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Ingérence américaine : il faut annuler l’élection présidentielle de 2017
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La spoliation des retraités
Extrait d’un article du Bulletin d’André Noël :
[…] En 2013, le président Hollande créée la Contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie (CASA.) Tout le monde est frappé, pas de quartier ! Elle est prélevée sur les pensions de retraite versées par tous les régimes de retraite obligatoires – régimes de base et complémentaires – du privé comme du public mais également sur les rentes viagères versées à la sortie d’un produit d’épargne retraite : Perp, Préfon, Madelin. Son taux est de 0,3%. Elle vient s’ajouter à la CSG calculée au taux de 6,6% et à la CRDS de 0,5%. Au total, ce sont donc 7,4% qui sont désormais prélevés directement par les caisses de retraite au moment du versement des pensions.
Les socialistes ont toujours été hostiles aux familles, surtout si elles sont nombreuses, le plus souvent catholiques. Avant Hollande, les majorations de pension accordées aux parents de 3 enfants et plus étaient exonérées d’impôt sur le revenu. Depuis l’imposition des revenus de 2013 ces majorations sont soumises à l’impôt dans les mêmes conditions que les pensions de retraite proprement dites. Cette imposition concerne aussi bien les majorations versées par les différents régimes de base, que celles versées par les régimes complémentaires et ceux de la fonction publique.
–La loi de réforme des retraites du 20 janvier a décalé de 6 mois la date de revalorisation des pensions, la reportant du 1er avril au 1er octobre 2014. Aucune revalorisation n’est donc intervenue sauf pour les retraités bénéficiaires de l’allocation de solidarité aux personnes âgées. Mais la loi de financement rectificative pour la sécurité sociale adoptée plus tard a finalement gelé les pensions versées en 2014. Aucune revalorisation n’est donc intervenue au 1er octobre. Il est vrai que Fillon avait donné le mauvais exemple en retardant la revalorisation des pensions… que Hollande avait promis d’annuler ! Maigre consolation toutefois pour les retraités qui perçoivent des pensions de retraite inférieures à 1.200 € par mois : ils ont reçu de Hollande une prime de…40€ début 2015. Une aumône !
Dernier acte de Hollande qui modifie les conditions d’application du taux réduit de CSG (3,8 % contre 6,6 %). Jusqu’à présent réservé aux contribuables qui ne payent pas l’impôt sur le revenu, le bénéfice du taux réduit serait désormais subordonné à un seuil de revenus à ne pas dépasser (13.900 euros pour une personne seule). Ce nouveau critère rend imposable à la CASA certains retraités qui bénéficiaient du taux réduit de CSG.
Macron à l’offensive contre les retraités
Rappel ! En janvier 2018, une partie des cotisations sociales pesant sur les actifs a été transformée en CSG, un impôt imputé sur tous les revenus, y compris sur les pensions. L’augmentation de leur taux de CSG, passé de 6,6 % à 8,3 %, a rapporté 4,8 milliards € supplémentaires à la Sécurité sociale, selon l’estimation officielle.
La révolte des gilets jaunes, des retraités et, au-delà de leurs enfants et petits-enfants, devant cette injustice contraint le gouvernement à reculer… un peu.
Si 4,5 millions de retraités ayant subi la hausse de CSG ont obtenu une compensation sous forme de baisse de leur taxe d’habitation, 2,5 millions sont trop « aisés » pour y avoir droit. Plus scandaleux, les pensionnaires modestes hébergés en maison de retraite en étaient aussi privés. Il a fallu amender le texte de loi pour qu’ils soient eux aussi compensés… Partiellement. C’est l’improvisation qui conduit à cette usine à gaz que l’administration elle-même a du mal à suivre.
En septembre 2018, le premier ministre a annoncé qu’aucun retraité vivant dans un ménage ayant accru ses revenus ne verra son taux de CSG croître avant deux ans : concrètement, il n’y aura aucune hausse de CSG en 2019, une mesure de lissage des effets de seuil qui doit profiter à … seulement 300.000 retraités.
