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anti-national - Page 558

  • Élections européennes : bourrage de crâne et lavage de cerveau au programme

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    Emmanuel Macron, en mettant en garde les Français contre un retour aux années 30, sombre dans le ridicule. Non seulement il ne connaît rien à l’Histoire – Luc Ferry lui a fait remarquer que « la comparaison est franchement absurde […]. Marine Le Pen et Matteo Salvini ne sont pas nazis » –, mais il ne se grandit pas en jouant à son petit propagandiste, ce qui, pour le coup, nous ramène aux années 30, années durant lesquelles la propagande avait ses orfèvres…

    Surtout que sa propagande se situe au ras des pâquerettes. Tenez ! Dans une infographie intitulée « Les élections européennes, quand et comment ? », le gouvernement affirme qu’il faut être français pour pouvoir voter. Le hic, c’est que, pour ces élections, tous les ressortissants de l’Union européenne résidant en France peuvent voter. L’auteur de ces informations semble ignorer, également, que les eurodéputés siègent par groupes politiques : apparemment, il n’a jamais mis les pieds au Parlement, fût-ce par l’intermédiaire de la télévision.

    Contacté par Le Journal du dimanche, le Service d’information du gouvernement, à l’origine de cette campagne, a expliqué que « ces imprécisions » étaient dues à une « volonté de vulgarisation ». C’est bien connu, on peut raconter n’importe quoi au peuple, il n’a pas besoin de connaître la vérité et se contente d’approximations. C’est, précisément, le propre de la propagande d’utiliser tous les moyens, même les plus malhonnêtes, pour influencer l’opinion : une caractéristique des États totalitaires.

    La propagande, notre gouvernement ne s’en prive pas. C’est souvent si lourd que ça lui retombe sur le nez. Voyez ce clip qui appelle les Français à voter pour les élections européennes, un clip officiel, réalisé aux frais des contribuables. On s’attendrait à un clip objectif, se limitant à inciter les électeurs à voter. Mais il est orienté – c’est le moins que l’on puisse dire. Quatre questions sont successivement posées : « Immigration : maîtriser ou subir ? », « Climat : agir ou ignorer ? », « Europe : union ou division ? » et « Emploi : partenaires ou concurrents ?  »
    Pour illustrer ces questions, des images suggestives (un texte écrit ou oral serait sans doute trop compliqué pour la majorité des Français) : migrants secourus en mer, mères portant leurs enfants, catastrophes naturelles et, pour épouvantails, un Salvini et un Orbán haranguant les foules. Le tout accompagné d’une musique tragique, qui vous empêche de réfléchir.

    À droite comme à gauche, on dénonce l’instrumentalisation de l’Europe à des fins politiciennes. Jean-Frédéric Poisson, le président du Parti chrétien-démocrate, a même écrit au président de la Commission des comptes de campagne et appelle à signer une pétition pour « imputer les frais de création et de diffusion de cette vidéo aux dépenses de propagande électorale ». Il n’y a que les élus LREM qui ne trouvent rien à redire à ce clip : il est vrai qu’ils ne sont que des marionnettes, qui obéissent à leur maître au doigt et à l’œil.

    Le problème, pour notre Président, c’est que sa communication est si caricaturale qu’elle en souligne les défauts. Il ne se pose même pas la question de la pertinence de ses positions. Serait-il, comme le commente Luc Ferry, « en train d’anticiper une défaite cuisante » ? C’est bien possible, ce qui expliquerait son burn out et ses erreurs de communication. Hier après-midi, à Honfleur, il a répété aux passants : « Je ne lâche rien », « je ne change pas », « je vais toujours au même rythme ». Il va même plus vite que le temps : à deux reprises, il a confondu le 1er novembre et le 1er de l’An.

    Décidément, il n’est plus maître des horloges, il n’est plus maître de rien. Non seulement il perd la confiance des Français, mais il est près de perdre confiance en lui-même. D’ici qu’il perde la boule !

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/elections-europeennes-bourrage-de-crane-et-lavage-de-cerveau-au-programme/

  • 17 novembre : à Angers aussi, un appel au blocage

    Crédit : M.B. partagé sur le groupe « Blocages 49 ».

    Lancé il y a quelques jours sur les réseaux sociaux, l’appel au blocage du 17 novembre se décline à Angers et dans le Maine-et-Loire. Sur Facebook, le groupe « Blocages 49 » compte près de 2500 membres.

    C’est la hausse des prix du carburant qui a mis le feu aux poudres. A l’heure où le litre de gazole égale voire dépasse le prix du litre de sans-plomb, les taxes prélevées par l’Etat sont considérées comme injuste par beaucoup de Français. En réaction, un appel à « bloquer l’économie » du pays a été lancé sur les réseaux sociaux pour le samedi 17 novembre. Sur Facebook, un groupe public pour le Maine-et-Loire a été lancé le 24 octobre, « Blocages 49 » compte près de 2500 membres.

