Des images atterrantes mais qui deviendront banales dans les prochaines années.
Toutes les prévisions des nationalistes depuis 50 ans se réalisent une à une, puisqu’ils n’ont pas été écoutés.
A Dijon, capitale de la Bourgogne et il y a peu l’une des villes les plus agréables de France, dans le quartier colonisé des Grésilles, on a vu ces derniers jours des affrontements violents entre populations immigrées, mais « Français comme-vouzémoi » bien sûr, selon la République en tout cas.
Tout a démarré après qu’un adolescent tchétchène a été frappé par des Arabes sur fond de trafic de drogue.
Les Tchétchènes, de plus en plus nombreux en France – ce qui est normal, puisqu’elle est ouverte à tous désormais –, sont plus discrets que les Arabes par exemple ; mais, pour rester dans le cadre de la loi, disons que souvent ils ne s’embarrassent pas de celui-ci justement. Réputés pour leur violence, ils ont voulu venger leur jeune congénère.