Avec leur spectaculaire « opération Alpes » d’avril 2018 et leur occupation surprise du toit de la CAF de Bobigny en mars 2019, les militants de Génération identitaire avaient déjà fait la preuve de leur immense courage et de leur détermination à lutter pour la défense de notre pays et de notre peuple. Mais, en déployant une immense banderole dénonçant le racisme anti-Blancs comme ils l’ont fait samedi, sous les hurlements de haine et les appels au meurtre des milliers de manifestants « antiracistes » et d’extrême gauche réunis par le Comité Traoré, ces jeunes Français audacieux ont peut-être plus que jamais marqué les esprits de nos compatriotes lassés d’être quotidiennement traînés dans la boue par le lobby « antiraciste ».
anti-national - Page 177
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Formidable Génération identitaire, par Franck Deletraz
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Comment finir par faire la promotion du KKK en prétendant lutter contre le racisme ?
Une recette simple, facile, et efficace.
Prenez un fait divers tragique, comme par exemple l'arrestation houleuse d'un homme noir qui tourne au drame avec le décès de ce dernier. Avant toute enquête et tout jugement, faites de cette mort un meurtre raciste révélateur d'une discrimination structurelle et haineuse touchant les forces de l'ordre mais plus globalement toute la société occidentale et dont chaque blanc, où qu'il se trouve sur la planète, est à titre personnel en partie responsable et coupable.
Parallèlement, ignorez et feignez de méconnaître les innombrables agressions quotidiennes, les viols, les insultes, les tabassages, les humiliations, les meurtres gratuits, les coups de couteaux dont sont victimes des blancs de la part de membres de minorités. Déclarez posément que ça n'a rien à voir, que ça ne compte pas, que ce n'est pas le problème. Exigez de ces mêmes blancs qu'ils demandent pardon pour les crimes imaginaires et fantasmés de leurs lointains ancêtres et qu'ils rampent devant ceux-là même qui leur pourrissent la vie au quotidien bien qu'il n'aient aucunement souhaité leur présence sur leur sol, bien au contraire. Enfin, expliquer aux dits blancs qu'il n'ont qu'une seule et unique alternative : soit être de sales racistes à jamais coupables de tous les maux du monde et de tous les échecs des autres composantes de l'humanité, soit défiler à 4 pattes et en laisse à la prochaine manifestation « Black lives matter ».
Remuez-le tout et laissez exploser.
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Alexandre del Valle : « En fait, il n’y a que des islamistes et des racistes autour de Mme Traoré »
Alexandre del Valle décrypte, pour Boulevard Voltaire, les événements de ces derniers jours : manifestations antiracistes autour de l’affaire Traoré mais aussi violences inter-communautaires à Dijon. Il estime que l’État a cédé devant une véritable offensive insurrectionnelle et porte des accusations graves quant aux personnes qui entourent, dans les manifestations, Assa Traoré, sœur d’Adama.
Ce week-end, à Dijon, des bandes armées se sont livrées à des affrontements. Visiblement, il s’agirait de gangs d’Afrique du Nord contre des gangs tchétchènes. Que révèle cette actualité ?
Ce n’est pas la première fois que cela arrive. Il y a une quinzaine d’années, un de mes amis qui était à la tête de la police de Nice m’avait relaté une vengeance extrêmement violente de Tchétchènes qui avaient été agressés. Les Tchétchènes ont souvent des types européens. Une personne d’une bande algérienne avait agressé un Tchétchène blond ou roux en pensant que c’était un petit Français qu’on pouvait se permettre d’humilier. La vengeance avait été terrible. Le corps avait été traîné sur la route par une voiture. C’était un véritable carnage. Cela remonte à plus de dix ans. Ce n’est donc pas la première fois que des heurts se produisent entre Tchétchènes et Algériens ou entre Tchétchènes et Albanais. Ce sont des peuples très durs avec des mafias très organisées qui font en général très peur. Les Albanais ou les Tchétchènes de ces gangs mafieux ont souvent des types européens. Les milieux du banditisme maghrébin craignent énormément ces deux milieux. Parfois, ils les prennent pour des Français de souche qu’ils jugent beaucoup moins violents.
