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anti-national - Page 1096

  • Cahuzac et l'actuelle crise institutionnelle française

    « Les institutions sont la garantie du gouvernement d’un peuple libre contre la corruption des mœurs, et la garantie du peuple et du citoyen contre la corruption du gouvernement ». Saint Just

    A l’heure où l’affaire Cahuzac ébranle d’une manière peu commune le frêle gouvernement socialiste et bien au-delà du seul procès fait à l’ex-ministre du budget, il semble bon de se rappeler ces propos de Saint Just, emblématiques et révélateurs des véritables enjeux de la lutte contre la corruption des élus.

    L’erreur fondamentale est de croire à l’absolue probité d’un pouvoir, démocratique ou non. « Le pouvoir corrompt », répétait Machiavel en son temps. Vouloir faire croire l’inverse au pays réel ne relève même plus de l’utopie mais de l’absurdité même. Ainsi, « la République irréprochable » brandie par le candidat Hollande fait aujourd’hui face à la triste réalité politique, l’échec de cette promesse devant apporter dans son sillage une véritable ira populaire. Et face à cette légitime colère, rejeter la faute sur l’outrecuidant Cahuzac en s’abritant derrière l’implacable sanction « d’outrage à la République », ne pourra suffire. Le président Hollande le sait. [...]

    Augustin Debacker - La suite sur Politique Magazine

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  • Français mal-logés : parce que des millions d'immigrés sont prioritaires !

    Les associations à prétention caritative, dont sans-logis et sans-papiers sont le fonds de commerce - Fondation Abbé Pierre, Enfants de Don Quichotte, Droit au Logement, Comité des sans-Logis ou les étudiants petits bourges de « Jeudi Noir », chers à TF1 et France 2, etc. -, tapent bruyamment sur la table en cet hiver glacial. Les media ordinaires servent de caisse de résonance et aboient avec eux. Mais observez comme tous ont en tête, d'abord, la promotion et la défense de l'immigré. Lequel oriente toute la stratégie de subversion de la civilisation européenne définie par le pouvoir dominant. Relayé par les corps constitués et les laquais associatifs.
    D'où le rapport annuel de la Fondation Abbé Pierre (FAP) sur l'état du logement précaire dans ce pays. Ses dirigeants, Raymond Etienne et Patrick Doutreligne, modernes saints François d'Assise, ont mobilisé l'attention. Tandis que Christophe Robert, sociologue, délégué général de la Fondation, ouvre la voie par ses propos incendiaires et la violence de ses inflexions, aux futures guérillas urbaines des milices immigrées.
    « Il se crée, affirme Doutreligne, 330 à 350 000 ménages par an ; si vous ne faites pas 330 à 350 000 logements par an, c'est aussi mathématique que ça, vous n'arriverez pas à répondre aux besoins. » Et le rapport de souligner que, depuis le début de la crise, il y a 700 000 chômeurs de plus, un million d'autres arrivant en fin de droit. Du fait qu'il manquerait 900 000 logements, chaque année entre 2,5 et 3 millions de personnes cherchent un toit, les demandes de logements sociaux atteignent 2,5 millions, 100 000 personnes sont sans domicile. En cinq ans les loyers ont crû de 23 %. 1,8 million de ménages paient difficilement le leur. 600 000 enfants connaissent des conditions d'existence déplorables.
    Mais d'où viennent ces 350 000 ménages qui chaque année postulent pour un logement ? L'INED, l'Institut National des Etudes Démographiques, en a une petite idée.
    Depuis 1999, la population française - au 1er janvier 2009, 64,3 millions, dont 2 millions dans les TOM-DOM - augmente de 500 000 unités par an. Chiffres ne prenant en compte ni les clandestins ni ceux qui refusent d'être sondés dans les banlieues, personnes qui occupent pourtant des logements. Sur ces 500 000, le solde migratoire représente 165 000 personnes par an. Le solde naturel - naissances sur décès 335 000. Or les régions à forte natalité, Ile-de-France, Rhône-Alpes et PACA, sont celles à immigration massive, la natalité étant en berne dans tous les départements à dominante souchienne, Vendée mise à part. Les 500 000 "Français" annuels de plus sont donc bien des immigrés et issus d'immigrés.
    Chaque année, de surcroît, on observe une hausse des naissances d'environ 10 000, du solde migratoire de 5 000 et des décès de 13 000. De sorte que si l'augmentation de la pression immigrée est constante, la population autochtone, elle, ne cesse de se réduire. La croissance démographique de la France - plus de 4 millions de plus entre 1999 et 2008 - est donc due essentiellement à l'immigration. Cela veut dire des logements en plus, des places d'hôpitaux, de crèches, d'écoles, de lycées, de grandes écoles, d'universités. Des centres commerciaux, des terrains de sport, des salles polyvalentes, des axes autoroutiers des dessertes ferrées et aériennes, bref, une pression écologique dont les Verts sont complices, au seul bénéfice de quelques marchands de casseroles, de voitures et d'appareils électroménagers.

