Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 25

  • La Cour des comptes l’a dit hier sans ambiguïté : la situation financière de la France est catastrophique.

    En pleine campagne présidentielle, la Cour des comptes a alerté mercredi sur la nécessité d’un « effort sans précédent » dans les prochaines années pour maîtriser les dépenses publiques et redresser les comptes très préoccupants de la France.

    Certes, la crise sanitaire a entraîné la mobilisation de moyens publics « d’une ampleur inédite » (le fameux « quoi qu’il en coûte » d’Emmanuel Macron) pour lutter contre l’épidémie et soutenir l’économie. Si cette stratégie « était nécessaire pour préserver l’activité et pour nourrir la croissance à venir, (elle) va maintenant durablement peser sur les déficits et sur la dette publique« , a prévenu le premier président de la Cour, Pierre Moscovici, en présentant à la presse le rapport annuel de la juridiction financière, entièrement consacré au bilan de la gestion de la crise sanitaire. Et voici l’un des remèdes proposés : (voir image ci-dessus)

    Lire la suite

  • Malgré l'absence d'une candidature royaliste à la présidentielle...

    Img093bg

    Il n’y a pas, il n’y aura pas de candidat royaliste à l’élection présidentielle cette année… Le dernier (le seul, en fait, dans l’histoire de la Cinquième République) a été, en 1974, Bertrand Renouvin, et il n’a pu se représenter sept ans plus tard, faute des fameux 500 parrainages de maires nécessaires depuis M. Giscard d’Estaing pour pouvoir concourir au siège élyséen. Bien sûr, il y eut d’autres tentatives de candidature, comme celle d’Yves-Marie Adeline qui mit une belle énergie à essayer de mobiliser d’autres forces nouvelles pour la cause royale au début des années 2000. Il y eut aussi des tentations de candidature, y compris de feu le comte de Paris, mais rien qui n’ait, malheureusement, abouti.

    Lire la suite

  • Emmanuel Macron, victime ou responsable de la crise sanitaire ?

    macron

    Chez les défenseurs d’Emmanuel Macron, donc dans la France modérée comme écrit sans rire l’hebdomadaire Le Point[1], on entend une petite musique bien connue : le président de la république n’aurait pas eu de chance car il a été confronté à la pandémie du Covid, qui a bouleversé son quinquennat. Un discours qui rappelle ce que la gauche disait du quinquennat pour rien[2] de François Hollande : la crise économique mondiale avait « empêché » le président de la république de conduire une politique socialiste. Pas de chance donc. Ce discours semble factuel. Mais il inverse en réalité le sens de la causalité : car un bon politique n’est pas celui qui « affronte » des crises, mais bien celui qui les empêche d’advenir.
    Découvrez cette tribune de Michel Geoffroy.

    Lire la suite

  • Michel Onfray : « On nous dit qu’on n’a pas le droit d’utiliser le terme “Grand remplacement”, mais si vous êtes de gauche, vous avez le droit, vous pouvez même appeler ça “créolisation” »

    Vu sur FdeSouche


     

  • Le jansénisme et les Lumières : un combat victorieux contre le trône et l’autel.

    Le jansénisme et les Lumières : un combat victorieux contre le trône et l’autel.

    Considéré comme une hérésie par le pape en 1713, le jansénisme est un mouvement théologique qui a vu le jour sous le règne de Louis XIII au cours d’une réunion secrète tenue à Bourg-Fontaine, dans la ville de Villers-Cotterêts. Il représentera, jusqu’à la Révolution, une opposition active à l’absolutisme royal et à l’autorité du pape.

    Lire la suite

  • Le procès du bon Théo à son papa Hollande a débuté

    capture-decran-2022-02-16-a-180124-845x475.png

    La peine de  est grande. Son Théo, LE Théo à son pépère auprès de qui il s'était précipité à l'hôpital après les  policières qu'il avait subies, est aujourd'hui poursuivi pour escroquerie en bande organisée. Mais qu'a-t-il fait qui lui vaille cette haine de la part de l'institution judiciaire ? Dans quel lit repose-t-il ?

    Lire la suite

  • Comment payer la politique du « quoi qu’il en coûte » ?

    Comment payer la politique du « quoi qu’il en coûte » ?

    Alors que le ministre Bruno Le Maire fanfaronnait sur la croissance exceptionnelle, alors qu’il ne s’agit que d’un réajuste après le blocage de l’économie provoqué par le confinement, la Cour des comptes tire le signal d’alarme face à l’état particulièrement préoccupant des finances publiques du pays. Plus de 100 milliards ont été déversés au nom du « quoi qu’il en coûte ».

    Lire la suite

  • Tensions à la Commission des finances face au refus d’Eric Woerth de démissionner

    Vu sur TVL

    L’actuel président de la Commission des finances est devenu un soutien d’Emmanuel Macron, les membres de la Commission lui reproche de ne plus être dans l’opposition. Selon eux, il doit démissionner de ses fonctions. 

    La Constitution prévoit que la présidence de la Commission des finances à l’Assemblée nationale revient à un député de l’opposition.

    Pour l’heure, c’est Eric Woerth qui occupe cette fonction, le même Eric Woerth qui a annoncé la semaine dernière prendre ses distances avec son parti les Républicains pour soutenir Emmanuel Macron en vue de sa réélection. Comme demandé par l’opposition, il devrait donc naturellement démissionner de son poste, ce qu’il refuse de faire. Refus qui a provoqué le départ de nombreux parlementaires de la salle.

    https://www.tvlibertes.com/actus/tensions-a-la-commission-des-finances-face-au-refus-deric-woerth-de-demissionner

  • Il y a 140 ans, le massacre de Stara Zagora

    Ces massacres se place dans le contexte de la rébellion bulgare contre l’oppresseur turc  en mai 1876, suite à la levée d’un impôt discriminatoire contre les chrétiens et à la révolte de l’Herzégovine. Alors que les chrétiens laissèrent en paix les musulmans, l’Empire Ottoman se livra par contre à ses génocides antichrétiens coutumiers, commis par les sinistres bachi-bouzouks. Ce fut le théâtre du massacre de Batak, qui souleva d’indignation l’Europe, faisant perdre à la Turquie l’alliance britannique. En voici le récit du journaliste américain McGahan :

    Lire la suite