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anti-national - Page 174

  • Un gendarme qui a participé à l’arrestation d’Adama Traoré raconte: « il y a toujours eu une opposition violente de cet individu. Il y a eu des violences, des rebellions, des outrages, des fuites »

    Un des fonctionnaires qui a participé à l’interpellation d’Adama Traoré, le 19 juillet 2016, avait déjà effectué « 3 ou 4 » interpellations houleuses dans les années précédentes. L’avocat de la famille demande que « toutes les procédures » impliquant Adama Traoré et les gendarmes présents le 19 juillet soit versées au dossier.

    […] En cause, les déclarations du gendarme nommé « Romain » devant l’IGGN (le service d’enquête interne à la gendarmerie) le 29 juillet 2016 : « Je ne peux pas vous dire combien de fois j’ai procédé à son interpellation mais peut être trois ou quatre fois en 3 ans. A chaque fois, cela s’est toujours mal passé car il y a toujours eu une opposition violente de cet individu. Il y a eu des violences, des rebellions, des outrages, des fuites ».

    L’avocat de la famille s’interroge donc sur l’existence d’un « différend » entre des membres des forces de l’ordre et Adama Traoré. […]

    Yassine Bouzrou déduit de ces faits qu’il existait une « animosité » entre le gendarme et Adama Traoré et s’interroge sur une volonté de « vengeance » du gendarme.

    […] L’avocat du gendarme concerné, Rodolphe Bosselut dénonce un « feuilleton » entretenu par l’avocat de la famille : « Découvrir au bout de quatre ans d’instruction qu’il y aurait encore des actes à réaliser ou des témoins-clefs à interroger, déclare l’avocat à RTL, c’est la preuve d’une seule chose : la volonté de faire durer artificiellement le dossier pour l’exploiter médiatiquement ».

    RTL via FDS

    https://www.tvlibertes.com/actus/un-gendarme-qui-a-participe-a-larrestation-dadama-traore-raconte-il-y-a-toujours-eu-une-opposition-violente-de-cet-individu-il-y-a-eu-des-violences-des-rebellions-des-outrages-des-fuit

  • LA DÉSINDUSTRIALISATION FINANCÉE PAR NOS IMPÔTS ?

  • Castaner ne veut plus qu’on touche à ses vrais potes !

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    Ce qui est terrifiant, c’est l’effondrement de l’intelligence collective dans notre pays ! L’exemple est donné en haut : d’abord, il y a Castaner, occupant la Place Beauvau uniquement en raison de sa faiblesse et de sa totale dépendance à l’égard de celui qui l’y a mis en dehors de tout critère objectif, au point qu’on a dû le doubler d’un vrai policier. Castaner n’est pas le chien de garde de la société, comme il devrait l’être, mais uniquement celui de son maître, dont il aboie les ordres en écho avec la maladresse d’un Rantanplan !

    Ainsi, donc, l’émotion peut l’emporter sur la loi si, bien sûr, elle est d’extrême gauche et importée des États-Unis au profit des délinquants : le ministre de l’Intérieur est clairement du côté du désordre et baigne dans son idéologie superficielle de socialiste dont la réflexion n’a jamais dépassé le niveau des slogans. L’antiracisme, c’est bien, le racisme, c’est mal. Quand les gilets jaunes manifestaient avec, en queue de cortège, les Black Blocs chargés, comme par hasard, de créer les « tensions » en fin de journée afin qu’on puisse généreusement interpeller, gazer, éborgner les premiers en oubliant les seconds, les potes de Castaner, c’étaient les flics !

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  • Dérives gauchistes à l’université

    Dérives gauchistes à l’université

    Message de Xavier Nicolas, rédacteur en chef de Campus Vox:

    L’université française traverse à l’image de toute la société une crise grave. Bien loin des querelles idéologiques habituelles elle fait face aujourd’hui à un péril bien plus important encore. Vous le savez, le déconstructivisme prolifère de plus en plus dans ce lieu où l’on forme la jeunesse de demain. Les nouvelles théories décoloniales, indigénistes, racialistes, de théorie du genre, gangrènent peu à peu les enseignements et la recherche. Par exemple, aujourd’hui il est pratiquement impossible de financer des sujets de recherche si vous n’y apportez pas une perspective décoloniale ou genrée.

    L’extrême gauche est par ailleurs de plus en plus violente, et de plus en plus totalitaire. Combien de conférences sont annulées chaque année pour la simple et bonne raison qu’elles « dérangent » une minorité d’étudiants qui font céder les universités. Combien d’examens ont été perturbés, d’élèves lynchés et empêchés d’aller en cours pendant plus de la moitié de l’année ? Vous le savez bien, beaucoup trop.

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  • La grande peur du ministre de l'Intérieur

    6a00d8341c715453ef0263e94fbbc9200b-320wiL'information hélas remonte à plusieurs jours. Elle avait été communiquée à votre chroniqueur avant même la déferlante délirante des derniers jours. Ce que craint par-dessus tout le cabinet du Castaner, étayé par les rapports de la sécurité territoriale, ce ne relèverait ni de la reprise des activités islamo-terroristes sur notre sol, ni de la remobilisation gauchiste ou cégétiste. Ce qui les inquiète viendraient des éléments les plus jeunes et les plus exposés de la police nationale et des forces de l'ordre de notre pays : ils n'en peuvent plus de subir à sens unique les provocations des délinquants, revendeurs de drogue, et autres petits caporaux du quadrillage des cités.

