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anti-national - Page 1087

  • Sans bonnet phrygien, la manif est plus belle

    De Jean Sévillia :

     

    "[...] Le bonnet phrygien, devenu l’emblème du mouvement révolutionnaire en 1790, s’impose fin 1792, son usage culminant jusqu’à la réaction thermidorienne de 1794. C’est-à-dire que ce couvre-chef incarne peu ou prou la Terreur et même la Grande Terreur, qui est sans doute un des moments les plus tragiques de notre histoire.

    Quand je vois un bonnet phrygien, je pense donc à la princesse de Lamballe, assassinée pour crime d’amitié avec Marie-Antoinette, et dont le corps nu, décapité au couteau de boucher, a été promené dans Paris, la vue de son intimité soigneusement exposée suscitant des propos égrillards de la part de délicats militants de la Liberté.

    Quand je vois un bonnet phrygien, je pense à ces prêtres et à ces religieuses que Carrier, à Nantes, déshabillait et liait nus, l’un à l’autre, l’un face contre l’autre pour être précis, sexe contre sexe, avant de les noyer dans la Loire. Ce charmant adepte de l’Égalité appelait cela un « mariage républicain ». Parenthèse : détourner la symbolique du mariage n’est donc pas nouveau…

    Quand je vois un bonnet phrygien, je pense à ce curé vendéen à qui des soldats, sans doute partisans de la Fraternité, avaient tranché les deux mains avant de répandre dans l’auge à cochons le contenu du tabernacle de son église. Ce martyr a été retrouvé accroupi devant l’auge, les deux avant-bras collés contre terre afin de tenter d’arrêter l’hémorragie, et lapant dans l’auge, s’efforçant de disputer aux cochons les hosties consacrées. [...]"

    Michel Janva   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • L’avenir de la Libye s’annonce sombre et les médias s’intéressent à autre chose

    Le second anniversaire de l’intervention de l’OTAN aux côtés des rebelles libyens contre Mouammar Kadhafi n’a quasiment pas été mentionné par les gouvernements et les médias étrangers qui s’inquiétaient tant pour la sécurité et les droits humains du peuple libyen en 2011. Cela ne devrait pas nous surprendre parce que la Libye actuelle est de toute évidence en train de se désagréger et que les Libyens sont devenus les proies des miliciens qui affirmaient autrefois vouloir les protéger.

    Quelques uns des évènements qui ont eu lieu en Libye au cours des dernières semaines donnent un aperçu de la situation et valent d’autant plus la peine d’être mentionnés que la presse étrangère, qui autrefois s’entassait dans les hôtels de Benghazi et Tripoli, ne s’y intéresse pas. Par exemple, dimanche dernier, le secrétaire général du premier ministre Ali Zeidan a disparu de la capitale et semble avoir été enlevé. Il se peut que ce soit une mesure de rétorsion parce que les ministres ont dit que les milices agissaient en toute impunité. Le même jour, une milice a envahi le ministère de la justice pour exiger la démission du ministre après qu’il l’ait accusée de tenir une prison illégale.

    La situation empire au lieu de s’améliorer. Le 5 mars, le parlement libyen s’est réuni pour décider si les Libyens qui avaient eu des fonctions officielles pendant les 42 ans de pouvoir de Kadhafi devaient être relevés de leurs fonctions. Cela inclurait même les dissidents de longue date qui ont joué un rôle de premier plan dans l’insurrection contre Kadhafi mais qui ont été ministres des dizaines d’années auparavant sous l’ancien régime. Les protestataires en faveur de cette purge étaient si menaçants que les membres du parlement ont été contraints de se réfugier dans les bureaux du service météorologique à l’extérieur de Tripoli où ils ont été attaqués par des hommes armés qui ont envahi le bâtiment déserté par la police. Des parlementaires ont été retenus en otage pendant 12 heures et d’autres ont bravé les balles pour s’enfuir.