    CONSTRUIRE POUR LES ALLOGÈNES

    Des millions de logements sont ainsi occupés par des immigrés et leurs descendants au détriment des Français-autochtones exclus des programmes contrôlés par l'État, les régions ou la mairie de Paris. Même le media servile ne peut se taire.
    Dans le domaine social, ce processus est flagrant. Le rapport de la FAP ne peut le masquer. Sur les 100 000 places de logement d'urgence dont dispose l'État, 32 000 sont réservées aux demandeurs d'asile, les Gaulois ne bénéficiant d'aucune priorité sur les 68 000 autres. La Cour des Comptes rappelle même les quelque 60 000 places des Foyers de Travailleurs Migrants.
    La plupart de ceux qui ne disposent pas de logement, qui vivent dans des cartons, des tentes, des caravanes, sont des Français autochtones. En revanche les "mal-logés" sont surtout des immigrés. Ainsi 10 000 places d'hôtels sont réquisitionnées pour eux à un coût annuel de 321 millions d'euros. Les 124 Kurdes débarqués en Corse ont immédiatement été dispersés dans des hôtels. Quel silence médiatique en revanche sur les 100 000 Français de souche qui vivent dans des campings dans des conditions précaires et l'indifférence générale !
    Dès la parution du rapport de la FAP, le gouvernement annonça le "déblocage" de 5 milliards d'euros pour la construction de 140 000 logements sociaux en 2010. Où va-t-on construire ? Sur quels terrains ? Avec quels aménagements quand, chaque année, 60 000 hectares de terres arables disparaissent ? Les régions ciblées seront justement l'Ile-de-France, Rhône-Alpes et la PACA où l'on trouve les plus fortes implantations immigrées.
    Il entend également mettre en œuvre dans la région capitale le Plan Apparu, « vaste programme de rachat de logements vacants » disséminés dans les centre-villes. Transformés en logements sociaux, ils « permettront de favoriser l'intégration des populations en difficultés ». Vocabulaire à peine codé pour désigner des familles immigrées. N'est-ce pas ce que sous-entend le Rapport FAP ? « Le logement est producteur d'exclusion et peut être considéré comme le creuset des inégalités », À contrario il peut être producteur d'intégration et devenir un creuset multiracial.
    Il existe une connexion directe entre le lobby de l'immigration et celui du mal-logement. D'un côté on organise le déferlement de populations clandestines ou non, on manifeste à la moindre expulsion, on défile dans le plus petit village où des enfants d'illégaux sont scolarisés, on exige pour eux des logements "décents". Et de l'autre on proteste d'autant plus bruyamment contre la pénurie dont souffrent en nombre croissant les Français-autochtones que la plupart des logements sociaux libérés sont distribués prioritairement aux étrangers par l'État, les régions ou la Ville de Paris qui vient ainsi d'offrir un superbe quatre-pièces de 72 m² situé dans la prestigieuse île Saint-Louis à l'Algérienne Fatiya et à ses deux rejetons, Asmaa et Muhammad (1).
    Les Enfants de Don Quichotte d'Augustin Legrand illustrent bien cette hypocrisie. Alertant la planète sur le sort des sans-logis "français" mais ne ratant pas une manifestation de solidarité avec les sans-papiers qui rafleront à leur détriment tous les logements accessibles sur le marché.

    René BLANC RIVAROL 19 FÉVRIER 2010

    (1) ,Voir le Parisien du 3 février, qui précise que 23 appartements ont été livrés à d'autres Fatiya dans le quartier de Passy, 75 derrière la place des Vosges, d'autres avenue Pierre 1er de Serbie, et même rue de Varenne, « à deux pas de l'hôtel Matignon ». Rien n'est trop beau ni trop coûteux pour la "diversité" !

