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  • Face à l’islamisme, les défaillances des services de sécurité et des autorités britanniques ne sont pas moindres que chez nous.

    Vendredi 15 octobre, le député conservateur britannique David Amess, a été poignardé de douze coups de couteaux lors d’une rencontre avec ses électeurs, dans l’église méthodiste de Leigh-on-Sea, une petite ville côtière située à l’est de Londres. L’assassin est un islamiste somalien de 25 ans arrivé en Grande-Bretagne avec ses parents il y a quelques années et qui a fini… par obtenir la nationalité britannique !

    Vous observerez, comble d’ironie, le macaron vert pomme placé à droite de l’entrée de ladite église et qui affirme de façon péremptoire que

    « TOUT LE MONDE EST BIENVENU ICI » !

    Et, de fait, le terroriste islamiste meurtrier avait pris banalement rendez-vous avec le député, comme n’importe lequel de ses électeurs ou des paroissiens du coin et attendit calmement son tour avant de le rencontrer. L’entrevue ne dura que quelques instants, juste le temps nécessaire pour asséner à sa victime une douzaine de ces coups de couteau qui sont une des méthodes préférées de l’islam pour proclamer sa haine de l’espèce humaine non musulmane…

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  • MACRON OU LE DESPOTISME APPAREMMENT DOUX ANNONCÉ PAR TOCQUEVILLE. (II)

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     La Révolution a été tout le contraire d’un “bloc” comme l’a dit Clémenceau. Elle est au contraire le choc d’aspirations et de valeurs contradictoires qui durant une décennie a provoqué le puissant séisme dont la France ne s’est jamais totalement relevée. Entre le grand moment de la nuit du 4 Août 1789 et de l’abandon des privilèges qui symbolise les réformes sociales, juridiques et fiscales qui étaient urgentes et nécessaires et le misérable assassinat de la Reine Marie-Antoinette le 16 Octobre 1793, quel chaos d’enthousiasme généreux et de bassesse envieuse et revancharde !

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  • Sur Boulevard Voltaire, Fabien Bouglé : l'évidence du nucléaire.

    Fabien Bouglé est spécialiste de l'énergie. Il a publié en 2019 un ouvrage contre l'éolien qui a fait grand bruit : "Eoliennes, la face noir de la transition écologique". A l'occasion de la publication de son nouvel ouvrage : "Nucléaire, les vérités cachées", Fabien Bouglé nous explique en quoi l'énergie nucléaire sonne comme une évidence pour la France.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • La Guerre de 1914-1918 sur le front russe (Général Serge Andolenko)

    Le Général Serge Andolenko (1907-1973) est un militaire français d’origine russe. Il servi pendant la Seconde Guerre mondiale et la Guerre d’Algérie.

    Aux yeux du grand public, le front russe de la Grande Guerre demeure une « guerre oubliée ». Cela s’explique par le fait que la Russie fut le seul des protagonistes du conflit à s’enfermer dans le mutisme sur la question de la guerre, et ce depuis la fin du conflit en 1918 jusqu’à la chute du communisme en 1991. Aucun mémorial rendant hommage aux deux millions de sujets du Tsar tombés au combat ne vit le jour en URSS. Et presque tout ce qui a été publié par les auteurs européens sur la guerre russe est farci d’erreurs grossières.

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  • Le grand entretien avec Alain Finkielkraut : « L’égalitarisme a tué l’école », « Voir la France disparaitre peut me faire pleurer »

    Extraits :

    Il y a l’idée que toute affirmation d’une identité nationale risque de relever de la discrimination et du racisme.” Pour Alain Finkielkraut la France “risque de se perdre” dans une “autocritique forcenée“.

    La France, c’est un héritage de gloire et de regrets mais c’est aussi un consentement à vivre ensemble, un plébiscite de tous les jours.” Alain Finkielkraut cite Ernest Renan et constate que ce “plébiscite n’existe plus“.

