UMP/PS, PS/UMP, UMP/PS, PS/UMP : dérisoire pas de deux d’une fausse alternance.
Michel Geoffroy montre ici comment, sur les ruines de la modernité décadente, une nouvelle alternative politique prend actuellement racine en Europe.
Polémia.
1/ – Les catégories politiques de droite et gauche découlent de l’apparition de la modernité occidentale.
La dynamique de la modernité a reposé sur trois leviers majeurs :
• -la foi en la science, qui suppose que des lois objectives – que l’on peut découvrir – régissent le monde, et non la volonté aléatoire d’une divinité ou le seul poids des traditions ;
• -l’affirmation de droits qui appartiendraient naturellement et donc également à tous les hommes, indépendamment de tout ordre politique et social ;
• -la croyance qu’en libérant le commerce de toute contrainte on atteindra l’abondance et la paix pour tous.
Le progrès se définit comme la mise en œuvre coordonnée de ces trois leviers, d’où la notion de mouvement. La gauche se situait du côté du parti du mouvement, c’est-à-dire du changement de la société, face à la droite qui voulait conserver l’état et les traditions existants.
Cette modernité remonte au XVIIe siècle en Europe et à la crise intellectuelle qui a suivi la Renaissance et les Guerres de religion. Auparavant tout le monde était « droit », en effet, et par conséquent restait fidèle aux principes d’organisation traditionnelle de la société. Les gens « gauches » allaient, eux, en prison ou sur le bûcher puisqu’ils apparaissaient comme des hérétiques, des criminels ou des asociaux.
2/ – Au début du XXIe siècle la dynamique de la modernité touche à sa fin avec l’achèvement de la déconstruction de l’ordre ancien.
Aujourd’hui triomphent en Occident l’esprit des Lumières, celui du néo-capitalisme et l’implosion individualiste des sociétés.
En termes politiques cela signifie que la gauche a gagné en imposant ses idées, qui forment la base du politiquement correct aujourd’hui et en transformant – c’est-à-dire en renversant – la société conformément à ses dogmes.
Au XIXe siècle la gauche s’est scindée en deux composantes : une composante hostile aux dérives du capitalisme naissant et qui a pris la forme du socialisme ; et une composante qui entendait prolonger jusqu’à son terme la logique du capitalisme au nom du progrès. Cette dernière tendance l’a emporté au XXe siècle.
Comme l’avait bien vu Marx, en effet, le capitalisme a été et reste encore de nos jours, sous sa version néolibérale*, le principal agent destructeur des sociétés. Car, comme la révolution, le capitalisme est une violence faite à la société.
En prenant la défense du capitalisme face au communisme, ou du libéralisme face au socialisme, la droite a donc achevé de se perdre.
3/ – Avec l’achèvement de la modernité, l’opposition de la droite et de la gauche a perdu sa raison d’être essentielle.
Il n’y a plus d’enjeu depuis la mort de l’ancienne société.
La droite n’a donc plus rien à défendre et la gauche, parvenue au pouvoir, n’a plus rien à conquérir.
Droite et gauche tendent donc à devenir mimétiques car elles n’ont plus de raison de s’opposer : elles adhèrent donc à la même doctrine (post-démocratique, atlantiste, néolibérale, cosmopolite) et conduisent peu ou prou la même politique, au sein d’un système fermé sur lui-même : celui de la modernité post-démocratique.
4/ – Il n’y a donc plus d’alternative politique réelle entre la droite et la gauche aujourd’hui.
Comme le démontre la situation politique française depuis 1986, il n’y a plus aujourd’hui d’alternative politique réelle entre la droite et la gauche. L’alternance entre la droite et la gauche repose aujourd’hui sur une tromperie électorale permanente car elle ne débouche sur rien d’essentiel. Car le seul « changement » consiste à aller plus ou moins vite dans une même direction.
Ni la droite ni la gauche n’appliquent leurs programmes électoraux, sauf sur des questions de détail. A chaque fois les discours de « rupture » de droite ou de gauche font long feu : du fait du « virage de la rigueur » pour la gauche, de la peur du politiquement correct pour la droite.
