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anti-national - Page 1086

  • Harlem Désir et Caroline Fourest, même combat !

    Harlem Désir, premier secrétaire du Parti Socialiste, a pris hier la défense de Caroline Fourest. La journaliste d’extrême gauche a en effet été poursuivie samedi par des opposants au « mariage » gay, lesquels ont perturbé à Nantes un débat auquel elle participait, bloquant son TGV et l’attendant à son retour gare Montparnasse à Paris. Et Harlem Désir de dénoncer la « traque » ainsi menée par les opposants au « mariage » homosexuel, y décelant des « actes de terreur idéologique » encouragés par « les silences de la droite« .

    « La traque organisée d’une journaliste est totalement inacceptable dans une démocratie« , écrit le premier secrétaire du PS. « Ces actes de terreur idéologique, accompagnés de violence contre les forces de l’ordre, montrent que toutes les limites de la loi et de la raison ont été dépassées par certains opposants au mariage pour tous« , poursuit le socialiste, soulignant que « les ambiguïtés et les silences de la droite ont encouragé ces débordements, M. Jacob annonçant une confrontation violente et M. Copé imputant un coup de force à la majorité : cette rhétorique radicalise la situation au lieu de préserver la sérénité du débat républicain« .

    La réaction de Monsieur Désir appelle quelques commentaires. D’une part, Caroline Fourest, contrairement à ce qui est écrit dans les journaux, n’est pas une journaliste indépendante : c’est une militante politique dont les choix  et les engagements idéologiques sont très marqués, et les modes d’expression parfois violents. Étant une personnalité publique, il n’est pas anormal qu’elle fasse l’objet de regards critiques et qu’elle assume les diverses expressions de mécontentement que sa parole publique peut susciter dans l’opinion.

    En l’occurrence, c’est dans l’exercice de son engagement public qu’elle se déplaçait samedi pour tenir conférence. Certains lui ont en effet adressé un message à cette occasion. Que le message soit virulent, seule la gauche peut s’en étonner, elle qui sous-estime en permanence l’ampleur de la mobilisation des opposants au « mariage « gay. Ignorer ainsi l’opposition, c’est accumuler en son sein des vexations et des frustrations qui, si le gouvernement persiste à ne pas vouloir les entendre, s’exprimeront autrement…

    Quant à la « terreur idéologique » dont parle monsieur Désir, elle nous fait bien rire. Car s’il existe un terrorisme intellectuel dans ce pays, s’il existe une vulgate dominante complaisamment relayée par la caste médiatico-politique , ou bien encore une doxa que l’on n’a pas le droit de discuter sans être anathémisé par la bien pensance, le premier secrétaire du PS en est évidemment l’un des tenants, sans doute même l’un des plus caricaturaux. Personne ne nous fera pas croire que les opposants au « mariage » gay sont du côté du politiquement correct…

    http://www.contre-info.com

  • Le harcèlement démocratique : c'est la gauche qui l'a inventé !

    Réaction de Marine Le Pen aux différentes manifestations organisées contre la dénaturation du mariqge :

    "Je condamne tout ce qui correspond à un acte de violence. Mais je remarque que tous ces gens de gauche - et M. Désir en premier - ils nous avaient théorisé le harcèlement démocratique. Vous vous souvenez ? C'était super! Il fallait empêcher Marine Le Pen ou Jean-Marie Le Pen de faire des meetings, il fallait venir à toutes les manifestations, hurler sa haine.

    Aujourd'hui évidemment, on n'apprécie pas le harcèlement démocratique quand on en est victime. C'est sûr que le harcèlement démocratique, c'est plus agréable du côté des harceleurs que du côté des harcelés. Je ne pouvais pas aller, pendant la campagne présidentielle, dans une université, sans avoir des énergumènes hurlant, menaçant. Ces gens de gauche, ils subissent des conséquences de choses qu'ils ont incitées, organisées et acceptées(...)

    Ceux qui ont manifesté contre elle [Caroline Fourest] sont des gens qui ne sont pas au Front national"

    Philippe Carhon

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Anti-mariage gay : la répression s’intensifie. Valls a fait arrêter ce soir des mères de familles et leurs enfants boulevard Saint-Michel à Paris[MAJ Vidéo]

    Manifestation spontanée au jardin du Luxembourg

    Environ 150 personnes étaient au jardin du Luxembourg cet après-midi. Certaines ont terminé au poste de police. Boulevard Saint Michel, en queue de cortège, des mamans sont encerclés par des gendarmes et sont forcées de monter dans un "bus" à salades ! Ainsi que des jeunes de 16 ans.