Enfin, en décembre, Emmanuel Macron a renoncé à 1,3milliard€ de recettes en supprimant la hausse de CSG pour les retraités au revenu compris entre 1.200 et 2.000 € par mois. Ces ménages touchent un chèque de remboursement de l’excédent versé depuis le 9 mai.
En août 2018 : le gouvernement a décidé, cyniquement, de sous-indexer les pensions pendant deux ans pour économiser 5,2 milliards €. Ces pensions n’ont pourtant pas été revalorisées en 2018. Elles ont aussi souffert de la faible inflation au cours des années précédentes, et ont été quasiment gelées pendant six ans pour les retraites complémentaires. Hélas pour le gouvernement, le Conseil constitutionnel a censuré la disposition au titre de 2020 : il faudra repasser devant le Parlement pour voter à nouveau 2,4 milliards € d’économies sur les pensions. Ce serait remuer le couteau dans la plaie alors que certains députés de la majorité ont cherché en vain à « moduler » les revalorisations en fonction du revenu des retraités.
Un anonyme proche du chef de l’Etat a déclaré, début mai 2019, au Monde que le président « veut absolument se réconcilier avec les retraités, dont une immense majorité a l’impression d’être méprisée par le pouvoir ». Comme s’il ne s’agissait que d’une impression !
Mais que valent ces paroles en direction des retraités compte tenu de la réalité chiffrée depuis deux ans et qui doit se prolonger jusqu’en décembre 2020 sur décision présidentielle ? Il ne faut pas avoir la mémoire courte ! Nouveau rappel : dès le mois de janvier 2018, les pensions nettes de plus de 10 millions de retraités ont baissé entraînant une perte de pouvoir d’achat de près de 4% sur la seule année 2018 et se prolonge sur les années suivantes.
Cette spoliation des retraités a servi (théoriquement et pour l’instant…) à compenser la suppression de la cotisation chômage et de la cotisation maladie des actifs. Cela s’est traduit par une petite augmentation du salaire net qui n’a rien coûté aux employeurs ? Tant mieux pour eux : les retraités ont payé à leur place.
Mais, s’agissant des retraités, Emmanuel Macron, ses ministres et les députés godillots du groupe LREM sont encore allés plus loin. Ils ont décidé que les pensions de retraite n’augmenteraient que de 0,3% en 2019 et en 2020 alors que la hausse des prix est estimée à 1,5% par an sur ces deux années. La hausse des prix sera peut-être plus importante car celui de l’électricité va augmenter de 5,9% d’ici l’été et celui des carburants est reparti à la hausse. Macron s’est donc dit « favorable » à une revalorisation des petites retraites, mais il soumet, en même temps, beaucoup de ces mêmes retraités à une double peine en 2019 et en 2020. Ainsi, ceux qui vivent en HLM ne bénéficieront que d’une hausse de 0,3% de l’Aide Personnalisée au Logement (APL) en 2019 et en 2020. Cela se traduira par plus de dépenses consacrées au loyer à partir de pension désindexées de la hausse des prix.
Enfin, dire que l’on va revaloriser les seules petites pensions ne signifie pas que ces pensions vont évoluer en fonction de la hausse des prix. Même quand l’évolution des pensions est indexée sur les prix, la structure des dépenses d’un ménage modeste, disent les experts de l’INSEE, comme celui de la plupart des retraités, n’est pas la même que la structure des dépenses du ménage moyen retenu par ce même INSEE pour calculer l’évolution du pouvoir d’achat des ménages de manière globale. Outre ceux qui perçoivent l’APL, ceux qui se chauffent au fioule seront également perdants, vu l’évolution actuelle de son prix. Même s’ils sont des propriétaires occupants de leur maison.