Malgré ses promesses électorales, la droite n’a jamais d’ailleurs remis en cause les réformes « sociétales » instaurées par la gauche, qui de ce fait deviennent vraiment « irréversibles ».
5/ – La droite et la gauche n’existent plus aujourd’hui que grâce à la perfusion médiatique, qui a pour fonction de faire croire à l’électorat que le spectacle de leur affrontement représente encore un enjeu politique réel.
Le système que la droite et la gauche ont contribué à créer est de nature post-démocratique : il ne débouche pas sur la souveraineté politique mais sur sa déconstruction.
Le spectacle de l’affrontement gauche/droite a pour fonction de cacher que la souveraineté a quitté l’orbite du politique.
Les gouvernements de droite comme de gauche ne font plus que de la communication et les parlements se bornent à transposer les directives de Bruxelles, mais ils ne décident plus. Ils ne décident plus parce qu’ils ont laissé le gouvernement des choses – c’est-à-dire l’économie et le droit procédural – prendre le pas sur le gouvernement des hommes : la politique.
Les vrais souverains se situent donc désormais du côté des marchés, des médias, du patronat, des juges, des autorités morales et des lobbies. Mais on s’efforce, de moins en moins bien à vrai dire, de cacher aux électeurs que « le roi est nu ».
6/ – La persistance d’une opposition factice entre la droite et la gauche a contribué à l’appauvrissement de la pensée politique en France.
Car droite et gauche continuent de ressasser des querelles qui ne correspondent plus à l’état réel du monde ni à la situation présente des Européens. Ainsi, par exemple, il n’importe plus de se prononcer pour ou contre le « progrès », mais de savoir comment préserver notre identité dans un monde ouvert, où les civilisations sont en concurrence vitale et où les Européens ont perdu le monopole de la science et de la technique.
La question n’est plus de savoir s’il faut ou non « privatiser », mais comment constituer un véritable espace économique européen protecteur et comment recréer une société aujourd’hui éclatée ; comment remettre aussi l’économie au service de la société. Elle n’est pas de « redistribuer » alors que nous sommes dans une économie ouverte en phase de désindustrialisation, de vieillissement de la population et qui produit de moins en moins.
Mais sur toutes ces questions, la droite et la gauche restent sans voix.
7/ – Issues d’un stade aujourd’hui dépassé de l’histoire européenne, la droite et la gauche mobilisent par conséquent une part déclinante de l’électorat.
C’est ce qui démontre que l’opposition convenue entre ces deux familles politiques ne répond plus à l’attente des citoyens et que chacun s’en rend de plus en plus compte.
Les études d’opinion concordent à mettre en lumière une coupure croissante entre l’opinion majoritaire autochtone et la classe politique, sur presque tous les sujets et dans toutes les couches de la population. Au plan électoral cela se traduit dans la progression de l’abstention et la baisse continue du nombre de suffrages exprimés obtenus par les partis de droite et de gauche.
Il n’y a plus de « majorités » politiques, mais, en réalité, un jeu de pouvoir à somme nulle entre des groupes minoritaires au sein d’un système fermé.
8/ – Les élites de droite comme de gauche représentent des oligarchies corrompues qui commencent à sortir de l’histoire.
La corruption de ces élites tient au fait qu’elles ont trahi leurs idéaux à la fin du XXe siècle :
• -la gauche a abandonné le peuple (le prolétariat) et la rupture avec le capitalisme, en reniant l’héritage du socialisme (notamment en France) ;
• -la droite s’est ralliée à l’idéologie libertaire, à l’égalitarisme et à la révolution néolibérale, en rompant avec toutes les traditions nationales.
Ces élites sortent de l’histoire car elles ne peuvent relever les défis majeurs auxquels nous sommes confrontés : chômage, pauvreté, insécurité, effondrement de l’enseignement et de la culture, immigration, endettement massif notamment. Dans aucun de ces domaines la droite n’a fait mieux que la gauche et réciproquement puisque précisément ces fléaux résultent du système qu’elles ont mis en place. En outre, ces phénomènes ne sont des fléaux que pour le peuple et au contraire des opportunités pour l’oligarchie
9/ – Il ne peut plus y avoir de politique, c’est-à-dire d’affrontement et d’alternative réels, au sein du système post-démocratique contemporain qui résulte de l’achèvement de la modernité occidentale.
