L'Espagne vaccine déjà sa population avec ces vaccins contre lesquels des experts indépendants mettent en garde depuis des mois – mais en vain, car ils ont été censurés par le mainstream, YouTube, Facebook et autres.
Selon le mainstream, les Espagnols inscrivent désormais sur une liste de données protégées tous les gens qui refusent le vaccin... une liste accessible uniquement à tous les pays voisins qui veulent savoir qui veut entrer dans leur pays sans être vacciné... Et bien super ! Ainsi seuls en ont connaissance ceux qui ont réellement le pouvoir d’interdire tout ce que la vie a à offrir..
Il n'y a donc pas que l'Espagne qui a commencé à vacciner sa population contre le coronavirus avec des vaccins, exactement du type de ceux contre lesquels des associations entières de scientifiques ont mis en garde en vain pendant des mois. Pendant ce temps, nos médias subventionnés, qui sont payés très cher, ont refusé de manière évidente leur obligation légale de rendre compte des avertisseurs et des contre voix expertes ; non seulement cela, mais ils les ont également supprimés de manière dangereuse et bien qu’ils le sachent.

Je sortais d’un cinéma où m’avait chassé une averse. Les intempéries sont, mieux que les critiques, les propagandistes les plus convaincants des salles obscures. J’avais aimé quelque peu le film, intitulé Un Taxi mauve, où des acteurs de belle allure et de grand style faisaient vibrer la langue française dans leur poitrine, où les regards s’apaisaient en douces mélancolies vertes et grises dans les paysages ruisselants. Les cinéphiles s’étaient promptement dispersés. Nous seuls demeurions abrités près des affiches, avec nos chemisettes et nos sandales. Nous, c’est à dire un homme d’une blondeur quelque peu hirsute qui semblait vouloir lier conversation, et moi-même, qui était, ce jour-là, d’excellente humeur à écouter.


Quand nous étions petits, nous lisions la collection « Belles Histoires et Belles Vies » que les éditions Fleurus ont éditée jusqu’en 1972. Les albums des années quarante et cinquante étaient de petites merveilles. Je relisais avec fascination Les martyrs de l’Ouganda, paru en 1954, et Le bienheureux Théophane Vénard, paru en 1961. Les récits horrifiques des martyres respectifs, que les vignettes évoquaient avec des images très sages, m’avaient impressionné au point que nous étions allés visiter la « salle des martyrs » au siège des Missions Étrangères de Paris. Chaines et gangues étaient suspendues dans une muséographie assez pauvre.