Il y a ce que l’on a pris aux retraités mais il y a aussi ce dont ils ne peuvent pas bénéficier. Ainsi de la « prime exceptionnelle » défiscalisée et exonérée de charges sociales, versée par l’employeur, entre 400 et 1000 €. Macron la renouvelle pour 2020 : elle ne lui coûte rien ! Mais les retraités, eux, ne recevront rien puisqu’ils n’ont pas d’employeur.
Bien sûr, ces attaques répétées et systématiques contre les retraités affichent une nécessité économique pour équilibrer les comptes sociaux. Mais cet argument financier n’est que l’habillage d’une idéologie libérale et technocratique. Car pour parvenir à financer les caisses de retraite comme le budget, on sait ce qu’il faut faire, Emmanuel Macron l’a dit lui-même : « Les Français doivent travailler plus.» Mais il ne joint pas le geste à la parole pour qu’ils travaillent davantage : il conserve la semaine de 35 heures, la retraite à 62 ans, il a renoncé à supprimer un jour férié, ce qu’il avait lui-même suggéré. Ce sont les retraités qui, ayant déjà travaillé, devront payer.
Bien avant qu’il soit président, il était au sein d’un « think tank » (groupe de réflexion) de jeunes technocrates qui pensaient que pour sortir de la crise et libérer l’économie, il fallait privilégier les « productifs », créateurs de richesses. Pour cela, on devait en finir avec « la rente », les revenus improductifs qui seraient ceux des retraités et du troisième âge, sources de dépenses sans recettes.
Au pouvoir, c’est devenu la nécessité, selon lui, de privilégier les « actifs » au détriment des inactifs. Depuis 2017, il accorde donc la priorité à la compétitivité et au travail. Il pense que le redressement de l’économie française dépend des français productifs, ceux qui créent de la richesse et non pas de ceux qui touchent des revenus de redistribution, à commencer par les retraités, quitte à piétiner ceux-là qui, pour lui, avant d’être des personnes, sont des poids-morts plombant notre productivité. D’où les mesures punitives que nous évoquons ci-dessus.
Il nous dit qu’il ne nous a pas pris en traître pour la hausse de la CSG figurant dans son programme. C’est vrai, mais, nulle part, il n’a annoncé qu’une grave sous-indexation s’y ajouterait. De toute façon, pour les retraités, il promettait, globalement, en mars 2017 sur France 2 qu’ « il n’y aura pas de perte de pouvoir d’achat » s’il était élu, « Le niveau de vie des retraités, on doit le préserver », annonçait-il dans un clip de campagne. Il se payait même le luxe de s’en prendre à François Fillon qu’il accusait de vouloir « faire des économies sur le dos des retraités » dans son projet présidentiel.
« Sauver notre système de retraite » ?
Tous les responsables de la spoliation des retraités depuis vingt-cinq ans affichent le vertueux motif de vouloir « sauver notre système de retraite » et cela mérite des sacrifices. Mais ils ne se rendent pas compte qu’ils sont en train de le tuer, Macron tout particulièrement. Demandez aujourd’hui à un jeune de trente ou quarante ans, ce qu’il espère comme retraite. La plupart du temps il vous répondra : rien. Ou : pas grand-chose.
Une des conséquences les plus fortes de cette politique qui a ciblé les retraités sera d’accélérer la pédagogie des jeunes salariés sur les systèmes de retraite par capitalisation. Les professionnels de l’assurance ne manqueront pas d’arguments. Notamment les anglo-saxons qui sont déjà prêts à les démarcher.
En pénalisant les retraités actuels, Emmanuel Macron contribue à tuer les systèmes par répartition désormais soumis aux contraintes politiques et à la conjoncture financière. La pension n’est plus un droit acquis grâce à une vie de labeur mais une somme aléatoire, une variable d’ajustement du budget social de la Nation.
