Pieter Kerstens
Le docteur Micron et son assistante, Elisabeth Borne, avaient déclaré publiquement que la mort de l’adolescent à Nanterre était « inexcusable », « injustifiable » et « intolérable », en condamnant l’acte du policier dès le lendemain, mercredi 28 juin.
Après les prises de positions des plus hauts responsables de l’Etat français, quelle place reste-t-il encore à la Justice ?
Avec quelle sérénité le dossier va-t-il être instruit ?
Et contrairement à ces déclarations et aux affirmations des footeux et artistes divers, Nahel n’était pas tout à fait un « ange », mais un véritable délinquant connu des services de police à Nanterre pour plusieurs « refus d’obtempérer » et délits divers, sans avoir été condamné et donc avec un casier judiciaire vierge.