C’est pourquoi la concurrence verbale entre la droite et la gauche ne correspond plus à rien de nos jours car elle n’existe qu’à l’intérieur d’un système fini.
Une politique ne peut réapparaître que sur le fondement d’une opposition au système lui-même.
Faire de la politique revient donc aujourd’hui à s’opposer au désordre contemporain, fruit de la modernité finissante : une tâche au-dessus des forces des politiciens de droite comme de gauche.
10/ – Une force qui offrira à nouveau une alternative politique supplantera fatalement la droite et la gauche telles que nous les avons connues depuis 1945
Les élites de droite et de gauche ne subsistent qu’en raison de leur complicité pour se partager les dépouilles du pouvoir et du verrouillage médiatique et institutionnel qu’elles ont imposé pour cela.
Comme toutes les élites qui ont perdu leur vocation pour se transformer en oligarchies, elles disparaîtront car elles s’illusionnent sur leur capacité à arrêter la marche du monde à leur profit. La « fin de l’histoire » est une vieille utopie destinée à rassurer les futurs perdants. Et, comme dans toutes les périodes de déclin, la chute de ces élites va s’accélérant, comme l’illustre la trajectoire de François Hollande, par exemple.
Une nouvelle dynamique politique, donc une nouvelle « grande querelle », commence à émerger en Europe avec ce que l’on nomme le populisme, les courants identitaires ou eurasistes, voire écologiques, et les nouveaux clivages qui les accompagnent. L’islamisme contribue aussi, malgré lui, à sa maturation, dans la mesure où il se présente comme une alternative à la modernité occidentale et un défi aux Européens.
Sur les ruines de la modernité décadente, une nouvelle alternative politique prend actuellement racine partout en Europe. Quand l’occasion se présentera, elle emportera tout.
Michel Geoffroy
17/04/2013 http://www.polemia.com/
(*) Le nom donné au phénomène importe peu en vérité : libre commerce, libre échange, capitalisme, libéralisme, néo-capitalisme, néo-libéralisme tous ces termes désignent une même réalité : la libération des forces économiques de toute retenue, de toute contrainte. C’est d’ailleurs pourquoi dans la tradition européenne on a souvent pris l’image de la « démonie de l’économie » pour désigner la victoire de la fonction marchande et des forces telluriques –infernales– qu’elle incarne
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Dix thèses sur la fin prochaine de la droite et de la gauche
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Pro Patria vigilant !
Je recevais cette semaine un appel d’une très belle œuvre : « Orpheopolis », association qui recueille, accompagne, soutient les orphelins de la police. Cela me rappelait combien d’hommes et de femmes sont tombés pour avoir veillé sur notre sécurité et combien leurs familles ont payé très cher le prix de leur dévouement.
Il est regrettable que les derniers événements aient mis en avant des policiers, obéissant aux ordres, gazant des enfants dont plusieurs furent hospitalisés.
Quel sera l’impact de ces comportements dans les familles profondément choquées, probablement celles qui, majoritairement, contribuent avec générosité à l’œuvre précitée ? Car l’on sait très bien que les familles descendant dans les rues ces temps-ci sont plutôt celles qui sont reconnaissantes à tous ceux qui participent à leur sécurité.
Je ne puis m’empêcher d’évoquer cette phrase du Maréchal Leclerc : « On n’est pas tenu d’obéir aux ordres au nom des grandes certitudes ». Certains surent effectivement désobéir dans la tourmente au péril de leur vie ou de leur liberté.
Le sectarisme de notre gouvernement conduira-t-il des hommes et des femmes au service de l’Etat à désobéir pour être fidèles à leurs valeurs ? La très belle devise de la Police « Pro Patria vigilant » les rend gardiens de la patrie et de toutes les valeurs reçues de nos pères, dont l’attachement à la famille et la protection des plus faibles parmi lesquels nos enfants.
J’espère que le jour venu, ils auront ce courage-là !
Ce jour est-il venu ?