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Le terminal 2F de Roissy envahi par les clandestins, par Franck Deletraz
Pour les nombreux touristes venus découvrir et admirer « la plus belle ville du monde », nul doute que le choc aura été terrible et aura sérieusement égratigné la vision idyllique qu’ils pouvaient avoir de notre pays. Et comment ne pas les comprendre après le spectacle affligeant, auquel nous avons assisté dimanche, de cette véritable horde de clandestins envahissant l’aéroport de Roissy – Charles-de-Gaulle pour dénoncer les expulsions et réclamer « des papiers pour tous » ?
« La France c’est pas aux Français » (sic)
Mobilisés et cornaqués par ces deux collectifs pro-invasion que sont La Chapelle debout ! et les Gilets noirs, plusieurs centaines de clandestins, pour la plupart originaires d’Afrique sub-saharienne, ont en effet déferlé en début d’après-midi sur le terminal 2F de l’aéroport de Roissy, sous le regard médusé des voyageurs, en lançant des slogans aussi édifiants que… « La France c’est pas aux Français, toute l’Afrique a le droit d’être ici » (sic) ! Un véritable tsunami qui, bien que se voulant officiellement « pacifique », a tout de même contraint les policiers présents à faire usage de gaz lacrymogènes pour rétablir l’ordre. Après quoi, les manifestants étrangers, lors d’un sit-in improvisé, ont exigé d’être reçus dans les plus brefs délais par le Premier ministre Edouard Philippe, accusé d’organiser une « véritable déportation », et par les dirigeants d’Air France, considérés comme étant « complices » de ces « expulsions massives ». Une exigence bien sûr immédiatement satisfaite par Air France, dont une délégation officielle a promis aux représentants des Gilets noirs, qui demandent à la compagnie de « stopper toute participation financière, matérielle, logistique ou politique aux déportations » (comprenez : les reconduites à la frontière), de « faire part [de leurs] doléances à la direction ».
L’incroyable lâcheté des autorités
Un comble, quand on pense que tous ces gens ont délibérément violé nos lois en pénétrant et en s’installant illégalement sur notre sol ! Un comble aussi, quand on sait que la quasi-totalité des clandestins déboutés de leur demande d’asile non seulement ne sont jamais expulsés vers leur pays d’origine mais sont même relâchés dans la nature et laissés libres de vivre comme ils le souhaitent en France.
Bien conscients du laxisme criminel et de la terrible pleutrerie qui animent depuis des décennies les autorités françaises en matière de lutte contre l’immigration, sans cesse chauffés à blanc par les innombrables collectifs du lobby de l’immigration, ils ne se gênent même plus pour exiger, au grand jour, et devant les caméras complices des journalistes, la régularisation de l’ensemble des clandestins vivant dans notre pays, et même celle de ceux qui débarquent chaque jour sur notre sol.
Franck Deletraz
Article paru dans Présent daté du 21 mai 2019
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Le coût effarant de l’immigration pour l’Allemagne : 23 milliards !
L’Allemagne a le courage qui manque à la France : elle publie le coût de l’immigration alors que, chez nous, demander à combien se monte la facture est considéré comme raciste.
Selon Reuters, en 2018, l’Allemagne a dépensé 23 milliards pour ses réfugiés : un chiffre colossal ! L’addition ne se montait qu’à 20 milliards, en 2017. Cette somme gigantesque donne le vertige et on peut légitimement se demander si elle n’a pas été versée en vain puisque, d’après des statistiques publiées par nos voisins d’outre-Rhin, 50 % des nouveaux venus sont toujours au chômage trois ans après leur arrivée. Trouveront-ils, un jour, un travail ? Certains n’ont aucun diplôme et leurs difficultés en allemand rendent difficile toute formation. Beaucoup d’autres sont des déclassés : des ingénieurs se font veilleurs de nuit ou manutentionnaires. Certains Syriens avouent sans fard avoir un niveau de vie bien inférieur à celui qu’ils avaient dans leur pays natal. Mais ils ont le mérite de vouloir s’intégrer et de prendre un emploi même loin de leur qualification.
