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anti-national - Page 556

  • #Montpellier

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    « Il n’y a pas un jour sans que l’on ait affaire à des MNA (mineurs non accompagnés, NDLR) impliqués dans des actes de délinquance. Un phénomène très prégnant dans le centre-ville », remarque une source policière. Impliqués dans des vols à l’arraché de bijou, de téléphone portable, parfois avec violence (voire sous la menace d’un couteau) et même dans des cambriolages. Recrutés aussi comme petites mains pour la vente de drogue ou de cigarettes de contrebande.

    Sentiment d’impuissance

    Le phénomène n’est cependant pas quantifié. Les services de police ne cachent plus leur sentiment d’impuissance face à ces mineurs, souvent hébergés en hôtel, interpellés la nuit après des agressions, puis placés en garde à vue mais renvoyés quelques heures plus tard vers les mêmes hébergements sans plus de contraintes. Du fait de leur statut de mineur, soumis à l’ordonnance de 1945.

    Depuis deux ans, les services de police tirent la sonnette d’alarme sur la multiplication des infractions du fait de ces jeunes livrés à eux-mêmes, qui débarquent en continu dans l’Hérault via des réseaux de passeurs. Notamment depuis le Maroc ou l’Albanie.

    Source : midilibre.fr

    https://www.news.suavelos.eu/montpellier-la-police-se-dit-impuissante-face-a-lexplosion-du-nombre-de-mineurs-etrangers-et-de-leur-criminalite/

  • D’anciens hôtels reconvertis en centres d’accueil pour migrants

    Une cinquantaine d’hôtels Formule 1 ont été rachetés et mis à disposition pour accueillir des sans-abris et des migrants. Pour mieux reloger et faire des économies…

    http://www.fdesouche.com/1098983-danciens-hotels-reconvertis-en-centres-daccueil-pour-migrants
  • La fondatrice des Femen au Brésil demande pardon aux chrétiens

    La fondatrice des Femen au Brésil demande pardon aux chrétiens

    Sarah Winter, fondatrice des Femen au Brésil en 2012, s’est livrée dans une vidéo :

    « Ce n’est pas une chose facile à faire, mais je demande pardon aux chrétiens pour nos protestations féministes… Nous sommes allées trop loin. » Répercutée quelques jours après Noël par le site LifeSiteNews, la repentance dans une vidéo YouTube de Sarah Winter, pseudonyme de militante de Sara Fernanda Giromini, fondatrice des Femen au Brésil puis militante du mouvement pro-bisexualité « Bastardxs », remonte au mois d’octobre dernier. Un mois après la naissance de son deuxième enfant, elle a exprimé son repentir pour l’avortement de son premier enfant, et a reconnu que la récente naissance du deuxième avait changé son regard sur le droit à la vie.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-fondatrice-des-femen-au-bresil-demande-pardon-aux-chretiens/

  • Combien de temps avant la « Purge » ?

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    Gérard Collomb ne pouvait être plus clair. Exhumé par Valeurs actuelles, le constat de celui qui fut notre ministre de l’Intérieur est sans appel. À la question du journaliste qui lui demandait ce qu’il craignait, « une partition ou une sécession », Collomb répondit ceci : « Oui, je pense à cela. C’est ce qui me préoccupe, d’ici cinq ans, la situation pourrait devenir irréversible. » Ces mots nous parviennent quelques jours après que le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a exprimé en direct ses craintes en observant une « colonisation à l’envers« .

    On peut souffler, tempêter, on peut laisser l’amertume nous ronger en pensant que cela fait trente ans que certains prophètes alertent sur l’épilogue inévitable. Nous en avons eu, des Cassandre qui prédisaient la chute de Troie. Nous avons eu nos cohortes de Byzantins préférant débattre du sexe des anges pendant que les Ottomans escaladaient leurs murailles. À la différence, sans doute, que nous sommes les citoyens d’une Troie qui est fatiguée de vivre, à la différence que nous ne débattons plus du sexe des anges mais de celui assigné à nos enfants par quelque construction sociale.

    On peut, effectivement, se rasseoir en se disant qu’on l’avait bien dit. Ou alors on peut se réjouir en considérant que cette situation dramatique n’est pas encore irréversible, justement.

