
Quand, en pleine crise sociale qui agite la France, Macron décide de renoncer à sa retraite de Président et qu’il le fait savoir, on est autorisé à se poser au moins quatre questions essentielles.
Premièrement, est-il vraiment raisonnable de vouloir délibérément se priver de ce qui, pour une large partie de nos concitoyens, représenterait la garantie d’une fin de vie confortable, voire somptueuse ?
Deuxièmement, la communication établie à partir de cette décision ne serait-elle pas dictée par une arrière-pensée politique malsaine, voire déloyale ?