
Selon Le Progrès, les autorités soupçonnent un groupe d’une trentaine de jeunes de Rillieux-la-Pape, connu sous le nom de “Velette Gang Armé” (VGA), de proposer leurs services pour participer à des émeutes moyennant rémunération.
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Selon Le Progrès, les autorités soupçonnent un groupe d’une trentaine de jeunes de Rillieux-la-Pape, connu sous le nom de “Velette Gang Armé” (VGA), de proposer leurs services pour participer à des émeutes moyennant rémunération.
Alexandre Douguine souligne que le discours de Poutine à Munich en 2007 marque le début d’une révolution multipolaire qui remet en cause le mondialisme unipolaire et diminue la pertinence de l’ONU.
La presse otano-française jubile : des soldats russes ont été filmés à dos de chameau et d’autres avec des baudets dans leurs campements. C’est le signe que l’armée russe est exsangue, que Yako(vleff) avait raison, que LCI a gagné. Face à l’armada ukrainienne, équipée des armes les plus avancées, les Russes se défendent, courageusement certes, mais avec des fusils en bois, quand ils en ont. Le régime poutinien est au bord de l’effondrement.
Cette Europe qui veut la guerre…
L’UE se voit écartée des futures négociations de paix en Ukraine, exactement comme nous l’avions écrit dans nos colonnes il y a plusieurs mois de cela. La raison en est simple. En coupant résolument tout dialogue diplomatique, l’UE s’est mise hors-jeu toute seule, comme elle s’est économiquement sabordée avec des sanctions stupides qu’elle maintient et accentue. Pire, Macron s’est cru très malin de diffuser la conversation qu’il avait eue avec Poutine. Il en a beaucoup ri, et les journalistes aussi. C’est au tour de Poutine de bien se marrer on dirait. Les laquais de Biden découvrent paniqués qu’ils ne représentent rien, et qu’ils n’auront qu’une chose éventuellement à faire c’est payer pour la reconstruction. La somme est colossale et l’UE n’en a pas les moyens. Mais ce qui est le plus intéressant c’est la réaction de ce qu’ils appellent la responsable de la diplomatie Européenne. Elle vient de déclarer officiellement que l’UE allait torpiller l’accord de paix et tout faire pour qu’un état de guerre larvée soit maintenu en Ukraine. Réaction puérile mais surtout révélatrice de ce que veulent les Européens, du moins ceux qui sont à la tête de l’infâme machin qui empoisonne la vie de tous les ressortissants de ces pays depuis des années. Il se pourrait que ce soit l’erreur de trop, celle qui déclenchera la perte orchestrée de ce truc soviétisé. Trump prendra-t-il conscience qu’avec une telle organisation active la paix dans le monde et en Europe ne peut être assurée ? Fera-t-il tout pour faire imploser cette organisation qui broie les souverainetés au profit des délires de Soros et Schwab ? On ne peut que l’espérer. Tant que cette machine démoniaque ne sera pas neutralisée et avec elle ceux qui la composent, personne ne pourra envisager une paix durable.
Le président Donald Trump a suspendu le financement et les opérations du National Endowment for Democracy, une entité qui s’immisce dans les pays et les élections partout dans le monde au nom de la «promotion de la démocratie».
JD Vance, vice-président des Etats-Unis, était à la conférence de Munich sur la sécurité en Europe. Il a été franc :
« La menace qui m’inquiète le plus vis-à-vis de l’Europe n’est pas la Russie, ni la Chine, ni aucun autre agent extérieur. Ce qui m’inquiète, c’est la menace intérieure. Le recul de l’Europe par rapport à certaines de ses valeurs les plus fondamentales, des valeurs partagées avec les États-Unis d’Amérique. »
Quitter la Bretagne pour fouler les terres argentines n’aurait dû être qu’une formalité, un enchaînement bien huilé de trajets ferroviaires et aériens. Pourtant, le voyage a pris une tournure bien plus rocambolesque. Parti de de Redon, j’atteignis Nantes pour y prendre un vol vespéral à destination d’Amsterdam, première étape avant le grand saut transatlantique.
Trump et Poutine se sont entretenus hier durant une heure et demie, le Tsar profitant de l’occasion pour inviter le président des Etats-Unis à Moscou. Depuis la visite d’Obama en Russie en 2013, aucun président américain n’est revenu dans le pays.
Voici les grandes lignes qui semblent se préciser :
– la paix et la fin du « massacre » sont une priorité pour la Maison-Blanche
– Trump est en accord avec Poutine pour établir les conditions d’une paix durable
– pas de troupes américaines en Ukraine
– pas d’adhésion de l’Ukraine à l’Otan (Mark Rutte en a avalé son chapeau)