La venue de plus d’un million d’hommes célibataires, parfois peu respectueux des femmes, a sans conteste augmenté la criminalité et multiplié les agressions sexuelles. On ne compte plus le nombre d’affaires lamentables qui secouent régulièrement l’Allemagne.
Le bilan est donc très négatif. Mme Merkel s’imaginait, dans sa naïveté, importer des bac+5 bien formés qui compenseraient la faible natalité allemande. Ses rêves ont été balayés par l’amère réalité. Elle semble l’avoir compris, car sur les 23 milliards dépensés, 7,3 l’ont été pour dissuader l’immigration de se poursuivre ! Un chiffre effarant. Cette somme élevée, qui plus que tout montre l’inanité de l’ouverture des frontières et la sottise de Mme Merkel en 2015, est donnée d’une manière hypocrite et peu glorieuse. Elle va, en partie, à la Libye, aux milices et aux deux gouvernements qui se disputent ce pays : le but est de retenir à tout prix les immigrés dans ce pays, de les dissuader de monter dans des bateaux et, s’ils le font, de les intercepter pour les ramener au point de départ, ce qui leur fera perdre beaucoup d’argent en vain.
La Turquie est également soudoyée pour qu’elle empêche le million de réfugiés qu’elle abrite de partir pour la Grèce, tandis que les pays africains, en échange d’une aide généreuse, délivrent les papiers nécessaires au rapatriement des déboutés du droit d’asile.Douglas Murray, dans son livre L’Étrange Suicide de l’Europe, avance un coût de 18 milliards annuels pour l’immigration pour la Grande-Bretagne. Au vu des chiffres allemands, son évaluation est sans doute juste.
On peut imaginer transposer, en France, ces chiffres : les dépenses doivent être du même ordre car les populations sont équivalentes, le nombre d’immigrés comparable et les politiques d’accueil aussi généreuses. Combien de milliards, donc, en additionnant le coût des centres de rétention, de l’aide médicale, de la prise en charge des mineurs isolés (dont combien ne le sont pas ?), des aides sociales, du RSA délivrés à tous les régularisés et pour une très longue période, celui du logement et de la Sécurité sociale pour les migrants chômeurs ?
On peut juger que l’immigration est une excellente chose, qu’il faut ouvrir nos frontières en grand, mais il faut cesser de croire que c’est gratuit.
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Pour Marine Le Pen, “La France insoumise” devrait s’appeler “La France islamiste”
Marine Le Pen tenait un meeting à Villeblevin dans l’Yonne ce mardi soir, à 5 jours des élections européennes.
La présidente du Rassemblement national a notamment vilipendé le programme de “La France insoumise” sur l’immigration et l’acquisition de la nationalité française.
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L'arnaque du nouveau contrôle technique et de l'UE
L' UE nous enfonce chaque jour davantage.......Je sors du contrôle technique pour ma voiture , résultat : 84 euros ! Il y a 2 ans , je payais 61 euros .Macron et sa clique nous ont fait croire que le nouveau CT ainsi que la flambée de son prix étaient repoussés en juillet 2019 suite aux manifestations des gilets jaunes .
Il n'en est rien dans les faits !
Et c'est comme ça pour tout le reste .Toutes les mesures auxquelles on a fait semblant de renoncer histoire de calmer les esprits ne sont en fait qu'un report à une date ultérieure dans le meilleur des cas !
Je discute avec le mécanicien-contrôleur qui me dit que les nouveaux appareillages de mesure sont en place depuis belle lurette et que donc le report en juillet est caduque .Les accélérations sont 3 fois plus importantes sur les véhicules ( j'ai eu peur en entendant le vrombissement insensé du mien ! ) et il m'avoue que sur les voitures anciennes " ça peut tout casser...." , mais "ce sont les nouvelles normes européennes , et ...faut s'y faire " !
