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actualité - Page 366

  • Trois femmes du Collectif Némésis mises 18h en garde à vue pour une banderole

    18 heures de garde à vue pour cette banderole du Collectif Némésis

    Déjà en campagne électorale pour l’élection présidentielle de 2027, Gérald Darmanin doit à tout prix occuper la scène médiatique. Son moyen favori de faire parler de lui est de s’en prendre à tout ce qu’il peut ranger sous l’étiquette “extrême droite”.

    Trois faits du week-end sont symptomatiques. Samedi matin, à Chiré-en-Montreuil, la préfecture avait interdit à Pierre Hillard, docteur en science politique; spécialiste du mondialisme, de prendre la parole aux Journées Chouannes. Samedi matin encore, en Val-de-Marne, la préfecture avait interdit un hommage sur la tombe de Pierre Sidos pour le troisième anniversaire de son décès. Yvan Benedetti s’étant présenté à l’entrée du cimetière avec l’intention d’y déposer une gerbe de fleurs, il a été verbalisé puis placé une dizaine d’heures en garde à vue. Enfin, samedi après-midi, trois jeunes femmes du Collectif Némésis ont été placées 18h en garde à vue pour avoir déployé une banderole à partir d’une fenêtre de l’hôtel Carlton de Lille.

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  • Pour l’écologisme intégral

    You are currently viewing La rubrique de Philippe SCHNEIDER

    La rubrique de Philippe SCHNEIDER

    L’écologie, au sens noble du terme, c’est-à-dire la protection de la nature dans tous les domaines, est une de nos préoccupations. Elle l’a toujours été. Sans remonter à l’époque heureuse où la France était gouvernée par ses Rois légitimes, il faut noter que les royalistes se sont toujours battus pour le respect de la nature, des hommes. Nos Princes, héritiers de nos Rois se sont aussi toujours montré préoccupés par l’état de notre planète. Que l’on songe aux missions d’exploration réalisées par nos Princes comme celle du duc d’Orléans au pôle Nord. Le Prince Jean – qui devrait régner sous le nom de Jean IV – comte de Paris, est bien dans cette lignée et nous livre ses réflexions sur ce sujet. Elles sont reproduites dans ce numéro.

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  • Espagne : Où en est Vox ? Quid de l’union des droites ?

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    Michel Festivi 

    A la suite des élections régionales et municipales du 28 mai, puis des législatives du 23 juillet, il était important de faire le point sur la situation du parti Vox emmené par Santiago Abascal, parti qui se bat pour l’unité de l’Espagne, l’unité de sa langue, la lutte contre l’immigration sauvage et débridée, et qui pourfend les doxas ultra féministes et la chape de plomb mémorielle des gauches qui se sont abattues sur le pays depuis plusieurs années.

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  • Quelle politique scolaire française nécessaire ?

    Roiéchecs

    Les écoliers de France rentrent ce lundi et demain mardi, après le retour des professeurs dès vendredi dernier dans la plupart des cas. Un nouveau ministre, aux ambitions politiques plus ostentatoires que le précédent, préside (mais est-ce le terme exact dans une République si « présidentielle » ?) aux destinées de l’Éducation nationale, et ses annonces tonitruantes et martiales, populaires dans le pays, laissent néanmoins sceptiques les enseignants. Sans doute parce que le ministre, tout à ses occupations de communication, n’évoque guère ce qui, aujourd’hui, peut être considéré comme des plus inquiétants : le déclin des connaissances générales des élèves ; leur difficulté à se concentrer et à travailler, réfléchir, écrire sur le long terme ; la concurrence des modes alternatifs de socialisation, d’éducation et d’instruction via les réseaux sociaux… La matière grise est l’une des principales richesses de notre nation et elle semble se dessécher dangereusement depuis quelques décennies, plus rapidement que nos nappes phréatiques pourtant déjà bien mal en point : c’est cela qui devrait, d’abord, inquiéter le gouvernement, ce qui n’empêche évidemment pas d’autres motifs d’inquiétude…

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  • Nier le déclin c'est y contribuer

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    Il existe plusieurs manières de mesurer le recul d'une nation. Elles se révèlent hélas largement convergentes.