    Les événements de ces derniers jours ont agi aussi comme un rappel du réel. D’un côté, des racailles se servant des réseaux sociaux pour appeler à la « Purge », du nom d’un film connu en France sous le titre d’American Nightmare. Le principe ? Pendant une nuit, tous les droits sont suspendus et malheur à ceux qui seraient hors de chez eux. Bien évidemment, c’était, à la base, la blague d’un ado confondant réalité et fiction, URL et IRL. Mais tellement emblématique de l’époque que nous vivons.

    Pendant ce temps, notre Président si mal élu se remet tranquillement d’un coup de fatigue. Pendant ce temps, notre Jupiter foudroyé depuis l’Olympe alerte sur un possible retour des années 30. Péchant par ignorance, il oublie un fait important : les émeutes du 6 février 1934 n’étaient qu’une conséquence de décennies de corruption et d’atermoiements. Le 6 février 1934 et les morts ont été le fait des princes de l’époque. Ce ne sont plus des bourgeois factieux que la France affronte mais des milliers de bandes ultra-violentes non intégrées et insensibles au sort du pays qui les accueille et les nourrit. Un pays tenu par des élites qui pratiquent l’auto-détestation de ce qu’ils sont ne saurait survivre, fût-il protégé par des frontières. Plus que jamais, il est urgent de faire aimer la France.

    Dans six mois, les européennes permettront aux électeurs d’imposer un Parlement anti-technocratique et souverainiste. Dans un peu plus d’un an, les municipales permettront aux électeurs d’élire des maires compétents. Dans un peu plus de trois ans, nous aurons la possibilité d’élire un chef de l’État et des députés câblés pour répondre à l’urgence. Mais il est illusoire d’engager une transformation en commençant par le haut. Principe de subsidiarité oblige, c’est par la base que le pays se transformera. C’est ce que Macron a oublié, et c’est sans doute sa plus grande erreur. Début de réponse le 17 novembre ?

    Marc Eynaud

    http://www.bvoltaire.fr/combien-de-temps-avant-la-purge/

  • À FRIVILLE-ESCARBOTIN (80) : LES CLANDESTINS SE FONT LA MALLE...

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    Un communiqué de Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France :

    La plupart des clandestins installés autoritairement à Friville-Escarbotin (80) par le préfet la semaine dernière, avec la complicité active de la municipalité, sont partis. D'une part, parce qu'ils souhaitent passer en Angleterre et vont tenter leur chance à Calais, Dieppe, Ouistreham ou Dunkerque. Et d'autre part, parce que, la veille de leur arrivée, les militants du Parti de la France avaient alerté les habitants de l'arrivée ces migrants. Il en a été de même à Moreuil (80).

    Quoi qu'en dise la presse locale xénophile pro-invasion, les habitants des communes concernées étaient en très grande majorité hostiles à l'installation de ces clandestins, et la mobilisation des militants locaux du Parti de la France a été particulièrement appréciée et soutenue.

    Partout où il le pourra, le Parti de la France sera aux côtés des Français qui refusent que leur commune soit colonisée par des migrants.

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/01/a-friville-escarbotin-80-les-clandestins-se-font-la-malle-6101769.html

  • Retraite par points : la misère en perspective

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    La réforme la plus radicale de Macron

    C’est peut-être la réforme la plus radicale d’Emmanuel Macron : l’institution d’un régime universel de retraites par points. Et, curieusement, dans un pays réputé conservateur et adepte des polémiques, cette réforme semble faire son bonhomme de chemin tranquillement, poussée par le tout aussi bonhomme Jean-Paul Delevoye. L’emballage égalité-universalité-simplicité et le slogan bébête « pour qu’un euro cotisé rapporte la même chose à tous » semblent avoir tué tout esprit critique. Est-ce justement sa radicalité qui lui vaut un attentisme plutôt positif des Français ? Ou le fait qu’ils aient la tête ailleurs, dans le budget carburant par exemple ? Or, cette retraite par points pourrait leur coûter bien plus cher que les pleins de cet hiver et faire de leur retraite un grand soir très froid…

    Heureusement, un économiste vient de tirer la sonnette d’alarme pour arracher les Français à cette indifférence dans laquelle MM. Macron et Philippe aimeraient les maintenir. Car cette réforme sera redoutable pour les futurs retraités en les condamnant à la paupérisation.

