Ce lundi est « la journée de la femme ». Les curieux seront priés de ne pas regarder de trop près la condition féminine dans les cités de la « diversité ». « La belle chose qu’est la destruction des mots ! », avait écrit George Orwell, qui a bien analysé le mécanisme du mensonge au service d’une pensée totalitaire. Il est plaisant de se souvenir que cette journée internationale des femmes avait été lancée par Lénine, il y a tout juste un siècle, au nom de la cause communiste, avant d’être reprise plus tard par les premières féministes.
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La Journée de la femme, ce cache-misère, par Ivan Rioufol
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Gabrielle Cluzel : « Le féminisme n’en finit pas d’agoniser »
Que pense Gabrielle Cluzel, auteur de Adieu Simone ! Les dernières heures du féminisme et rédactrice en chef de Boulevard Voltaire, du féminisme ?
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En visite «surprise» à la Grande mosquée de Paris, Macron tente de séduire la communauté musulmane
Le président Emmanuel Macron a effectué une visite « surprise » lundi à la Grande mosquée de Paris. L’annonce a été faite par le recteur de la mosquée sur les réseaux sociaux.
Le tweet est accompagné d’une photo des deux hommes discutant sur le perron de la mosquée. Cette visite intervient quelques semaines après les vagues de critiques suscitées en France par le projet de loi sur les « séparatismes », rebaptisé projet de « loi confortant les principes républicains
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Juan Carlos Ier ou l’héritage raté du Caudillo
La chronique de Philippe Randa
Après avoir été obligé d’abdiquer en 2014 au profit de son fils Felipe VI, pour faire oublier une vie sentimentale fort peu conforme à la morale et ses multiples malversations financières, l’ancien roi d’Espagne Juan Carlos Ier, vient pour la deuxième fois en moins d’un trimestre, de régulariser sa dette fiscale pour un montant de 4,4 millions d’euros. Pour cela, il a dû faire appel à une poignée de généreux amis qui lui ont prêtés l’argent.
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Les cinq plus gros scandales de l’UNEF
Nouveau scandale pour l’UNEF. Le syndicat étudiant s’est illustré ce week-end en relayant un collage d’affiches très hostile à deux professeurs de Sciences-Po Grenoble, les accusant d’islamophobie. Dans un contexte où un professeur, Samuel Paty, avait été décapité par un jeune Tchétchène il y a seulement quelques mois pour une supposée « islamophobie », cette nouvelle polémique pourrait sonner le glas du syndicat étudiant historiquement proche du PS.
Retour sur les cinq plus gros scandales de l’UNEF.
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Des violences urbaines sous contrôle, mais jusqu’à quand ?, par Olivier Damien.
Lyon, Rillieux-la-Pape, Beauvais, Metz, Longwy, Montbéliard, Tomblaine… la liste des villes où sévissent quotidiennement des violences urbaines est désormais trop longue pour pouvoir être citée intégralement. Ainsi, des dizaines de milliers de nos concitoyens sont confrontés à la violence, aux dégradations et à la mise à sac des quartiers dans lesquels ils vivent, non plus pour le meilleur, mais dorénavant pour le pire.
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Le Parti de la France reçoit Olivier Piacentini
Site du PdF cliquez ici
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Décapitation de Samuel Paty : mensonge de la collégienne accusatrice
« Explications de circonstance », comme l’a suggéré Me Virginie Le Roy, l’avocate de la famille de la victime ? Manœuvre grossière visant à convaincre la justice d’accorder des circonstances atténuantes à son islamiste de père ?
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Marion Maréchal : « La recherche du bien commun, c’est de pouvoir réguler l’immigration »
Marion Maréchal était l’invitée de France TV pour évoquer l’actualité et notamment la religion, le bien commun, le pape François, l’immigration, le féminisme…
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« Le but de la politique est de garder la population inquiète… », par l'abbé Michel Viot.
L’abbé Michel Viot critique l’usage politique de la crise sanitaire – et la politique de la peur.
Qui d’entre nous ne connaît pas ce personnage ? Très peu sans doute. Qui sait que son nom est souvent accompagné de « vengeur » masqué ? Sans doute moins de gens.
Il est fort probable que son souvenir flottera bientôt dans les consciences, et qui sait, s’incarnera à la fin de notre pandémie. Mais pour que Zorro intervienne, il faut que la violence se déchaîne, que des injustices flagrantes aient été commises, que d’autres, pires encore se laissent entrevoir. Peur et violence doivent donc diriger notre société sans Dieu, pour que ne comptant plus sur le secours divin, elle l’attende d’un homme. Le personnage de Zorro en est le symbole.