Le porte-monnaie des usagers , par contre , je ne suis pas sûr qu'il s'y fera !
Eh bien pour ma part , ces "normes" européennes commencent à m'exaspérer "grave " pour employer un terme cher à une certaine jeunesse !
L'UE nous tue à petit feu , et le plus souvent à notre insu , en catimini .Notre vie quotidienne en pâtit tous les jours , ainsi que notre pouvoir d'achat.
Nous vivons sous le diktat absolu de m. Juncker et de son acolyte Macron .........ça ne peut plus continuer ainsi !
On emmerde les gens ( pardon d'être vulgaire ! ) avec les particules de je ne sais quoi , sachant que les petits travailleurs qui ont du mal à s'en sortir avec leur petite bagnole de 8 ans ne pourront plus payer , mais par contre les plus gros pollueurs de la planète , cargos qui pourrissent la mer et autres avions , sont eux détaxés !
J'apprends en outre , chose que j'ignorais , que l' UE compte s'attaquer à présent aux pompiers volontaires ainsi qu'à leur statut .............Lamentable .
Il est temps de réagir !La France , c'est la France .....pardon pour cette lapalissade , mais notre pays n'est ni l' Allemagne , ni l' Espagne , ni la Grèce , ni tout ce que vous voulez .
L'UE remet en cause jusqu'à nos valeurs .......c'est une machine débridée qui part dans tous les sens , et qu'on NE PEUT PAS CHANGER , contrairement à ce qu'essaient de faire croire les "progressistes" de pacotille , parce que pour la changer , il faudrait CHANGER LES TRAITES !
Ceux qui essaient de faire croire que l'UE ,c'est la paix et un rempart contre la guerre , se trompent totalement .Morcelez les peuples , ôtez-leur leur identité et leurs racines , et tôt ou tard ils se révolteront .
Prenons le cas de l'ex-Yougoslavie , même si ce n'est pas comparable : on a voulu faire un melting-pot avec des groupes qui n'avaient ni la même histoire , ni la même origine , ni les mêmes moeurs , ni parfois la même religion.
Résultat : chacun a fini par revendiquer son identité propre ........dans la violence et la guerre .
L'UE est en train de devenir folle , avec 28 états membres , une volonté d'élargissement permanente ( pourquoi pas la Turquie un jour ! ) , une propension inévitable au fédéralisme ( il ne nous manque plus que ça ! ) , une technocratie irraisonnée où seuls dominent les intérêts financiers.Alors STOP !
Stop avant d'être noyés et définitivement dépouillés de tout , que ce soit d'un point de vue collectif ou individuel !!
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Le Rassemblement national fait face à une chasse aux sorcières ciblée autour de ses liens avec Steve Bannon, ancien conseiller de Donald Trump
22/05/2019 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
L’homme d’affaires conservateur américain gravite autour des mouvements nationalistes d’Europe depuis mi-2018, échangeant notamment avec Matteo Salvini et Boris Johnson. Le Rassemblement national est sous le feu des critiques depuis quelques jours, à cause de certaines rencontres entre monsieur Bannon et des élus du parti.Il est reproché à M. Bannon de porter atteinte à la souveraineté des élections. Ces accusations, lancées d’abord par le directeur de la campagne de La République en marche Stéphane Séjourné ce samedi, ont été reprises par le Premier ministre, puis par Nathalie Loiseau lundi matin dans un entretien au Figaro. Le reste de l’échiquier politique a, lui-aussi, lancé ses forces dans cet ultime assaut contre le Rassemblement national.
Un appel demandant à « enquêter sur les liaisons dangereuses de Le Pen et Bannon » lancé par l’ancien député des Républicains François Lefebvre et signé par une quinzaine de députés allant du Parti socialiste au Modem a ainsi suivi ce lundi.