    Des mères embarquées par la police par Le_Salon_Beige


    14 avril : des gendarmes interpellent des mères... par Le_Salon_Beige

    AVEC HOLLANDE, LA HAINE DE LA FAMILLE, C’EST MAINTENANT !

    La suite sur Le Salon Beige

    Nous remercions Kto clip pour cette excellente vidéo.
  • Laissons donc les gays enterrer les morts !

    La vieille bourgeoisie française, d'une cruauté et d'une cupidité sans nom, a laissé les ouvriers, les petits paysans, les personnes foudroyées par la mondialisation économique en général carrément crever pendant trente ans, depuis qu'elle a repris une assurance démentielle sous le nom, atrocement usurpé, de gauche, en 1981, elle ou ses enfants bourgeois bohèmes d'ailleurs. Elle est responsable de l'extermination mentale et physique de la population française depuis 1981 par la mise en concurrence, les mouvements de population et surtout l'industrie culturelle crétinisante et abrutissante qu'elle finance de manière évidemment souterraine et anonyme sans rien y comprendre : elle a seulement saisi que la culture culturelle c'est indispensable pour rendre le peuple hébété et inoffensif. 

    Elle développe une hypocrisie et une méchanceté totales vis à vis de tout ce qui ne fait pas partie du clan ou ne sert pas ses intérêts : royalistes, régionalistes, défenseurs sérieux des animaux et de la nature, la liste serait longue. L'essentiel de sa vie est constituée par la haine, la duplicité, l'hystérie, la lecture des journaux financiers, la réclusion, d'ailleurs très confortable, à l'intérieur de la famille et du clan.
    Et soudain, voilà deux trois mois, ces vermines innommables émergent de leur torpeur et de leur ahurissement ordinaires, débranchent leurs huit systèmes d'alarme, tournent leurs dix-sept verrous, se rencontrent, se réunissent, se concertent. Que se passe-t-il donc ? Des nouveaux venus, qui ne sont pas tous leurs enfants, prétendent à la gamelle des droits afférents au mariage : reconnaissance sociale, héritage, fondation d'une lignée et ceci en déplaçant légèrement les règles du jeu ordinaires et habituelles de la transmission, feutrée et réservée aux initiés, du fric ! 
    Panique ! Sus aux gays ! Ils vont réussir avec ce truc, leur mariage, à accumuler des fortunes gigantesques  : ils sont méthodiques, arrivistes, solidaires et surtout connaissent sur le bout des doigts les nouveaux domaines où il faut être : culture, communication, mode, art ! Fin du monde ! Fin de la cupidité pharisaïque et messalisante : des concurrents sérieux ! On était déjà la risée des cultureux, ces ingrats qu'on a lancés contre la populace, ces petits trouducs de gays vont maintenant découvrir tous les avantages de la discrétion familiale ! Il nous restait que çà ! Agissons !
    Et voilà comment la classe la plus odieuse et la plus zombifiée de l'histoire mondiale a réussi à faire passer, à l"aide d'un bavardage de femmes hystériques d'une vacuité vertigineuse, le cramponnement à ses intérêts les plus sordides et les plus monstrueux (la sauvegarde de l'argent volé aux pauvres durant des décennies et le maintien d'un espoir de les exploiter un peu plus cruellement à l'avenir) pour quelque chose qui aurait à voir avec la défense de la civilisation occidentale. Situation légèrement au delà de l'obscène : les assassins demandent à leurs victimes estropiées et crevant de faim, le bon peuple français, ou ce qui en reste après trente ans de massacres, de l'aider à conserver l'exclusivité d'accès au private banking !
    Jacques-Yves Rossignol
  • France : liquidation totale

    Ce gouvernement restera comme celui qui aura tenté de finir d'achever la France.
    Chaque jour Ayrault et son équipe, avec le soutien de François Hollande évidemment, donnent l'impression de vouloir terminer le travail entamé depuis (au moins) Pompidou.

    Pulvérisation de la famille
    Depuis une quarantaine d'années, individualisme hédoniste aidant et féminisme en délire triomphant, la famille avait déjà sérieusement du plomb dans l'aile : multiplication des divorces, accroissement des familles monoparentales, 200 000 avortements pratiqués chaque année depuis l'adoption de la loi Veil, démographie faible.
    La loi Taubira relative au mariage des duos homosexuels et lesbiens (en langue française un couple suppose l'altérité) et à l'adoption des enfants arrive donc telle la cerise sur le gâteau. 
    De plus, c'est un secret de polichinelle mais dès que le mot "mariage" sera prononcé, avec la jurisprudence européenne, cela ouvrira immédiatement droit à la PMA et à la GPA.
    La loi Taubira est donc le dernier clou dans le cercueil de la famille.

