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Vous connaissez "l'affaire Cassandre Fristot". Cette jeune femme engagée dans le combat nationaliste depuis des années qui est allé manifester à Metz au mois de juillet contre l'absurde dictature sanitaire imposée par le gouvernement et qui, depuis, est la cible de la répression du Pouvoir encore en place.En effet, ce jour là, Cassandre avait confectionné un panneau sur lequel était inscrit une liste de noms en vogue dans l'actualité du moment au milieu de laquelle on pouvait lire une énigmatique interrogation "Mais qui ?", faisant allusion à une réplique inquisitrice et paranoïaque d'un chien de garde de la bien pensance adressée lors d'une émission télévisée à un général signataire de l'appel des militaires publié au mois d'avril dernier.Pour être franc, je pense que le panneau de Cassandre n'était pas opportun dans le climat actuel. Ce d'autant plus qu'il était évident qu'il pouvait lui attirer les foudres de la justice... mais qu'importe. Cassandre a voulu exprimer, maladroitement peut-être, ce qu'elle ressentait face à la situation et cela devrait être son stricte droit. Mais, contrairement à ce que l'on nous radote à longueur de journées dans les médias du Système, il y a bien longtemps que la liberté en France n'est plus qu'une illusion.Si, comme nous l'espérons tous, dans quelques mois les choses doivent réellement changer dans notre pays, l'une des premières décisions à prendre sera l'abolition immédiate des lois liberticides (Pléven, Gayssot, Toubon et autres...).En attendant, Cassandre se retrouve face à de nombreuses difficultés (elle vient, entre autres, de perdre son emploi) et la solidarité nationaliste doit s'organiser. Civitas, le Parti de la France, des associations ainsi que de nombreux particuliers lui ont déjà manifesté leur sympathie.Si vous souhaitez, vous aussi, apporter un soutien moral ou financier à Cassandre Fristot, victime d'un acharnement politico-médiatico-judiciaire inouï, envoyez vos lettres et vos chèques à cette adresse : Cassandre Fristot 39 F rue Georges Bizet 57800 Freyming-Merlebach.Quoi que l'on pense de son initiative, il ne faut pas laisser tomber Cassandre Fristot.Roland HélieDirecteur de Synthèse nationale
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Entretien avec Lucie Choffey : L’effroyable Imposture du féminisme
Lucie Choffey est née en 1984 près de Bourges, dans le Cher. Après des études d'ingénieur et le début de ce qui aurait pu devenir une belle carrière, elle décide de tout arrêter pour suivre, malgré les pressions et les regards désapprobateurs de son entourage, son désir propre de femme et de mère rester à la maison et s'occuper de son fils.
Elle essaye alors de comprendre pourquoi, pendant tant d'années, elle a voulu se conformer à ce que d'autres voulaient pour elle, et en quoi le féminisme qui prétend libérer les femmes est en réalité une autre prison dans laquelle la société tout entière est en train d'être enfermée.
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Immigration : comment en finir avec les frontières passoires ?
Les débats de l’élection présidentielle en 2022
Par Paul Tormenen, juriste et spécialiste des questions migratoires
À quelques mois de l’élection présidentielle qui aura lieu en avril 2022, les candidats déclarés ou potentiels à ce scrutin multiplient les propositions en matière d’immigration. À en entendre certains, il suffirait d’un peu de volonté politique pour que notre pays ne subisse plus les flux migratoires délirants qu’il connaît actuellement. Ils sont en revanche souvent discrets sur la nécessité ou non de faire évoluer le droit existant pour retrouver des marges de manœuvre en la matière. Les réactions atterrées dans le camp « progressiste » après les déclarations de Michel Barnier (LR) annonçant vouloir affranchir la France des règles de la Cour européenne des droits de l’homme relatives à l’immigration sont révélatrices des tabous qui existent en la matière.
Avec un premier article consacré au principe du non-refoulement, Paul Tormenen ouvre une série présentant les verrous à lever pour reprendre les rênes d’une politique migratoire choisie, et non plus subie. Ces questions se posant également à d’autres pays européens soumis au même droit international que la France (conventions internationales, droit européen), un point sur la situation de certains d’entre eux illustrera les contraintes du cadre juridique actuel et comment elles sont gérées à l’étranger. -
Qu'est-ce que le libéralisme ?
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Commode, l’empereur gladiateur (Eric Teyssier)
Eric Teyssier, spécialiste de la Rome antique, est maître de conférences HDR à l’université de Nîmes et a déjà publié plusieurs ouvrages traitant des gladiateurs.
Cette fois, il nous propose une biographie de Commode, dernier empereur de la dynastie des Antonins, dont le grand public connaît le nom en raison de films péplums célèbres, La Chute de l’Empire romain (1964) et Gladiator (2000). Ces films s’appuient sur le même postulat d’un Commode sanguinaire qui tue son père pour accéder plus vite au trône impérial.
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Il faut tirer toutes les leçons de Mai 68 : on attend l’équivalent à droite de l’union de la gauche
Dans La France n’a pas dit son dernier mot, Eric Zemmour livre une sorte d’une autobiographie politique. Il explique :
“J’avais mis au jour dans le Suicide français la mécanique de l’idéologie progressiste qui a conduit notre pays à l’abîme. Mises en danger, ses élites ont compris que la survie de leur projet passerait par la radicalisation du processus de destruction. Rarement nous n’avons été aussi affaiblis, désunis, subvertis, envahis qu’aujourd’hui. Pas un jour sans sa provocation, sans sa déconstruction, sans sa dérision, sans son humiliation.
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D'une candidature l'autre…
François Floc'h - Billet d'humeur
Il est deux super carburants auxquels roulent nos politiciens et leurs alliés-complices les médias ! Ce sont le mensonge et l'oubli… La propagande mensongère qui truque les faits et l'amnésie qui permet les pires recyclages...
C'est bien pourquoi, il est nécessaire pour les dissidents que nous sommes devenus d'aller toujours aux sources, de relire les textes fondateurs. En cette période pré-électorale, c'est d'autant plus vital !
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ANNE HIDALGO FUTURE PRÉSIDENTE ?
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Actium ou la défaite de l’Orient
« C’est probablement sur mer que Rome, au temps des pirates, avait perdu sa République, et c’est pourtant sur mer qu’elle fonda son Empire » (1).
C’est à Actium, au large de la Grèce, qu’a été livrée, le 2 septembre 31 av. J.-C., la dernière grande bataille navale de l’Antiquité, celle-là même qui devait offrir au futur Auguste la mainmise sur la Mare Nostrum. Objet d’une extraordinaire propagande qui oblitère encore aujourd’hui la réalité de l’affrontement, elle a clos les violences de la guerre civile issue des ides de mars de 44 av. J.-C., ouvrant la voie au principat et à un nouvel ordre impérial.
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Marseille : laboratoire ou poudrière ?, par Michel Corcelles.
Il y a loin de l’anisette de Pagnol à la kalach des quartiers nord. Lors d’une réunion d’élus il fut posé à une maire adjointe de Marseille la question de savoir si lors de la constitution des listes électorales municipales (dont on connaît la bigarrure ethnique) chaque parti choisissait parmi ses membres des candidats représentatifs des différentes communautés et susceptibles donc d’en obtenir le vote.