À une semaine du scrutin cette union des forces politiques contre le Rassemblement national n’est pas sans rappeler le second tour des élections de 2017. Reste donc à voir si les deux ans de gouvernement Macron qui ont suivi ont fait réfléchir les électeurs français.
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L’extrême centre, le populisme des élites
C'est, selon son habitude, à une fine analyse que Roland Hureaux se livre ici [Causeur - 20.05]. Nous sommes familiers de sa pensée politique depuis qu'il fut l'un des participants du colloque d'Action française du 7 mai 2016, à Paris. On parle souvent des populismes, de droite ou de gauche, comme de menaces extrémistes ; moins de celle incarnée par l’idéologie libérale majoritaire. Roland Hureaux considère que la menace qu'incarne l’extrême centre s’avère pourtant plus dangereuse et mériterait d’être reconsidérée… Il nous paraît avoir bien raison. LFAR
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Le Télégramme et La Voix du Nord ont refusé de publier l’interview-propagande du président de…LREM
Les responsables de ces deux quotidiens expliquent ce qui a motivé leur décision :
“(…) A cinq jours du scrutin, cette interview du président de la République avait valeur d’engagement, pour une liste [Renaissance]”, estime-t-il. “Si on faisait cette interview-là du président de la République aujourd’hui, les autres candidats pourraient tout à fait dans les jours à venir nous demander d’avoir le même traitement. On a préféré, pour respecter l’équilibre, ne pas reprendre cette interview (…)
Nous nous sommes engagés il y a quelques mois auprès de nos lecteurs à ne plus permettre les relectures par les hommes et femmes politiques. Par souci de cohérence, on a préféré ne pas répondre favorablement [à la proposition d’interview de l’Elysée]. Il n’y a pas de raison qu’on fasse une exception pour le président de la République (…) [source]
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Vous ne trouverez ni dans ce journal ni sur notre site l’interview complète qu’Emmanuel Macron donnait ce lundi à la presse quotidienne régionale (PQR) ou, plutôt, à une partie d’entre elle devrait-on écrire. Nous vous devons donc quelques explications. Neuf journalistes de « grands titres » régionaux, dont La Voix du Nord, avaient été conviés à poser leurs questions sur l’Europe au président de la République. Une interview d’une heure trente, encadrée de façon inédite puisque les participants devaient s’engager à coécrire sur place une version unique des réponses présidentielles, puis à la soumettre à la relecture de l’Élysée avant toute publication du texte validé.
Mais une autre préoccupation nous habite : l’équilibre dans le traitement politique d’une campagne électorale. Même si les directives du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) ne s’appliquent ni à la presse papier ni aux sites internet mais aux chaînes de télévision et aux radios, nous veillons à ne pas avantager une liste par rapport à d’autres. En s’invitant dans la presse régionale à cinq jours du scrutin, alors que son engagement pour la liste Renaissance ne fait aucun doute, il nous a semblé qu’Emmanuel Macron rompait cet équilibre essentiel au débat démocratique. En tout cas dans nos colonnes, si nous avions décidé de publier ce texte. [source]
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Ces politiques qui défont la France dans le dos des Français ?
Recevant, samedi dernier, dans son émission « Répliques », le directeur de Libération, Laurent Joffrin, et le sociologue, essayiste et chroniqueur, Mathieu Bock-Côté, qui vient de publier L’Empire du politiquement correct, Alain Finkielkraut déclara : « Une des formes graphiques du politiquement correct, c’est l’écriture inclusive. » Il faisait référence au texte de soutien aux gilets jaunes publié, le 5 mai dernier, par Libération et signé par Juliette Binoche, Emmanuelle Béard, et « 1.400 autres artistes et créat.eur.rices. » Il venait également de recevoir cette déclaration d’enseignants : « Nous professeur.e.s de philosophie réuni.e.s en journée de formation nous tenons à marquer notre opposition à la réforme Blanquer et à l’unanimité des présent.e.s… » Et Finkielkraut de commenter : « Les professeurs de philosophie […] doivent faire découvrir les grands textes et ils écrivent en morse. Tout cela est douloureux et on ne peut qu’en rire. ». Douloureux, certes ! Consternant ! Mais inquiétant, quand ce sont nos parlementaires qui s’adonnent à ce genre de démagogie.
