Emmanuel Macron est un énarque, un technocrate, un éphémère banquier dont la carrière s’est faite à l’ombre du socialisme converti aux affaires, du PS à la Banque Rothschild grâce à Attali et Minc réunis. Elu, après qu’on eut évincé Fillon pour lui, et contre Marine Le Pen, il avait gagné à gauche, sauvant un grand nombre de ses amis socialistes et il a continué avec entrain la décadence sociétale qu’ils avaient entamée : après le “mariage homosexuel” du président dont il fut collaborateur, ce fut entre autres la PMA pour les lesbiennes. Discours écologique à destination des verts, dépense publique et endettement traditionnels chez les socialistes, antiracisme à la limite du Wokisme lorsqu’il parle des mâles blancs pour faire jeune et branché, mais suppression de l’ISF réduit à la taxation de l’immobilier, composaient un cocktail à la Pagnol où le “quatrième tiers” avait un goût de “droite” qui, en fait, était un arome de “très riche”.
Lire la suite