    Sans doute, pourra-t-on déplorer la triste déroute récente de la présence française dans plusieurs pays d'Afrique. Le monde de Tintin au Congo n'existant plus, se morfondre ne relève plus que de nostalgies elles-mêmes minoritaires.

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  • Fake News France

    Ukraine, Brics, Mali, Niger, Congo, malheureuse série de revers diplomatiques pour la France de Macron !

    Après l’ultimatum des putschistes du Niger enjoignant à notre ambassadeur de quitter le pays, le président Macron s’est exprimé fermement : « Quoi qu’il arrive, et je le dis avec fermeté, l’ambassadeur français restera français ! »
    Mais cette détermination de façade masquait de nombreuses hésitations - qu’on en juge par ces discussions qui ont fuité hors de la cellule de crise. Il est toujours intéressant de voir comment se décident les grandes affaires du monde.

    - Commençons par l’Ukraine : où en est-on ?
    - Toujours pareil, monsieur le président : Poutine refuse de vous prendre au téléphone.
    - Bien. Continuez à l’appeler tous les jours. Non : plusieurs fois par jour. La France ne se laissera pas traiter comme un vulgaire démarcheur commercial, c’est une question d’honneur national !

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  • Macron veut « faire nation », mais en faisant semblant

    Emmanuel Macron n’a plus les mots, tant le réel lui échappe. Dans le Figaro Magazine du 4 août, le chef de l’Etat a soudainement découvert l’urgence de « faire nation », comme on fait la tambouille : un cache-misère semblable au « vivre ensemble » dont il dit pourtant « ne pas aimer le terme ». Or, comment faire nation sous la tutelle d’un président qui défend la souveraineté européenne, le consommateur remplaçable, et qui récuse l’idée de préférence nationale ? Les progressistes de l’après-guerre se pensaient malins en s’affirmant « citoyens du monde ». 

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  • Jordan Bardella : “Emmanuel Macron est un Jean-Luc Mélenchon patient qui déconstruit progressivement notre pays”

    Jordan Bardella : “Emmanuel Macron est un Jean-Luc Mélenchon patient qui déconstruit progressivement notre pays”

    Extrait d’un entretien donné par le président du Rassemblement national au Figaro :

    […] Je pense qu’Emmanuel Macron est politiquement de nulle part et qu’il est à la tête d’une nation qu’il conduit nulle part. Emmanuel Macron est un Jean-Luc Mélenchon patient qui déconstruit progressivement notre pays de bas en haut, en prenant son temps et en prenant le temps de la déconstruction. On le voit concrètement avec l’exemple de l’école, qu’il a affaiblie dans ses capacités par des réformes successives. On voit qu’il rebouche aujourd’hui les trous.

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  • La rentrée a horreur du vide

    230904

    Quelques semaines de silence et de vacances n'ont fait que confirmer cet inquiétant constat de stagnation quasi brejnévienne de la France, auquel cette chronique était consacrée en date du 25 juillet. (1)

    À cet égard, on organise les rendez-vous de Saint-Denis que l'on peut. En 1936, face au Front populaire, Jacques Doriot, maire de Saint-Denis en rupture avec le parti communiste, dont il avait été une des vedettes, et avec le Komintern stalinien, dont il refusait les consignes, avait imaginé dépasser le clivage droite/gauche. Il visait ainsi à donner naissance à un parti fasciste français. Le choc fut violent, qui inspira à Drieu La Rochelle un de ses écrits les plus célèbres. La suite est connue. La fin fut tragique.

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  • Ecole : mettre fin au collège unique

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    Pédagogisme, collège unique, laïcité à géométrie variable, égalitarisme... En cette rentrée marquée par l’arrivée de Gabriel Attal au ministère de l’Éduca- tion nationale, Jean-Paul Brighelli revient sur ses thèmes de prédilection. Dans son nouvel essai cinglant, L’École à deux vitesses (L’Archipel), il dénonce les hypocrisies de la mixité, et l’«héritocratie», qui «laisse dans le fossé 90% du potentiel du pays». L’auteur de La Fabrique du crétin (2005) n’y épargne ni la jeune classe politique aux commandes - sa « conformité aux codes », sa « superficialité brillante » - ni les professeurs satisfaits de « ronronner devant un public présélectionné ».

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    Source : Le Figaro 4/9/2023

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2023/09/04/ecole-mettre-fin-au-college-unique-6459644.html