  • [Vidéo] Mariage gay : le double jeu de l'UMP

    Incroyable : Jean-Claude Gaudin assure que l’UMP va amender le projet Taubira pour que le Conseil constitutionnel ne le retoque pas !

    Théâtre. Interrogé jeudi sur Public-Sénat, Jean-Claude Gaudin, le président du groupe UMP au Sénat et vice-président de l’UMP, a déclaré à propos de la proposition d’union civile présentée par l’opposition :

    « Il faut que le Gouvernement comprenne que nous avions fait un effort. [...]

    La suite sur Nouvelles de France

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  • La laïcité ripoublicaine…

    Concubine.pngEn se promenant avec sa concubine… ici en voyage officiel au Maroc, c’est l’application du “mariage pour les autres”…

    Avec son voile sur la tête, c’est la mise en pratique de la fameuse laïcité républicaine
    sinon “le voile pour tous (gender)”

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  • Aberrant : « Occuper Wall Street » noyauté par le Comité Présidentiel d'Obama

    Il se proclame site Internet officiel de Occupons Wall Street. Ce mouvement américain qu'ailleurs on a baptisé "Indignés", ou « Printemps arabe » où s'agglutinent les derniers en date des mercenaires gauchistes du Mondialisme occulte. En réalité des dizaines d'autres sites peuvent se prévaloir de la même qualité et Occupywallst.org n'est que le porte-parole le plus voyant du Système. Le 11 octobre il annonçait triomphalement le ralliement de l'American Teachers Fédération (ATF, 1,4 million d'adhérents), le plus important syndicat d'enseignants et le plus à gauche, soutien indéfectible d'Obama à la caisse de campagne duquel en 2008 il avait remis 1,9 million de $.
    Témoignage supplémentaire de l'investissement d'un appareil, dont on saisit encore mal les contours. La récupération effectuée ces dernières semaines par l'agit-prop gaucho-trotskyste et l'habile intervention réussie par l'organisation ploutocratique qui manipule Obama, confortent ceux qui pensent qu'à moins d'une intervention massive mais peu probable des mouvements indépendants conservateurs, Occupons Wall Street est déjà intégré à la stratégie de campagne présidentielle menée par l'aile dure du parti Démocrate. Le samedi 16 octobre, en même temps que des manifestations similaires se déroulaient, paraît-il, dans 1 500 villes du monde, à l'appel du raciste africain-américain Al Sharpton et de la famille King, des milliers de Noirs se réunissaient au pied du nouveau mémorial Martin Luther King à Washington. Contre le chômage, contre les riches, mais aussi contre le rejet par le sénat US du Plan Emploi d'Obama. Et surtout en soutien à Obama lui-même. Surréaliste alors qu'il a placé à la tête du Conseil de la Création d'Emplois Joffrey Immelt, le Pdg de General Electric, le géant américain qui a délocalisé les 2/3 de ses collaborateurs et 82 % de ses profits.
    Récemment ATF a soutenu ce Plan Emploi dont il a été démontré qu'il s'agit d une machine de guerre dirigée non contre la ploutocratie mais contre les classes moyennes américaines. Or on se souvient que l'actuel président fut il y a quelques années un adepte des thèses marxistes redistributions, qu'il ne les a jamais répudiées et que son projet a toujours de prendre l'argent, non pas aux très riches dont il est l'agent, mais à ces classes moyennes, pour le redistribuer aux pauvres. La Fédération Unie des Enseignants, chapitre new yorkais de l'ATF bénéficia dans le Plan Santé d'Obama des plus importantes dérogations. Et ses affiliés seront parmi les rares à pouvoir régler des cotisations qui à partir de 2014 deviendront si lourdes qu'elles seront inaccessibles à de très nombreux Américains aux revenus équivalents. L'ascenseur commence à être renvoyé, les dérogations ayant été prévues uniquement pour les personnels appartenant à des syndicats extrémistes et marxistes.
    En se ralliant, ATF a déchaîné sur le site Occupywallst.org. un flot de protestations bien illustrées par celle-ci : « Pour OWS, accepter le parrainage des patrons des Syndicats (qui, n'est-ce-pas, sont également ceux contre lesquels OWS a commencé sa protestation) fait perdre tout sa crédibilité à ce mouvement ».
    OBAMA PREND LES AMÉRICAINS POUR DES IMBÉCILES