    Dans Les Échos, Christian Saint-Étienne, professeur d’économie au CNAM, démasque l’objectif véritable de cette réforme :

    « Le but réel du régime de retraite par points est de baisser les retraites sans le dire et en faisant sauter tous les systèmes de solidarité inclus dans le système actuel. »

    Et il précise le rôle du fameux « point » dans cette stratégie de laminage des retraites :

    « La valeur du point peut baisser aussi bien que monter : compte tenu de l’état de l’économie française, il aura tendance à baisser, y compris une fois que vous êtes déjà parti à la retraite, car il sera calculé chaque année. »

    La réforme sera aussi un moyen de rayer les avantages pour enfants qui, pour les parents de famille nombreuse, constituaient une compensation pour les années d’arrêt et, désormais, pour les années de décote.

    Loin d’ignorer les contraintes financières et de prôner le statu quo, Christian Saint-Etienne propose une certaine convergence des régimes existants en continuant à jouer sur les durées de cotisation et l’âge de départ, tout en maintenant trois systèmes différents : « le premier pour la totalité du secteur privé hors indépendants, le deuxième pour les indépendants et le troisième pour le secteur public ». On ne voit pas pourquoi, en effet, à situations différentes, on ne devrait pas maintenir des systèmes différents, et les arguments qu’il avance sont convaincants.

    Par ailleurs, Christian Saint-Étienne a perçu tout ce que peut avoir d’anxiogène cette incertitude sur l’avenir des retraites et de leur montant :

    « La vérité au sein d’un régime paramétré rénové est infiniment préférable à la variabilité d’un régime à points qui prépare un appauvrissement spectaculaire des classes populaires à terme. »

    Son titre affichait aussi l’enjeu : « La retraite par points : un désastre annoncé. »

    Désormais, la question est de savoir si le désastre annoncé, ce sera pour les Français condamnés à une retraite calculée dans cette nouvelle monnaie de singe que sera le « point » ou pour Emmanuel Macron, le liquidateur historique de leurs retraites. Il paraît que le gouvernement a décidé de repousser la présentation de cette réforme après les élections européennes. Une raison de plus pour voter en mai prochain.

    Frédéric Sirgant

    http://www.bvoltaire.fr/retraite-par-points-la-misere-en-perspective/

  • Marc Rousset : Le tsunami financier sera déclenché par l’envolée des taux d’intérêt

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    Selon Claudio Borio, économiste en chef de la BRI (Banque des règlements internationaux), « il ne reste plus beaucoup de médicaments dans la pharmacie pour soigner le patient ou le soigner en cas de rechute ».

    Les nuages sont nombreux à l’horizon : guerre commerciale sino-américaine, ralentissement économique en Chine, budget italien explosif, négociations sur le Brexit, un prince assassin fragilisé en Arabie saoudite et, surtout, les premiers effets du resserrement monétaire avec des taux d’intérêt en hausse.

    Le projet de budget italien pour 2019 prévoit un déficit augmenté de 22 milliards d’euros, à 2,4 % du PIB, multiplié par 3, très éloigné des 0,8 % promis par le précédent gouvernement de centre gauche. L’ancien Premier ministre Matteo Renzi, qui était dans les bonnes grâces de Bruxelles, avait pu proposer des déficits de 2,9 % pendant trois années d’affilée. C’est la raison pour laquelle Matteo Salvini répète à qui veut l’entendre « Me ne frego » (« Je m’en fous »), le cri de ralliement des chemises noires de Mussolini pendant les années 1930. Juncker, de son côté, estime le budget inacceptable, d’où un dialogue de sourds.

    L’Italie est un véritable volcan financier car les banques italiennes détiennent non seulement 350 milliards de créances pourries (22 % du PIB), mais aussi 387 milliards d’euros de la dette publique dont la valeur s’érode, ce qui entraîne inéluctablement des pertes et la diminution de leurs capitaux propres. Les taux actuels de 3,58 % de la dette publique italienne (131 % du PIB) ont toutes les chances de s’envoler, avec une possible dégradation de la note souveraine fin octobre. L’écart avec le taux allemand à 10 ans de 0,46 % est déjà de 3,12 %. Le calme avant la tempête.