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QUE CONTIENT LE NOUVEAU PACTE POUR L'ASILE ET L'IMMIGRATION ?
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Michel Onfray : "Mon péché mortel ? Être resté aux côtés du peuple".
Michel Onfray, chez lui à Chambois, dans l'Orne, en 2019. Photo12 via AFP
Source : https://www.lexpress.fr/
Souverainisme, Le Pen, Raoult, BHL, De Villiers... Dans un grand entretien musclé, le philosophe s'explique sur sa revue Front Populaire et fustige les médias.
Il est l'intellectuel qui entend réunir les souverainistes de tous bords à travers sa nouvelle revue Front populaire, où l'on retrouve Jean-Pierre Chevènement comme Philippe de Villiers. Il est aussi celui qui concentre les critiques violentes sur sa supposée dérive idéologique qui l'aurait vu passer de la gauche libertaire de Proudhon à l'extrême-droite d'Eric Zemmour.
Au coeur des polémiques, Michel Onfray publie également l'ultime volume de sa monumentale Contre-histoire de la philosophie (Grasset). Dans La résistance au nihilisme, on retrouve ce que le philosophe Onfray a de meilleur et, parfois, de plus caricatural : d'un côté, un populisme au sens noble du terme qui en fait un formidable pédagogue sur la pensée d'après mai-68 (avec des belles pages sur Pierre Hadot ou Robert Misrahi) comme un critique impitoyable d'une gauche intellectuelle qui a souvent préféré les jargons obscurs aux masses populaires ; de l'autre le pamphlétaire manichéen et antilibéral à qui l'outrance fait perdre le sens des nuances...
Dans un long entretien accordé à l'Express dans lequel il ne nous épargne pas, le philosophe s'explique sur cette nouvelle revue, mais aussi sur l'évolution de ses positions sur l'immigration, Didier Raoult, BHL, ses soutiens dans la droite radicale et son parcours personnel.
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Report des régionales en 2022 : si Trump ou Orban osaient, ils seraient vilipendés
Mais comme il s’agit de Macron, c’est parfaitement démocratique…
Alors que les élections régionales sont prévues en mars 2021, la perspective d’un report du scrutin à 2022 – donc après la présidentielle – est sur la table de l’exécutif.
Lundi, le président de la République aurait profité d’un déjeuner avec Renaud Muselier, président des Régions de France, pour lui proposer une aide financière de l’État en échange du soutien des Régions de France.
«Je vous aide (financièrement) si vous m’aidez à reporter les régionales après la présidentielle car j’ai des opposants politiques parmi vous».
Une manière de renvoyer aux ambitions politiques de certains présidents de régions qui louchent sur la présidentielle, comme Xavier Bertrand (Hauts-de-France), Valérie Pécresse (Île-de-France) ou Laurent Wauquiez (Auvergne-Rhône-Alpes).
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SOS Racisme, CRAN, Indigénistes et autres associations racialistes ne peuvent plus parler au nom de tous les Noirs, ça suffit !
Quel bonheur de voir l’ex-ministre de Mitterrand, Kofi Yamgnane, dire, dans une interview : « Je ne crois pas qu’il y ait un problème noir en France… La France n’est pas raciste, je ne comprends pas les actions des mouvements comme le CRAN, le PIR. »
Ça fait du bien de voir qu’une personnalité noire de gauche ose prendre une position aussi claire dans une période où cracher sur la France, cracher sur l’autorité est un passeport d’acceptation par la communauté noire.
Ça fait du bien de savoir que nous autres, Noirs conservateurs de droite, n’avons pas tort de défendre vaille que vaille, coûte que coûte, ce pays qui est le nôtre, la France.