    Le 6 septembre, au cours d'une conférence de presse tenue à la Maison-Blanche, Obama, déclarait qu'il ressentait de la sympathie pour les manifestants rassemblés depuis deux semaines à Wall Street. « Le peuple américain comprend que tout le monde ne respecte pas les règles. Wall Street en est un exemple ». On reste sidéré devant un tel degré d'inconscience. Plusieurs jours auparavant l'universitaire Cornell West, l'un des leaders africains-américains les plus radicaux, proche des Black Panthers et admirateur de Malcolm X, après avoir été un enthousiaste partisan du sénateur de l'Illinois dans la course à la présidence, s'était exprimé, justement, devant le même auditoire. Prenant ses distances avec le président : « Par les temps qui courent, poursuivit celui-ci, des quantités de gens font les choses correctement et ne sont pas récompensés et des quantités d'autres agissent mal et le sont. Je pense, ajouta-t-il, que tous sont frustrés et que les contestataires expriment une frustration encore plus grande sur le fonctionnement de notre système financier ». David Plouffe, d'ailleurs, qui dirigea la campagne présidentielle d'Obama en 2008 et a remplacé l'éminence grise David Axelrod à la Maison-Blanche,   vend la mèche : « Le président, clame-t-il à qui veut l'entendre, se bat pour les mêmes réformes que « Occupy Wall Stree  »». Précisant : « Si vous vous sentez concernés par Wall Street et notre Système financier, le président se tient au côté des consommateurs et des classes moyennes ». Depuis quatre ans, toute la politique menée par l'Administration Obama vise à casser l'hégémonie de la classe moyenne américaine, celle qu'on appelait encore il n'y a pas si longtemps « la majorité silencieuse ». Prend-il les Américains pour des imbéciles ? Sans doute puisqu'il ajoute : « Les protestations que vous entendez, les gens les tiennent dans leur salon ou leur cuisine à travers tous les États-Unis. Ils sont très frustrés par une économie qui ne récompense pas ceux qui travaillent dur et prennent des responsabilités, là où Wall Street et l'homme de la rue semblent ne pas jouer selon les mêmes règles. La question qui se pose est la réforme de Wall Street, celle que le Président a passée. Par exemple la plupart des Républicains du Congrès et, je crois, tous les (candidats) Républicains veulent revenir sur cette réforme... Ils souscrivent tous à la même politique économique qui a conduit à la Grande Dépression. Ils veulent laisser Wall Street faire elle-même ses propres règles. D'énormes réductions fiscales pour les riches et pour les grosses corporations multinationales. Ne pas investir dans l'éducation et dans la reconstruction du pays ». Comment peut-on sur une grande chaîne de télévision - ABC -, à une heure d'écoute maximum - 7h du matin -, dans une des plus célèbres émissions des États Unis - Good Morning America - débiter face à un des journalistes les plus célèbres du pays - Georges Stephanopoulos, ancien directeur de la Communication de Bill Clinton - autant de platitudes et d'inepties. Plouffe ne peut ignorer qu'il y a parmi les Républicains un candidat du nom de Ron Paul. Depuis des décennies il n'a pas attendu Obama et OWS pour combattre Wall Street, les milliardaires de la finance, et les corporations multinationales. Il est même le seul à réclamer la suppression de la Réserve Fédérale et à dénoncer ses directeurs tout-puissants Greenspan et Bernanke.
    INDIGNÉS, OWS, ETC. UNE MACHINATION GLOBALE
    À New York, plusieurs centaines de gauchistes défilèrent devant les résidences de centaines de milliardaires qui prétendent vouloir payer plus de taxes. Ce sont les mêmes gauchistes que l'on voit dans les rassemblements de Davos, de l'OMC, des G.20 et des G.8. Qui braillent. Cassent. Et pillent. On ne les voit jamais lors des conciliabules du Bilderberg et de la Trilatérale parce qu'il leur faudrait s'y affronter aux Rothschilds et aux Rockefeller, ainsi qu'à leurs factotums, les Soros, les Murdoch, les Oppenheimer, et tous ceux, milliardaires à fondations en tête, qui les financent et les nourrissent.
    C'est donc un signe symptomatique que les seuls à réclamer dans les rues la dissolution de la Réserve Fédérale sont les partisans de Ron Paul et certains membres des Tea Parties. Or la FED est au cœur de la crise systémique financière mondiale. Un imposteur, ancien président de la Réserve Fédérale du Texas, surgit de nulle part, se revendiquant des Tea Parties, a même été placé ces derniers temps en tête des candidats républicains par un gigantesque battage médiatique. Il a la faveur des conseillers d'Obama, dont il défend la politique économique, tout en attaquant violemment, pour donner le change, les frondeurs de Wall Street. Surtout, il tire à boulets rouges sur Ron Paul qu'il traite « d'idiot » dans un livre qui vient d'être publié. Admirateur de Greenspan, Herman Cain, qui est Africain-Américain, défend vigoureusement son bilan et celui du FED. Dans l'hypothèse d'une présidentielle Obama-Cain, le premier ne ferait qu'une bouchée du second, la majorité des républicains blancs restant chez eux.
    L'immense mouvement de soi-disant révolte démocratique mondiale n'est qu'une vaste machination. Ses ramifications s'étendent peu à peu à la planète entière. À partir de l'Amérique qui reste le point stratégiquement sensible de cette toile.
    Jim REEVES. RIVAROL du 28 OCTOBRE 2011

