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anti-national - Page 346

  • Vous reprendrez bien un peu de « féminisme islamiste » sur France Inter ?

    À force de vivre en commun, dans un entre-soi, avec qui a traîné ses guêtres sur les bancs de sciences po Paris ou d’universités devenues des repaires de militantes « intersectionnelles » et post-coloniales, le monde des médias est envahi par les théories qui s’y développent. Un exemple récent avec France Inter.

    Sociologue et féministe islamiste

    Le dimanche 11 août 2019, Lauren Bastide interrogeait Hanane Karimi « sociologue et féministe islamiste », enseignante à l’université de Strasbourg, post-doctorante à celle de Créteil et chercheuse associée au Laboratoire Sage Sociétés, Acteurs et Gouvernement à l’université de Strasbourg. C’est la présentation proposée par la radio de service public. Militante universitaire dont les combats sont centrés sur les luttes intersectionnelles en faveur, en particulier, des femmes « racisées » et « victimes » de la situation « post-coloniale » la radio ouvre sa porte aux questions post-coloniales, liées à celles de genre, problématiques qui ont peu à voir avec la science mais beaucoup avec un projet politique déconstructeur.

    Rond de serviette à France Inter

    En réalité Hanane Karimi a son rond de serviette sur France Inter où elle était déjà invitée pour la journée du 8 mars 2019. Plus tu porteras le voile ma soeur, plus tu seras une femme libérée ? On dirait. C’est une vraie habituée de la radio de service public : en 2017, elle défendait la nécessité d’un féminisme islamiste antiraciste ; en 2016, elle affirmait que porter le voile n’avait rien d’un prosélytisme religieux ni d’une marque d’un quelconque patriarcat musulman… Elle était alors présentée comme « porte parole du collectif Les femmes dans la mosquée ». Elle a maintenant pris du galon universitaire, c’est bien le problème avec le néo colonialisme franchouillard, cela continue de former des élites et de leur confier des postes peu accessibles aux Français de souche. C’est bien d’une militante dont il s’agit : l’auditeur attend donc un discours un peu critique (au sens de l’esprit critique), ou alors un discours avec un peu de contradiction.

    Le retour des Femmes savantes

    Une émission de 56 minutes, dans le cadre des « savantes ». Présentation de France Inter : « Le travail de Hanane Karimi porte sur les mobilisations politiques des femmes musulmanes, il est venu éclairer d’une lumière salutaire tout un pan de l’action politique qui, en France, vise, sans relâche, à la stigmatiser et à l’exclure de l’espace public ».

    Difficile de voir dans les mots de l’émission, accessible sur le site de la radio, autre chose qu’un discours purement militant : France Inter considère donc que les femmes musulmanes sont stigmatisées en France ? Pourquoi ? Du fait de la loi sur le voile ? De la question du Burkini ? Et la loi… La radio publique est-elle fâchée avec la loi ? Il est du reste intéressant de noter que ce sont prioritairement les salariés du Système, ici une journaliste de France Inter et une universitaire d’origine étrangère, autrement dit les ultras bénéficiaires de ce Système, qui le considèrent comme oppressif. L’OJIM serait curieux de connaître le niveau de vie et les émoluments de tout ce beau monde féminin bobo-opprimé…

    Mais poursuivons :

    « Hanane Karimi est une féministe, une militante… »

    Au moins, les choses sont claires : enseignement et recherche universitaires sont, en France, espace de militantisme politique.

    Poursuivons encore :

    « Sa thèse, soutenue en septembre 2018 était intitulée « assignation à l’altérité radicale et chemins d’émancipation: étude de l’agence de femmes musulmanes françaises ». En gros, vis-à-vis des femmes musulmanes, la France c’est l’Afrique du sud d’avant Mandela.