Hildegarde http://www.actionfrancaise.net
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Mariage pour tous : l’ordre a parlé - CRS et antifas pour tous
J’ai longtemps été très dubitatif vis-à-vis de « La Manif pour tous ». La panoplie festiviste rose bonbon, la reprise – fût-elle détournée – des impostures sémantiques du gouvernement (le « mariage pour tous » n’est ni plus ni moins qu’une offre d’enfants à la demande), et la présence d’élus UMP dans ses rangs me rendaient plus que sceptique.
À la lecture du reportage de Manuel Moreau, je me suis dit que notre ex-cégétiste charriait un peu en imaginant convertir à la charte d’Amiens les foules sentimentales droitières. Mais l’agacement progressiste du bourgeois parisien de la rive gauche me réjouissait et, hormis quelques boutefeux, ces jeunes empêcheurs de déconstruire le cadre anthropologique de la famille m’étaient spontanément sympathiques. Au fond, je leur reprochais surtout leur complaisance face au masque conservateur de la droite parlementaire, qui fait les yeux de Chimène au divin marché tout en s’offusquant de ses ravages sociétaux. Me revenait ainsi une sentence définitive du grand Nicolas Berdiaev contre la posture libérale-conservatrice : « Il n’existe rien de plus lamentable que d’utiliser le christianisme pour la défense du monde bourgeois et capitaliste mourant ».
Dans ma grande magnanimité, je me décidai toutefois à juger la manif sur pièces. Mercredi soir, aux abords des Invalides, le monde renversé se dressait devant nous. Un monde où l’ancien ministre des comptes publics fraude le fisc, où les « socialistes » au pouvoir individualisent contrats de travail et de mariage. Un monde où les rappels à l’ordre se parent des oripeaux de la liberté et où la « lutte contre l’homophobie » justifie toutes les répressions policières. [...]
Daoud Boughezala - La suite sur Boulevard Voltaire
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Dimanche 26 mai Grande manifestation nationale à Paris
Dimanche 26 mai
Grande manifestation nationale à Paris
Organisez dès maintenant vos week-ends avec Week-end facile
Pour venir le 26 mai, réservez vos billets ici.
Et toujours des actions en région :
09 - Ariège : Accueil de Jean-Marc Ayrault le 29 avril / Accueil de Pierre Bel et Aurélie Filippetti le 24 mai, au Mas d'Azil pour l'inauguration de la grotte
35 - Ile-et-Vilaine : Manifestation à Rennes le 5 mai
95 - Val d'Oise : délégation auprès du préfet à Cergy samedi 20 avril
Pleins d'autres actions partout en France et à l'étranger.
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Manif pour tous : le syndrome du tube de dentifrice
Communiqué de Richard Roudier, du Réseau-Identités
Depuis le 24 mars, le mouvement contre le mariage homo, stimulé par l’affaire Cahuzac, a amorcé un large virage pour déboucher progressivement sur une contestation globale du pouvoir et, peut-être même, du consensus mou qui régit notre pays depuis 40 ans.L’équipe de branquignoles du gouvernement socialiste, avec leur morgue et leur suffisance n’avait pas imaginé le danger qu’il y avait à contraindre le peuple à descendre dans la rue. Voilà nos socialos aujourd’hui confrontés à la formule rigolote mais imparable : “Une fois que le dentifrice est sorti du tube, il est malaisé de l’y faire rentrer”, surtout quand les “ministres de la propagande, du foutage de gueule et de la bêtise illimitée” se payent notre tête en nous assénant, manif après manif, le chiffre dérisoire de 300.000 manifestants manipulés par un complot d’extrême droite.“Sire, ce n’est pas une révolution, mais c’est en tous cas un début de révolte.”Quelques jours avant la 1ère “manif pour tous” du 13 janvier, j’avais lancé un appel intitulé “La famille c’est notre identité”, le mariage étant défini par un ensemble de droits et de devoirs réciproques non seulement entre époux mais envers les enfants nés et à naître, rappelant que le mariage est une institution fondée sur la filiation et la parenté, même si les circonstances, parfois, ne permettent pas la venue naturelle d’enfants. L’enfant en cessant de perpétuer la chaine des générations deviendrait un simple produit et le ventre des femmes, un outil de travail à la grande satisfaction des tenants du grand mix mondial (cf. Pierre Bergé).Il serait naïf de croire que le