  • Pour la sénatrice Michèle Meunier (PS) la famille hétéro-parentale relève du “fantasme”

    PARIS (NOVOpress Breizh) – Le projet de loi sur le mariage homosexuel « sort la famille du fantasme “une maman, un papa et un enfant” ». C’est ce qu’a déclaré – le plus sérieusement du monde –  jeudi au Sénat Michelle Meunier (ci-dessus), sénatrice de Loire-Atlantique et rapporteur du projet, qui a dénoncé au passage la famille « hétéro-patriarcale-blanche ». Une intervention qui a le mérite de mettre en évidence les fondements idéologiques de ce  projet.

    « Notre démarche s’inscrit dans un mouvement international et invite à la tolérance ; la France, patrie des droits humains, s’honore à rattraper son retard. [...] Ce texte s’inscrit dans la devise de notre République. Il permet aux couples homosexuels de faire famille. Assumons-le. Il sort la famille du fantasme « une maman, un papa et un enfant (sic) ». L’élue de Loire-Atlantique, qui avait entamé son intervention en affirmant « nous vivons là un grand moment et entrons, à notre manière, dans l’histoire de France (resic) »  n’a pas fait dans la nuance lors de la séance d’ouverture, devant de Sénat, du débat sur le projet de « mariage pour tous ».

    Et cette proche de Jean-Marc Ayrault de poursuivre  - sous les sifflets de l’opposition  : « car cette famille-là n’a jamais été universelle. De tout temps, des parents ont mis au monde des enfants qu’ils n’ont pas pu ou voulu assumer. De tout temps, des enfants sont nés sans père. De tout temps, des enfants ont été élevés par d’autres personnes que leurs père et mère. Ce qui pose problème, c’est cette famille idéalisée, « hétéro-patriarcale-blanche » de préférence  de plus en plus éloignée des réalités. La loi doit s’adapter. » 

    Une opinion partagée par Esther Benbassa, sénatrice du Val-de-Marne (EELV) : « Protéger l’enfant ? Tout le monde est pour ! Il lui faut un père et une mère ? Pure idéologie de même que cette conception d’une famille traditionnelle ».

    On savait déjà que pour la gauche « sociétale » la délinquance et l’immigration sont des « fantasmes », c’est-à-dire, selon la définition donnée de ce mot, « des visions illusoires produites par une lésion du sens optique ou par un trouble des facultés mentales ». Aujourd’hui c’est la famille hétéro-parentale qui à son tour en est un, surtout – circonstance aggravante –  s’il s’agit d’une famille  « hétéro-patriarcale-blanche ». On n’arrête pas le progrès.

    http://fr.novopress.info

  • Devant le Sénat avec Civitas, on ne lâche rien!

    sénat1.png

    Jeudi soir 4 avril, Civitas a rassemblé des défenseurs de la famille pour témoigner d’une sainte colère vis à vis du projet de loi Taubira et de l’autisme du président de la république et de son gouvernement.