    Oraison funèbre pour la souveraineté nationale

    Hollande aura également échoué, comme c'était absolument prévisible, à renégocier le traité sur la stabilité la coordination et la gouvernance (TSCG), ce super-Maastricht avec son lot d'atteinte insupportable à la souveraineté et principalement budgétaire à travers la "règle d'or" inscrite dès lors dans le marbre constitutionnel, un déficit autorisé qui ne doit pas excéder 0,5% du PIB et un mécanisme correctif automatique en cas de dépassement.
    En revanche, il n'aura pas hésité un instant à le faire ratifier par le Parlement.
    Consulter le peuple français par la voie référendaire sur un sujet aussi capital (comme le sujet précédent d'ailleurs), vous plaisantez cher Monsieur !
    La France ne maîtrisait déjà plus ses frontières et ne pouvait plus battre monnaie, son budget devra désormais passer sous les fourches caudines des eurocrates.

    Vers une citoyenneté au rabais
    Même si ce funeste projet semble pour le moment enterré, le droit de vote des étrangers aux élections locales finirait d'entamer le rapport qui devrait être indissociable entre citoyenneté et nationalité. Principe normalement intangible qui a déjà été mis à mal par les élections européennes ouvertes aux ressortissants communautaires.
    Mais ce n'est pas le seul élément qui met à mal le principe de citoyenneté.
    Le consentement à l'impôt est un élément constitutif du sentiment d'appartenance à la citoyenneté française. Or, depuis l'affaire Cahuzac ce consentement à l'impôt est  désormais beaucoup moins évident pour nombre de contribuables. Voir le ministre en charge du Budget (ou ce qu'il en reste, voir paragraphe précédent) et de la lutte contre l'évasion fiscale s'affranchir lui-même des règles communes, tricher et mentir ne va certainement pas aider à réconcilier les Français avec les Finances publiques.
    D'autant que l'agacement était déjà grand de voir une très grosse partie des prélèvements partir dans le tonneau des Danaïdes du remboursement d'une dette illégitime, dans l'aide médicale d'Etat (AME) réservée aux clandestins, dans des subventions accordées à des associations ne représentant qu'elles-mêmes ou encore dans le paiement de bombes que l'on vient déverser sur les populations libyennes.
    Alors que dans le même temps des hôpitaux ferment, des crèches n'ouvrent pas, des services publics sont supprimés dans les campagnes (et largement dans les villes désormais), des transports ne circulent plus par "souci de rentabilité" à partir de certaines heures etc.

    La fin d'un modèle social
    L'accord national interprofessionnel (ANI) signé par le MEDEF et les syndicats minoritaires (CFDT, CFE-CGC et CFTC),  syndicats qui n'ont rassemblé aux dernières élections prud’homales que 38,7% des voix, sera repris très probablement dans sa quasi-intégralité par la représentation abusivement qualifiée de "nationale".
    Ce texte met fin au CDI tel qu'il fut jusqu'alors. Un texte qui ferait presque passer le CPE de triste mémoire pour une mesure progressiste !
    Que contient ce texte ?
    Il sera désormais possible de baisser les salaires jusqu'au niveau du SMIC et d'allonger le temps de travail en cas de difficultés économiques dans l'entreprise (si accord d'entreprise il y a). En cas de refus : licenciement.
    La mobilité forcée d'un site à l'autre sans limitation dans le temps et dans l'espace est inscrite. En cas de refus : licenciement.
    Les licenciements sont facilités (contournement de la loi et de la justice prud'homale), les délais de recours sont réduits pour le non-respect du contrat de travail, la contestation de licenciement et les salaires impayés ou minorés.
    Mais cet accord c'est aussi l'extension du contrat à durée indéterminée intermittent.
    En clair : on vous embauche en durée indéterminée mais on vous fait travailler quand on en a besoin, les périodes non-travaillées ne donnant pas droit à l'allocation-chômage...
    Comme l'explique très bien notre ami Adrien Abauzit, l'ANI relève de tout sauf d'un hasard du calendrier. Il s'inscrit parfaitement dans le cadre du marché transatlantique prévu à l'horizon 2015 et si souvent évoqué par Pierre Hillard.
    Les conditions de travail des Français et plus largement des Européens devant s'aligner sur celles des travailleurs d'outre-Atlantique.
    Autre mesure marquée du sceau de la régression sociale : la baisse des allocations familiales. Outre que sur un plan symbolique cette décision est un vrai désastre, cette baisse des alloc' risque de peser fortement sur les naissances.
    Quel projet se cache derrière ce sale coup encore porté à la famille française ?
    Logique comptable court-termiste ou dessein beaucoup plus inavouable ?
    Et les retraites complémentaires dans tout ça ?
    Là aussi, il y a eu "accord" entre les partenaires sociaux. Avec le regard bienveillant et complice du gouvernement, qui ne s'est pas mêlé des discussions entre le MEDEF (décidément choyé et gâté comme jamais) et les syndicats. 
    Outre la CFDT, la CFTC et FO ont décidé de signer. Depuis le 1er avril, les retraites complémentaires sont moins revalorisées que l'inflation, ce qui amputera le pouvoir d'achat des 11 millions de retraités concernés. Les pensions seront ainsi augmentées de +0,8% pour l'Arrco (retraite complémentaire des salariés du privé) et +0,5% pour l'Agirc (retraite complémentaire des cadres du privé), alors que l'inflation a été revue à +1,2% par le gouvernement pour 2013. (1)

