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anti-national - Page 178

  • En finir avec la mondialisation, l’immigration, l’assistanat et l’Union européenne

    Chronique de Paysan Savoyard (n°234 – mai 2020)

    La crise sanitaire n’est manifestement pas terminée : elle aura un impact important sur la vie économique et sociale sans doute pendant des mois. Même si la fin de l’histoire n’est donc pas écrite, on peut d’ores et déjà en tirer différentes leçons. Concernant la façon dont la crise a été gérée en France, tout d’abord, nous avons consacré les dernières chroniques à ce sujet. Mais la crise du virus a mis en évidence des enseignements plus fondamentaux, qui ne sont pas nés avec elle mais dont elle souligne la portée.

    • En finir avec la mondialisation 

    Il faudrait en finir avec la mondialisation et ses différents aspects. La mondialisation économique et les délocalisations, tout d’abord. Un système fondé sur un marché mondial est synonyme d’affaiblissement et de déstabilisation des sociétés européennes : le virus a montré les conséquences d’une situation où nous sommes devenus dépendants pour tout, du plus simple, les masques, au plus complexe, les médicaments. Chaque grande zone du monde devrait plutôt évoluer désormais de façon autonome, en fonction de ses caractéristiques sociales, historiques et civilisationnelles.

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  • Loi Avia : LREM a comptabilisé la voix d’un député décédé

    Selon une indiscrétion du Point, le vote du député Jean-François Cesarini a été comptabilisé parmi les 286 votes favorables à la l’instauration de la loi Avia. Seul problème : il est décédé six semaines avant le vote.

    C’est révélation qui pourrait faire énormément de bruit du côté de l’Assemblée nationale. Selon une indiscrétion du Point, le vote concernant le projet de loi Avia risque d’être entaché d’une dérive assez gênante. Et pour cause, la voix du député LREM Jean-François Cesarini figure parmi les 286 (suppression) favorables. Une constatation qui fait désordre car l’homme en question est mort six semaines avant que le vote n’ait lieu.

    https://www.fdesouche.com/1380293-loi-avia-pourtant-decede-avant-le-vote-la-voix-dun-depute-lrem-comptabilisee

  • Le gourdin sanitaire, pour masquer les mensonges d’Etat, par Ivan Rioufol

    Partout, la courbe est la même : l’épidémie de Covid-19 est en phase descendante. La “deuxième vague”, prédite par certains, n’est actuellement pas observable. Aucune raison ne s’oppose plus à la levée des derniers interdits imposés par le gouvernement. Les jardins, les cafés, les restaurants, les théâtres, les cinémas doivent rouvrir. Les Français doivent pouvoir se rendre où ils veulent, en se délivrant de cette laisse des 100 km imposée comme une punition. Surtout, les citoyens doivent urgemment s’émanciper de l’emprise étatique qui les a déresponsabilisés, à force d’être traités comme des enfants incapables. Trois-quarts des salariés ont été pris en charge par l’Etat. On en serait presque à remercier à plat ventre le premier ministre de la grande bonté qu’il aurait à ouvrir la cage.

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  • À Libé, on rêve de confiner les populistes !

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    Ah, si la droite n’existait pas, si ces populistes, ces conservateurs, ces nationalistes, patriotes et autres souverainistes pouvaient n’avoir jamais vu le jour… Si les Boulevard VoltaireValeurs actuellesTV Libertés et autres pouvaient être censurés, caviardés, brûlés en place publique, dans un bel autodafé, digne des heures les plus glorieuses de l’URSS… Tel est le rêve des journalistes de , un monde où la droite n’existerait pas, où tout le monde ne regarderait plus que BFM, n’écouterait plus que France Inter, ne lirait plus que… Libération. Ce qui changerait drôlement la vie des employés du journal, qui perd chaque jour un peu plus de son lectorat au point que Patrick Drahi, son actuel propriétaire, cherche désespérément à refiler le bébé à une bonne âme de passage.

