Nous avons parlé déjà de la mort annoncée de notre modèle social devenu insoutenable par insuffisance de valeur ajoutée produite par le travail des Français, il en est une autre : la mondialisation. Enfin, peut-être est-ce présomptueux d'enterrer la mondialisation des mœurs, des envies et des goûts sous la férule des GAFAM, mais il est un paradigme formidable qui maintenant pue la gangrène gazeuse, c'est la division internationale du travail (DIT). Depuis que la mine du monde (FDR) et l'usine du monde RPC) se sont déclarées ouvertement hostiles au monde libre qui les menace par le poison de la démocratie (plus simplement par la promotion des libertés individuelles), nous devons ramener leurs contributions essentielles aux économies clientes (nous) à la proportion de nuisance opposable dans une économie de guerre affrontant une rupture des flux. En trois mots : diminuer nos dépendances !
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