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  • [DISSOLUTION D'ACADEMIA CHRISTIANA] Résister au mensonge avec Victor Aubert et Jean-Eudes Gannat

  • Julius Evola et la métapolitique

    Evola

    Du fait que René Guénon aussi bien que Julius Evola, que l’on considère à juste titre comme les deux plus grands auteurs traditionalistes de ce siècle, ont en effet écrit nombre d’œuvres relevant de la Tradition, qui sont d’une valeur insigne, on n’a que trop tendance à ne les aborder que sous l’angle des études traditionnelles, pour négliger pour autant tout ce qu’ils ont pu écrire dans le sens de leur “révolte contre le monde moderne”, pour reprendre le titre de l’œuvre maîtresse de Julius Evola.

    Certes, leur connaissance du monde de la Tradition a pu conduire Guénon aussi bien qu’Evola à asseoir sur celle-ci leur “révolte” contre tout ce qui relève des aberrations spirituelles, sociales et politiques du “Kali-Yuga” ou “âge sombre” au sein duquel nous sommes condamnés à vivre, mais il n’en est pas moins vrai que Guénon aussi bien qu’Evola se sont élevés avec une rare violence contre tous les cuistres, les charlatans et les analphabètes qui se réclament de la Tradition et qui n’en connaissent ou n’en propagent que la caricature. Comme l’a écrit Paul Sérant, il y a en effet pire que le refus de la spiritualité, c’est la spiritualité à rebours (1).

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  • La révolte gronde chez les paysans

    En une France marchant sur la tête, la nouvelle jacquerie paysanne a débuté avec des panneaux d’une dizaine de milliers de villages dévissés pour être ensuite revissés à l’envers. À l’origine de cette initiative ? Les Jeunes Agriculteurs (JA) et la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA). Depuis, la colère monte. Sourde et profonde et ne demandant qu’à éclater au grand jour, la Confédération paysanne se mêlant désormais de la partie.

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  • Maurice Barrès, un professeur d’énergie pour dépasser le nihilisme

    Maurice Barrès, un professeur d'énergie pour dépasser le nihilisme
     

    Dépoussiérer la statue largement délaissée de Maurice Barrès en montrant ce que son œuvre a de moderne et de révolutionnaire, voilà la tâche à laquelle Jeremy Baneton s'attelle dans un petit ouvrage dense et stimulant, Maurice Barrès, Le prince de la jeunesse, paru aux éditions de la Nouvelle Librairie, dans la collection « Longue mémoire » de l’Institut Iliade.

    ÉLÉMENTS : Qu’est-ce que la pensée barrésienne peut apporter aux jeunes nationalistes et identitaires français du XXIe siècle ?

    JEREMY BANETON. Regardons d’abord comment fut perçu Barrès par ses pairs. Le premier livre de 1887-1888, au titre énigmatique de Sous l’œil des barbares, est dévoré par Charles Maurras sous le portique d’une galerie de Paris alors qu’il pleuvait à verse. Maurras y découvrait là tous les tourments, les troubles, les espoirs déçus de sa génération. Ils étaient de ceux pour qui, ainsi que l’écrivait Musset, « tout ce qui était n’est plus ; tout ce qui sera n’est pas encore ».

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  • Creil (60) : armé d’une batte de baseball, il neutralise un migrant clandestin égyptien multirécidiviste qui s’attaquait à sa voiture

    Il semblait avoir une prédilection pour les véhicules de marque Mercedes. Ce sont deux véhicules de ce constructeur qui ont été ciblés par Ahmed K., ressortissant égyptien âgé de 26 ans domicilié à Creil (Oise). C’est d’ailleurs à deux pas de l’endroit où il est hébergé que le jeune homme a décidé d’exercer ses talents de voleur à la roulotte dans la nuit de vendredi à samedi, rue Roset à Creil. Après avoir brisé la vitre du véhicule, il s’introduit à l’intérieur et fait main basse sur tous les objets qu’il peut trouver à l’intérieur.

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  • Le boulet

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    L’éditorial de François Marcilhac

    Oui, la vie politique française se complaît dans la médiocrité. Ainsi, c’est par une motion de rejet préalable réunissant toutes les oppositions, de l’extrême gauche à la droite nationale, qu’a été retoqué le texte sur l’immigration dont la commission des lois de l’Assemblée nationale, sous la férule du progressiste Sacha Houlié, avait détricoté la version, pourtant timidement « durcie » qui était sortie des travaux du Sénat. Certes, le parcours du projet de loi défendu par Darmanin n’est pas terminé, à l’heure où nous écrivons : le texte peut être renvoyé au Sénat dans la version… du Sénat, ou faire directement l’objet d’une commission mixte paritaire (réunissant sept députés et sept sénateurs), toujours dans la version sénatoriale. Et alors ? Un sujet aussi important que celui de l’immigration est ainsi soumis aux aléas d’un processus politicien où les intérêts partisans, conjugués aux préjugés idéologiques, prennent le pas sur l’intérêt national.

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  • Recréer un nationalisme français : le souverainisme à la Cart

    Recréer un nationalisme français : le souverainisme à la Cart
     

    Dans un texte court, vif et polémique, à mi-chemin entre l'essai et le pamphlet, Rodolphe Cart dénonce l'absence de préoccupations économiques et sociales chez les « identitaires » et présente sa vision d'un souverainisme populiste n'excluant pas la question de l’homogénéité ethnoculturelle mais sans l'essentialiser. Si l'on peut regretter que l'auteur semble confondre l'intégralité des « identitaires » avec la frange « racialiste » de cette mouvance, on n'en lira pas moins avec le plus grand intérêt cet opus vivifiant qui dépoussière incontestablement le concept de « souverainisme » souvent caricaturé, y compris par certains de ses porte-paroles auto-proclamés.

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  • Ce que veulent les Français

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    Après des mois de préparation, de communication et de tractations, la loi immigration de Gérald Darmanin a finalement fait l’objet d’une motion de rejet et ne sera pas même débattue à l’Assemblée. Pour le ministre de l’Intérieur, qui est aussi le ministre des Émeutes, des interdictions de manifester et des dissolutions, c’est assurément un revers, un camouflet. Mais c’est encore bien davantage.

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  • Macron, naufrageur du Titanic

    Le Titanic est en train de sombrer. Pour ne pas avoir voulu voir l’iceberg de l’insécurité identitaire, en dépit des alertes, Emmanuel Macron doit être tenu pour responsable du rejet préalable, lundi par les députés, du projet de loi sur l’immigration présenté par Gérald Darmanin. Là est le naufrage. Une insurrection parlementaire a répondu, enfin, aux arrogances répétées du chef de l’Etat et du ministre de l’Intérieur. Cette sorte de « gilet-jaunisation » des élus, naguère timorés, vient en écho à l’exaspération de l’opinion confrontée à une caste incapable d’entendre le peuple dans ses angoisses existentielles. « Je sais où je veux emmener le pays », avait pompeusement déclaré Macron en mai 2018 devant Jean-Pierre Pernaud, sur TF1. 

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