    Tropisme américano-anglophile éhonté

    Le projet de loi Peillon-Fioraso est la goutte d'eau qui fait déborder le vase.
    Ce projet de loi présenté en conseil des minsitres le 20 mars étend la possibilité de dispenser dans l'enseignement supérieur des cours en anglais plutôt qu'en français.
    Jusqu’ici, la loi Toubon de 1994 posait comme principe qu’en France, dans n’importe quelle école ou université publique ou privée, tous les enseignements devaient être dispensés en français, la langue de la République. A deux exceptions près : pour les cours de langues et lorsque l’enseignant est un intervenant étranger.
    Là encore il s'agit de fondre la France dans le magma du mondialisme americanomorphe.

    Ce gouvernement est donc bel et bien un gouvernement de destruction nationale.
    Il s'est donné pour unique tâche de "réussir" là où les précédents gouvernements avaient "échoué". Et le moins qu'on puisse dire c'est que pour le moment il y parvient parfaitement.
    Les Français font aujourd'hui face à un gouvernement composé d'extrémistes et d'idéologues fanatiques (Taubira, Vallaud-Belkacem, Peillon...) accompagnés de carriéristes sans foi ni loi (Valls) et de bateleurs d'estrade prêts à renier toutes leurs convictions dans l'espoir de conserver leur portefeuille ministériel (Montebourg).
    Jusqu'où ce gouvernement pourrait-il aller ?
    A voir la façon dont des enfants, des personnes âgées et des familles ont été aspergés de gaz lacrymogènes lors de la manif pour tous du 24 mars dernier, les Français ont un début de réponse.
    Maurice Gendre http://www.scriptoblog.com/

    (1) Par ailleurs, les taux des cotisations, acquittées à 60% par les entreprises et à 40% par les salariés, seront augmentés de 0,1 point en 2014, comme en 2015.

  • Printemps français : afin que chacun puisse ouvrir sa gueule

    Alors que le texte sur le mariage pour tous sera de retour devant l’Assemblée nationale mercredi prochain, Béatrice Bourges, le porte-parole du « Printemps français », revient sur la genèse de son mouvement et ses futurs combats au sein de la société.

    Elle en appelle aussi et surtout à l’unité en tendant la main à Frigide Barjot, qui lui a reproché ses actions coup-de-poing.

    Comment présenter le « Printemps français » ?

    C’est un mouvement spontané du peuple, de la France qui ne s’exprime pas, des gens qui sont indignés par ce qu’ils peuvent voir. Ils ont cet objectif commun de préserver la dignité humaine et de protéger l’Homme. À l’occasion de mes conférences et au gré des différentes rencontres que j’ai pu faire dans toutes les régions de France, j’ai senti comme une fracture entre le monde silencieux et le monde de ceux qui nous gouvernent. Ce peuple, longtemps méprisé, est enfin prêt à se lever et à s’élever contre des décisions qui l’humilient. C’est dans cet esprit de ras-le-bol généralisé et de résistance pacifique qu’est né le « Printemps français » ; afin que chacun puisse ouvrir sa gueule. Notre leitmotiv n’est pas de mettre à bas un régime mais de combattre une idéologie de terrorisme intellectuel en vertu de laquelle on ne peut rien dire sans se faire traiter de fasciste. On va dire que Robert Ménard est d’extrême droite, que je suis catholique intégriste et cela suffira pour nous enfermer dans un tiroir à triple tour et nous bâillonner ! Vous savez, les Français ne sont pas des imbéciles et se rendent bien compte qu’ils se font manipuler. Simplement, aujourd’hui, ils n’en peuvent plus et décident de sortir des clous pour se faire entendre. [...]