    Aux abords de Tripoli, la loi des milices est encore plus totale. Le reste du monde ne s’y intéresse que lorsqu’il y a des violences spectaculaires comme l’assassinat à Benghazi en septembre dernier de l’ambassadeur étasunien Chris Stevens par des milices djihadistes. Et si cet événement d’une violence extrême a reçu une telle couverture des médias étrangers, c’est pour la seule et unique raison que le parti républicain en a fait un cheval de bataille politique aux Etats-Unis. Mais l’ambassadeur et ses gardes ne sont pas les seuls étrangers à avoir été assassinés à Benghazi depuis le renversement de Kadhafi. Une association des droits de l’homme égyptienne a annoncé le mois dernier qu’un copte égyptien nommé Ezzat Hakim Attalah avait été torturé à mort dans la ville après avoir été détenu avec 48 autres commerçants dans le marché municipal de Benghazi.

    Les organisations des droits humains décrivent la situation en Libye avec plus de sérieux et d’impartialité que les médias internationaux, à part quelques honorables exceptions. Comme c’est sa tradition, Human Rights Watch, qui est basé à New York, a diffusé le mois dernier un rapport documentant le nettoyage ethnique de la ville de Tawergha où 40 000 personnes ont été forcées de quitter leur maison et « ont été détenues arbitrairement, torturées et assassinées ». La forte population noire de la ville a été accusée d’avoir soutenu Kadhafi par les milices de Misrata. Human Rights Watch a utilisé des images satellites pour montrer que la destruction de Tawergha a eu lieu principalement après la guerre de 2011 au cours de laquelle 1370 sites avaient été détruits ou endommagés. Fred Abrahams, un conseiller spécial de Human Rights Watch, a déclaré que les images par satellite confirment que « le pillage, les incendies, et les destructions systématiques étaient organisés et avaient pour but d’empêcher les habitants de revenir ».

    Le manque d’intérêt de la presse internationale offre un contraste flagrant avec sa couverture de la Libye pendant la guerre. Au printemps 2011, je faisais un reportage sur les combats autour de la ville de Ajdabiya au sud de Benghazi. Il y avait une ambiance de guerre bidon que ne reflétaient pas les reportages enthousiastes. A l’entrée sud de Ajdabiya, je me souviens avoir regardé avec amusement les équipes de télévision se positionner de telle sorte qu’on ne puisse pas se rendre compte qu’il y avait plus de journalistes que d’insurgés.

    Je n’ai jamais vu de positions rebelles ni même de barrages rebelles sur les routes entre Ajdabiya et Benghazi, deux villes qui étaient dépendantes des frappes de l’OTAN pour leur défense. C’était certainement des unités rebelles braves et dévouées, comme l’ont dit les journalistes, mais les insurgés auraient été rapidement battus sans le soutien de l’OTAN.

    Le fait que Kadhafi ait été renversé principalement par des forces étrangères a de grandes conséquences pour la Libye d’aujourd’hui. Cela explique que les insurgés, tout en croyant et affirmant que la victoire était leur oeuvre, se soient révélés trop faibles pour mettre en place quelque chose à la place de la version de nationalisme arabe de Kadhafi. Sans ce nationalisme arabe, il n’y a pas grand chose pour contrebalancer le fondamentalisme islamique ou le tribalisme.

    La situation catastrophique qui est celle de l’Irak depuis 2003 se propage, sous des formes différentes, à d’autres pays arabes. Ils se rendent compte, comme les Irakiens, qu’il n’est pas possible de passer à un fonctionnement démocratique tant que les principales forces politiques ne sont pas d’accord sur les règles qui déterminent l’attribution du pouvoir.

    L’auto-détermination nationale devrait être au coeur de tout nouvel ordre. Mais le problème des révoltes du printemps arabe, c’est qu’elles ont toutes été fortement dépendantes du soutien extérieur. Or, comme le montre ce qui arrive en Irak et en Libye, l’intervention étrangère est toujours intéressée. Les révolutionnaires de tous les pays recherchent l’aide étrangère, mais pour assurer le succès de leur entreprise sur le long terme, ils doivent y renoncer très vite. Et ils doivent construire un état de droit parce que, sinon, de nouveaux dictateurs s’imposeront.

    Patrick Cockburn http://www.voxnr.com

    Source :

    The Independent

  • «Bienheureux les doux car ils posséderont la terre » plutôt que la non-violence

     Sur son blog, Philippe Maxence appelle à résister dans la durée :

    "[...] Cette résistance sera longue et demandera un engagement dans la durée, avec le même calme, la même détermination, la même paix que ceux qui sont apparus depuis plusieurs mois. À ce titre, on se rappelera notamment que :

    1°) Nous défendons le mariage et la famille avant de nous opposer à une loi. C’est-à-dire nous défendons un bien avant de nous opposer à un mal.