    La dette chinoise totale représente 250 % du PIB, d’où le durcissement des conditions de crédit, la diminution des investissements publics et des projets de « nouvelles routes de la soie », le ralentissement de la croissance autour de 6 %, soit son plus bas niveau depuis neuf ans, et la chute de 20 % de la Bourse de Shanghai.

    Aux États-Unis, la probabilité est grande pour que la Fed continue de resserrer la vis monétaire en vendant 50 milliards de dollars d’obligations par mois, ce qui commence à se ressentir sur les taux obligataires, désormais à 3,23 %, soit le plus haut niveau depuis 2011. La Fed souhaiterait aussi augmenter le taux d’intérêt à court terme de 2,25 % à 2,50 %, le 19 décembre, afin de prévenir l’inflation et de pouvoir baisser les taux si, demain, une récession apparaît. Trump pratique, en fait, une relance budgétaire très dangereuse de « fuite en avant » à contretemps. Les programmes militaires sont en hausse de 6 %, pour atteindre le chiffre ahurissant de 601 milliards de dollars, tandis que les impôts diminuent. Le déficit budgétaire 2019 atteindra 1.000 milliards de dollars ; l’endettement de la consommation atteint les 4.000 milliards de dollars et la dette publique devrait s’élever à 40.000 milliards en 2030, soit le double de la dette actuelle !

    Le grand krach de 1929 a commencé quand les actions s’évaluaient à trente fois leurs gains annuels. Aujourd’hui, elles représentent presque 10 % de plus. Mais il semble aussi que les taux à dix ans des obligations, après avoir chuté régulièrement pendant quarante ans depuis 1980, repartent à la hausse, ne serait-ce que pour éviter le croisement illogique des courbes d’intérêt à court terme et à long terme. Or, de 1940 à 1980, soit pendant le même laps de temps, cela avait été exactement le contraire, avec une hausse continue des taux d’intérêt jusqu’à près de 16 % en 1980. Nous sommes donc à la veille d’un gigantesque krach des actions et des obligations. Les banquiers centraux contrôlent plus difficilement les taux obligataires que les taux à court terme. Pour certains observateurs, le krach obligataire a même déjà commencé en Italie et aux États-Unis.

    Les capitaux propres des banques européennes, dans une union monétaire et bancaire incomplète, sont incapables de faire face à un krach boursier, obligataire et bancaire. Les capitaux propres de la BNP s’élèvent à 107 milliards d’euros, soit 5 % seulement des 1.960 milliards d’euros de son bilan – une taille comparable au PIB de la France. C’est la raison pour laquelle de plus en plus de banques centrales, dans le monde, achètent à nouveau de l’or. Tous nos malheurs ont commencé il y a cinquante ans, lorsque Nixon annonça, le 15 août 1971, la fin de la convertibilité du dollar en or !   

    Économiste

    Ancien haut dirigeant d'entreprise

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Contre la politique de la clique mondialiste, en attendant la grève générale : à partir du 17 novembre la France sera bloquée

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    La colère gronde, les automobilistes appellent à se mobiliser le 17/18/19/20 novembre, contre l'augmentation du prix du gasoil/essence. Des dizaines d'opérations escargots sur les autoroutes de France partout sont prévues. Un seul responsable : le pouvoir mondialiste !

    La Ligue du Midi appelle au blocage :

    Savez-vous que depuis le mois de janvier 2018, à la pompe, le gazole a augmenté de près de 50 centimes, soit une hausse de l’ordre de 50 % en 10 mois ?

    Ça ne peut plus durer… Pour un automobiliste lambda de la France périphérique qui prend son véhicule pour aller travailler chaque jour, la dépense supplémentaire est de 120 euros par mois, soit près de 250 euros pour un couple. Dans ces conditions, nombreux sont ceux qui se demandent si ça vaut « vraiment le coup » d’aller travailler en ville, surtout si l’on rajoute l’usure du véhicule, le parking, les radars, la garde des enfants, la cantine etc…etc.

    Selon un sondage IFOP publié par le JDD, 77 % des Français jugent que leur pouvoir d’achat a diminué depuis l’élection d’Emmanuel Macron. Aussi, le gouvernement qui sent la colère populaire gronder, tente de se défausser en accusant l’augmentation des cours du pétrole, et prétend « Taxer la pollution plutôt que les travailleurs ». Foutaises… En fait, ils ne font rien contre la pollution – exemple du glyphosate ou du nucléaire –, mais ils sont en train de ruiner les travailleurs et plus généralement les couches populaires qui représentent la grande majorité de la population.

