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Lors de son audition par la Commission d’enquête parlementaire sur l’impact, la gestion, et les conséquences de l’épidémie du Covid-19, le 16 juin, le Pr Jérôme Salomon, Directeur général de la santé, a nié, sous serment, que les portes des réanimations ont été fermés aux résidents d’EHPADs.
Or, les chiffres sont sortis et ils sont accablants. Alors que la classe des plus de 75 ans rassemblait le plus grand nombre des patients hospitalisés (tous services), nous observons un effondrement de la proportion des +75 ans hospitalisés en réanimation, passée de 37% le 15 mars à 14% au pic de mortalité à l’hôpital (6 avril 2020). Une présence réduite qui n’a que très peu évolué par la suite (maintenue entre 15% et 19,5%). Cet effet de ciseaux ne peut s’expliquer que par une exclusion brutale des plus de 75 ans refusés à être admis en réanimation :
C’est le Snowden des réseaux sociaux : il a filmé et prouvé le net penchant anti-républicain et anti-Trump de la multinationale de Marc Zuckerberg qui se pose en plateforme numérique neutre alors qu’il s’agit d’un gigantesque aspirateur à données personnelles et une officine de renseignement directement liée au pouvoir profond, qui tente justement de déstabiliser Trump...
L’Amérique s’est bien sûr lancée dans le traçage, comme l’Europe. Ceux qui sont testés positifs au COVID-19 sont tenus de partager les noms de toutes les personnes avec lesquelles ils ont récemment été en contact, afin que ces personnes puissent être informées de leur exposition au virus. Ça c’est pour la version officielle.
Cela permet aux organisations chargées du traçage et aux États d’accumuler une énorme base de données sur les personnes, rassemblant des informations privées sur la santé, la famille, les amis, les déplacements et le mode de vie des individus.
Partners in Health, organisme mondialiste chargé du traçage des malades du Covid-19
Partners in Health (PIH), un organisme du Massachusetts cofondé par le mondialiste Paul Farmer, coprésident du conseil d’administration de PIH, tient un rôle important dans le traçage aux Etats-Unis. Notons que cet organisme est présent dans le monde entier.
L’ancienne directrice du Département de la santé de l’Ohio, Amy Acton, qui a démissionné le 3 juin 2020 et le gouverneur de l’Ohio Mike DeWine avaient déjà engagé Partners in Health pour gérer le programme de traçage à l’échelle de leur État.
Le gouverneur de l’Ohio, Mike DeWine, qui entretient des liens étroits avec Haïti, y avait emmené Amy Acton et l’y fit rencontrer Paul Farmer pour la première fois. Notez qu’en Haïti, la Clinton Global Initiative (CGI), un programme de la Fondation Clinton, est étroitement liée à PIH. En fait, les deux organisations partagent un membre du conseil d’administration commun : Chelsea Clinton, fille de Bill et Hillary Clinton. La Clinton Global Initiative est également associée avec Paul Farmer et PIH au Rwanda.
La Fondation Clinton a par ailleurs produit une série de vidéos avec des interviews liées à la pandémie de coronavirus, mettant en vedette l’ancien président Bill Clinton. Lors d’une interview entre Clinton et le gouverneur de Californie Gavin Newsom, réalisée le 23 avril 2020, Clinton mentionne son ami, Paul Farmer, et Partners in Health.
Pour avoir simplement voulu contrôler le ticket de l’un d’eux et exigé des trois autres qu’ils portent un masque, Philippe Monguillot, chauffeur de bus à Bayonne, a été battu à mort dimanche par quatre voyous ethniques de cette zone de non-France qu’est le quartier Balichon. Une agression d’une sauvagerie extrême qui, après celle de Thomas, tué de huit coups de couteau par un « jeune » tout juste sorti de prison (Présent daté du 7 juillet), et le meurtre du gendarme Lemée, écrasée par le multirécidiviste Yacine E. (Présent daté du 8 juillet), témoignent de l’ensauvagement croissant et plus qu’inquiétant de notre pays sous les effets conjugués du laxisme judiciaire, de l’immigration massive et de la haine anti-Blancs et anti-police excitée par le lobby antiraciste et les médias.
Il assure n’avoir « évidemment » rien à se reprocher et marcher « la tête haute ». Jeudi 9 juillet sur RTL, le nouveau ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré « avoir le droit à la présomption d’innocence », alors qu’il est visé par une enquête pour viol et que sa nomination place Beauvau provoque l’indignation et la colère des associations féministes.
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Comment l’enquête le visant a-t-elle évolué depuis la plainte de Sophie Patterson-Spatz en 2017 ? Eléments de réponse.