    Les propos tenus lors de cette émission ont dû surprendre nombre de vacanciers, hors boboïsme et radicalisme du 93 militants, si par hasard ils écoutaient cela dans leur voiture. La complaisance militante de Lauren Bastide ne tient pas seulement au fait d’inviter une femme prétendant que la situation d’oppression subie par les femmes musulmanes provient de ce que la France leur fait subir, mais aussi de sa façon de défendre la minorité de femmes islamistes qui tentent de conquérir l’espace public, et donc politique, par exemple à Grenoble. Pour la journaliste de France Inter, « c’est une action flamboyante, courageuse, visible ». Comme le « combat » originel qui a mené Karimi a devenir une militante ressemblant à s’y méprendre à celles du Parti des Indigènes de la République : « À l’époque de la circulaire Bayrou qui ouvre le grand cycle de harcèlement contre les femmes musulmanes (les rues, n’est-ce pas, sont pleines de femmes harcelées pour raison vestimentaire) qui ne s’arrêtera pas et est encore en train de se poursuivre aujourd’hui », elle aurait été obligée d’arrêter ses études de BTS car il était interdit de porter le voile au lycée. Patatras ! Etre obligée de… respecter la loi et les traditions culturelles de son pays d’accueil, c’est donc cela qu’une universitaire et qu’une journaliste considèrent comme un racisme etc. Bien sûr, une solution serait pour madame Karimi de retourner vivre sa féminité libérée dans le pays d’origine de sa famille, cela demanderait sans doute deux ou trois petits sacrifices, dont celui d’être universitaire et reconnue comme femme et intellectuelle, mais ce ne semble pas être à l’ordre du jour tant il y aurait à faire pour sauver les femmes musulmanes de France de l’oppression, laquelle ne s’exerce pas dans l’intimité du foyer familial visiblement.

    Quand l’expression « mettons les voiles » change de sens

    À quand, la libération des femmes par la burka intégrale ? C’est que Hanane Karimi le dit en direct : le voile est une lutte politique émancipatrice de classe, de race et de genre. Mazette ! Il y aurait donc des classes sociales, cela peut se discuter calmement, des genres, si on les distingue, discuter est encore possible, mais des races ? Il n’y a plus de lois en France contre les personnes qui pratiquent la propagande racialiste ? Celle-ci commençant, aux dernières nouvelles légales, par le fait de distinguer les humains en races (« La race est un critère de différenciation sociale » en France, dit-elle, ce en quoi elle n’a pas tort vu à quel point, si elle appartient à une « race », comme elle le dit, cette appartenance paraît en effet éminemment profitable.) Pourtant, ils sont légions ceux qui ont eu à subir les foudres de la justice pour ce genre de raisons. Mais pas à « gauche » il est vrai.

    Ce n’était ni une discussion, ni un débat : il n’y avait pas de contradiction. Un simple discours militant. Au nom de la tolérance, de l’humanisme, de l’universalisme, des valeurs dont la France se targue d’être la gardienne en somme, c’est une conception totalitaire et dogmatique du monde qui avance, foulard sur la tête ou sur les yeux, à grandes enjambées dans les médias, les universités et la rue, cette dernière qui pullule de femmes « libérées » par le voile islamique. Bientôt un statut des non musulmans en France ? A moins que la question des différences d’identité ne conduise à une solution plus logique, et porteuse d’avenir pour qui n’est pas musulman : la reconnaissance que le séparatisme et le différencialisme sont plus logiques que le multiculturalisme, du moins s’ils sont cantonnés dans des aires civilisationnelles elles-mêmes logiques. Ce qui ne pose pas la question de la légitimité du « combat féministe islamiste en France » mais plus simplement celle de la raison de la présence de femmes musulmanes identitaires en France. Vous avez dit colonialisme ?

     OJIM

  • Priorité au Grand Négoce : de Roosevelt à Trump

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    Bernard Plouvier

    Vers 1980-90 a débuté la nouvelle ère – qui n’est plus l’ère chrétienne et n’est fort heureusement pas (du moins jusqu’à présent) l’ère de la régression mahométane.

    Nous sommes entrés dans l’ère du gouvernement planétaire (presque) unique et de l’économie globale. Et c’est là que tous les « complotistes » se trompent : l’on n’assiste pas au triomphe des Financiers, mais à celui des Négociants internationaux.

    Le grand projet rooseveltien était d’américaniser la production agricole et industrielle et de faire de la planète un grand marché – l’URSS étant exclue, qui devait servir de repoussoir, de contre-exemple, au moins pour les premiers temps de l’ère du One World – One Government. Qu’il ait ou non développé le projet d’une fusion des races et des peuples en une « moyenne humaine », on ne le saura jamais, car Roosevelt ne s’est guère exprimé sur ce point.

