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La France est très généreuse pour octroyer la nationalité et ne rejette qu’un nombre infime d’étrangers.
La France manque-t-elle d’exigence sur ses conditions d’accueil ? En 2019, l’Hexagone a octroyé la nationalité française à plus de 112 000 étrangers, dont 27 000 environ par mariage. Mais dans le même temps, seules 75 personnes ont vu leur demande rejetée, rapporte Le Figaro. Parmi elles, 13 étrangers ont été recalés pour un « défaut d’assimilation » autre qu’une maîtrise insuffisante de la langue de Molière et 62 pour « indignité ».
Rome (Italie) – un immigré clandestin a frappé une jeune fille à coups de pierre et lui a fait perdre un œil. Les habitants de Casilino expriment leur colère : « C’est de pire en pire ».
Alice Tarquini, 32 ans, originaire de Rome, a été victime d’une violente agression qui lui a fait perdre un œil. Un immigré clandestin a jeté des pierres sur sa voiture et a fini par la frapper au visage. Elle rentrait chez elle dans sa voiture lorsqu’elle a été attaquée à une intersection. « J’étais presque à la maison. Je n’ai pas réalisé que j’avais été frappé par une pierre, mais mon visage est soudain devenu ensanglanté. La douleur qui a précédé l’hémorragie était atroce. Je me souviens seulement d’avoir vu quelques instants plus tôt la silhouette d’une personne sur le trottoir (…) Je ne comprenais ce qui s’était passé ».
À peine sommes-nous sortis de nos grottes que la grande guerre de notre temps a repris. Sans crier gare, nous voilà jetés dans un cauchemar dont on nous reproche en sus d’avoir depuis quarante ans voulu l’éviter : celui de la confrontation « raciale », ou au moins civilisationnelle. Sans crier gare, des familles Traoré et des Tchétchènes tapant sur des Maghrébins et réciproquement viennent squatter les feux de l’actualité, imposant leur sous-ordre à la France entière. Sans crier gare ? Nous, nous rigolons. Ça fait donc, comme on vient de le dire quarante, voire cinquante ans qu’une partie lucide de la France avertit des dangers encourus par, disons-le nettement tellement c’est évident, une immigration de masse, inorganisée, subie, ressemblant de plus en plus à une invasion même si les moyens employés ne sont certes pas guerriers.
Lors de son audition par la Commission d’enquête parlementaire sur l’impact, la gestion, et les conséquences de l’épidémie du Covid-19, le 16 juin, le Pr Jérôme Salomon, Directeur général de la santé, a nié, sous serment, que les portes des réanimations ont été fermés aux résidents d’EHPADs.
Or, les chiffres sont sortis et ils sont accablants. Alors que la classe des plus de 75 ans rassemblait le plus grand nombre des patients hospitalisés (tous services), nous observons un effondrement de la proportion des +75 ans hospitalisés en réanimation, passée de 37% le 15 mars à 14% au pic de mortalité à l’hôpital (6 avril 2020). Une présence réduite qui n’a que très peu évolué par la suite (maintenue entre 15% et 19,5%). Cet effet de ciseaux ne peut s’expliquer que par une exclusion brutale des plus de 75 ans refusés à être admis en réanimation :
C’est le Snowden des réseaux sociaux : il a filmé et prouvé le net penchant anti-républicain et anti-Trump de la multinationale de Marc Zuckerberg qui se pose en plateforme numérique neutre alors qu’il s’agit d’un gigantesque aspirateur à données personnelles et une officine de renseignement directement liée au pouvoir profond, qui tente justement de déstabiliser Trump...
L’Amérique s’est bien sûr lancée dans le traçage, comme l’Europe. Ceux qui sont testés positifs au COVID-19 sont tenus de partager les noms de toutes les personnes avec lesquelles ils ont récemment été en contact, afin que ces personnes puissent être informées de leur exposition au virus. Ça c’est pour la version officielle.
Cela permet aux organisations chargées du traçage et aux États d’accumuler une énorme base de données sur les personnes, rassemblant des informations privées sur la santé, la famille, les amis, les déplacements et le mode de vie des individus.
Partners in Health, organisme mondialiste chargé du traçage des malades du Covid-19
Partners in Health (PIH), un organisme du Massachusetts cofondé par le mondialiste Paul Farmer, coprésident du conseil d’administration de PIH, tient un rôle important dans le traçage aux Etats-Unis. Notons que cet organisme est présent dans le monde entier.
L’ancienne directrice du Département de la santé de l’Ohio, Amy Acton, qui a démissionné le 3 juin 2020 et le gouverneur de l’Ohio Mike DeWine avaient déjà engagé Partners in Health pour gérer le programme de traçage à l’échelle de leur État.
