Adrien Pérez avait été mortellement poignardé à la sortie d’une boite de nuit de Meylan, près de Grenoble (Isère), le 29 juillet 2018. L’un des trois individus mis en cause dans cette affaire pourrait être remis en liberté. Le parquet a fait appel de cette décision.
anti-national - Page 160
-
Meurtre d’Adrien Perez : l’un des meurtriers présumés pourrait être libéré, le parquet a fait appel
-
Parti national financier : le scandale judiciaire du siècle ?
Lancé à la suite de l’affaire Cahuzac pour traquer la corruption, le Parquet National Financier (PNF) s’est intéressé de trop près aux hommes politiques. Quitte à devenir un acteur politique au comportement trouble.
Nous sommes en janvier 2017 à peine le Canard Enchaîné a-t-il commencé le feuilletonnage des turpitudes du candidat Fillon que le Parquet national financier (PNF) ouvre une enquête préliminaire. La suite, on la connaît : le candidat de la droite, donné favori pour la présidentielle, n'est pas qualifié pour le second tour. C'est la première fois que la justice intervient en pleine élection présidentielle. Le dossier sur Fillon était-il vraiment à charge justifiant une action si prompte ? En tout cas, le 10 juin 2020, devant les députés, celle qui était alors procureur du PNF Éliane Houlette, dit avoir reçu des pressions multiples et détaillées de sa hiérarchie judiciaire. Notamment de la part de Catherine Champrenault, procureur de Paris nommée par Taubira. Curieusement, en juin 2019, Houlette disait n'avoir reçu aucune pression...
-
Le maire EELV de Colombes compare les forces de l’ordre à la police de Vichy, Darmanin veut porter plainte
Patrick Chaimovitch, nouvel édile de la ville des Hauts-de-Seine, a comparé les forces de l’ordre qui «traquent les migrants» aux gendarmes impliqués dans la rafle du Vel d’Hiv.
-
CE PAYS PART EN VRILLE
-
On ne peut vaincre l’ensauvagement qu’en restaurant Notre civilisation ! (II)
Les violences urbaines de Dijon, de Nice et d’ailleurs, les meurtres gratuits qui témoignent d’une totale indifférence à la vie des autres ont propulsé la notion d’ensauvagement au premier plan de l’actualité. Le fonctionnement médiatique de notre société nous habitue à traverser au pas de charge des séquences saturées par un sujet dominant. Certains sont imposés d’en haut par l’idéologie qui anime le microcosme des politiques et des communicants, comme le réchauffement climatique, d’autres s’imposent d’eux-mêmes mais sont récupérés par la sphère du pouvoir, comme la pandémie actuelle, qui accroît l’emprise sur la société civile, d’autres encore sont suscités par des groupes de pression idéologiques et déstabilisateurs comme l’étonnante incursion en France du « racialisme » prétendument antiraciste, qui a facilité la scandaleuse exploitation de l’affaire Traoré. Enfin, il y a ceux que les faits eux-mêmes placent en tête des informations. Les violences, les coups de couteau, les blessures, les handicaps à vie, les morts, pour un mauvais regard, pour une cigarette refusée, pour un rappel à l’ordre sont monnaie courante mais demeurent dans la zone grise des faits divers où les revendications islamistes sont signes de déséquilibre mental et les noms des auteurs oubliés ou maquillés. Et puis, en quelques jours, des morts particulièrement cruelles commis par des « sauvages », provoquent une vague émotionnelle et font monter à la surface la réalité que la France d’en-haut veut cacher : celle de ces quartiers et maintenant de ces villes où la loi qui règne n’est pas celle de l’Etat, mais celle des bandes qui vivent des trafics ou des communautés qui s’inspirent d’autres règles que les nôtres. Dans cette France à l’envers, c’est le citoyen qui doit fermer les yeux et baisser la tête, car à vouloir rappeler la loi, il risque sa vie. Cette question est évidemment plus importante que celle du Covid-19, car contrairement à la maladie, elle dépend entièrement de la volonté politique, et qu’elle est d’une durée plus longue. Elle est plus essentielle que l’écologie ou l’économie, car elle est nationale et non mondiale et dépend de nous. C’est pourquoi le gouvernement de contre-sens que notre pays subit depuis trois ans l’a superbement ignorée et écartée. Voici qu’elle lui est jetée à la figure.
-
La Pologne envisage de dénoncer la Convention féministe d’Istanbul
Marlena Maląg, ministre polonaise de la Famille, du Travail et de la Politique sociale, a déclaré dans une interview télévisée que la Pologne pourrait se retirer de la Convention d’Istanbul du Conseil de l’Europe.
La Convention d’Istanbul, également connue sous le nom de Convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et contre la violence domestique, tente en réalité de faire de l’idéologie du genre et du féminisme radical des normes contraignantes du droit international.