    2°) Cette défense implique une vision plus large de la vie sociale et de la vie politique. La famille est la cellule de base de la société, elle n’est pas le tout de la société. La société a évidemment besoin d’elle, mais la famille a aussi besoin de la société. Nous le voyons tragiquement aujourd’hui où les institutions officielles attaquent la famille.

    3°) Nous ne transgressons pas l’ordre social ou les institutions. C’est la loi Taubira ou la loi sur l’avortement qui les transgressent en violant la loi naturelle. Selon Le Robert, transgresser veut dire que l’on contrevient, que l’on viole, que l’on désobeit. En nous opposant à ce style de loi, nous témoignons au contraire de la nécessité de remettre les choses dans le sens du droit naturel. Nous imitons ainsi les premiers chrétiens, meilleurs citoyens de l'Empire.

    4°) Dans ces temps troublés, où les événements se succèdent avec une grande rapidité, où l’action s’impose comme priorité, il est plus indispensable que jamais de garder et d’entretenir une réelle et authentique vie spirituelle, sans laquelle nous risquons d’être les cymbales retentissantes dénoncées par l’Évangile et de nous laisser emporter par les événements. C’est une ascèse, mais sans celle-ci il n’y a pas de militantisme chrétien. La charité doit être le moteur de notre action et la charité c’est le Christ. Même en ce qui concerne la « charité politique » (Pie XI).

    5°) L’intensité de l’action quotidienne exige de conserver une bonne hygiène physique : sommeil réparateur, vie équilibrée, afin de de garder la tête froide et de ne pas se laisser emporter par l’excitation qui empêche de bien juger ou d’évaluer correctement la situation.

    6°) Nous devons clairement assumer ce que nous sommes. Jésus plutôt que Gandhi, « bienheureux les doux car ils posséderont la terre » plutôt que la non-violence. Dans ce cadre, nous ne respectons pas les personnes homosexuelles en raison de la notion d’homophobie, concept révolutionnaire, lequel nous obligerait à ce respect paradoxalement par crainte de la loi (drôle de respect en vérité). Non, nous respectons ces personnes en raison de la loi de charité pour le prochain, que le Christ nous a donnée pour commandement . À propos de l’homophobie, on relira le décryptage du Lexique des termes ambigus et controversés sur la famille, la vie et les questions éthiques.

    7°) Le mariage homosexuel est un projet politique. Notre opposition est politique (ce qui ne veut pas dire qu’elle passe nécessairement par le biais des partis politiques), notre action doit être politique. C’est-à-dire viser au bien commun, ressouder le pays, le convaincre de l’aspect pernicieux de ce projet, conforter les élites naturelles, reconstuire une société fondée sur la famille.

    8°) Souvenons-nous enfin des conseils de Soljenitsyne : « Tenir ferme dans la lutte contre le mal. Ne jamais admettre le compromis. Préfèrer tout perdre, vie, salaire, conditions d’existence, plutôt que sacrifier sa conscience »."

    Michel Janva   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Très grand succès de la manif contre le mariage gay du 21 avril

    Fin de ll'article du Salon  Beige :

    A propos du film trafiqué du 24 mars, demain matin la Manif pour Tous agira en justice pour exiger la diffusion de l'intégralité des vidéos. La MPT poursuit son action contre le sénateur Jean-Pierre Michel après sa lettre injurieuse et va en Appel.

    Bon 45 000 personnes selon la police. Après retouchage des photos. Il faut leur dire de retoucher aussi les photos de la messe de Benoît XVI aux Invalides.

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    Monseigneur Ravel, évêque aux Armées, a été vu au sein de la manifestation.

    Les Invalides sont remplis. La fin de cortège trépigne toujours au niveau de l'avenue de Tourville.

    Des musulmans :

    1
    A
    Guaino sur BFM : 45000 personnes : "J'accuse la préfecture de police de mentir"

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    Les policiers contredisent la Préfecture :

    P
    La Manif pour Tous annonce plus de 270.000 manifestants !

