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La France est devenue une puissance régionale de second rang
Source Reminiscence of the future
Eh bien, je vais aussi en parler. Je veux dire toute cette affaire AUKUS et la perte par la France d’un énorme contrat pour fournir des sous-marins à la Royal Australian Navy. À ce stade, je ne suis pas intéressé par les détails techniques de cette histoire, car il est inutile de se concentrer sur les détails techniques de quelque chose qui peut encore changer plusieurs fois, peut-être même ne jamais se concrétiser. En revanche, je m’intéresse, comme toujours, aux facteurs fondamentaux qui définissent le cadre du problème. Le Drian et toute personne au sommet de la politique française peuvent bien exprimer leur frustration et jouer aux jeux géopolitiques qu’ils veulent :
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La France subit, mais réagira-t-elle enfin ?
Alors même que la crise économique s’estompe, la crise existentielle, la crise identitaire des Français ne fait, elle, que commencer. Des féministes et autres joyeusetés postmodernes ont, récemment, fait paraître une tribune appelant de leurs vœux l’accueil inconditionnel des migrants afghans. Le réel leur échappe-t-il à ce point ?
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L’immigrationnisme rapporte gros, mais pas aux immigrés
Ainsi que le révèle le Canard enchaîné :
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Cachez ces bébés que je ne saurais voir, par Jean-Paul Brighelli.
Capture d'écran C8
La nouvelle Une de Causeur fait peur.
« Cachez ce sein que je ne saurais voir », dit Tartuffe. Eh bien, de bonnes consciences de gauche (ou prétendues telles, parce que Christophe Castaner, ex-ministre de Macron, hein…) s’indignent sur les réseaux sociaux de la couverture du dernier Causeur. Ciel !
L’enfance manipulée ! Le « grand remplacement » invoqué ! À quand l’appel génocidaire ? Faut-il pendre préventivement Elisabeth Lévy ? Ou la brûler, peut-être…
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La Petite Histoire : Davout, l’invincible maréchal de fer – Les grands maréchaux
Pour cet épisode, on continue, avec la thématique de ce mois de septembre sur les plus grands maréchaux de l’Empire. Après Murat et Ney, place maintenant à Davout. Surnommé le Maréchal de Fer, Louis-Nicolas Davout est le seul maréchal invaincu des guerres napoléoniennes. À ses hommes comme à lui-même, il imposait une rigueur et une discipline de fer, ce qui lui permettra de remporter bien des batailles épiques. La plus célèbre d’entre elles, celle qui lui vaudra son titre de duc, c’est bien entendu la bataille d’Auerstaedt, où il écrase les Prussiens à un contre trois grâce à ses talents de manoeuvrier et de tacticien. Il n’a jamais failli, n’a jamais été vaincu, n’a jamais trahi Napoléon.
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Ces Syriens qui ont choisi de rester dans leur pays pour le reconstruire
Comment les femmes syriennes ont-elles assuré la survie de leur famille sous les bombes et la terreur jihadiste ? D’où tirent-elles leur force ? Comment voient-elles l’avenir ?
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Sur Sud Radio, Primaire écolo / Zemmour, Rousseau : vers la radicalité? / Prolongation du pass sanitaire ?
Le débat du 10h-Midi de Valérie Expert avec Sophie de Menthon, Jean-Luc Bennahmias, François Momboisse et Thierry Guerrier.
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De Gaulle et ses Premiers Ministres 2/2
La lassitude du Général
Le domaine réservé est donc, c’est une constante de la Ve République, l’apanage du chef de l’État. Le Premier ministre, s’il ne s’y aventure pas, peut espérer renforcer son rôle sur d’autres terrains. Georges Pompidou, plus ambitieux que Michel Debré (1), y parvient avec talent. Après les législatives du 25 novembre 1962, où il a démontré dans le combat électoral sa pugnacité, il entend rendre manifeste l’activité du gouvernement. Ce renforcement du Premier ministre va en outre à la rencontre de ce que Burin des Roziers (ancien secrétaire général de la présidence de la République 1962-1967) appelle dans sa communication, « la lassitude du général ». Tenté constamment par le retour à Colombey, supportant mal l’air confiné de l’Élysée, l’ancien chef de la France libre se plaît peu à peu à se dessaisir de certaines initiatives et surtout de leur application. Ainsi, une fois le Premier ministre saisi d’un dossier, le Président est étonnamment absent. Il maintient là sa vieille maxime militaire : on juge de l’exécution après coup, et pas en cours d’exécution.
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Quand les harkis étaient conspués par la gauche
Vu sur BVoltaire Par Gabrielle Cluzel
Ainsi donc, quelques jours avant le 25 septembre, journée d’hommage national aux harkis, Emmanuel Macron annonce une loi à venir « de reconnaissance et de réparation » à leur endroit. C’est fort, très fort, trop fort. Si fort que la droite réunie vacille, interdite, et doit reconfigurer son logiciel. Comment ne pas se réjouir, mais comment ne pas non plus flairer l’entourloupe à plein nez ?