    La sute sur FdeSouche

  • Le Samedi Politique avec Xavier Raufer – Samuel Paty, Bataclan : l’Etat face à lui-même

    Un an après la décapitation du professeur d’histoire-géographie, Samuel Paty, par le terroriste tchétchène Abdoullakh Anzorov, et près de 6 ans après les attaques du 13 novembre 2015, la France revit deux drames en même temps. Et malgré 9 mois de procès historique avec 1 800 parties civiles, 330 avocats, 542 tomes de dossiers d’instruction, 20 accusés dont 14 présents parmi lesquels Salah Abdeslam, le seul survivant des commandos, et des hommages nationaux pour le professeur sauvagement assassiné, nombre de questions restent sans réponse. D’un côté, les failles d’un Etat aveugle, de l’autre, une République qui refuse de faire son autocritique. Le criminologue Xavier Raufer revient sur ces deux dramatiques attentats dont la mémoire laisse toujours un goût amer.


    https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-avec-xavier-raufer-samuel-paty-bataclan-letat-face-a-lui-meme

  • Etre dans une logique de connexions, de réseau, de mutualisation des forces et des expériences

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    Olivier Bault a interrogé Marion Maréchal pour le Visegrád Post le 1er octobre à Varsovie. Extraits :

    Vous dites que l’Institut de sciences sociales, économiques et politiques (ISSEP), que vous avez fondé à Lyon et que vous dirigez, est un pôle de résistance  intellectuelle où se pratique la liberté d’expression. Cela ressemble beaucoup à la revendication du Collegium Intermarium, cette nouvelle université d’Europe centrale créée en Pologne et où vous êtes venue participer à la conférence d’inauguration, pour sa première rentrée universitaire. Peut-on dire que l’ISSEP et le Collegium Intermarium sont deux îlots de liberté intellectuelle dans des sociétés connaissant une dérive totalitaire ?

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  • Evola, une éthique chevaleresque au service de l’Europe 3/6

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    État : de la force à la forme

    Plus encore qu’un théoricien de l’État, J. Evola en est avant tout un partisan résolu. Rejetant toutes les doctrines classiques qui font de l’État la forme organisée de la nation, le produit de la société ou la création du peuple, il affirme et réaffirme sans cesse que c’est au contraire l’État qui doit fonder la nation, mettre le peuple en forme et créer la société. « Le peuple, la nation, écrit-il, n’existent qu’en tant qu’État, dans l’État et, dans une certaine mesure, grâce à l’État ». Bien entendu, cet État doit selon lui se fonder sur des principes supérieurs, spirituels et métaphysiques, car c’est seulement ainsi qu’il sera un « État vrai », un « État organique », non pas transcendant par lui-même, mais fondé sur la transcendance de son principe.

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  • Quand France Inter insulte les « fachos » qui paient la redevance…

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    Vu sur Boulevard Voltaire   par Arnaud Florac
    Il arrive, décidément, que la réalité dépasse la fiction. Ce mois-ci, dans Causeur, le grand Marsault publiait un dessin qui mettait en scène un immonde bonhomme sans visage, venu de , mangeant les billets de banque de la redevance avant de vomir sur la tête du contribuable qui les lui avait donnés. La dernière case se terminait sur les mots : « À demain, connard ! »

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  • Qu’est-ce que le réalisme politique ?

    D.N. Pavón, La loi de fer de l’oligarchie (Pourquoi le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple est un leurre)

    Publié avec l’aimable autorisation de son auteur, ce texte constitue l’introduction au livre de D.N. Pavón, La loi de fer de l’oligarchie (Pourquoi le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple est un leurre). Il s’agit d’un texte important, à la fois leçon de science politique, par nature intemporelle, et réflexion indispensable au décryptage du réel en ces « temps de confusion » (Christophe Levalois). Le « pouvoir » n’est jamais là où il prétend être, mais il repose toujours sur les mêmes invariants – notamment sur une élite, à la fois minorité agissante et avant-garde politique dont il s’agit simplement de s’assurer qu’elle représente et défende le peuple dont elle a la charge, et auquel elle entend imposer un destin.

    Sourcé et documenté, mais en même temps décapant, sans concessions et affranchi de tous les conventionnalismes, ce livre atypique sort résolument des sentiers battus de l’histoire des idées politiques. Son auteur, Dalmacio Negro Pavón, politologue renommé dans le monde hispanique, est au nombre de ceux qui incarnent le mieux la tradition académique européenne, celle d’une époque où le politiquement correct n’avait pas encore fait ses ravages, et où la majorité des universitaires adhéraient avec conviction – et non par opportunisme comme si souvent aujourd’hui – aux valeurs scientifiques de rigueur, de probité et d’intégrité. Que nous dit-il ? Résumons-le en puisant largement dans ses analyses, ses propos et ses termes.

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