
Il n’y a rien à attendre du monde politique actuel. Ces « élites » doivent céder la place ou entamer leur mea-culpa, si elles ne veulent pas être chassées par la colère du peuple trahi. Les dirigeants, confrontés à une violence enragée au cœur de l’Ecole – une surveillante tuée à coups de couteau par un élève, hier dans un collège de Nogent (Haute-Marne) -, se montrent incapables d’aller à la source d’un demi-siècle de duperies pédagogistes et égalitaristes, dénoncées vainement par les plus lucides des observateurs. La ministre de l’Education, Elisabeth Borne, découvre la réalité lorsqu’elle déclare (RTL, 5 juin) : « Il faut prendre le temps de réfléchir pour proposer des solutions opérantes ».