    1 minute de silence pour les personnes qui ont été agressées, poignardée, ces derniers jours.

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    Selon la police, il y avait 3500 personnes à La Bastille. Leur incapacité à se mobiliser libère François Hollande de sa promesse à leur égard.

    Les manifestants des Invalides entonnent la Marseillaise.

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    La dispersion est annoncée.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Frigide, arrête de balancer tes copains !

    Frigide Barjot, via le journal Le Monde, demande à Manuel Valls des « mesures de précaution » avant les prochaines manifestations : elle lui demande que « tous les groupuscules identitaires et nationaux soient préventivement mis hors d’état de nuire à son mouvement », elle exige que les « skinheads homophobes soient mis en taule ».

    Ben alors, dame Frigide, ce n’est pas le moment de flancher. Ce n’est pas en leur lançant en pâture d’autres que toi, que les hordes qui te harcèlent cesseront de te poursuivre. Fortifiés, au contraire, ils ne pourront que mieux se retourner contre toi.

    Je te comprends, tu es fatiguée, affolée, aux abois, on t’insulte, on te raille, on te menace, on menace tes enfants et des Torquemadas en jupons se mettent à huit contre toi sur les plateaux de télévision. Plus d’une, dont moi, auraient déjà cent fois jeté l’éponge. [...]

    Gabrielle Cluzel - La suite sur Boulevard Voltaire

  • La GPA ou la traite des mères

    Outre la dislocation du code civil français et de la protection des femmes, la gestation pour autrui risque aussi de favoriser l’extension de la puissance des riches contre la faiblesse de l’intimité mère-enfant expliquent Eliette Abécassis, écrivain, et l’historienne Béatrice Joyeux-Prunel.

    Par Collectif d’intellectuelles Simone

    « La liberté des femmes ne va pas sans celle des hommes », affirmait Elisabeth Badinter dans Elle (novembre 2012). Mme Badinter se fait la porte-parole d’une « GPA éthique » (Elle, 12 mars 2013) qui servirait l’humanité.
    Contre ce discours idéalisant, nous portons la voix d’un collectif d’intellectuelles décidé à alerter l’opinion sur les conséquences pour les femmes de la gestation pour autrui (GPA) .
    Quelle que soit son orientation sexuelle, une mère n’est pas qu’un « parent », encore moins un doux « donneur d’engendrement » (Denis Quinqueton, « Homosexualités et socialisme », le Monde du 14 février 2013). Elle porte un enfant pendant neuf mois et prend sur son corps, avec les risques associés, l’aventure de la naissance.
    Elle développe avec cet enfant des liens biologiques, psychologiques et moraux.
    Vers quelle techno-barbarie nous dirigeons-nous pour séparer l’enfant de celle qui l’a attendu, nourri, abrité en son ventre, espéré ?

    Certains recourent à la GPA à l’étranger. Sur cet argument, les principales associations homoparentales prônent sa légalisation « encadrée ». Il est déjà question de transcrire les actes d’état civil des enfants nés par GPA à l’étranger, ce qui supprimerait tout frein au tourisme procréatif (circulaire Taubira du 25 janvier 2013).

    La GPA, c’est faire du commerce avec le lien mère-enfant.

    Les exemples criminels cités notamment par Elisabeth Badinter (audition à l’Assemblée nationale, le 13 décembre 2012) ne justifient pas que ne se crée aucun lien avec l’enfant pendant sa gestation.

    Notre société dévore des livres sur les relations mère-enfant dans les neuf mois avant la naissance, prône l’haptonomie et l’allaitement, tandis qu’une partie de l’élite préconise sans états d’âme d’arracher des enfants à leurs mères après l’accouchement.

    On nous dit que crier gare à l’ultralibéralisme, au commerce des corps et des enfants, c’est ne rien comprendre ; que c’est « moralisateur » ; que d’être pour la GPA ne trahit pas ses convictions « de gauche ».

    Les affirmations prétendument féministes soutenant que l’on pourrait encadrer la GPA par des associations sont mensongères ou aveugles.Que ce soit aux Etats-Unis, en Inde ou en Ukraine (principaux pourvoyeurs d’enfants par GPA pour la France),

    les « gestatrices » sont rémunérées, même si c’est sous l’euphémisme de « compensation financière ».

