« Si vous m’avez invité, c’est pour que je vous dise les choses », rappelait sans ambages l’avocat Thibault de Montbrial sur France Info, il y a deux jours. La station de radio (qui est désormais également une chaîne de télévision) n’avait pas l’habitude de ce genre de sincérité. Mentalement, c’est toujours un choc, pour un journaliste, de se confronter à un monde réel que l’on pensait bien connaître. Reprenons. Thibault de Montbrial est un avocat très connu, patriote et favorable aux forces de l’ordre, dont il assure très souvent la défense, notamment dans des affaires qui connaissent un fort retentissement médiatique. C’est aussi un excellent connaisseur du terrorisme islamiste, contre lequel il lutte sans relâche, avec ses propres armes, qui sont juridiques.
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4 - Taline Ter Minassian pour son livre "Sur l'échiquier du Grand Jeu"
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Valeurs actuelles se veut “de droite très conservatrice”, “le journal du carrefour des droites”
Après le départ turbulent de Geoffroy Lejeune, Valeurs actuelles, dirigé par Tugdual Denis, semble avoir retrouvé la sérénité. En juin dernier, une douzaine de salariés ont quitté le journal, dont Charlotte d’Ornellas. L’hebdomadaire Valeurs actuelles a dû faire face à une baisse de 4,7 % de sa diffusion France payée sur la période juillet 2022 à juin 2023, à 104.386 exemplaires, selon l’ACPM.
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Mouvement dextrogyre dans la presse : Après le JDD, Historia ?
Au printemps 2023, la revue Historia a été rachetée par le groupe LVMH et l’essayiste Franck Ferrand a été nommé à la direction du comité éditorial. Ce comité s’en inquiète dans un communiqué en raison de la participation de Ferrand au magazine Valeurs actuelles où il tient une chronique depuis 2021. Le communiqué appelle à la « vigilance » sur la ligne éditoriale d’Historia et à une « neutralité absolue d’un point de vue politique et idéologique ». Sic.
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Réflexions autour du Traité de Maastricht
Je n'aurai pas d'autre solution : je devrai accepter les résolutions du Traité de Maastricht comme un fait accompli. La loi électorale belge ne prévoit pas le référendum. C'est donc le parlement qui décidera. Qui a déjà décidé. J'accepte Maastricht, non parce que j'ai souhaité l'Europe qu'esquisse ce Traité, mais parce que je suis contraint d'accepter le cadre politique dans lequel je vais vivre et inscrire mes futurs combats.
Dans cette optique, j'ai lu avec beaucoup d'attention certains propos émis par les Verts français, notamment Philippe Frémeaux (« Maastricht, une étape de l'Europe », in : Alternatives économiques, juin 92) et Alain Lipietz (« Une révolution de comportement », in : Alternatives économiques, juin 92). Frémeaux écrit : « … la ratification du traité de Maastricht ne va pas déterminer notre avenir à tout jamais. Le débat politique tend toujours à dramatiser les enjeux. Mais la construction européenne concrète des prochaines années n'est écrite nulle part. Le cadre prévu dans le traité est effectivement contraignant, mais la politique est l'art de s'adapter aux circonstances. Parmi les chefs de gouvernement signataires du traité, peu seront encore au pouvoir lorsque le moment sera venu de le mettre en œuvre… Résumons : ce n'est plus l'heure de discuter si on est pour ou contre la construction européenne. Il est par contre permis de chercher à en modifier le sens ».
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Projet A69 (Toulouse / Castres) : camions brûlés, entreprise attaquée, armes saisies, ZAD… des militants d’extrême-gauche sèment le chaos
Des scènes de chaos. À Cambounet-sur-le-Sor, dans le Tarn, environ 800 individus liés aux Soulèvements de la Terre ont incendié une cimenterie, en marge de la manifestation contre le projet d’autoroute A69, reliant Castres à Toulouse, ce samedi 21 octobre.
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Le procès de Jeanne d’Arc, par Jacques Trémolet de Villers.
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Stop au financement de l'islamisme par l'UE !
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Grâce à Linky, c’est fini l’abondance !
Sapristi, voilà que l’hiver s’annonce épineux pour les Français !
Alors que plus d’un tiers d’entre eux se retrouve à devoir vivre avec 100 euros dès le 10 du mois (soit 5€ par jour tout compris), on craint déjà de voir le prix du baril de pétrole grimper les prochaines semaines alors que le Moyen-Orient semble obstinément choisir la voie d’un règlement de compte peu courtois.
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Le Tribunal révolutionnaire de 1793 & la fin des libertés publiques
Le Tribunal révolutionnaire fut institué le 10 mars 1793 pour réprimer “toute entreprise contre-révolutionnaire” et “tout attentat contre la liberté, l’égalité, l’unité, l’indivisibilité de la République”. Ce symbole de la Terreur envoya à la mort plus de 2500 personnes en l’espace de seize mois (Pour le seul Tribunal révolutionnaire de Paris), chiffre considérable qui ne représente qu’une faible part des victimes de la répression judiciaire sur l’ensemble du territoire national au cours de la même période. L’arbitraire de ses jugements et le caractère expéditif de ses procédures sont restés célèbres, symbolisés par le décret du 22 prairial an II (10 juin 1794) privant les accusés de la faculté de disposer d’un défenseur et de faire produire des témoins à décharge. Son accusateur public, Antoine Quentin Fouquier-Tinville, demeure toujours, notamment au sein du monde des magistrats, l’incarnation de la Terreur judiciaire.