    Les « complotistes » ont, là aussi, complètement erré. FDR n’était pas au service « des trusts » (et pas plus celui des Rockefeller que d’autres) ; il n’était pas au service « des Juifs ». FDR s’est servi de tous ceux et de toutes celles qui pouvaient faire démarrer puis avancer son projet, qui, pour d’évidentes raisons historiques, n’a pu commencer que 40 années après sa mort, une fois disparue l’hydre communiste qui avait dominé bien plus d’États qu’il ne l’avait prévu dans son plan machiavélique.

    Il fallait, dans la pensée du nouveau Prométhée, appauvrir et apeurer l’Europe occidentale pour la délester de ses colonies, de ses capacités productives et commerciales. « Staline »-Dougashvili et son Armée Rouge étaient des moyens idéaux pour remplir ce rôle d’épouvantail et de leurre.

    En 1980 sq. après l’implosion des ridicules économies marxistes, les USA se retrouvent en position dominante, ayant vassalisé l’Occident, les pays d’islam et l’Asie non maoïste. Les gouvernants chinois viennent chambouler la donne par leur suprême intelligence : ils multiplient l’efficacité de l’économie occidentale par la discipline d’un régime dictatorial et poursuivent la politique d’imitation des produits issus du génie européen et nord-américain, ainsi que l’irrespect des conventions internationales sur les brevets de fabrication.

    Qu’elle soit l’effet d’un capitalisme ultra-libéral ou d’un capitalisme hautement surveillé par l’État, l’économie actuelle n’est pas dominée par les financiers, mais par l’entente des grandes entreprises de négoce et des décideurs politiques.

    De ce fait, les banques centrales ont reçu l’ordre d’anéantir (ou presque) l’intérêt de l’argent – c’est le reniement de 3 à 4 milliers d’années d’agiotage -, au profit de la consommation massive, générant de superbénéfices inégalement répartis entre producteurs - à qui on ne laisse que la petite part des profits – et négociants, gros et petits – qui sont les grands gagnants.

    Donald Trump poursuit la grande politique rêvée par FDR. Il le fait avec le punch et l’absence d’hypocrisie qui le caractérisent : en parfait Yankee, il dicte sa loi, parce qu’il dispose de la plus grande armée, du plus gros complexe militaro-industriel et des entreprises multinationales les plus puissantes et les plus innovantes.

    La minorité agissante de l’humanité actuelle est placée devant une alternative fort simple.

    Ou bien, l’on accepte un monde dominé par l’American way of life, ce qui implique à terme l’éclosion d’une humanité métissée, d’un Homo Consumans standard.

    Ou bien, l’on organise, continent par continent, des empires ou des fédérations populistes.

    Pour l’heure, les nations d’Amérique latine tentent des expériences non coordonnées. En l’Europe, l’Axe Berlin – Moscou pourrait servir de point de départ à un Empire fédératif, à l’unique condition que l’Allemagne réexpédie dans leurs pays d’origine les millions d’Extra-Européens qui sont venus la squatter. Ce sera la condition sine qua non pour inclure dans cet Empire les peuples d’Europe occidentale et scandinave.

    L’Europe aux Européens est un slogan tellement évident et naturel que les princes du négoce en font un corpus delicti : énoncer cette banalité mène droit en correctionnelle et, bientôt, non plus au lynchage médiatique, mais à l’égorgement rituel. 

    Le monde dominé par le négoce ne peut être que cosmopolite. Un monde populiste ne peut se faire qu’en fédérant des nations homogènes.    

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/28/priorite-au-grand-negoce%C2%A0-de-roosevelt-a-trump-6172443.html

  • Le GIEC, réactionnaire ?

    Le rapport du GIEC sur l’alimentation et l’agriculture a été approuvé début aout. Il analyse les liens de causalité réciproque entre “réchauffement climatique” et pratiques agricoles ou environnementales, et propose des pistes de solution qui remettent globalement en cause les pratiques actuelles. Il établit qu’un quart des terres émergées est à ce jour considéré comme dégradé, mais que la terre dans la situation actuelle pourrait nourrir 10 milliards d’individus.

    Le rapport dénonce les méfaits d’une agriculture productiviste, et, c’est nous qui la qualifions ainsi, “progressiste”, où l’homme veut substituer ses propres lois à celles de la nature, dans une vision lucrative et prométhéenne.