Et si les barrières commençaient à tomber ?
Et si, finalement, la majorité dans les minorités visibles avait enfin le courage de prendre des positions conservatrices et les assumer ?
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« On va lui faire un Charlie Hebdo, on va le tuer » : Éric Zemmour porte plainte après avoir reçu un torrent d’insultes et de menaces suite à la divulgation de son numéro de téléphone
VA- Alors que son numéro de téléphone personnel a été diffusé par un individu malveillant sur les réseaux sociaux, le journaliste reçoit depuis trois jours menaces et insultes. Il a décidé de porter plainte.
(…) Vendredi 12 juin, son numéro personnel a été diffusé sur le réseau social Snapchat par un individu aux intentions, à l’évidence, peu bienveillantes. Excédé, le journaliste du Figaro et de Cnews a saisi son avocat, Maitre Olivier Pardo, qui déposera plainte, ce lundi 15 juin.
Ce dernier avait lui aussi fait l’objet de menaces de mort, par téléphone, à son cabinet, le 2 juin dernier, au lendemain de la parution de son interview exclusive sur le site de Valeurs actuelles : « Vous lui direz que s’il défend les sales juifs, les youds, les youpins, nous, les arabes, on va venir à son cabinet, on va lui faire la guerre. On va venir, on va lui faire un Charlie Hebdo, on va le tuer, on va tous vous tuer » avait proféré l’auteur des faits.
(…) Une enquête pour « violences » et « menaces » avait également été ouverte par le parquet de Paris, quelques jours après l’agression, dans le 9e arrondissement de la capitale, subie par Éric Zemmour le 30 avril dernier.
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Thaïs d’Escufon (Génération identitaire): « Nous recevons beaucoup d’insultes, mais bien plus encore de remerciements ! »
Thaïs, vous avez 21 ans, vous êtes étudiante et, samedi, vous faisiez partie de ces jeunes qui ont déployé une banderole sur les toits de Paris au passage de la manif « contre le racisme et les violence policières ». Pouvez-vous nous expliquer l’objet de cette action ?
Le gouvernement s’est incliné devant le gang Traoré. L’essentiel de la classe politique s’est soumis activement ou passivement depuis des semaines. Nous ne sommes pas la génération « genou à terre », nous sommes la Génération identitaire, alors nous avons décidé d’agir.
Constatant le silence et l’inaction de ceux qui nous gouvernent, nous avons décidé d’agir symboliquement en déployant une immense banderole portant ces inscriptions : « Justice pour les victimes du racisme anti-blanc #WhiteLivesMatter » à partir du toit d’un immeuble parisien situé place de la République.
Sitôt que la banderole a été déroulée – l’un d’entre nous a dû descendre en rappel pour l’étendre car le balcon du dessous l’avait bloquée -, nous avons vu l’ensemble du cortège se tourner brusquement vers nous, nous insulter, nous adresser des signes obscènes et, enfin, nous viser avec des pétards et des tirs de mortier. C’était assez dangereux, car même si le toit n’était pas très pentu, nous avons bien failli être déséquilibrés par ces tirs et aurions pu glisser. Il est vrai que cela n’aurait sans doute ému aucun « people »…
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Conflits et violences communautaires : que s’est-il passé à Dijon ce week-end ?
Retour sur les violences qui ont eu lieu à Dijon ce week-end, après l’impressionnante bagarre ce vendredi 12 juin. Selon nos informations des membres se revendiquant de la communauté tchétchène, sont venus de tout le pays, pour se venger de dealers résidant en Côte-d’Or.
Les bagarres place de la République sont presque devenues une habitude le weekend. Mais les images de la nuit du vendredi 12 juin 2020 reste impressionnantes et inédites à Dijon. On y voit plusieurs dizaines de personnes réunies, armées de barres de fer et de battes de baseball. Il s’agirait d’un règlement de compte entre des membres de la communauté tchétchène venus de toute la France, et des dealers dijonnais.