Camélia, on ne se connait pas, mais je tenais à te dire que par certains côtés, nous sommes un peu sœurs. Moi aussi j’ai les cheveux frisés. Moi aussi, mon père est d’origine algérienne. Moi aussi, j’ai chanté pour la victoire de François Hollande (mais moi j’ai une excuse, je picole toujours les soirs d’élections, même pour les Miss France).Par certains côtés donc, du moins « ethniques » et « capillaires », nous sommes un peu sœurs. Sœurs de souffrance en ce qui concerne les cheveux, parce que, je te l’accorde, c’est chiant quand il pleut. Toi, il parait que « quand tu portes tes cheveux frisés, tu ne te sens pas en sécurité face à un flic en France ». C’est ton ressenti, il t’appartient et tu as tout à fait le droit de l’exprimer. Personnellement, jamais un policier n’a émis le moindre jugement sur ma coiffure, et même quand j’ai un brushing impeccable, je ne peux pas exclure tout à fait l’hypothèse que les forces de l’ordre s’en foutent royalement.
anti-national - Page 174
-
Réponse à une jeune bourgeoise en manque de frissons victimaires, par Nathalie Bianco.
-
Manifestation de clandestins : où sont le préfet Lallement et Christophe Castaner ?
Comment pouvons-nous permettre à des sans-papiers de se rassembler, de narguer les forces de l’ordre et nos autorités ? J’ai honte mais je garde espoir car la France ne mourra jamais…
Le jeudi 28 mai, le Premier ministre, Édouard Philippe, annonce la reconduction des mesures concernant l’état d’urgence sanitaire, notamment la règle interdisant les rassemblements de plus de dix personnes. En effet, au grand dam de beaucoup d’associations, aucun assouplissement des conditions de rassemblement sur la voie publique n’est autorisé et cette règle est reconduite jusqu’au 21 juin sur l’ensemble du territoire national. Ce samedi 30 mai, pourtant, la France entière a pu constater, suite aux appels de diverses associations, que plus de 5.000 personnes se sont rassemblées à Paris afin de manifester pour réclamer la régularisation des sans-papiers, et ce, malgré cette interdiction.
-
Règle d'or médiatique : Trompez-vous d'ennemi
Cette année 2009, centième anniversaire de Robert Brasillach, semble plus proche de 1453 que de 1929. La supériorité des années 1930, c'était le droit d'être lucide et de nommer l'ennemi ou le nuisible, qu'il soit extérieur ou intérieur. Aujourd'hui, nous avons Rivarol, ce qui est merveilleux. Mais nous ne pourrions plus avoir Je Suis Partout, et la fameuse tirade de Robert contre « la vieille putain agonisante, la garce vérolée .), la République toujours debout sur son trottoir », n'aurait aucune chance de passer les filtres de la censure. Et pourtant, "elle" est toujours bien là, plus "craquelée", plus "lézardée" que jamais, mais nous sommes tellement accoutumés que nous ne remarquons plus les « relents de pourriture » qu'elle exhale.
Abolir toute réaction saine
Ainsi, pour nos média, les banques Lehman Brothers et autres J.P Morgan sont simplement "américaines", comme le fricoteur Bernard Madoff. Le principal responsable de nos déboires économiques est, sans doute, « l’ultralibéralisme" mais on ne se hasarderait même pas à le qualifier d'apatride, et encore moins de ! On admet l'existence de la criminalité mais malheur à qui oserait nommer les délinquants ! Tout ça, c'est la faute de Poutine, de l'antisémitislamophobie, du bretzel trop salé, de la tentation protectionniste et nationaliste, du vin (au-dessus d'un verre par jour), du tabagisme, de la police raciste, de Thierry Desmarets, de la pub à la télé, du réchauffement d'origine anthropique, des excès de vitesse, de la justice (seule responsable de la dégradation des prisons) et de l'extrême droite. De nos jours, le sujet de débat obligatoire est toujours le sexe des anges, avec des variations à l'infini. En revanche, est désignée comme dangereuse et étouffée dans l'œuf toute tentative de dire qui assiège Constantinople, c'est-à-dire toute réaction saine. Or, comme disait le camarade Gollnisch : « La Réaction, c'est la Vie. »
-
Donald Trump annonce que le mouvement Antifa sera reconnu comme “organisation terroriste”
Suite aux très graves émeutes ethniques, ayant lieu actuellement aux Etats-Unis, encouragées par l’extrême-gauche, Donald Trump a annoncé :
Ce faisant, le président américain “déracialise” les émeutes, sauvegardant sa stratégie chez les minorités. Son adversaire démocrate à la présidentielle, Joe Biden, dont les équipes sont soupçonnées de payer les cautions pour libérer les émeutiers de Minneapolis, sera obligé de se positionner à sa gauche.