Le gouverneur de l’Ohio, Mike DeWine, qui entretient des liens étroits avec Haïti, y avait emmené Amy Acton et l’y fit rencontrer Paul Farmer pour la première fois. Notez qu’en Haïti, la Clinton Global Initiative (CGI), un programme de la Fondation Clinton, est étroitement liée à PIH. En fait, les deux organisations partagent un membre du conseil d’administration commun : Chelsea Clinton, fille de Bill et Hillary Clinton. La Clinton Global Initiative est également associée avec Paul Farmer et PIH au Rwanda.
La Fondation Clinton a par ailleurs produit une série de vidéos avec des interviews liées à la pandémie de coronavirus, mettant en vedette l’ancien président Bill Clinton. Lors d’une interview entre Clinton et le gouverneur de Californie Gavin Newsom, réalisée le 23 avril 2020, Clinton mentionne son ami, Paul Farmer, et Partners in Health.
Pour avoir simplement voulu contrôler le ticket de l’un d’eux et exigé des trois autres qu’ils portent un masque, Philippe Monguillot, chauffeur de bus à Bayonne, a été battu à mort dimanche par quatre voyous ethniques de cette zone de non-France qu’est le quartier Balichon. Une agression d’une sauvagerie extrême qui, après celle de Thomas, tué de huit coups de couteau par un « jeune » tout juste sorti de prison (Présent daté du 7 juillet), et le meurtre du gendarme Lemée, écrasée par le multirécidiviste Yacine E. (Présent daté du 8 juillet), témoignent de l’ensauvagement croissant et plus qu’inquiétant de notre pays sous les effets conjugués du laxisme judiciaire, de l’immigration massive et de la haine anti-Blancs et anti-police excitée par le lobby antiraciste et les médias.
Il assure n’avoir « évidemment » rien à se reprocher et marcher « la tête haute ». Jeudi 9 juillet sur RTL, le nouveau ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré « avoir le droit à la présomption d’innocence », alors qu’il est visé par une enquête pour viol et que sa nomination place Beauvau provoque l’indignation et la colère des associations féministes.
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Comment l’enquête le visant a-t-elle évolué depuis la plainte de Sophie Patterson-Spatz en 2017 ? Eléments de réponse.
Dans ce conflit, la Commission européenne, gardienne des traités, interprète la phrase « les États membres établissent les voies de recours nécessaires pour assurer une protection juridictionnelle effective dans les domaines couverts par le droit de l’Union » comme conférant aux institutions de l’UE un pouvoir sur l’organisation et le fonctionnement des institutions judiciaires nationales. Ce pouvoir serait supérieur à celui des cours constitutionnelles nationales. De la même manière, la mention de l’État de droit parmi les valeurs visées par l’article 2 du Traité sur l’Union européenne est invoquée par la Commission en soutien de sa prétention à exercer un contrôle direct sur le respect de l’État de droit. C’est particulièrement vrai vis-à-vis de la Pologne et de la Hongrie depuis que ces pays sont dirigés par des conservateurs dont les idées ne correspondent pas toujours à celles dominantes à Bruxelles. Et puisque l’article 7 permet difficilement de sanctionner un État membre qui ne respecterait pas l’interprétation que la Commission européenne fait de ces valeurs énumérées à l’article 2, celle-ci s’efforce d’obtenir de la CJUE qu’elle étende sa compétence au contrôle du respect de l’État de droit dans les pays membres. Mais comme cela ne suffit pas pour faire plier Varsovie (et également Budapest), la Commission européenne, soutenue par le Parlement européen, cherche en outre, depuis deux ans, à introduire dans le prochain cadre financier pluriannuel de l’Union – et aussi désormais dans le plan de relance négocié pour faire face aux conséquences économiques de la pandémie de COVID-19 – un mécanisme conditionnant le versement des fonds européens à l’appréciation par la Commission européenne du respect par chaque État membre de l’État de droit et des valeurs évoquées à l’article 2 du Traité sur l’Union européenne. Ce serait une autre manière de contourner les conditions strictes prévues pour sanctionner un pays sous le régime de l’article 7. Sans attendre la mise en place d’un tel mécanisme, la Commission européenne exerce déjà de fait un chantage aux fonds européens contre les collectivités locales polonaisesqui s’opposent à l’idéologie LGBT, ce qui illustre très bien à quoi pourrait servir le conditionnement des fonds européens au respect de « l’État de droit ».
C’est pourquoi le conflit qui oppose aujourd’hui Bruxelles à Varsovie concerne en fait tous les Européens.