    Les anciennes banlieues rouges ne sont certes plus encadrées, dira-t-on, par les gros bras du PCF, car leur potentiel insurrectionnel s'est déplacé vers les ramifications de l'islamisme.

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  • L’EXPROPRIATION DES FERMIERS BLANCS CAUSERA LA RUINE DE L’AGRICULTURE SUD-AFRICAINE !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    C’est un sujet récurrent qui prend de plus en plus de consistance. Sous prétexte de réparer un préjudice, le gouvernement de Pretoria, - pardon, désormais il faut dire Tswané ! -, envisage sérieusement d’exproprier sans indemnités les fermiers blancs, principalement afrikaners, qui nourrissent le pays et lui apportent des devises grâce aux exportations. Sans que cela ne provoque la moindre indignation au plan international, si ce n’est l’Australie par la voix de son Premier ministre, et les Etats-Unis par celle du Président Trump.

    Le plus consternant est que le contre-exemple spectaculaire du Zimbabwe ne semble pas avoir servi de leçon. On assiste là, dans cette affaire, à une vraie séquence à caractère racial, discriminante, qui ne vise que les fermiers blancs. Ces derniers, qui assurent l’essentiel de la production agricole et qui exportent les surplus de leurs productions, déjà menacés par la sécheresse et souvent victimes d’assassinats ciblés dans des conditions d’une barbarie inimaginable, vont devoir, peut-être, rendre leur tablier.

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  • Arrestation d’Adama Traoré : l’ensemble des expertises médico-légales confirme qu’il n’y aucune trace de violence

    Arrestation d’Adama Traoré : l’ensemble des expertises médico-légales confirme qu’il n’y aucune trace de violence

    Me Pascal Rouiller, avocat du barreau d’Angers, chargé de la défense de l’un des gendarmes impliqué dans l’arrestation d’Adama Traoré le 19 juillet 2016 dans le Val d’Oise et à l’issue de laquelle l’homme de 26 ans a trouvé la mort, a décidé, avec ses confrères et consœurs, de « sortir du silence pour rectifier les fausses informations qui circulent actuellement » sur cette affaire.

    Sur RCF Anjou, Me Pascal Rouiller affirme que

    « l’ensemble des expertises médico-légales confirment qu’il n’y aucune trace de violence » et dénonce « le fait que la famille d’Adama Traoré souhaite surfer sur l’actualité pour en faire une affaire Floyd à la française ».

    https://www.lesalonbeige.fr/arrestation-dadama-traore-lensemble-des-expertises-medico-legales-confirment-quil-ny-aucune-trace-de-violence/

  • Tous surveillés : 7 milliards de suspects

    Des caméras de Nice à la répression chinoise des Ouïghours, cette enquête dresse le panorama mondial de l'obsession sécuritaire, avec un constat glaçant : le totalitarisme numérique est pour demain. 


    Aujourd'hui, plus de 500 millions de caméras sur la planète offrent aux autorités la capacité de nous surveiller, à peu près partout et à chaque instant. Sous couvert de lutte contre le terrorisme ou la criminalité, les grandes puissances se sont lancées dans une dangereuse course aux technologies de surveillance. Dorénavant, l'incroyable perfectionnement de l'intelligence artificielle valide l'idée d'un regard total. Aux États-Unis, les forces de police utilisent la reconnaissance faciale pour identifier les suspects. En Chine, les caméras peuvent repérer les criminels de dos, à leur simple démarche. En France, la police utilise des caméras intelligentes qui analysent les émotions et les comportements des passants. Marquée par l'attentat au camion du 14 juillet 2016, qui a fait 86 morts, et s'est produit en dépit des 2 000 caméras scrutant la ville, Nice se situe désormais à l'avant-garde de l'expérimentation. Le centre de supervision et les zones dédiées à la reconnaissance faciale sont les chevaux de bataille du maire Christian Estrosi, qui veut faire de sa ville une safe city. Comme un virus, l'idéologie du tout sécuritaire se répand à la mesure d'une révolution numérique à la puissance exponentielle. Va-t-elle transformer notre monde en une planète habitée par 7 milliards de suspects ? Quel niveau de surveillance nos libertés individuelles peuvent-elles endurer ? 

    Documentaire de Sylvain Louvet (France, 2019, 1 h 30 mn)

    Disponible jusqu'au 20 juin 2020 !

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    Source : Arte

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Un gouvernement d’incapables et un incendie pas près de s’éteindre !

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    À force de jouer avec le feu, on finit par se brûler. C’est ce que devrait se dire Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur, confronté à l’incendie de manifestations contre le racisme et la violence prétendus des policiers. À force de jouer avec le feu…

    Depuis la mort dramatique, et face caméra, de , étouffé sous les genoux d’un policier américain, la communauté noire d’outre-Atlantique s’est soulevée, obligeant les gouverneurs et l’État fédéral à prendre de sévères mesures de maintien de l’ordre. Aux États-Unis, la question raciale reste omniprésente, à cause d’un passé récent qui fait partie de l’histoire du pays. Rien de tel en France métropolitaine, où l’esclavage n’a jamais existé. Il n’existe pas, chez nous, de question noire, et c’est heureux. Cela n’a pas empêché la création d’associations communautaristes. Leur fonds de commerce est la victimisation. Leurs moyens d’action sont la violence – parfois, l’agitation médiatique –, toujours, et l’exploitation de la bêtise ambiante qui tend à culpabiliser des Français trop ignorants de leur histoire pour rétablir la vérité.

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