
On a cru que le parti à la flamme était tombé en catalepsie depuis les élections législatives. Certes, lui qui rêvait d’un Jordan Bardella à Matignon, soutenu par un groupe majoritaire, il était tombé de haut. Était ensuite venue la pioche sidérante des postes-clé de l’Assemblée nationale, où l’ensemble de la classe politique s’était largement servie en ostracisant le RN, c’est-à-dire, mine de rien, quelque 11 millions d’électeurs.





