« Mais les gamins, ils écoutent qui, alors ? » Dans la nuit du 3 au 4 juillet, alors qu’il se rend au chevet des forces de l’ordre mobilisées depuis une semaine pour ramener le calme en France, Emmanuel Macron s’interroge naïvement.
Les policiers sont-ils craints par les émeutiers ? Les parents des jeunes délinquants ont-ils encore de l’autorité sur les enfants ? La réponse des fonctionnaires de police présents ce jour est sans appel.