anti-national - Page 273
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Macron, le fossoyeur d'élite ! (avec André Gandillon)
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Ces médias publics qui roulent à gauche…, par Ivan Rioufol
Les médias publics font-ils honnêtement leur boulot ? En Grande-Bretagne comme en France, la réponse est non. Ainsi, Boris Johnson entend demander des comptes au groupe audiovisuel public BBC, accusé de partialité. Fort de sa large victoire aux législatives, le premier ministre britannique envisage de réduire la redevance télévisuelle qui bénéficie à l’institution (2000 journalistes partout dans le monde). Il souhaite également que le non-paiement de cette redevance, jusqu’ici considéré comme un crime passible de 1000 livres d’amende (1.183 euros), soit requalifié en délit, entrainant des amendes moins élevées. Johnson reproche notamment à la BBC son traitement de la campagne législative, estimant qu’elle a manqué d’objectivité et montré de claires préférences éditoriales. Je prends ces précisions d’une dépêche AFP publiée ce mercredi.
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Les familles nombreuses sont les grandes “sacrifiées” du projet de réforme des retraites
Communiqué de Laissez les Vivre – Sos Futures Mères :
Et si un train pouvait en cacher un autre? Trêve de plaisanterie. Certes, qui n’aimerait pas en voir circuler davantage ces jours-ci. Et, pourtant, la réforme des retraites telle qu’elle est présentée à l’opinion publique semble d’emblée assez simple et assez juste : suppression des régimes spéciaux, alignement des retraites des salariés du public sur celles du privé. Cela paraît d’autant plus équitable que les salariés du public bénéficient de la sécurité de l’emploi alors que ceux du privé n’en ont pas et qu’on ne cesse de constater la pression à la baisse des salaires à l’embauche. Toutes les familles ou presque sont frappées de près ou de loin par le drame du chômage de longue durée. Dans le même temps, la pénibilité du travail des conducteurs de train ayant été quasiment supprimée par l’automatisation, comment justifier un départ prématuré à la retraite ? Un euro cotisé pour gagner un point, cela semble si juste que cela paraît simpliste.
Et, pourtant, un scandale à peine dévoilé par le gouvernement et quasiment pas évoqué par les manifestants se cache dans le projet de retraite : la disparition de la spécificité de la famille nombreuse. C’est bien là que réside le serpent caché de la réforme. Même ceux qui évoquent à juste titre la main mise sur l’épargne retraite des compagnies d’assurances anglo-saxonnes n’osent pas aborder le problème. Comme si même le mot famille était devenu tabou.
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De la victimisation à la diabolisation
L’efficacité politique de la victimisation n’est possible que dans les pays de marque chrétienne. Surprise ! Ces pays pratiquent avec tout autant d’allégresse la bonne vieille diabolisation. Diaboliser ou victimiser : dans ces deux verbes se tient le pouvoir des minorités.
C’est René Girard qui note souvent dans ses derniers ouvrages comment la christianisation du monde continue, malgré la lente dégradation de l'institution papale. Tout se passe comme si la chrétienté progressait et continuait à marquer le paysage social, alors même que le christianisme est actuellement en déclin. De ce progrès social de l'idée chrétienne, je donnerais deux exemples saisis immédiatement dans l'actualité de notre France la lutte contre les féminicides, qui correspond à la valorisation chrétienne de la femme qui jouit d'une dignité égale à celle de l'homme et la méfiance quasi-générale vis-à-vis du voile islamique qui traduit une relation de soumission des femmes vis-à-vis des hommes que nos Français ne veulent pas admettre. L’exemple que donne Girard lui-même de ce progrès constant de la christianisation des mentalités, malgré la crise de l'institution est plus délicat à interpréter, mais il est central : il s’agit du processus de victimisation. Pour Girard, c'est le Christ mort sur la croix, le Christ et personne d'autre qui manifeste, jusque dans sa propre personne, l'innocence des victimes et la culpabilité des lyncheurs.
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Le choix de l’immigration contre la politique familiale, par Guillaume de Thieulloy
J’ai déjà eu l’occasion de commenter ici les déclarations de Jean-Paul Delevoye sur les retraites et l’immigration (n° 1222).
Mais, alors que le « Haut-commissaire aux Retraites » se débat – comme tant de ses congénères – dans un scandale grandissant de dissimulation de possible conflit d’intérêts, il me semble important de revenir sur l’autre aspect de sa déclaration.
Le choix de l’immigration est effectivement, en sens inverse, un refus de toute politique familiale.