Rappelons, tout d’abord, le début de l’article 2 de notre Constitution : « La langue de la République est le français. »
Rappelons, ensuite, la déclaration de l’Académie française du 26 octobre 2017 : « Prenant acte de la diffusion d’une “écriture inclusive” qui prétend s’imposer comme norme, l’Académie française élève à l’unanimité une solennelle mise en garde. La multiplication des marques orthographiques et syntaxiques qu’elle induit aboutit à une langue désunie, disparate dans son expression, créant une confusion qui confine à l’illisibilité… »
Rappelons, également, que, le 28 février dernier, le Conseil d’État a rejeté des recours demandant l’annulation d’une circulaire du Premier ministre « prescrivant de se conformer aux règles grammaticales et syntaxiques en s’abstenant de faire usage de l’écriture dite inclusive… »
Rappelons, enfin, que le président du Sénat, Gérard Larcher, le 17 janvier 2018, fit la déclaration suivante devant ses collègues : « Le Sénat sera attentif à la défense des valeurs républicaines, mais aussi de la culture et de la langue française qui doivent être un moyen de renforcer l’appartenance à la communauté nationale… »
Après ces déclarations, passons derrière le lourd rideau de la lâcheté, de l’hypocrisie et de l’inconséquente désinvolture de nos parlementaires à l’égard de la République.
Le Sénat attentif à la défense de la langue française ? C’est une plaisanterie ! Gérard Larcher (LR) a-t-il protesté quand la sénatrice socialiste, Laurence Rossignol, anciennement ministre de la République, a déposé avec une trentaine de ses collègues (PS) une proposition de loi « pour une meilleure protection des mineur.e.s victimes de viol et des autres agressions sexuelles », proposition de loi enregistrée à la présidence du Sénat le 26 octobre 2017 ? En tant que président du Sénat, n’avait-il rien à dire sur cette rédaction en écriture inclusive ? Et la présidente de la commission culture, éducation et communication de ce même Sénat, Catherine Morin-Desailly (UDI-UC), s’en est-elle au moins étonnée ? Comment, d’ailleurs, aurait-elle pu dire quoi que ce soit ? Présidente, également, de la commission culture, tourisme et attractivité du territoire de la région Normandie, elle écrira dans son introduction à la Journée des droits culturels qui s’est tenue le 25 mai 2018 dans sa région : « Il s’agit de sensibiliser les jeunes Normand.e.s aux arts et à la culture… »
Il est vrai que, le 15 novembre 2017, le jour même où le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, s’opposait à cette écriture aberrante devant la représentation nationale, Christophe Castaner, à l’époque secrétaire d’État chargé des Relations avec le Parlement et candidat à la présidence de LREM, n’hésitait pas à rédiger dans ce style aussi illisible qu’imprononçable la profession de foi qu’il destinait à l’ensemble des membres de La République en marche : « Cher.e.s ami.e.s, engagé.e.s auprès d’Emmanuel Macron, nous sommes des adhérent.e.s, des parlementaires, des référent.e.s, des élu.e.s de collectivités locales… »
On comprend mieux que le Premier ministre, Édouard Philippe, assis entre les chaises de ses deux collègues, ne se soit opposé à l’écriture inclusive que pour les seuls textes à paraître au Journal officiel. Comme d’imperceptibles infiltrations déstabilisent peu à peu le sous-sol d’un édifice, ces lâches abandons du politiquement correct déstabilisent depuis des années notre République dans le dos des Français.