    La suite sur Boulevard Voltaire

    Voir également la vidéo de l’émission de Paul Amar où elle est face à un LGBT.

    http://www.actionfrancaise.net

  • La radicalité contre la dictature des minorités -Tribune de Jean-Yves Le Gallou

    La radicalité contre la dictature des minorités -Tribune de Jean-Yves Le Gallou

    Chaud, chaud, chaud ! Le printemps sera chaud. Car les majorités se révoltent contre la dictature des minorités. Dictature des minorités sexuelles, associatives subventionnées, ethniques et religieuses, financières, médiatiques, parlementaires.

    Minorités sexuelles

    Il y a, selon l’INSEE, 100.000 couples homosexuels en France, soit 0,3% de la population ; et 10.000 enfants – 0,003% de la population – vivent au domicile de ces couples homosexuels. Une minorité de ces minorités réclame qu’on change des règles multimillénaires pour les adapter à leur situation individuelle ou à leurs caprices. Il est normal que cela suscite une forte exaspération des majorités !
    En vérité les homosexuels devraient être reconnaissants aux familles traditionnelles qui défilent contre la dénaturation du mariage : ce sont leurs enfants qui paieront leurs retraites…

    Minorités associatives subventionnées

    Les associations LGBT, minorité agissante de la minorité revendicative des minorités sexuelles, veulent régenter le débat public. Au nom de la lutte contre une prétendue « homophobie », il s’agit d’interdire toute prise de position jugée politiquement incorrecte ; en fait, d’empêcher toute critique du mariage homosexualiste à l’image de ce qu’ont réussi les associations « antiracistes » censurant tout débat sur l’immigration. Le tout avec l’argent des contribuables. C’est insupportable au pays de Voltaire.

    Minorités ethniques et religieuses

    Elles cherchent à imposer dans l’espace public comme dans l’espace privé leurs exigences vestimentaires et leurs interdits alimentaires : refus du porc, abattage hallal pour tous – ce qui suscite la réaction des amis des bêtes et de la France profonde. C’est à Guéret, dans la Creuse, qu’on se mobilise contre la construction d’un abattoir hallal voulu au nom de médiocres intérêts commerciaux, quoique contraire à la loi européenne, aux traditions françaises et à la sécurité sanitaire.

    Minorités financières

    Elles imposent des réglementations conformes à leurs intérêts mais non à l’intérêt général. Quand les banques, les grandes entreprises et les hyper-riches échappent à l’impôt (tout en bénéficiant des infrastructures techniques, des services publics et des systèmes de protection sociale des Etats), ce sont les classes moyennes qui payent. Ces classes moyennes sont doublement victimes : des excès de l’Etat-providence qu’ils payent mais aussi de la finance-providence qui échappe à l’impôt.

    Minorités médiatiques

    Moins de 50.000 journalistes, qui informent de moins en moins et qui conditionnent de plus en plus ; qui ne cherchent pas à distinguer l’exact de l’inexact, ni le vrai du faux, mais qui prétendent dire où est le « bien », où le « mal », en louant les « gentils » et en dénonçant les « méchants ». Avec un grand sens de l’à-propos, les personnes manifestant le 28 mars devant France Télévision, protégée par les forces de l’ordre, criaient : « CRS, retourne-toi, la racaille est derrière toi ! » Sans commentaire.

    Minorités parlementaires

    Moins de 1.000 personnes prétendent avoir le monopole de la fabrication de la loi sans tenir compte du peuple. C’est, certes, la logique de la démocratie représentative mais celle-ci est, hélas, de moins en moins représentative :