    Ce gouvernement est en train de ruiner la FranceLe « système » à la solde de Bruxelles et des multinationales a un besoin impératif de croissance qu’il tente de trouver en finissant de livrer aux marchés les derniers pans du patrimoine commun : services publics, participations publiques, fonctions régaliennes, tout va y passer… MACRON n’est là que pour finaliser la « grande braderie », car les marchés n’ont pas besoin de travailleurs mais de consommateurs même insolvables. Leur consommation sera financée par la suppression de notre protection sociale et par la dette qui sera ponctionnée sur le patrimoine financier et foncier de la classe moyenne de souche. Un immense transfert social est en train de se produire, les classes populaires doivent être ruinées pour que les nouveaux venus puissent consommer et produire de la croissance.

    Les automobilistes et motards sont d’autant plus en colère que l’État tente de les culpabiliser afin de les tondre un peu plus chaque jour : de nouveaux radars haute performance, capables de flasher 32 véhicules à la fois, des retraits de points en folie, des contrôles techniques angoissants…

    Face à un État centralisateur aux mains des mondialistes qui stérilise tout contrepouvoir et digère toutes les oppositions conventionnelles au parlement, seule la mobilisation de terrain peut être efficace. Rares sont les hommes politiques venus au renfort des aspirations du peuple. Le vide s’est fait entre le pouvoir et le peuple. Les partis électoralistes conventionnels sont aux abonnés absents. Des opportunités historiques vont se faire jour, il n’y a plus rien entre le peuple et ce pouvoir en phase de décomposition finale.

    Car ce pouvoir malgré son arrogance est extrêmement fragile, son socle de légitimité est trop faible pour qu’il puisse contenir la poussée qui monte inexorablement… Qui dans l’administration ou dans la société civile le protégera contre un mouvement populaire de vaste ampleur ?

    Souvenons-nous de la « révolution de jasmin » en Tunisie et le départ de BENALI, parce qu’un marchand à la sauvette s’était fait brutaliser par un policier à Sidi Bouzid. Des conditions analogues se présentent à nous. Un premier ballon d’essai nous est proposé : celui des actions à travers tout le territoire le 17 novembre qui pourraient tout emporter.

    Qui peut savoir qui ou quel évènement fera reculer ce régime ? Quelle sera la goutte qui fera déborder la coupe « trop pleine » ? Cette goutte sera peut-être celle du prix du gazole et des carburants qui prend à la gorge les familles d’ouvriers, de cadres, d’artisans, d’entrepreneurs…

    Les identitaires et patriotes doivent venir en soutien et contribuer à la réussite de la mobilisation du 17 novembre. Nous devons tout faire pour développer ce mouvement et pour le faire déboucher sur ces questions vitales pour notre peuple qui sont celles du déclassement et de la paupérisation.

    Richard Roudier

    Consignes

    La 17 novembre : ne faire « aucun achat », n’aller dans « aucune banque », ne « pas se servir aux pompes » à essence, « aucun cinéma », « aucune dépense » de quelque sorte, pas « un seul centime », « aucune caisse en marche dans tout le pays », « ne pas prendre de transports en commun », pas de péages, parkings, autoroutes, là oui on bloque ce qui emmerde le plus le gouvernement c’est à dire « LE FRIC »

    En voiture, moto, scooter… amenez vos gilets jaunes !!!

    * comme partout en France

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/01/contre-la-politique-de-la-clique-mondialiste-en-attendant-la-6101707.html

  • Trump relance habilement la question migratoire

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    À quelques jours des élections qui renouvelleront la Chambre et une partie du Sénat, et après une semaine de tous les dangers, Trump se rétablit en relançant le débat constitutionnel sur le droit du sol automatique pour les immigrants illégaux.

    Tout allait bien pour Trump il y a encore dix jours : les résultats économiques, l’impact de l’affaire Kavanaugh comme de celle de la caravane faisait remonter dans les sondages les républicains, dont les « faux-jetons » restaient sous contrôle. Puis survint l’affaire des colis piégés envoyés à George Soros ainsi qu’à une quinzaine d’élus et personnalités hostiles à Trump par un de ces « déplorables », partisan de Trump. La campagne médiatique prenait alors le relais, l’œil rivé sur le 25e amendement de la Constitution, présentant Trump comme un fou criminel indigne de gérer le pays.