Fondamentalement, le versement des pensions dépend de deux critères : l’état de l’économie et l’état de la démographie.
C’est évidemment ce que pointait maladroitement Jean-Paul Delevoye en rêvant à ses 50 millions d’immigrés.
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Google vient de "dégoogliser" Synthèse nationale
Le moteur de recherches Google vient de "dégoogliser" notre site. Cela se fait généralement à la demande du pouvoir en place et, quelque soit ce pouvoir, Google obtempère servilement.
Mais, pour que le pouvoir en arrive là, il faut que sa victime le dérange. Fut un temps où on saisissait les journaux à l'imprimerie, aujourd'hui, il suffit de demander aux moteurs de recherches de couper les liens...
À dire vrai, il y a longtemps que nous pensions que cela arriverait un jour ou l'autre. C'est donc chose faite. Le dernier site à avoir subi le même sort en date étant notre confrère indépendantiste breton Breizh Atao.
N'en déplaise aux instigateurs de cette pitoyable manoeuvre, cela ne nous empêchera pas de continuer le combat. Si, depuis 13 ans, sans interruption, nous amplifions notre audience, c'est que nous savons que nous pouvons compter sur la fidélité de nos lecteurs. Les premiers résultats de notre "souscrption patriotique 2019" cliquez ici en étant une fois de plus la preuve.
Amis, ne soyez donc pas découragés et rigolons en considérant cette interdiction comme une médaille et rassurez-vous, nous allons vite trouver la parade à cette nouvelle provocation...
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
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La Grèce s’attend à l’arrivée de 100.000 migrants supplémentaires pour 2020
La Grèce prévoit qu’en 2020, jusqu’à 100 000 réfugiés arriveront sur les îles en provenance de Turquie, ce qui aggravera encore la situation avec des camps de migrants déjà surpeuplés.
« La crise est grave maintenant », a déclaré Funk Manos Logotetis aux journalistes lors d’une commission gouvernementale.
Au cours des six derniers mois, 45 000 réfugiés sont arrivés en Grèce, ce qui a incité le commissariat du gouvernement à déclarer que la situation était «nettement plus critique» pour la Grèce que la crise des migrants de 2015, au milieu d’un afflux de personnes fuyant la guerre civile syrienne.
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Le tabou démographique
Présent – La libre page de Bruno Gollnisch.
(…) Au sujet du débat actuel sur les retraites, si l’on peut parler de débat, j’évoquais la semaine dernière deux questions majeures presque totalement occultées, qui sont pourtant à la racine du problème. L’une est celle du chômage que provoque la destruction méthodique de nos frontières, aussi bien économiques qu’humaines. Mais la plus importante, c’est la question démographique que, d’une certaine façon, – qui n’est certainement pas la nôtre ! – M. Delevoye nous a rappelée, peu de temps avant d’être contraint à la démission, en estimant qu’il était nécessaire, pour équilibrer les retraites, que 50 millions d’immigrés supplémentaires viennent peupler l’Europe.
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Communiqué de Boulevard Voltaire : notre journaliste prise à partie et violentée par des antifas !
Ce mardi 17 décembre, place de la Nation à Paris, notre journaliste envoyée sur place pour réaliser un reportage sur la mobilisation contre la réforme des retraites, a été prise à partie, violentée et expulsée. Aux cris de « dehors les fachos », elle a essuyé invectives, insultes et coups avant de parvenir à s’extraire. Ce n’est pas la première fois. Le 10 novembre dernier, notre reporter avait subi le même traitement à l’occasion de la « marche contre l’islamophobie ».
La rédaction de Boulevard Voltaire apporte tout son soutien et sa solidarité à sa consœur et ne peut que s’alarmer devant la violence systématique de ces autoproclamés « antifas » qui semblent jouir d’un total sentiment d’impunité.
Boulevard Voltaire est aujourd’hui ciblé sur les réseaux sociaux par des activistes qui harcèlent ses annonceurs. Et maintenant dans la rue par d’autres qui n’hésitent plus à s’en prendre physiquement à nos équipes ! Ces attaques, loin de nous affaiblir ou de nous intimider ne font, au contraire, que renforcer notre détermination et notre volonté de vous proposer une information fiable, engagée et lucide. Encore une fois, à travers les attaques répétées contre Boulevard Voltaire, c’est bel et bien la liberté d’informer et la liberté d’expression qui sont visées.
« Notre liberté dépend de la liberté de la presse et elle ne saurait être limitée sans être perdue ».
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Retraites : les syndicats rouges bloquent. Le gouvernement papote.