    • - En raison des lois et du calendrier électoral, une partie importante de l’opinion n’est pas représentée ; et les socialistes qui ont, à eux seuls, la majorité de l’Assemblée nationale n’ont recueilli que 16% des électeurs inscrits, lors du premier tour des élections législatives de juin 2012. Un peu court comme majorité pour transformer un homme en femme !
    • - Le Sénat a voté le projet de loi Taubira à la sauvette. Une loi dont la garde des Sceaux a dit qu’elle portait un « changement de civilisation » mais dont, faute de scrutin public, on ne sait pas individuellement qui l’a votée et qui l’a refusée. Un formidable déni de démocratie voulu par tous les groupes politiques de la majorité comme de l’opposition. Une belle manœuvre qui permet de faire adopter la loi, qui autorise les sénateurs à se faire passer pour « progressistes » auprès des médias parisiens tout en leur permettant individuellement de dire à leurs électeurs d’outre-mer ou des campagnes françaises qu’ils n’ont pas approuvé le « mariage gay ». Belle manœuvre, vraiment, mais qui indigne à juste titre les adversaires de la loi Taubira et tous les démocrates sincères.
    • - Plus généralement, les hommes politiques les plus en vue représentent de moins en moins leurs électeurs car ce sont des médiagogues, des hommes et des femmes qui cherchent à plaire aux médias plus qu’au peuple, à coups de surenchère politiquement correcte. Telle est la principale cause du discrédit de la démocratie représentative.

    Or toutes ces minorités se tiennent et se soutiennent. C’est contre elles que la révolte gronde. Moins d’un an après l’élection de François Hollande la probabilité d’une crise politique majeure est devant nous : la dissolution de l’Assemblée nationale ou la démission du président de la République ne changeraient pas grand-chose. Ce qu’il faut c’est rendre la parole au peuple. Par le référendum d’initiative populaire national et local. A partir de la demande de 500.000 électeurs au plan national et ce sans censure prétendument constitutionnelle. A partir de 7,5% des électeurs au niveau local, sous la seule réserve qu’il s’agisse d’une délibération locale. Bien sûr, ceci devrait s’accompagner d’un rétablissement de la liberté d’expression, de l’arrêt des subventions aux grands lobbys politiquement corrects et du retour au pluralisme des médias.

    Le printemps français doit trouver un débouché politique autour de thèmes forts : référendum et démocratie directe ; liberté d’expression et pluralisme des médias ; dénonciation de la dictature des minorités et respect de la majorité populaire. Quant aux manifestants ils ne doivent pas avoir peur de la radicalité car seule la radicalité s’attaque aux racines du mal et propose un ressourcement créateur.

    Jean-Yves Le Gallou
    14/04/2013

    Voir aussi :
    Eloge de la radicalité (11/2013)

    Source : Polémia – 14/04/2014

    http://fr.novopress.info

    Image : le Printemps français se radicalise, DR

  • Le vide attire la violence – par Le Crieur du Cœur

    « La nature a horreur du vide ». Encore un bon vieux proverbe, qui s’applique aussi bien aux mauvaises herbes qu’aux vides politiques. Mais il explique aussi comment, sinon pourquoi, la pénurie de mots dans un cerveau primitif ou inculte, peut, la plupart du temps, inciter à une réponse violente lorsqu’ aucun mot ne parvient à extérioriser une frustration.
    L’idée anarchiste étant, dans la plupart des cas, incitatrice à éviter toute étude poussée (suspectée de véhiculer des idées d’oppressions diverses), elle ne peut qu’être retrouvée et souhaitée dans toutes les variantes de cette tendance simpliste et néfaste.
    Néfaste, le summum de l’aveuglement des anarchistes l’est d’autant plus qu’il prend des chemins et des slogans allègrement stupides, et d’autant plus énormément stupides qu’ils sont vomis par des esprits supposés « éclairés » mais gangrénés par la pratique réitérée de slogans irréfléchis. Mais l’erreur devient crime dès que les fauteurs  de telle ineptie se posent en défenseurs de la justice et de l’intelligence. Mais lorsque ces fauteurs attaquent les structures sociales et sociétales, leur action prend les aspects d’une attaque contre la Patrie, soit presque la caractéristique de la trahison, d’autant plus haute qu’elle vient de haut !!!
    Comment peut-on croire qu’un immigré, quelle que soit son origine, arrive l’esprit et le cœur vides ? Jamais ! Donc, si l’on souhaite qu’il change son idéologie et ses mœurs, ce doit être pour prendre et se fondre dans d’autres valeurs. Exactement ce que l’anarchie est fondamentalement incapable de lui proposer. Lui proposer d’oublier toute référence historique, tout attachement à une patrie, pour remplacer sa culture par un vide informe, c’est non seulement idiot mais aussi inefficace et incitateur de mépris donc de rejet donc d’opposition culturelle donc d’inadaptation sociale donc de violence, et finalement d’un retour exacerbé aux mœurs de son pays et de sa culture d’origine. Et la conclusion de ce processus est le refus de toute obligation envers la morale du pays où il se trouve.
    Car l’anarchie, même habilement masquée par un discours au simplisme alambiqué, ne peut promouvoir qu’un désordre absolu donc éminemment dangereux, et mener en retour à une dictature d’autant plus violente qu’elle aura eu à supprimer – par les textes et par les actes – tous les débordements nés et développés par le laisser-aller moral et la désorganisation de la cité, maux renforcés par l’inondation du flot des contradictions très particulières, toutes présentées comme des « droits » à mépriser les droits sociaux.
    À long terme, le plus grand danger à terme est évidemment celui qui touche l’avenir, donc celui qui nie les droits naturels des enfants et de leurs enfants, qui n’ont jamais été sujets à marchandage – sauf dans les sociétés où régnait l’esclavage – ou dans les sociétés « progressistes » : les dictatures où la folie d’uniformisation faisait régner les tentatives démoniaques d’eugénisme, comme ce fut le cas sous Staline et sous Hitler...
    Mais quels repères psychologiques normaux pourra avoir un enfant conçu par « T », puis enfanté par « S », puis élevé par « X+Y », ensuite éduqué par « Z », et finalement embrigadé par le néant d’une foule informe aux relents de paresses, de gabegies diverses, d’égoïsmes développés et de stupre permanent ??? Mais le mor « repère » aura été lui aussi, ringardisé  par les individualismes débridés - non : déchaînés !!! Veuillez m’excuser, je vous en prie : mais malgré un vocabulaire que j’ose prétendre étendu (mais pas encore « étendu pour le compte » !!!) je ne trouve qu’un seul mot pour définir le spectacle qu’offrira ce triste résidu de ce qui aura été une société civilisée : un immonde bordel !!!
    Et, n’en déplaise aux marchands et aux achetés de cet avenir que l’on nous construit sans restreinte, je reste, tant que je le pourrai, Le Crieur du Cœur.