    Il s’agit toujours d’un revenu important au regard du niveau de vie de la mère porteuse. Même en Roumanie où la rémunération est illégale, « nous le faisons tous pour l’argent » (Courrier international, le 23 octobre 2012).

    C’est souvent le mari de la mère porteuse qui y pousse. En Inde, la GPA est à la source d’une catastrophe sanitaire et humaine (The Lancet, le 10 novembre 2012).
     
    Aux Etats-Unis même, où l’on prétend la GPA « éthique », le marketing domine. Les mères porteuses sont issues le plus souvent de milieux nécessiteux.

    Comment croire qu’en France des femmes seraient prêtes à porter gratuitement un enfant pour le donner ?

    Si on les paie, on en trouvera cependant, parmi les étudiantes en pleine galère, comme en Ukraine, ou parmi les familles surendettées comme aux Etats-Unis.

    Beau progrès social, si le gouvernement règle les problèmes de la prostitution étudiante et du surendettement en légalisant la GPA… Belle dislocation du droit du travail, s’il en était ! Quelle tromperie, en échange du bien le plus précieux : la vie, au risque de la sienne.

    On ne s’appesantira pas sur les bouleversements physiques, hormonaux et psychologiques subis par la femme qui se laisse prendre au piège de la GPA. On passera aussi sur la question des liens esquissés pendant neuf mois entre l’enfant implanté et les autres enfants « réels » de la mère porteuse.

    La GPA, c’est la dislocation du code civil français et de la protection des femmes, sur l’autel mondialisé du moins-disant social et éthique. Le progrès que l’on prétend faciliter, c’est l’extension de la puissance des riches contre la faiblesse de l’intimité mère-enfant. C’est l’intrusion de l’« horreur économique » au cœur de la procréation humaine.

    Nous dénonçons une régression dont les femmes sont déjà victimes dans d’autres pays, surtout les plus pauvres, mais aussi aux Etats-Unis. La France doit s’engager activement dans la protection des droits des femmes, sur son territoire comme à l’international.

  • Des milliers de veilleurs s'installent

    Vphoto Minute / David Sellos

    Xavier Lemoine va-t-il rester avec les veilleurs ?

    XUne présence spirituelle est toujours bien utile :

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    Les CRS sont là :

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    Michel Janva    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Gilbert Collard : la loi Taubira sera abrogée

    Communiqué de Gilbert Collard, député du Gard
    Mardi prochain 23 avril 2013 aura lieu le vote solennel concernant le projet de loi autorisant le mariage entre personnes du même sexe.
    Il est probable que ce projet de loi ne sera pas substantiellement modifié en seconde lecture par l’Assemblée Nationale. Dans ces conditions je voterai contre ce projet pour des raisons que j’ai précédemment indiquées. Je confirme le vote négatif que j’avais déjà émis en première lecture contre ce texte absurde qui exacerbe l’homophobie.
    Bien évidemment, j’espère finalement que tous les groupes d’opposition (UMP, UDI) feront également preuve de la discipline de vote et du courage politique qui s’imposent.
    Je m’engage, si nous arrivons au pouvoir, à peser de tout mon poids pour une abrogation du texte, sous réserve des droits existants.

  • Manifestation à Angers

    Manifestation à Angers

    Reçu d'un lecteur :

    "La manifestation organisée à Angers contre la dénaturation du mariage a été un succès. 1020 personnes ont été comptabilisées, enfants non compris. Les slogans témoignaient d'une certaine fermeté du mouvement. Ainsi "Hollande démission !" fut scandé pendant plusieurs minutes devant la mairie. Une soixantaine de jeunes militants ont joué les prolongations devant la salle où se réunissait le conseil municipal, ne se dispersant qu'après la levée de la séance, vers 22 heures. La manifestation a été l'objet d'un échange très vif entre le maire socialiste et l'un des conseillers de l'opposition, témoignant de la nervosité croissante des soutiens du gouvernement".

    Michel Janva   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le drapeau de la manif remplace celui de l'Europe devant la mairie d'Angers


    Manifestation à Angers par Le_Salon_Beige