“Depuis qu’il n’y a plus de bennes pour les peaux de moutons, il m’est déjà arrivé de trouver des têtes de moutons dans la rue”
- Page 24
-
-
Ukraine : l’attaque imminente n’a pas eu lieu…
Mercredi est venu et la Russie n’a pas envahi l’Ukraine. Pourquoi mercredi (16 février) ? C’est la date distillée pour une invasion annoncée en vain depuis des mois, la crise actuelle ayant démarré en novembre.
Le président ukrainien Volodymyr Zelenski a naïvement relayé cette « information » décisive le 14 février : « On nous dit que le 16 février sera le jour de l’attaque. Nous allons en faire une journée de l’unité. » Passons sur le concept d’unité ukrainienne qui n’a jamais existé, ce pays étant structurellement coupé en deux pôles qui lorgnent vers deux directions totalement opposées.
-
« Lenglet découvre l’ampleur des pénuries ! »
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Je ne me lasse pas de contempler le niveau d’informations des médias dits « mainstream », que l’on pourrait traduire par « grand public » ou encore par médias « dominants » en bon français.
Il faudra attendre l’édito du 16 Février de l’an de grâce 2022 (source RTL ici) pour que le Sieur François Lenglet découvre l’ampleur des pénuries qui touchent l’économie mondiale. RTL vient donc d’informer ses auditeurs qu’il manque certaines choses dans les rayonnages comme dans les usines !
-
Quand Le Canard enchaîné désinformait pour le compte du KGB (Présent)
Le Canard Laquais
Aux grandes époques du communisme dit « français », Le Canard enchaîné comptait une pléthore de journalistes bolcheviques. Parmi eux, le dénommé Jean Clémentin, bien connu des adeptes du volatile. C’était un espion du camp soviétique. Encore une « fake news d’extrême droite » ? Si l’affaire est aujourd’hui relayée, sans contestation, par les médias bien-pensants, c’est parce qu’elle nous est révélée par L’Obs, hebdomadaire de gauche lui-même bien-pensant.
-
L'héritage indo-européen en Iran 1/4
Certains d'entre vous se rappellent sans doute les fastueuses fêtes de Persépolis en 1971. Celles-ci célébraient le 2.500ème anniversaire du royaume d'Iran. Peut-être savez-vous également que l'un des titres du dernier shâh (roi) était “lumière des Aryens” et que Iran signifie “Pays des Aryens”. Dans la célébration de Persépolis, il ne faut pas s'arrêter à la réussite d'un régime, d'ailleurs démentie quelques années plus tard, mais y voir l'affirmation d'une continuité de Cyrus le Grand à nos jours. Le titre sus-mentionné du shâh, “lumière des Aryens”, et l'étymologie de Iran expriment la même idée. En effet, il faut comprendre qu'il y a là revendication d'un héritage vieux de plusieurs millénaires et affirmation d'une fidélité à celui-ci.
L’âme de l'Iran ne s'est pas constituée au XXe siècle, ou après l'islamisation, ou encore à la suite des campagnes d'Alexandre le Grand, mais lorsque les Indo-Européens se sont établis sur le plateau iranien. Depuis, en dépit des invasions, de la multiplicité des courants religieux, des périodes de succès et de revers, les Iraniens ont toujours témoigné d'une conscience très vive de leur spécificité. Le monde iranien est injustement méconnu en Europe. Pourtant, l'influence de ce rameau indo-européen s'est étendue à l'ensemble de l'Eurasie. C'est à une brève découverte de celui-ci que nous vous invitons maintenant. Tout d'abord en nous penchant sur les origines indo-européennes de l'Iran, puis en examinant quelques aspects du monde iranien et enfin son influence sur d'autres civilisations.
Au début de l'histoire de la Perse, au temps de Cyrus, on trouve encore des femmes guerrières (Saces)
I. Les Indo-Européens en Iran
L'Iran a connu deux principales vagues indo-européennes. Les Iraniens sont issus de la seconde. La première vague est venue du nord de la mer Caspienne. Ce groupe d'Indo-Européens s'est fixé, à la fin du IVe millénaire avant notre ère, au sud-est de la Caspienne, dans la région de l'actuel Gorgan. Roman Ghirshman nomme ce rameau les “Indo-Aryens” afin de le distinguer des Iraniens proprement dit. La dénomination aryen provient du nom par lequel se désignaient les Indo-Européens qui se sont installés en Inde et en Iran. Ainsi, l'empereur achéménide Darius Ier (522-486) se disait “aryen de souche aryenne”.
-
L’État aurait dépensé un milliard et demi pour des cabinets de conseil : et pour quoi faire ?
Tant qu’à la payer, autant récupérer un peu de sa redevance en écoutant France Inter à dose homéopathique. C’est ainsi que l’on pouvait y entendre, récemment, une journaliste de L’Obs (y a pas de hasard : qui se ressemble…) évoquer le recours de plus en plus systématique à des cabinets de conseil (très souvent anglo-saxons) pour éclairer les pauvres lanternes de nos hommes de l’État.
-
Les Femmes face à l'obscurantisme des "Lumières"
-
Déconstruction, progressisme… La sécession comme horizon ?
Par Michel Geoffroy, auteur de : Le Crépuscule des Lumières, Immigration de masse. L’assimilation impossible, La Super-classe mondiale contre les peuples et La Nouvelle guerre des mondes ♦ Dans son court et premier essai intitulé Sécession[1], Yann Vallerie, le dynamique rédacteur en chef de Breizh-info.com, nous invite à une réflexion sur le politique et la Cité, même si le titre ne comprend pas de point d’interrogation.
Pourquoi Sécession ? Parce que, selon l’auteur, l’évolution de notre pays rend la sécession de plus en plus probable, dans la mesure où la France regroupe des gens qui n’ont plus rien en commun. La sécession constitue donc l’inverse du « vivre ensemble » officiel, une réponse en quelque sorte à tous ceux qui veulent imposer de force en France une société multiculturelle et multiethnique, donc fatalement multiconflictuelle. -
Moissac : Marine Le Pen veut le parrainage du maire RN mais l’humilie en le privant de sa visite
Le RN compte seulement 7 maires et Marine Le Pen se paie le luxe d’en sanctionner un pour des propos trop conciliants envers le camp d’Eric Zemmour :
Dans un tweet publié mercredi 16 février, l’édile [Romain Lopez, maire Moissac] confie son désarroi, après avoir été privé de la visite de la candidate du RN. En cause, selon lui, ses propos quant à la nécessité “d’apaiser le débat et de nouer des alliances locales” (…)
-
Vincent Bolloré, sans filtre, peut dire en petit comité : “Je me sers de mes médias pour mener mon combat civilisationnel.” Il a un problème avec “l’invasion migratoire”
« Le menteur », « Le flibustier », « Le catho »… : voilà quelques titres de chapitres de la biographie que le journaliste Vincent Beaufils consacre à Vincent Bolloré à la veille de la retraite – officielle – de l’homme d’affaires breton.
(…)
Ce dernier, selon l’industriel Henri Lachmann, un ami proche, « veut se consacrer à d’autres choses. […] Il veut racheter le péché ». Bien sûr, il y a les médailles miraculeuses ou les pèlerinages réguliers à Lourdes : logé en pension de famille mais transporté en… jet privé. De quels péchés s’agit-il ? Dans sa vie personnelle, pour avoir quitté femme et enfants pour la sœur de son épouse, avant d’avoir à nouveau changé de vie ? Dans ses activités en Afrique ? Dans les médias ? Pour avoir propulsé Eric Zemmour en lui donnant une exposition hors pair sur la chaîne CNews ?