  • Syrie: 20.000 mercenaires financés par l'argent de la drogue afghane

    Jusqu'à 20.000 mercenaires opérant en Syrie sont financés avec l'argent provenant du trafic de drogue afghane, a déclaré jeudi aux journalistes le directeur du Service fédéral russe de contrôle des stupéfiants (FSKN) Viktor Ivanov.

    "Les groupements criminels transnationaux sont en mesure de financer avec l'argent de l'héroïne l'afflux d'un grand nombre de criminels et de mercenaires de différents pays vers n'importe quel point du monde. Entre 15.000 et 20.000 mercenaires [financés par ces moyens] sont déployés en Syrie, où ils déstabilisent le pays", a déclaré le responsable russe lors d'une rencontre avec une délégation de l'Université militaire pakistanaise chargée du développement de la coopération bilatérale dans le domaine de la lutte antidrogue.  .

    http://fr.rian.ru

  • Manuel Valls, Petit Père des travailleurs...

    Discrètement, Manuel Valls a ordonné la mobilisation des services secrets et de la police pour mettre sous surveillance les travailleurs

    Le gouvernement du Parti socialiste français du président François Hollande a ordonné la mobilisation des services secrets et de la police pour mettre sous surveillance les travailleurs qui se battent contre le chômage de masse et les fermetures d’usines.

    Le ministre de l’Intérieur français, Manuel Valls, a révélé mardi dernier que sa police politique est pleinement mobilisée pour espionner la révolte grandissante des travailleurs des usines où sont prévus des licenciements ou bien qui seront fermées. Il a dit que ces mesures étaient nécessaires compte tenu du risque d’« implosions ou explosions sociales ».

    Interviewé sur BFM TV, il a ajouté : « La colère sociale, avec les conséquences de la crise économique et financière, la précarité, le chômage, les plans de licenciements, elle est là, elle gronde depuis des années. »

    Les services de renseignement de la police (SDIG) ont reçu le 30 janvier l’ordre de suivre « au plus près les entreprises en difficulté.... de suivre au plus près la situation des entreprises et filières fragilisées, ou susceptibles de le devenir » et d’anticiper « les mobilisations », ainsi que les « risques d’incidents » ou d’éventuelles « menaces sur l’outil de production en cas de radicalisation d’un conflit ».

