis dans le monde. Il se trouve, par ailleurs, que l’élection surprise de Donald Trump il y a quatre ans a affolé nos sismographes, parce que, de toute façon, des bouleversements profonds étaient intervenus pour permettre l’avènement d’un personnage en dehors des normes.

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  • Union européenne, l'objection démocratique 2/4

    À partir de 1992, avec le traité de Maastricht, puis avec les traités d'Amsterdam (1997), Nice (2000) et Lisbonne (2007) les pouvoirs du Parlement européen ont été constamment augmentés de sorte qu'il est devenu, dans de nombreuses matières, un véritable co-législateur. Par ailleurs, la Commission européenne est responsable devant lui et il peut la renverser (ce qu'il n'a jamais fait), exactement comme un gouvernement national peut être renversé par un parlement national. Afin de parfaire cette évolution, il avait été proposé, en 2004, dans le traité établissant une Constitution pour l'Europe, d'introduire les concepts et le vocabulaire constitutionnels dans la désignation des compétences des différents organes de l'UE et de permettre ainsi au Parlement européen de voter de véritables lois européennes. L'organisation du pouvoir dans l'UE se rapprochait alors clairement de l'organisation du pouvoir dans un État parlementaire. Cependant, tempérament à ce tropisme parlementaire, le Parlement européen n'est pas le co-législateur dans tous les domaines de compétences de l'UE. Si le traité de Lisbonne a bien fait du Parlement européen un co-législateur de principe, avec le conseil des ministres de l'Union européenne, il ne lui a cependant donné aucune compétence en matière diplomatique ou dans les affaires étrangères. Par ailleurs, le Parlement européen, à la différence des parlements nationaux, ne dispose pas de l'initiative législative. Il ne peut que demander à la Commission européenne de prendre des initiatives, laquelle est libre de suivre ou non ses recommandations. Il ne dispose donc que d'une faculté de supplier, à l'image de celle qui existait dans les anciennes monarchies parlementaires du XIXe siècle.

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