André Bercoff reçoit Éric Zemmour, auteur de “La France n’a pas dit son dernier mot” aux éditions Rubempré.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
André Bercoff reçoit Éric Zemmour, auteur de “La France n’a pas dit son dernier mot” aux éditions Rubempré.
La chronique de Philippe Randa
Dernière (en date, hélas !) dinguerie : le déboulonnage de la statue de Napoléon à Rouen dont le maire voudrait bien qu’elle soit remplacée par une autre de la défunte Gisèle Halimi, icône de la gauche, militante féministe franco-tunisienne et avocate (tout un programme !).
La couverture de l’actualité internationale est à géométrie variable en France. Les médias de grand chemin ont abondamment parlé en août de la prise du pouvoir par les Talibans en Afghanistan. Ils sont par contre beaucoup plus discrets sur la crise migratoire qui affecte l’Europe. Le gouvernement polonais vient de mettre les pieds dans le plat lors d’une conférence de presse qui a eu lieu le 27 septembre 2021.
À la chute de l'Empire Romain, le besoin de conserver et de défendre les valeurs spirituelles au milieu du chaos politique et de la désagrégation morale de l'époque fit naître les premiers Ordres ascétiques.
Aujourd'hui, le fait que se présente une situation analogue et la crise profonde que traverse le monde moderne, fait apparaître opportune la constitution de formes analogues. C'est dans cet esprit qu'avait été proposée la création de l'Ordre de la Couronne de Fer. Cette dénomination n'a rien à voir avec l'antique couronne italique (2). Elle avait été suggérée par l'idée d'une souveraineté devant être définie en termes spirituels et, en même temps, en référence au métal qui symbolise le mieux la dureté, la trempe et l'inflexibilité qui doivent être les traits du caractère des hommes de l'Ordre dans la défense de l'esprit.
Scène vécue dans une grande ville bourgeoise de la banlieue parisienne.
Lors d’une réunion de conseil de quartier, des fonctionnaires municipaux expliquent aux représentants des habitants comment les arbres du domaine public sont entretenus.
On comprend assez vite que les voitures sont le mal absolu… Dans un monde idéal vert, il faudrait interdire le stationnement desdites voitures au pied desdits arbres : « Cela les fait souffrir, et à la fin, ils meurent. »
Selon une étude menée par le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc) et relayée ce 11 octobre par le journal Le Monde, la précarité s’aggrave en France et toucherait plus particulièrement les jeunes urbains. 31 % des personnes interrogées se déclarent être aujourd’hui en situation de vulnérabilité, une augmentation de 10 points par rapport à 2018.
Le billet de Patrick Parment
On n’avait pas pensé une seule seconde que l’ex-Premier ministre Edouard Philippe se servirait d’Emmanuel Macron comme marche-pied. Voire comme paillasson. Ben si ! C’est fait. Edouard Philippe vient de lancer son propre parti politique baptisé Horizons. Et en bon politique qu’il est – pour ne pas dire faux-cul – il clame vouloir aider Macron à élargir sa base électorale. En fait, à l’heure où Les Républicains partent en sucette, refonder un grand parti de droite en étant enfin débarrasser du sempiternel devoir de mémoire gaulliste, tout en vidant d’une grande partie de sa substance La République en marche, était trop tentant aux yeux d’un homme soi-disant populaire. Mais pour se faire, Edouard Philippe a besoin d’un nouveau mandat d’Emmanuel Macron pour assurer sa candidature à l’élection présidentielle de 2027. Car telle est l’ambition de ce monsieur. D’autant que son parti, s’imagine-t-il, pèserait fortement sur le futur quinquennat du Sieur Macron. Autant dire qu’Edouard Philippe se verrait bien faire la pluie et le beau temps.
Valéry Giscard d’Estaing est indéniablement le père de l’indépendance énergétique française grâce au nucléaire civil dont il a toujours soutenu le développement. Et pourtant, cette indépendance est largement remise en question par la folle politique énergétique de l’Europe pilotée par les lobbyistes verts allemands !
Ali Rabeh, dont l’élection avait été invalidée par le Conseil d’Etat en juin pour pratiques illégales, a regagné dimanche la mairie de Trappes (Yvelines). Ce proche de Benoît Hamon et de son mouvement Génération.s, a emporté le scrutin au premier tour avec 58,36% des voix, contre 34,89% à son adversaire, Othman Nasrou, soutenu par Valérie Pécresse (LR) et l’ancien maire (PS) de la ville, Guy Malandain. La participation a été de 41,59%, au lieu de 34,1% en 2020. Commentant sa victoire, Rabeh a dénoncé une « droite zemmourisée et clientéliste ». Rabeh s’était notamment fait connaître pour sa véhémence contre un professeur de Trappes, Didier Lemaire, qui avait alerté sur l’islamisation de la commune, « l’une des toutes premières pépinières djihadistes d’Europe ».