    Valls a donné des instructions à la police pour qu’elle surveille les entreprises où les travailleurs sont en lutte pour défendre leur emploi tels PSA Peugeot-Citroën, Renault, Goodyear, la raffinerie Petroplus et l’aciérie d’ArcelorMittal à Florange. Il a clairement reconnu la possibilité que de telles luttes échappent au contrôle de la bureaucratie syndicale qui s’est discréditée en trahissant systématiquement les luttes contre les programmes d’austérité du gouvernement. Valls a fait remarquer qu’il y avait moins de mobilisations organisées mais que le danger « d’explosions sociales » était plus important.

    La police française ne se limite pas surveiller les protestations des travailleurs. Elle se montre aussi plus violente à leur égard. Mercredi dernier, 6 février, plus de 1.500 travailleurs des aciéries d’ArcelorMittal ont convergé sur le Parlement européen à Strasbourg pour protester contre les fermetures à Liège (Belgique), Schiffange (Luxembourg) et Florange (France). Leurs dirigeants syndicaux avaient rendez-vous avec le président du parlement, Martin Schulz.

    L’arrivée des 23 cars belges a été strictement filtrée. Arrêtés sur une aire d’autoroute à neuf kilomètres de Strasbourg, complètement fouillés, tout comme leurs occupants, les véhicules ont dû attendre d’être escortés par les gendarmes pour se rendre au parlement, de sorte que leur arrivée a été étalée sur plus de deux heures. « On nous traite comme des bandits, » a commenté un Liégeois en descendant du car. Deux cars amenant des travailleurs de Florange ont subi le même traitement. Les fouilles ont été organisées sur réquisition du procureur de la République, au vu des violences intervenues en Belgique le 29 janvier dernier où cinq policiers ont été blessés

    Quand la police a empêché les sidérurgistes d’approcher le Parlement européen, ils ont crié : « Pas de Français ici, on est tous métallos ! » Selon les reportages du journal belge Le Soir, les manifestants coincés entre quatre artères obstruées par des cordons de gendarmes mobiles, à trois cents mètres du Parlement, ne pouvaient pas plus former de cortège que faire entendre leur voix. Les plus remontés ont tenté de forcer le passage mais ont été repoussés à coup de gaz lacrymogènes. Ils ont riposté en se saisissant de tout ce qui leur passait par la main comme projectile. Des œufs, des bouteilles, des fumigènes...... des blocs de pierre. Un jeune sidérurgiste belge de 25 ans, John David a perdu un oeil. Il y a eu trois arrestations.

    Les travailleurs de l’usine Renault Flins ont ressenti l’intensification du harcèlement policier ordonné par Valls. Ali Kaya, délégué CGT (Confédération générale du travail) a fait remarquer : « Il y a de plus en plus de présence policière autour de l’usine avec plusieurs voitures banalisées.... La police a contacté des délégués syndicaux ».

    Bernard Thibault, Secrétaire général de la CGT, a dit que ce genre de présence policière sur le lieu des usines sensibles devrait être évité car il serait ressenti comme une « provocation ». Mickaël Wamen, représentant CGT de Goodyear à Amiens a décrit la présence de la police politique comme visant à « criminaliser notre action ».

    Des protestations verbales aussi timorées de la part de la CGT ne valent rien, étant donné que le syndicat n’a pas soutenu les travailleurs en lutte attaqués par la police. Un exemple particulièrement honteux est la complicité de la CGT avec la police pour casser la grève des raffineries au moment critique du mouvement de défense des retraites en 2010.

    Quatre cents travailleurs de l’usine PSA d’Aulnay près de Paris sont en grève depuis plus de 3 semaines et ont arrêté la production pour obliger l’entreprise à entrer dans des « négociations sérieuses » sur les indemnités et les reclassements après la fermeture du site. Les grévistes subissent l’intimidation de l’entreprise : quatre travailleurs risquent d’être renvoyés dont une mère de deux enfants en bas âge. L’entreprise a porté plainte contre huit travailleurs qu’elle accuse d’avoir physiquement attaqué un huissier à l’intérieur du site.

    Une armée de vigiles privés est positionnée autour du site pour empêcher toute action solidaire. Il y a deux semaines, des centaine de police anti-émeute ont empêché les travailleurs d’Aulnay d’organiser un piquet de soutien aux collègues de l’usine PSA de Poissy.

    Manuel Valls ne sera pas moins brutal avec les travailleurs français qu’il ne l’est pour réprimer les sans-papiers, dont 36.822 ont été expulsés en 2012 contre 32.912 en 2011 - un record dépassant de loin les chiffres de l’ex-président Sarkozy. Le gouvernement PS surpasse la politique réactionnaire du gouvernement Sarkozy dans tous les domaines.

    Source : WSWS

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