    Il préconise une agriculture diversifiée, territoriale et à taille humaine”, avec des solutions dont le trait commun est leur caractère interdisciplinaire, et implicitement réactionnaire. Elles traduisent en effet une marche à rebours de l’hubris moderne, avec un retour à des pratiques ancestrales, certes optimisées par les progrès techniques et scientifiques. Le rapport évoque notamment : l’augmentation de la matière organique dans les sols, l’agroforesterie, la reforestation, le mélange polyculture-élevage, la rotation des cultures…

    La video suivante donne une idée des préconisations, et de leurs origines lointaines.

  • Je suis marin et je l’affirme : les migrants ne sont pas des naufragés !

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    Je suis marin et donc très sensible au devoir d’assistance à des personnes ou à des bâtiments en difficulté appelant à l’aide. Les bâtiments les plus proches doivent se dérouter pour porter assistance et les moyens de sauvetage sont automatiquement mis en œuvre, quelquefois au péril de la vie des sauveteurs.

    Ce n’est absolument pas le cas de « migrants » qui se mettent volontairement en danger en appareillant sur des embarcations de fortune incapables de les conduire à bon port.

    Il n’y a pas, dans ce cas, droit à assistance tant que les personnes ne sont pas en danger, c’est-à-dire tant que les migrants ne sont pas devenus des naufragés dont la vie est immédiatement menacée.

    Tout bateau est, dans ce cas, tenu de porter assistance aux naufragés dont ils sont proches.

    Je voudrais, à ce sujet, faire une remarque que je n’ai lue nulle part : la route maritime allant de Suez à Gibraltar est très fréquentée par tous les bateaux se rendant en Europe occidentale ou en venant, en particulier par la Manche et la mer du Nord. Ce trafic dessert de très grands ports – Le Havre, Anvers, Amsterdam, Hambourg -, sans parler des ports méditerranéens – Gênes, Marseille, Barcelone. Chaque jour, des dizaines de cargos et de navires à passagers passent au nord de la Libye et au sud de la Sicile. Or, jamais, au grand jamais, on n’a appris qu’un de ces bateaux s’était dérouté ou avait récupéré des naufragés. Ceci signifie que, pour les capitaines de ces bateaux, les migrants qui s’exposent volontairement ne sont pas des naufragés.

    Les bateaux des ONG qui vont à la recherche de migrants au large de la Libye et de la Tunisie ne sont pas là pour sauver des naufragés mais pour transférer des migrants en Europe. Dans ces conditions, les États riverains n’ont aucune obligation d’accueillir ces migrants. Les ONG exercent un chantage qui a pour effet d’augmenter le flux des migrants dont le but unique est de débarquer en Europe. Quand on sauve un ou des naufragés, on les débarque dans le port le plus proche, qui peut être en Tunisie, en Algérie, voire en Égypte, d’où ils sont reconduits vers leur pays d’origine.

    C’est ce qui se passe pour les migrants tentant la traversée de la Manche : ils sont ramenés en France.

    Dans le cas actuel, les migrants, une fois débarqués en Europe, deviennent des demandeurs d’asile quel que soit leur pays d’origine et acquièrent des droits à des aides, et si leur statut de demandeur d’asile ne leur est pas reconnu, ils disparaissent dans la nature et deviennent des clandestins souvent inexpulsables.

    Si on veut tarir ce flux, il faut que tous les pays d’Europe aient la même politique de fermeté et refusent à céder au chantage des ONG, dont il serait intéressant de savoir qui les finance.

    François Jourdier

    https://www.bvoltaire.fr/je-suis-marin-et-je-laffirme-les-migrants-ne-sont-pas-des-naufrages/

  • 153 djihadistes marocains binationaux risquent la peine de mort en Syrie si leurs pays refusent de les rapatrier

    La presse marocaine a indiqué que sur plus de 1.400 Marocains détenus en Syrie, 153 binationaux, dont la plupart ont des nationalités européennes, notamment française, belge et espagnole, et ont combattu pour l’Etat islamique, risquent la peine de mort si leurs pays refusent de les rapatrier et que les Forces démocratiques syriennes (FDS) ou l’Irak décidaient de les juger.