    Après un discours offensif d’Alain Escada, le rassemblement s’est déroulé dans une ambiance priante autour de l’abbé de Cacqueray qui a mené la récitation du rosaire et les méditations concernant le salut de la France confrontée aux lois iniques.

    Vers 20h c’était plus de 500 personnes qui participaient à ce témoignage public de Foi, à l’occasion de cette bataille menée contre ce projet de loi dénaturant le mariage et la parenté.

    Au total ce sont près de 700 personnes qui a un moment ou l’autre se sont jointes au rendez-vous de Civitas.

    Dès ce soir 19H rue de Tournon devant le Sénat on y retourne, on ne lâche rien !

    http://fr.altermedia.info

     

  • Communiqué de l’Action française : Une ambiance de fin de règne.

    L’affaire Cahuzac plongerait le monde médiatico-politique dans un grand émoi…

    Si la réalité n’était pas aussi tragique, on rirait de ces assauts de moralisme outragé, de ces poses vertueuses des « régimistes payés ».

    D’abord, précisons que le mensonge d’Etat, la corruption, les lois ineptes, ne sont pas l’apanage exclusif de la gauche libérale socialiste. La droite libérale démocratique (celle que la gauche, entre deux insultes, reconnaît comme républicaine) pratique le même sport a peu près au même rythme.

    Ces deux faces d’une même médaille utilisent la règle convenue du jeu électoral qui, comme dans « Qui veut gagner des millions ? », fait tous les cinq ans un heureux gagnant.

    Mensonge, corruption… Mais rappelons nous : Cela a commencé dès la révolution ! Tandis que Danton s’enrichissait, comme de nombreux « citoyens décideurs » avec la récupération des « fermes générales » et le pillage des biens de l’Eglise, que soixante départements sur quatre-vingt quatre, malencontreusement consultés, souhaitaient le maintien de la monarchie et qu’on écrasait dans le sang les révoltes populaires qui éclataient partout en France, on fondait la République une et indivisible, déjà dans le mépris du peuple que l’on séduisait par le mensonge ou soumettait par la terreur.

    Comment se pourrait-il que née ainsi, la République, produise de bons fruits ?

    Les affaires ont émaillé la vie de celle que Maurras appelait la « femme sans tête », du scandale de Panama à l’affaire Stavisky, qui vit descendre les patriotes dans la rue.

    Jusqu’alors, la République tenait au moins une relative légitimité de la défense de la Nation dont elle se faisait la championne, mission régalienne qu’elle eut l’intelligence d’hériter de la monarchie capétienne, non sans la déformer et faire malheureusement du nationalisme une caricature belliciste.

    Mais, ses abandons successifs de souveraineté tendant à dissoudre la Patrie dans l’Union européenne, elle même antichambre du mondialisme anglo-saxon, est en train de lui retirer toute reconnaissance du peuple, la rendant de plus en plus étrangère à la France réelle. La loi Taubira, qui s’inscrit dans ce planning mondialiste et vise à transformer nos peuples de France en une foule anonyme de clones asexués, complétant le projet de métissage obligatoire défendu par Sarkozy, devrait achever de convaincre les patriotes que non seulement la République n’est pas la France, mais encore qu’elle met en grave danger notre Patrie construite par huit siècles de monarchie capétienne.

    Pour sauver la France, il faut abattre d’urgence la République.

    Olivier Perceval, Secrétaire Général de l’Action française

    http://www.actionfrancaise.net

  • Pour comprendre les enjeux de la future loi sur le mariage pour tous et la théorie du gender

    Voici la conférence particulièrement complète d'un juriste-magistrat et essayiste, Patrice André: http://www.youtube.com/watch?v=sxydtWn4WJw&feature=yo... 

    Dans le cadre de la loi sur la refondation de l'école (réforme Peillon) un amendement à été déposé et voté (le 20 mars) pour rendre obligatoire l'éducation à la théorie du genre dès 6 ans. Voyez ici la député PS défendre cet amendement: http://www.theoriedugenre.fr/spip.php?article14 

    Une pétition est lancée pour demander le retrait de cet amendement http://www.theoriedugenre.fr/spip.php?article25

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/