Pour commencer cet article, comment ne pas dire que toute femme, mais aussi tout être humain, ne peut que se sentir solidaire de Gisèle Pélicot, droguée à son insu pendant dix ans et détruite physiquement par les médicaments qu’un époux pervers lui faisait prendre à son insu. Par contre, l’instrumentalisation de cette affaire, dont n’est aucunement responsable la victime, est révoltante et doit être dénoncée, y compris en utilisant l’humour contre les féministes dégénérées qui interdisent à nos compatriotes de se révolter contre la mort de Philippine, et opposent les deux affaires.