    Jeudi dernier, lors d’un échange avec des journalistes sur la pelouse de la Maison-Blanche, le président américain Donald Trump a menacé de libérer dans leurs pays d’origine les combattants de l’Etat islamique européens détenus en Syrie si les pays de l’UE ne les rapatriaient pas eux-mêmes. « Nous détenons des milliers de combattants de l’EI en ce moment. Et l’Europe doit les reprendre », a expliqué Donald Trump. « Si l’Europe ne les reprend pas, je n’aurai pas d’autre choix que de les libérer dans les pays d’où ils viennent, c’est-à-dire la France, l’Allemagne et d’autres endroits », a notamment déclaré le président américain.

    Sputnik

  • Guerre ethnique et raciale dans les quartiers, Grenoble n’est qu’un début !

    Que se passe-t-il à Grenoble ? Il semblerait que des « jeunes gens » se seraient chahutés entre eux, auraient échangé des noms d’oiseaux, et auraient exprimé une certaine colère, comme on dit prudemment dans les médias.Ce n’est tout à fait vrai en fait, si j’en juge par la sortie osée du journaliste Denis MASLIAH du Dauphiné ! 
    Je le félicite car c’est très rare de lire, sous une plume libérée, une réalité qui s’efforce de dénoncer ouvertement ce que moult journalistes de France, tétanisés qu’ils sont, refusent de dévoiler !
    Dans la nuit de dimanche à lundi, ce sont des rixes opposant de jeunes gens issus de cette communauté (noirs) à des jeunes d’origine maghrébine qui ont éclaté à La Villeneuve. 
    Allons donc, ce ne sont pas des blonds aux yeux bleus qui se chamaillent quelque peu pour une jolie du village ? 
    Ce ne sont pas des franchouillards pour un verre de bière ? 
    Pas même des jeunes Blancs qui contesteraient leur blanchitude et feraient un procès à leurs parents ? Serait-ce des allumés du bulbe, des cloches des bois, des tarés de la picole ?


    Allons donc, ce sont des Arabes de nos belles cités de France, tous issus du Maghreb, cette belle région aux couleurs du Sahara, où règnent le couscous et l’islam qui ont tapé à coup de barres de fer, de pierres et que sais-je encore, sur de paisibles Noirs issus de cette belle Afrique si joyeuse, si ludique, si chaude, si musicale !
    Curieux tout de même, cette violence africaine dans nos rues, dans nos villes ! 
    On arrive même à se demander ce que serait la France sans ces descendants ou ces originaires d’Afrique du Nord ou subsaharienne !
    Pourtant, les « humanistes », « les gauchistes », les « écologistes » leurs disent tous les jours : « ne vous battez pas entre vous, ne montrez pas votre violence, vos animosités réciproques, votre détestation, car vous allez faire le jeu du Rassemblement National ! »
    En effet, pour les gauchistes et autres Républicains, on peut se taper dessus, mais en toute discrétion surtout, loin des regards, loin du public, loin des journalistes même si on sait que la plupart ne diront rien, pour ne pas faire le jeu du Rassemblement National !
    Nous avons donc, en France, des gangs, des bandes ethniques qui se confrontent, se battent, se défoncent la tronche au nom de leurs origines, de leurs couleurs et qui sait, de leurs religions ou croyances ! 
    Ne sommes-nous pas là devant une action de racistes pur jus ?
    Imazighen@_Imazighen_

    " Mort aux arabes "
    " Tuons les arabes "
    "Maintenant c'est la guerre "
    Nous ne pouvons plus fermer les yeux face à cette énième provocation soutenu par la @LDNAOFFICIEL
    Explication de cette organisation fasciste sous couvert d'antiracisme en dessous, à derouler ⬇️