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  • DÉCONFINEMENT : LES FAUTES DE L'ÉTAT

  • Eric Zemmour : « Les médias ne sont plus un contre-pouvoir mais le pouvoir. Ils excommunient les rebelles et sermonnent la population.» (Vidéo)

    Eric Zemmour : « Les médias ne sont plus un contre-pouvoir mais le pouvoir. Ils excommunient les rebelles et sermonnent la population. » Emission face à l’info du 26/05/2020.


  • Remise en liberté d’un mineur soupçonné d’avoir percuté et tué un homme de 72 ans lors d’un rodéo : l’inversion des valeurs « en marche » !

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    Le plus grand paradoxe du régime actuel repose sur la contradiction entre son apparence qui est d’avoir prétendu réunir à l’origine des gens de gauche et des gens de droite, alors que, sans doute, rarement l’idéologie n’a autant investi et dominé la politique française. Le malentendu est venu de sa volonté apparente de mettre en avant la réussite économique, celle des individus, des jeunes qui devraient être plus nombreux à vouloir être milliardaires, celle des entreprises dont on a diminué les charges, celle du pays à qui l’on promettait des réformes. La suppression de l’ISF sur les valeurs mobilières restera la borne témoin de cette politique qui résume la conduite d’un pays en mesures comptables quand il faut, pour redresser un pays, créer un mouvement profond, faire naître un état d’esprit collectif.

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  • Camélia Jordana promeut la haine du flic, par Ivan Rioufol

    Les minorités plaintives, qui se disent victimes de la “haine” française, ont trouvé en Camélia Jordana leur incendiaire tranquille. Samedi, sur France 2, la chanteuse a déclaré : “Il y a des milliers de personnes qui ne se sentent pas en sécurité face à un flic, et j’en fais partie (…) Je parle des hommes et des femmes qui vont travailler tous les matins en banlieue et qui se font massacrer pour nulle autre raison que leur couleur de peau. C’est un fait !”. Dominique Sopo, président de SOS Racisme, a estimé que la jeune femme, petite fille d’un couple d’Algériens militants du FLN durant la guerre d’Algérie, “a tenu à dénoncer une réalité“. Sopo a précisé son propos dans un tweet : “Quand des noirs et des arabes demandent justice en dénonçant le racisme, le racisme s’abat sur eux“.

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  • La France islamisée à marche forcée 2/2

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    Nos cimetières menacés

    Et comme si cela ne suffisait pas, voilà que l'on s'en prend aussi à nos cimetières. Michèle Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur a ainsi signé en février 2008 un décret encourageant les maires (encore eux !) à développer les carrés confessionnels dans les cimetières. Lesquels sont des espaces laïcs soumis à la loi de 1887 mais le maire, par son pouvoir de police, est autorisé à désigner l'endroit où les défunts seront inhumés et donc à créer de fait des carrés. Une circulaire de 1991 précise que ces carrés ne doivent pas être séparés par des barrières et que seules les tombes peuvent porter des symboles religieux. Le nouveau texte incitatif se veut un signe politique envoyé aux élus. Car la demande est en pleine explosion, marquant un phénomène de fond. Par le passé, la majorité des immigrés du Maghreb étaient enterrés dans leur pays d'origine. Par fidélité à leurs racines comme par tradition religieuse, l'islam recommandant de reposer en terre musulmane. Jusqu'à récemment, les Algériens se cotisaient au sein d'amicales pour financer ce retour. Mais ces structures se délitent et rendent le rapatriement du corps plus complexe et onéreux. Le gouvernement tunisien finance lui le retour des dépouilles, tandis que les Marocains souscrivent des assurances spécifiques auprès des banques. 85 % des défunts originaires du Maghreb sont encore enterrés au pays, selon une étude menée par le Fonds d'action et de soutien pour l'intégration et la lutte contre les discriminations (Fasild).

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  • LES ÉLUCUBRATIONS TÉLÉVISUELLES DE MADAME JORDANA...

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    La réaction de Thomas Joly, président du Parti de la France :

    Si Camelia Jordana Aliouane, petite beurette bourgeoise, a si peur de la police française, qu'elle n'hésite pas à remigrer en Algérie. Là-bas, elle n'aura pas à se faire défriser la tignasse puisqu'un voile la couvrira et qu'elle sera consignée dans sa casbah.

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/