gouvernement a voulu simplement créer avec le mariage homo un rideau de fumée visant uniquement à masquer l’échec abyssal de sa gestion en matière économique et financière... N’oublions pas que la théorie du genre a fait l’objet pendant des années d’un véritable tir préparatoire d’artillerie qui ne devait rien au hasard. Cette théorie, au-delà de sa traduction uni-sexe, symbolise « le nouvel idéal qui veut juxtaposer sans exclusive les communautés, dans une optique mondiale et non plus nationale ».On nous rabâche que le sexe est une catégorie plus subjective qu’objective et qu’en définitive, les orientations sexuelles ne sont que le fruit d’un conditionnement culturel. Dans les faits, une fois le texte voté au parlement, il est prévu des modifications au Code Civil qui, n’en doutons pas, seront inspirées par la théorie du genre, avec le gommage de toutes les différences homme-femmes, qui iront à l’encontre des traditions indo-européennes remontant à près de 3000 ans. Parmi celles-ci, la tradition de “l’amour courtois” au Moyen-âge dans laquelle la femme doit posséder exactement la même valeur que l'homme et savoir garder les mêmes vertus.Dans un autre registre, la prestation pitoyable de la pauvre Frigide, en pleurs face aux vampiresses de la chaîne de TV Direct 8, qui demandait la permission, « s’il vous plait, qu’on me laisse parler », son ouverture aux islamistes radicaux, son inclination à la repentance et sa demande d’enfermement des identitaires et nationaux ne laisse pas de nous poser des questions sur la conduite du navire.Il est clair que le mouvement doit prendre de nouvelles formes, se radicaliser, interpeler les pourris du gouvernement et de la classe politique, dénoncer la connivence des médias, en particulier de l’audio-visuel, exiger un référendum sur cette question du mariage et la mise en place d’une véritable politique familiale, gage incontournable de survie pour notre Peuple. C’est pour porter cette stratégie que je serai présent à la “manif pour tous” de Denfert Rochereau le 21 avril.« Quand le gouvernement s’oppose à l’intérêt du pays, c’est la légitimité du peuple que de s’opposer au gouvernement! »¢Richard Roudier, Porte-Parole du Réseau-Identités -
Les révisionnistes du mariage sont des réactionnaires
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Comment la préfecture a truqué les photos de la manifestation monstre du 24 mars
Cette vidéo réalisée par TProd prouve, grâce au concours de spécialistes de l’image, que la préfecture de police a bien fait retoucher les images aériennes du cortège de la Manif pour Tous du 24 mars 2013 afin de minorer son succès (alors que plus d’un million de personnes y avaient vraisemblablement participé, la préfecture s’arc-boutait sur son chiffre de 300 000 personnes, refusant de fournir les photos contrairement à ce qu’elle avait d’abord proposé).
http://www.ndf.fr/poing-de-vue/21-04-2013/comment-la-pref-de-police#.UXOPVbVA23E
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L’UMP complice du mariage et de l’adoption homosexuels
Communiqué de Presse de Marion Maréchal – Le Pen, Député du vaucluseLa loi sur le mariage et l’adoption homosexuels a obtenu de justesse (deux voix) une majorité au Sénat vendredi dernier. Les sénateurs UMP se sont avérés complices de ce vote, certains ayant lâchement préféré l’abstention quand d’autres ont clairement voté pour.On ne peut que se scandaliser de cette déloyauté lorsque les états-majors de l’UMP n’ont de cesse de vouloir récupérer le mouvement de contestation de la manif pour tous en se précipitant en début de cortège ou en monopolisant la parole sur la scène du 24 mars.Afin de cacher leur malhonnêteté, le groupe UMP a refusé de demander un vote électronique. Si, comme n’ont de cesse de scander les responsables de l’UMP, l’opposition à ce projet de loi est fondamentale et que leur positionnement ne relève pas d’une manœuvre électoraliste, alors le parti demandera la démission de ces sénateurs et ne leur renouvellera pas son soutien aux prochaines élections.Malheureusement on ne peut que regretter, une fois de plus, que l’UMP ne soit qu’une machine à duperies… -
Manif Pour Tous du 18 avril
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Neutralisation d'un activiste d'ultra-droite place de l'Etoile jeudi !!!!!