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USA/Covid: un grand réseau d’hôpitaux catholiques traitait prioritairement les non-Blancs quelles que soient les comorbidités des Blancs
L’un des plus grands systèmes hospitaliers des États-Unis donnait plus de poids à la race qu’au diabète, à l’obésité, à l’asthme et à l’hypertension réunis dans son système de priorité des traitements COVID, avant de revenir sur cette politique après des menaces d’action en justice.
SSM Health, un système hospitalier catholique qui gère 23 hôpitaux dans l’Illinois, le Missouri, l’Oklahoma et le Wisconsin, a commencé à utiliser le système de notation l’année dernière pour attribuer les rares doses de Regeneron, le cocktail d’anticorps que le président Donald Trump a crédité pour sa guérison du COVID-19. Un patient doit obtenir au moins 20 points pour avoir droit au médicament. La rubrique accorde trois points aux patients atteints de diabète, un pour l’obésité, un pour l’asthme et un pour l’hypertension, soit un total de six points. En revanche, le fait de s’identifier comme étant de race “non blanche ou hispanique” rapporte sept points au patient, quel que soit son âge ou les conditions sous-jacentes.
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L’État ruine EDF… et les Français : Emmanuel Macron veut être élu « quoi qu’il en coûte »
L’État a donc tranché. Pour maintenir en dessous de 4 % l’accroissement de la facture énergétique des Français, c’est EDF qui devra mettre la main à la poche en augmentant de 20 % l’accès régulé à l’électricité nucléaire historique (ARENH). En cédant à ses concurrents alternatifs 20 TWh supplémentaires à prix coûtant (42 €/MWh), EDF, qui aurait pu vendre cette électricité à prix fort sur le marché de gros, va amputer son chiffre d’affaires de près de 8 milliards d’euros. Les marchés n’ont pas attendu longtemps pour sanctionner le titre EDF, qui a perdu 16,5 % durant la séance de vendredi.
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Marche pour la vie 2022, c’est partie !
Les manifestants arrivent place de Catalogne pour cette nouvelle mobilisation pour la vie. Le départ du cortège est prévue pour 14h.
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L’Action Française et l’Islam (X/XI)
Dernier état de la réflexion maurrassienne
En 2019, en opposition totale au modèle inclusiste, François Marcilhac et François Bel-Ker, directeur politique et secrétaire général de la « vieille maison », publient une étude intitulée Immigration : pour en finir avec les tabous. Ils proposent de rechercher des solutions politiques autour de cinq axes : le retour, l’assimilation, l’intégration, la famille et la coopération, reliés en un ensemble cohérent. Ni le terme d’expulsion ni celui de « re‑migration » – mot tabou pourtant de plus en plus répandu[1] – ne sont utilisés. Ils privilégient le mot « retour », emprunté au vocabulaire de la génération Maurras. L’objectif est d’inverser le flux migratoire des étrangers clandestins, des délinquants étrangers ou binationaux, mais également de mettre en place une batterie de mesures incitatives pour pousser au retour volontaire les résidents légaux. C’est la politique la plus expéditive. Simple à mettre en œuvre, elle a donné, quand on l’a appliquée, des résultats concrets. Elle doit, de plus, être étroitement coordonnée à une politique de coopération réaliste et ciblée.
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Morlaix (29) : Mustapha Bellache, un professeur d’extrême-gauche de 58 ans, en garde à vue pour le viol d’une élève de 15 ans
En 2015, il fait partie du Comité de soutien finistérien à la liste du Front de Gauche aux élections régionales
En 2012, il fait partie du Comité de soutien à Ismaël Dupont et Marie Huon, candidats du Front de Gauche aux législatives à Morlaix
Mustapha Bellache, professeur de français au lycée Tristan-Corbière de Morlaix de 2002 à 2008, et depuis 2013, a été interpellé à son domicile de Taulé, ce lundi 10 janvier, par les policiers morlaisiens. Immédiatement placé en garde à vue, cet homme de 58 ans est accusé de viol et d’agressions sexuelles sur une élève aujourd’hui âgée de 16 ans. Les faits, passibles de la cour d’assises, se seraient produits en 2019 et 2020. Les policiers enquêtaient depuis plusieurs semaines à la suite d’un dépôt de plainte de la victime et de ses parents.
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Les Français de moins en moins favorables au pass vaccinal, selon un sondage
En deux semaines, l’enthousiasme des Français vis-à-vis du projet des autorités de remplacer le pass sanitaire par un pass vaccinal a diminué. Selon un sondage de l’Ifop pour le JDD, ils ne sont que 58% à le soutenir, soit 5 points de moins par rapport à début janvier.(…) Ainsi, selon ces chiffres, 58% des personnes interrogées sont pour le pass vaccinal, ce qui représente 5 points de moins que ce qu’avait montré le sondage réalisé par le même institut pour LCI et Le Figaro début janvier (63%). Ceci contre 42% se disant opposés à la mesure (soit +5 points par rapport au même sondage susmentionné). -
De nouveaux ralliements d’élus LR en faveur d’Eric Zemmour ?
Dans Libération, Dominique Albertini évoque une guerre psychologique entre Reconquête et LR. Après le ralliement de Guillaume Peltier, la tribune en faveur de Zemmour d’élus, cadres et dirigeants LR, le journaliste annonce :
Le risque de nouveaux ralliements n’en est pas moins réel. Plusieurs sont déjà tenus pour acquis dans l’entourage de Valérie Pécresse et plusieurs figures de LR cachent à peine leur sympathie pour l’ancien journaliste du Figaro , à l’image des sénateurs Sébastien Meurant et Etienne Blanc. On spécule aussi sur l’attitude du maire de Chalon-sur-Saône, Gilles Platret, porte-parole de LR, qui a jugé nécessaire mardi «un débat sur la ligne» de Valérie Pécresse . Avec Guillaume Peltier, Platret était l’un des grands absents de l’organigramme de campagne de la candidate, dévoilé début janvier.
https://www.lesalonbeige.fr/de-nouveaux-ralliements-delus-lr-en-faveur-deric-zemmour/
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Un deuxième tour Zemmour/Le Pen est-il possible ?
BV – Nous sommes à 90 jours de l’élection présidentielle.
Faites vos jeux ! Quatre candidats caracolent en tête et peuvent se qualifier pour le second tour : Macron, Pécresse, Le Pen et Zemmour, que le philosophe Marcel Gauchet considère comme un « phénomène majeur » de l’élection présidentielle.
Les précédents de 2002 (Jospin éliminé par Chirac et Jean-Marie Le Pen) et de 2017 (François Fillon éliminé par Marine Le Pen et Emmanuel Macron) prouvent que toutes les surprises sont possibles.
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Le gouvernement des conseils (en France aujourd'hui)
par Georges FELTIN-TRACOL
La crise covidienne n’a fait qu’accélérer et qu’entériner la pratique très personnelle de gouverner d’Emmanuel Macron. Candidat en 2017 de la « disruption », cet anglicisme qui désigne à la fois le chamboule-tout, le dégagisme et une posture à contre-courant médiatiquement construite, l’actuel locataire de l’Élysée concentre la totalité des pouvoirs au point qu’à la différence d’Édouard Philippe, Jean Castex n’est que le deuxième de ses collaborateurs et le super-directeur de cabinet d’un gouvernement présidentiel. On se souviendra que c’était déjà le cas, mais d’une manière moins prononcée, entre 2005 et 2007 avec la présence à Matignon de Dominique Galouzeau de Villepin sous la présidence de Jacques Chirac.