    Vidéo intégrée
     
    Où sont les associations droit-de-l’hommistes ? 
    La Licra, le Mrap, la LDH, le Cran, la LDNA, et autres associatifs défoncés aux droits, mais pas aux devoirs, et surtout pas à celui de l’allégeance aux lois de ce pays.
    Selon un habitant contacté par le Dauphiné Libéré, « la police a mis plus de 45 minutes à intervenir pour disperser les deux bandes. 
    Il y avait environ cinquante personnes qui s’affrontaient.
    Pourquoi le Conseil représentatif des associations noires de France (Cran) et ceux de la ligue de défense des Noirs africains (LDNA) ne dénoncent-ils pas les Arabes des cités qui leur ont tapé dessus parce que noirs ?
    C’est quoi ces cris d’orfraies contre le soi-disant racisme blanc, et ce silence de plomb quand ce sont des Maghrébins qui leurs mettent une branlée et crament leurs magasins ? 
    Voici la définition du cri d’orfraie qui explique bien des choses : Hurler, pousser des cris stridents (souvent sans réelle justification, avec une certaine disproportion entre l’acte et la réaction). 
    Protester violemment.
    Vous avez de fait la réponse dans la question ! 
    Parce qu’ils ne sont pas considérés comme des Blancs, des Européens. 
    Ce ne sont pas des toubabs, des Céfrancs, des faces de craie sur lesquels on peut taper comme on veut parce que la police regarde ailleurs, et que la justice s’en fout !
    Ce qui se passe à Grenoble, ce sont les prémices de ce qui va se passer dans d’autres villes, dans d’autres cités parce que les Européens, les Blancs qui ont un peu de moyens se tirent en vitesse et laissent, face à face, les « apaches » du cru ! 
    N’y voyez pas de racisme, c’est tout simplement qu’il fait meilleur vivre hors de leur portée ! 
    Il faudra bien qu’un jour nos dirigeants politiques, nos juges, nos responsables de la police prennent conscience que cela finira par inonder leurs beaux quartiers, impliquera leurs enfants, et générera une violence qui fatalement, va dégénérer en batailles de rues interethniques, puis en guerre de quartiers, pour finir en guerre civile ! 
    Le mélange pègre, religion, racisme est explosif et les explosions futures s’entendront jusqu’à l’Élysée !
    Gérard Brazon
  • Incendies au Brésil, le règne de la désinformation

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    C’est une vieille tactique de la gauche que d’avancer derrière des victimes, et cette fois elle fait fort, puisque la victime n’est autre que la nature, la planète et son atmosphère, en bref la vie, symbolisée par la forêt amazonienne. Le responsable de ce crime contre l’humanité et objet de toutes les haines n’étant autre que le président populiste du Brésil, Jair Bolsonaro.

    Macron a su reconnaître le succès international de la jeune Greta Thunberg, et, comme dans une ascension du Tourmalet, il a donc décidé de lui « prendre la roue » en se positionnant comme défenseur du poumon vert de la planète et en aboyant comme un roquet mal dressé contre le président du Brésil, allant jusqu’à le traiter de « menteur ». Mais Bolsonaro a parfaitement cerné le personnage : « Je regrette que le président Macron cherche à instrumentaliser un problème intérieur au Brésil et aux pays amazoniens pour un profit politique [passage généralement caviardé par nos médias], avec un ton sensationnaliste, et en utilisant des photos vieilles de 16 ans [passage généralement également caviardé], qui ne contribue en rien à régler le problème. »

    Pas seulement le Brésil

    Maintenant, qu’en est-il de ces feux de forêts qui ravagent le Brésil ? Tout d’abord, ils ne ravagent pas que le Brésil mais également le Venezuela, le Paraguay, la Colombie, le Pérou, la Bolivie du socialiste Morales, où le phénomène a atteint les proportions d’une crise nationale, la Guyane française (terre macronienne) qui a vu une augmentation du phénomène de 100 % en un an ; et aussi la Sibérie, le Groenland, l’Alaska ; et en Afrique, l’Angola et le Congo, où l’on dénombre plus de feux de forêts qu’au Brésil. De ces pays, de ces catastrophes naturelles, personne ne parle. Au lieu de cela, on assiste à une avalanche et à une surenchère d’informations tragiques, concernant seulement le Brésil, accompagnées d’une multitude de schémas et de chiffres qui ne cessent de changer et qui sont parfaitement invérifiables. Il en est de même pour les photos ou les vidéos, les fameuses « images », qui proviennent pour la plupart d’un autre contexte ou d’un passé plus ou moins lointain. Il n’importe, « répétez le mensonge et il deviendra vérité », tout est bon pour attaquer le populiste Bolsonaro.