La Convention a été ratifiée par la Pologne en 2015 avec un certain nombre de réserves et de déclarations. En particulier, la Pologne a déclaré que la convention ne serait appliquée que conformément à la Constitution polonaise. Cette position de la Pologne semble évidente et justifiée – en fin de compte, aucun gouvernement n’a le droit de ratifier un traité international contraire à la constitution de son pays. Mais la réaction a été très vive: l’Autriche, la Finlande, les Pays-Bas, la Norvège, la Suède et la Suisse ont déclaré (en utilisant toujours les mêmes mots) qu’ils s’opposaient à cette position de la Pologne.
-
COMMENT LA FINANCE INTERNATIONALE FINANCE L’EXTRÊME GAUCHE (L’Imprécateur)
Ils sont nombreux dans les sommets de l’oligarchie internationale à exploiter les classes pauvres des pays africains. Comme ces enfants de la République Démocratique du Congo qui extraient à mains nues le cobalt.
D’autres extraient de la même manière le coltan avec lequel est produit le niobium, tous produits indispensables à l’électronique moderne, notamment les smartphones. Les enfants gagnent environ 1 € par mois, les adultes de 10 à 30 €. Des bandes armées volent le bétail des fermiers africains pour les contraindre à aller travailler dans les mines et toutes sortes de formes d’oppression leur sont infligées.
C’est le nouvel esclavage africain, organisé par des africains avec la complicité de l’état congolais au profit des multinationales comme on le voit ICIDEPUIS DEUX MILLE ANS, LES AFRICAINS METTENT LEURS FRÈRES EN ESCLAVAGE
Ils n’ont jamais cessé de mettre leurs « frères et sœurs » en esclavage depuis des siècles avec autrefois plus encore de brutalité et de violence, comme lorsqu’en 1890 le roi Buhanzin, pour fêter le premier anniversaire de son accession au trône du Dahomey, fit égorger mille esclaves pris dans les pays voisins, dont les douze premiers de sa propre main.
Mais aujourd’hui, au bout de la chaîne, ce sont Microsoft, Apple, Huawei, Tesla, etc. qui paient pour l’exploitation des esclaves.
Aux Etats-Unis et en France, on voit des Noirs manifester pour se plaindre de ce que leurs ancêtres furent esclaves et de ce que la police les brutalise parfois quand ils commettent un délit, qui n’est que le nième d’une longue série.
Ils s’appellent Black Lives Matter, et sont financés par dizaines de millions de dollars par les mêmes qui s’enrichissent à milliards en Afrique : Microsoft, Apple, Huawei… auxquels se joignent Facebook, Amazon, Open society, Fondation Clinton, etc.
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, international, lobby, magouille et compagnie 0 commentaire -
Élisabeth Moreno : ces féministes outrées par la promotion d'une femme, par Natacha Polony.
Natacha Polony, directrice de la rédaction de "Marianne", revient sur l'accueil scandalisé reçu par Élisabeth Moreno, nouvelle ministre déléguée à l'Égalité entre les femmes et les hommes, de la part des associations féministes.
La « crise du modèle méritocratique républicain » est « le plus important des problèmes » que rencontre la France. Ces propos, prononcés par le président de la République lors de son entretien du 14 Juillet, sont totalement passés inaperçus. Il faut dire qu'il n'a pas insisté outre mesure ni donné l'impression qu'il allait enfin renverser la table. Pourtant, le diagnostic est juste. D'autant plus juste qu'il passe complètement en dessous des radars de médias beaucoup plus intéressés par les agitations d'activistes plus ou moins radicaux que par la destruction lente et inexorable du pacte social qui unit les Français.
-
Meurtre d’Axelle Dorier : ces « féminicides » qui n’intéressent pas les féministes !
Elle était ravissante, Axelle, 23 ans et le sourire sur un avenir qu’on lui imaginait radieux. Elle appartenait à cette catégorie de « soignants » qu’on a applaudis tous les soirs à 20 heures pendant le grand show du confinement, ceux qu’on a fait défiler à la Concorde, le 14 juillet dernier. « Nos héros », comme on dit à l’Élysée.
Mais l’héroïne est morte. Assassinée de la pire façon : traînée sur 800 mètres par un chauffard jusqu’à en être démembrée. Un chauffard dont on peut imaginer, vu les circonstances, qu’il l’a percutée volontairement. Les enquêteurs s’interrogent : quel était « le niveau de conscience » du conducteur (21 ans) et de son passager (19 ans) ? Ont-ils senti qu’il y avait quelque chose sous les roues ?
-
Etats-Unis : médias menteurs lourdement condamnés
Tels sont pris qui croyaient prendre…
Nos lecteurs studieux se souviennent peut-être de l’affaire de Covington en Amérique. Le 18 Janvier 2019, à la fin de la Marche pour la Vie, un groupe d’étudiants pro-vie venus de l’école supérieure de Covington (Kentucky) était en train de se disperser. Un indien « natif » clochardisé du nom de Nathan Phillips s’enfonça parmi eux en battant du tambourin sous le nez d’un jeune catholique du nom de Nicholas Sandmann. Le garçon sourit aimablement.