Dans ce conflit, la Commission européenne, gardienne des traités, interprète la phrase « les États membres établissent les voies de recours nécessaires pour assurer une protection juridictionnelle effective dans les domaines couverts par le droit de l’Union » comme conférant aux institutions de l’UE un pouvoir sur l’organisation et le fonctionnement des institutions judiciaires nationales. Ce pouvoir serait supérieur à celui des cours constitutionnelles nationales. De la même manière, la mention de l’État de droit parmi les valeurs visées par l’article 2 du Traité sur l’Union européenne est invoquée par la Commission en soutien de sa prétention à exercer un contrôle direct sur le respect de l’État de droit. C’est particulièrement vrai vis-à-vis de la Pologne et de la Hongrie depuis que ces pays sont dirigés par des conservateurs dont les idées ne correspondent pas toujours à celles dominantes à Bruxelles. Et puisque l’article 7 permet difficilement de sanctionner un État membre qui ne respecterait pas l’interprétation que la Commission européenne fait de ces valeurs énumérées à l’article 2, celle-ci s’efforce d’obtenir de la CJUE qu’elle étende sa compétence au contrôle du respect de l’État de droit dans les pays membres. Mais comme cela ne suffit pas pour faire plier Varsovie (et également Budapest), la Commission européenne, soutenue par le Parlement européen, cherche en outre, depuis deux ans, à introduire dans le prochain cadre financier pluriannuel de l’Union – et aussi désormais dans le plan de relance négocié pour faire face aux conséquences économiques de la pandémie de COVID-19 – un mécanisme conditionnant le versement des fonds européens à l’appréciation par la Commission européenne du respect par chaque État membre de l’État de droit et des valeurs évoquées à l’article 2 du Traité sur l’Union européenne. Ce serait une autre manière de contourner les conditions strictes prévues pour sanctionner un pays sous le régime de l’article 7. Sans attendre la mise en place d’un tel mécanisme, la Commission européenne exerce déjà de fait un chantage aux fonds européens contre les collectivités locales polonaisesqui s’opposent à l’idéologie LGBT, ce qui illustre très bien à quoi pourrait servir le conditionnement des fonds européens au respect de « l’État de droit ».
C’est pourquoi le conflit qui oppose aujourd’hui Bruxelles à Varsovie concerne en fait tous les Européens.
Les mots justes de Patrice Quarteron face au silence assourdissant de ceux qui font désormais des délinquants des victimes tout en oubliant les victimes de ces délinquants !
Nouveau concept star des social justice warriors, le « privilège blanc » n’est pas qu’un gadget intellectuel à la mode. Cette idée gagne du terrain en France. La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNDH), fondée en 1947 par le Français René Cassin, juriste et proche collaborateur de Charles de Gaulle, vient de rendre son rapport annuel sur « la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie ». Rappelons tout d’abord que cette institution, autorité administrative indépendante (AAI), ne reçoit en théorie aucune commande de la part des pouvoirs publics. Son rôle est de conseiller. D’abord attachée à la définition classique des droits de l’homme (liberté d’expression, de circulation, de réunion, etc.), le nombre de ses attributions a beaucoup augmenté ces dernières années, alors qu’elle-même critique volontiers « l’inflation législative ». La lutte contre le racisme a rejoint son éventail d’actions depuis 1990 ainsi que « toutes les formes de haine anti-LGBT » en 2018. Alors qu’elle avait jugé la loi AVIA « disproportionnée et inopportune », la CNDH se convertit à la paranoïa ambiante autour du « privilège blanc », cité plusieurs fois dans son rapport présenté le 21 juin dernier. De plus, si elle récuse le droit de censure à des sociétés privées, elle « recommande [au gouvernement] de poursuivre l’amélioration de la coopération [de l’État] avec les fournisseurs d’accès à Internet, les hébergeurs et les sites de référencement aux fins de retrait des discours de haine en moins de 24 heures. » Quand on connaît l’interprétation de plus extensive, au niveau politique et judiciaire, de la notion d’incitation à la haine, il est clair que cette recommandation ne peut qu’amener à une censure plus rapide et plus large.
L’implantation du culte musulman en France métropolitaine remonte au début du XXème siècle. Depuis lors, le nombre de mosquées s’est considérablement accru sans que, pour autant, le droit afférent à leur édification n’ait fait l’objet d’une clarification.
LA GRANDE MOSQUÉE DE PARIS
La première mosquée fut celle de Paris, inaugurée le 15 juillet 1926, conjointement par le sultan du Maroc Moulay Youssef et le président de la République Gaston Doumergue. Cette construction répondait à une demande contenue dans un mémoire remis au gouvernement en 1916 par Paul Bourdarie, membre du Comité consultatif des Affaires indigènes. Il s’agissait de manifester la reconnaissance de la France envers les musulmans des territoires relevant de son domaine colonial pour leur loyauté durant la Première Guerre mondiale. « Aux yeux de beaucoup de responsables, la France avait contracté une dette d’honneur et de reconnaissance à l’égard de l’Islam » (Alain Boyer, L’Institut musulman de la Mosquée de Paris, CHEAM, 1992, p. 20).
Ayant accepté ce projet, le gouvernement ne pouvait cependant pas en être l’acteur direct puisqu’il comportait un lieu de culte, ce qui contrevenait à la loi de 1905 portant séparation des Églises et de l’État. Pour contourner l’obstacle, une loi votée en 1920, autorisa la construction, sur fonds publics, d’un Institut musulman placé sous la responsabilité d’une association relevant de la loi de 1901, en l’occurrence le Comité de l’Institut musulman à Paris dont l’objet comportait aussi explicitement l’édification d’une mosquée, le tout subventionné par l’État. « La vocation culturelle de l’Institut musulman a été volontairement mise en avant pour autoriser cette entorse aux règles de la laïcité » (Xavier Ternisien, La France des mosquées, Albin Michel, 2002, p. 40).