    Déforestation et feux de forêts sont deux phénomènes qui parfois se recoupent, mais pas nécessairement. Les feux de forêts peuvent avoir de nombreuses origines, toute la zone connaît une exceptionnelle sécheresse qui dure depuis quatre mois, la moindre étincelle, le moindre mégot mal éteint peuvent déclencher une catastrophe. Par ailleurs, les incendies en Amazonie, comme ailleurs, peuvent démarrer spontanément, comme l’ont observé les explorateurs du siècle passé, notamment l’Anglais Peter Fleming, lors d’un orage électrique aux nombreux éclairs ; ces feux sont considérés par les spécialistes comme faisant partie d’un processus d’« autorégénération » de la forêt. Certes, il est impossible de nier que certains fermiers et spéculateurs cherchent à profiter du manque de règles et d’un non-respect des lois pour provoquer des incendies et libérer des terres (pratique déjà courante sous les communistes Lulla et Roussef, mais personne ne pipait mot). Mais de là à en rendre responsable Bolsonaro, investi il y a seulement sept mois, un Bolsonaro auquel on impute même les feux dits « burn off » déclenchés dans des zones vides de forêts par les fermiers sur leurs terres afin de les revitaliser, une pratique commune à tout le continent.

    Déforestation

    La déforestation, elle, existe bel et bien, c’est un phénomène global, et son arithmétique est simple : la population du globe croît à vue d’œil, et il faut de plus en plus de terres pour les consacrer à une agriculture intensive afin de nourrir toutes ces bouches. Le Paraguay est un cas d’école de ce processus. Il y a encore quarante ans, les pistes qui conduisaient de la capitale Asunción aux deux grandes villes que sont Pedro Juan Caballero, 400 kilomètres au nord, et Ciudad del Este, 400 kilomètres à l’est, étaient recouvertes d’un tunnel ininterrompu de verdure comme elles traversaient les forêts. Aujourd’hui, hormis quelques palmiers épars, il n’y a plus un seul arbre sur ces deux trajets, et les forêts disparues ont été remplacées par des cultures de soja.

    Vendredi dernier, Jair Bolsonaro a donné le feu vert à l’armée pour qu’elle lutte contre les incendies et les éventuels incendiaires ; tandis que son conseiller Filipe Martins déclarait : « L’Amazonie sera sauvée par les Brésiliens et non par la rhétorique hystérique et mensongère des médias aux ordres, des bureaucrates transnationaux et des ONG. »

    Pierre Barbey

    Article paru dans Présent daté du 26 août 2019

    https://fr.novopress.info/215256/incendies-au-bresil-le-regne-de-la-desinformation/

  • Une élève anglaise disqualifiée pour opinion anti-halal… puis réintégrée

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    Touche pas à mon halal. Les autorités anglaises traquent l’islamophobe. Tapette à souris en main, ils le guettent, l’attendent au virage. Il peut surgir à tout moment. Dans la rue, un journal, à la télé, dans un texte, un discours… Et même à l’école ! C’est affreux. Horribeul.

    Une élève de 16 ans, nous rapporte le Sun du 18 août, qui passait un examen s’est rendue coupable du fameux mal qui ronge l’Angleterre et même l’Europe tout entière. En tant que végétarienne convaincue, la jeune dévergondée s’est saisie de son stylo à bille et a écrit les mots insoutenables que nous reproduisons ici entourés de guillemets en béton armé : « Je trouve l’idée de la viande halal dégoûtante. » En 2019, oser affirmer que le halal… Ah non… Le meuglement de la vache qui agonise dans de terribles souffrances durant de longues minutes n’est-il pas doux à nos oreilles de correcteurs ? Oh yes it is! Et le bêlement du mouton égorgé sans étourdissement préalable ne nous rappelle-t-il pas les vocalises de Joe Cocker ?

    Cheveux droits sur la tête, gravement traumatisé, le jury s’empressa de disqualifier la candidate impie. L’islamophobie était flagrante, le racisme consommé. Le mot « obscène » fut extirpé du dictionnaire. Après s’être excusés d’avoir un jour existé, les correcteurs rentrèrent chez eux se cacher sous la moquette, honteux d’avoir lu de telles ignominies.

    Aggravation de cette douloureuse affaire, l’histoire se déroule dans une région d’Angleterre dont le nom mériterait à lui seul d’être dénoncé pour atteinte aux valeurs morales de l’islam : le Sussex. Une véritable incitation à la débauche. Une impudeur caractérisée. Le cas sera examiné ultérieurement.