La politique encouragée par Soros, destinée à faire régner la terreur dans la rue pour imposer une politique, va se retourner contre eux : ces gens vont faire réélire Donald Trump triomphalement.
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, insécurité, international, lobby 0 commentaire -
Manifestation pour le grand remplacement sous l’oeil complaisant des autorités
Aujourd’hui en plein Paris des immigrés clandestins ont manifesté et réclamé des papiers. Alors qu’il est interdit de se réunir à plus de 10 personnes sur la voie publique. Un acte de défi aux autorités françaises qui -au mépris de la loi- leur permettent de rester sur le sol national sans les renvoyer à la frontière. Où sont le préfet Lallement et Christophe Castaner. Où sont les LBD ?
Dans le même temps on apprend que 3 immigrés arrivés en Italie à bord du Seawatch, commandé par l’allemande pro-migrants Carola Rackete ont été condamnés à 20 ans de prison pour tortures, violence sexuelle, traite d’êtres humains et homicide.
-
MINNEAPOLIS : L’AMALGAME BAT SON PLEIN
Après trois jours de manifestation à Minneapolis, dans le Minnesota, et dans plusieurs villes à travers les États-Unis, le policier blanc mis en cause dans la mort de George Floyd, un Afro-Américain de 46 ans, a été inculpé d’homicide involontaire, ont annoncé les autorités fédérées vendredi 29 mai. « Le policier impliqué, qui a été identifié comme Derek Chauvin, a été placé en détention » par la police criminelle, a déclaré le commissaire John Harrington, du département de la sécurité civile de l’Etat du Minnesota.
Le procureur du comté de Hennepin, où se trouve la ville de Minneapolis, a annoncé que ses services l’inculpaient d’acte cruel et dangereux ayant causé la mort et d’homicide involontaire. Des poursuites devraient être engagées contre les trois autres policiers.
L’affaire est donc close. La justice fédérée (donc, décentralisée) suit son cours dans un État de droit où l’ancien Président donne des leçons de démocratie et de morale fréquemment. Imaginez en France, si Hollande et Sarkozy commentaient les actes de Macron, comment la presse mainstream les raillerait. Donc, en cas de dérive, le sage Obama intervient, précisant sa pensée selon laquelle « Trump, ce n’est pas bien ! ». Cela permet de simplifier les clivages entre le bien et le mal, véritable source de l’amalgame à l’américaine.
-
Macron, Bill Gates avait prévu lui une pandémie du genre coronavirus COVID-19
-
Stéphane Ravier (RN) accuse : “Vous expliquez à 500 millions de jeunes Africains que s’ils viennent illégalement chez nous, ils seront accueillis à bras ouverts” (Vidéo)
Stéphane Ravier : « Vous expliquez à 500 000 000 de jeunes Africains que s’ils viennent illégalement chez nous, ils seront accueillis à bras ouverts et la France pourvoira à tous leurs besoins ».
-
Des policiers répondent à Camélia Jordana, par Charlotte d’Ornellas
Sur le plateau de Laurent Ruquier, la chanteuse Camélia Jordana a accusé les flics de « massacrer » des gens en raison de leur couleur de peau. Côté police, l’accusation passe mal.
« Qu’est-ce que vous voulez répondre à de telles inepties ? » Au premier abord, la réponse des policiers est assez unanime à l’évocation des récents propos tenus par Camélia Jordana sur le plateau de Laurent Ruquier. Certains craignent de ne « pas rester polis très longtemps », la majorité est surtout « affligée ». Samedi dernier, invitée sur le plateau de l’émission On n’est pas couché, la chanteuse s’illustrait par une rhétorique indigéniste anti-flic assez caractéristique. Alors qu’elle évoque les violences commises par certains policiers, la jeune femme tient à préciser qu’elle ne parle pas des manifestants en tous genres mais « des hommes et des femmes qui vont travailler tous les matins en banlieue et qui se font massacrer pour nulle autre raison que leur couleur de peau ». Sur le plateau, aucune autre réaction que celle de l’écrivain Philippe Besson qui tente alors timidement de rappeler que le rôle des policiers est d’abord de protéger la population. Mais Camélia Jordana insiste : « il y a des milliers de personnes qui ne se sentent pas en sécurité face à un flic. Et j’en fais partie. Aujourd’hui j’ai les cheveux défrisés; quand j’ai les cheveux frisés, je ne me sens pas en sécurité face à un flic en France. »
-
Victoire des ex-Goodyear d’Amiens aux Prud’hommes : la fermeture était injustifiée, ils seront indemnisés
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, l'emploi, social 0 commentaire