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Face aux violences inouïes qui prennent aujourd’hui la France en otage, Reconquête ! organisait ce mercredi 5 avril 2023 une convention sur le thème : « Mélenchon, black blocs, antifas : en finir avec les violences de l’extrême gauche ».
Michel Festivi
Notre fringuant ministre de l’intérieur, Monsieur Gérald Darmanin, vient récemment de défrayer la chronique dans un entretien au JDD en dénonçant le « terrorisme intellectuel d’’extrême-gauche », accusant aussi JL Mélenchon de vouloir faire la révolution. Sur Europe 1 il a même évoqué : « le rouleau compresseur d’une partie de l’extrême-gauche » qui fait preuve de « terreur intellectuelle », rajoutant : « l’extrême-gauche joue un rôle très dangereux aujourd’hui dans notre pays ».
Marc Baudriller a interrogé Jean Sévillia sur Boulevard Voltaire à propos du terrorisme intellectuel. Extrait :
[…] Aujourd’hui comme hier, le terrorisme intellectuel consiste à diaboliser l’adversaire, à lui assigner la figure du Mal. Comme depuis 1945, la figure du Mal, c’est Hitler, on traite donc les adversaires de nazis. Le principe du terrorisme intellectuel est de délégitimiser son adversaire politique en lui ôtant le droit à la parole et en lui collant toutes sortes d’étiquettes. Dans les années 1950, la dominante était le stalinisme, le crime des crimes était d’être anticommuniste.
Les manifestations massives contre Macron en France s’enchaînent, et elles sont dures.
Macron et ses sponsors veulent forcer l’adoption de réformes des retraites.
Il s’agit de l’une des tentatives des gouvernements des grandes économies de réduire les salaires réels directs et indirects. Elle est équivalente à une hausse du taux d’exploitation des salariés.
Les réformes des systèmes de santé et de chômage, ainsi que les baisses de service public sont allées dans cette direction.
On peut difficilement rogner plus sur les salaires directs, il faut donc tailler dans les indirects. Le gouvernement Macron a imposé une « réforme » qui relève l’âge de la retraite de 62 ans à 64 ans.
Les pensions sont vraiment des salaires différés, des retenues sur le revenu du travail vivant pour payer un revenu décent lorsque les gens prennent leur retraite.
Le Congrès de la CGT ne s'est pas déroulé comme le prévoyaient les médias hexagonaux et la classe politique parisienne. Les causes et les conséquences de l'élection, ce 31 mars, à Clermont-Ferrand de Sophie Binet, nouveau chef du vieil appareil syndical n'ont guère été encore analysées, encore moins mesurées.
Hormis l'effet de surprise, qu'ils ont éprouvé dans les 3 jours qui ont suivi, les ateliers du prêt-à-penser y ont consacré moins d'importance qu'au référendum sur les trottinettes urbaines.
Suite au colloque de la Fondation Kairos sur les métiers manuels évoqué ici, Gabrielle Cluzel écrit sur Boulevard Voltaire :
[…] De tables rondes en conférences, devant 200 participants, 30 intervenants se sont succédé, animés de la même passion pour les métiers manuels. La façon dont ils se sont appropriés ces métiers sont diverses : certains sont professionnels, d’autres amateurs, les uns ont pris des chemins de traverse, autodidactes ou formés sur le tard. Les autres, dotés d’une formation académique, ont plongé très jeunes, via les compagnons du devoir, par exemple.
Alors que la colère populaire contre la réforme des retraites occupe la rue depuis plusieurs semaines avec une rage rarement vue, quelles leçons peut-on tirer pour aujourd’hui de l’expérience des Gilets Jaunes ? C’est Thibault Devienne qui nous en parle. Thibault Devienne avait été l’une des premières figures médiatiques des Gilets Jaunes. Il s’était ensuite engagé dans les Gilets Jaunes Constituants. Il est aujourd’hui militant de Civitas à Paris et a fait cette conférence à l’invitation de la section Civitas Armagnac. Il souligne les défauts majeurs inhérents à l’égalitarisme promu par les utopistes. Il montre aussi comment le Pouvoir joue la carte du peuple contre le peuple.