    Revenons donc à nos moutons anglais. Revenus de leur séjour expiatoire sous la moquette, les membres du jury s’entendirent arguer par la partie plaignante, à savoir la mother de l’islamophobe en jupette plissée, que son dégoût pour le halal provenait d’un végétarisme forcené et non, ô surtout pas, d’une quelconque aversion pour la sainte religion musulmane. « Mais qu’allez-vous penser, darling ? Elle préfère les carottes râpées, les poireaux vinaigrette. Elle n’a rien contre la religion qui prescrit les égorgements d’animaux sans étourdissement. Il se pourrait même qu’elle adore ! »

    Face à l’argumentation, les chochottes de la bien-pensance firent demi-tour. Éviction de l’élève annulée. « Nous admettons qu’au départ, nous n’étions pas parvenus à la bonne conclusion et que nous étions trop sévères. » Au nom de l’autre cause sacrée du progressisme, la fautive fut amnistiée. Le végétarisme excuse la candidate impie. De ce verdit, il faut donc déduire que les carnivores anglais n’ont pas le droit d’émettre une opinion défavorable au halal. La raison du rejet se doit d’être en conformité avec l’idéologie du moment.

    Il va sans dire que la jeune Abigail Ward aurait recueilli les félicitations du jury si elle s’était insurgée contre la corrida. « Oui, mais si le toréador est musulman ? » dit une voix au fond de la classe… « Que dire ? Bien ? Pas bien ? » Pfff… l’examen devient too much compliqué.

    Jany Leroy

    https://www.bvoltaire.fr/une-eleve-anglaise-disqualifiee-pour-opinion-anti-halal-puis-reintegree/

  • PMA pour toutes : les termes de “mère et mère” seront inscrits sur l’acte de naissance

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    Comment seront nommés les parents sur l’extrait d’acte de naissance d’un enfant né grâce à l’élargissement de la PMA à toutes les femmes ?

    Depuis un mois, la question n’avait pas trouvé de réponse claire. La secrétaire d’État Marlène Schiappa n’avait guère éclairé sur le sujet le 26 juillet dernier face à Apolline de Malherbe. Ni la ministre de la Santé la semaine dernière face à Jean-Jacques Bourdin, qui avait alors renvoyé la balle à son homologue de la Justice, Nicole Belloubet.

    Cette dernière a finalement apporté une réponse : ce sera “mère et mère”.

    https://fr.novopress.info/215248/pma-pour-toutes-les-termes-de-mere-et-mere-seront-inscrits-sur-lacte-de-naissance/

  • Feux de forêt en Amazonie : un prétexte pour s’en prendre à Jair Bolsonaro

    Feux de forêt en Amazonie : un prétexte pour s’en prendre à Jair Bolsonaro

    Les fausses informations sont tellement nombreuses qu’il devient impossible de toutes les corriger. Les feux de forêt en Amazonie ne sont qu’un prétexte pour s’en prendre à Jair Bolsonaro. Petit florilège :

    Selon la Nasa, l’Afrique subsaharienne est davantage en proie aux flammes que l’Amazonie :

    5d61362b488c7b0a348b4567-403x300.pngUn examen plus approfondi permet même de se rendre compte que l’étendue des feux semble généralisée sur l’ensemble de pays comme l’Angola, la Zambie ou la Tanzanie, et très présents au Congo. Pourtant, on ne trouve aucune mention de ces incendies, que ce soit dans la presse locale africaine, ou dans la presse internationale. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il s’agit d’un phénomène habituel, et régulier. Mais qui n’en reste pas moins inquiétant.

    Explication.

    Au mois de juin dernier, la NASA elle-même expliquait que les incendies étaient monnaie courante en Afrique à cette période de l’année. Et ils ne sont pas dus à la sécheresse ni à la pollution, mais bien aux pratiques agricoles. La NASA l’appelle “slash and burn”, on parle chez nous de “culture sur brûlis”, une technique peu coûteuse et facile à appliquer : le bois est coupé puis brûlé, et la couche de cendres fournit aux terres défrichées une couche riche en nutriments pour aider à fertiliser les cultures (…)

    Lire la suite