    Puis survint, au beau milieu de l’émoi général, l’affreux massacre de la synagogue de Pittsburgh, apparemment perpétré par un déçu du trumpisme passé de l’amour à la haine de Trump, comme de ses nombreux alliés juifs. Une autre campagne médiatique se lançait alors, présentant Trump l’antisémite encore une fois comme la cause de cet acte abject, au point que l’ambassadeur d’Israël ou le célèbre Pr Dershowitz durent intervenir pour mettre un bémol sur cet amalgame hâtif.

    Ces deux événements ne sentaient pas bon pour Trump dans la mesure où sa diabolisation risquait de faire oublier aux « banlieues résidentielles » leur approbation des performances économiques de Trump, la propagande officielle demandant de « réagir » contre l’ignominie. C’est alors que Trump a ressorti un lapin du chapeau de sa campagne électorale. En annonçant de modifier par décret l’application du 14e amendement de la Constitution sur le droit du sol automatique, il a réalisé trois choses.

    D’abord, il a relancé le débat sur l’immigration au moment même où les initiateurs de la « caravane » en provenance d’Amérique centrale semblaient « démasqués » par le gouvernement du Guatemala : le Venezuela ! Et, sans vergogne et dans la symbolique, il a décidé d’envoyer l’armée et d’héberger tous les intrus potentiels dans des campements provisoires, le temps de gérer leur statut (déportation ou asile), et ce, aux antipodes de la méthode actuelle de la passoire, celle du « catch and release » (on arrête les intrus, puis on les libère en espérant qu’ils répondront à la convocation du tribunal, ce qu’ils ne font que très rarement).

    Ensuite, il a provoqué un débat constitutionnel profond, rappelant aux conservateurs durs et mous l’importance de conserver le pouvoir de nomination des juges en cas de débats existentiels pour le pays. De plus, se faisant dire par tous instruits-mais-pourtant-idiots qu’il n’avait aucun droit de procéder ainsi, ses juristes ont pu présenter des arguments intéressants et de bon sens « populaire ». Puis, se faisant dire que ce serait au Congrès de décider, il force la main aux élus, exigeant de l’action : Lindsey Graham s’engage déjà à déposer une proposition de loi en priorité.

    Et, enfin, il lance un clin d’œil aux Afro-Américains en leur rappelant qu’il ne laissera pas continuer la dénaturation par la bureaucratie d’un 14e amendement qui avait été spécifiquement conçu pour accorder la citoyenneté aux esclaves et non pour leur créer de la concurrence sur le marché du travail.

    Fort de cela, Trump a mis le turbo, quadrillant le territoire. À mardi prochain pour le résultat.

    André Archimbaud

    http://www.bvoltaire.fr/trump-relance-habilement-la-question-migratoire/

  • Pierre Vial, Président de Terre et Peuple, apporte son soutien à la marche de la Reconquête du samedi 10 novembre prochain

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    Pierre Vial, Président de Terre et peuple, invite les adhérents et sympathisants du mouvement à participer, dans un souci unitaire et avec les drapeaux tricolores frappés de l'Edelweiss, à la marche de la Reconquête du samedi 10 novembre organisée par le Dissidence française de Vincent Vauclin.

    Le communiqué de la Dissidence française :

    Le samedi 10 novembre à 15h s'élancera la Marche de la Reconquête, contre l'immigration massive et pour l'instauration immédiate de la préférence nationale !

    MOBILISATION GÉNÉRALE !

    Nous lançons aujourd'hui un appel à tous les nationalistes et patriotes français : soyons nombreux à répondre présents à cet évènement, pour enfin faire entendre notre voix et ne plus laisser la rue aux ennemis de notre pays !

    Cette manifestation a été déclarée en préfecture et son parcours approuvé par les pouvoirs publics. Plusieurs organisations patriotes seront représentées lors de cette grande manifestation unitaire.

    Invitez vos amis et partagez massivement cet évènement, nous comptons sur vous !

    RDV LE SAMEDI 10 NOVEMBRE 2018 À 15H
    PLACE DE LA BOURSE, PARIS (2ème ARR.)

    L'appel de Vincent Vauclin :