L’immigration illégale comme « investissement » pour l’avenir. Ainsi écrit le PNUD (Programme des Nations Unies pour le développement) présentant l’étude The Scaling Fences : Voices of Irregular African Migrants to Europes, réalisée en interrogeant plus de 3 000 immigrants de 43 pays africains différents et installés dans 13 pays européens (mais près de la moitié des sondés vivent en Espagne et en Italie, c’est-à-dire les deux ports d’arrivée pour 90% d’entre eux).
Le dossier, même s’il est réalisé par une organisation hautement tiers-mondiste et immigrationniste comme les Nations Unies, confirme en réalité les thèses opposées. Parce qu’il dissipe la propagande selon laquelle les immigrés fuient les guerres, la famine et la pauvreté en quête d’asile politique, et qu’il y a donc un devoir moral d’ouvrir les frontières de l’Europe.