L’éditorial de François Marcilhac
Les bonnes nouvelles sont suffisamment rares pour que nous les boudions. Les Français désavouent le régime des partis et le pays légal a peur. Certes, on ne sait jamais avec lui s’il est sincèrement inquiet chaque fois que s’annonce une « crise de la démocratie », mais elle est bien là. Et s’il y a un responsable, ce sont bien les partis eux-mêmes, c’est bien l’oligarchie au pouvoir, et des médias de grands chemins serviles dont, il est vrai, le pays réel peut désormais s’affranchir, en allant s’informer « ailleurs ».