
Notre Président, qui semble délaisser la politique intérieure après avoir réussi une dissolution de l’Assemblée nationale qui a rendu le pays quasiment ingouvernable, multiplie ses interventions dans le domaine international sans guide et sans boussole. Après avoir fait une cour indécente à l’Algérie pour recevoir en retour toutes les humiliations, il a tourné cet été son attention vers le Maroc dont il avait oublié l’existence et les liens privilégiés qui unissaient nos deux pays du temps de nombre de ses prédécesseurs.