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  • “Détournement d’argent public pour faire la propagande d’En Marche” ? Plainte au CSA contre le clip gouvernemental

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    Le clip gouvernemental diffusé sur YouTube en vue d’inciter les électeurs à participer aux élections européennes n’en finit pas de susciter des remous.

    Lors d’une émission télévisée sur CNEWS, Ali Rabeh (Generation.s) s’adresse à Christine Kelly (ex-membre du CSA) : «Le sujet de ce clip, c’est : Pourquoi la vision du président de la République Emmanuel Macron et de son parti En Marche est porté par un clip officiel du gouvernement français payé par l’ensemble des contribuables sans donner la parole aux autres formations politiques ? Ce n’est pas normal ! Mme Kelly, le mouvement Générations a saisi le CSA dans lequel vous avez siégé pour dénoncer ce détournement d’argent public pour faire la propagande d’En Marche. Ce n’est pas normal.»

    https://www.medias-presse.info/detournement-dargent-public-pour-faire-la-propagande-den-marche-plainte-au-csa-contre-le-clip-gouvernemental/100311/
  • Années 30 : chemises brunes ou racailles dans les rues sous Macron ?

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    Les lecteurs de Boulevard Voltaire et d’ailleurs, férus d’Histoire sérieuse et de Grand Guignol, auront tout de suite saisi les limites de la grossière comparaison d’Emmanuel Macron entre l’Europe d’aujourd’hui et celle des années 30. Même le communiste Maurice Ulrich, journaliste à L’Humanité, a dénoncé le clip du gouvernement pour les européennes :

    « C’est indigne d’un gouvernement de la République. Indigne ! C’est un maniement de la peur. C’est de la propagande pure et simple ! Je n’ai aucune indulgence pour Salvini et Orbán, mais enfin, qu’est-ce qu’on fait là ? C’est clair, on les met dans les mêmes attitudes que celles d’Hitler parlant dans ses meetings. C’est ça que veut dire ce clip ! C’est le message subliminal. Eh bien, je dis, c’est indigne. »

    Par ailleurs, arriver la bouche en cœur, le 1er novembre 2018 au petit matin, en agitant la peur des « années 30 » alors que la soirée a été marquée par des violences urbaines de bandes de racailles et la découverte d’un lance-roquettes dans le 93 expose logiquement le Président à de cinglantes remarques, comme ce tweet, simplement juste, d’Alexandre Devecchio, jeudi soir :

    « Pas de chemises brunes marchant sur Rome, mais des hordes sauvages patrouillant à Lyon, Metz, etc. Nous ne sommes pas dans les années 30 et le pouvoir ferait bien de s’occuper des vraies menaces. »

    Face à l’Histoire, Emmanuel Macron devrait être un peu plus prudent, plus mesuré et, pour le présent, plus attentif aux véritables défis de l’heure. Ce genre de parallélisme déplacé, anachronique, où l’on se donne le beau rôle et le privilège de donner le mauvais à qui on veut, peut aussi vous revenir en boomerang. Tôt ou tard.

    Mais, en ce 1er novembre où le Président avait choisi de se reposer à Honfleur – et de le faire savoir -, il n’avait visiblement pas encore pris connaissance des événements de la nuit et des réactions indignées que déclenchait sa comparaison, à gauche comme à droite. « Je ne lâche rien », répétait-il, comme pour se rassurer lui-même. Pour lâcher, il faudrait avoir prise. A-t-il encore prise sur la réalité ? La vraie, celle des rues enflammées, pas celle fantasmée.

    Pascal Célérier

    http://www.bvoltaire.fr/annees-30-chemises-brunes-ou-racailles-dans-les-rues-sous-macron/

  • Pierre Vial soutient le mouvement du 17 novembre

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    Pierre Vial, Président de Terre et peuple

    Le 17 novembre beaucoup de Français vont manifester leur ras le bol contre l’exploitation éhontée qu’ils subissent en tant qu’automobilistes, dont pour beaucoup l’automobile n’est pas un objet de luxe, de loisir mais bel et bien un outil de travail ou un moyen de liaison indispensable dans la vie quotidienne, en particulier dans les zones rurales, pour lesquelles les technocrates parisiens ont un souverain mépris. C’est pourquoi Terre et Peuple appelle ses membres et ses amis à participer activement aux manifestations du 17 novembre. Le peuple doit se faire entendre et respecter. Seule paie la rébellion.

    Le mouvement est aussi soutenu par Carl Lang cliquez là et par la Ligue du Midi cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • #Montpellier

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    « Il n’y a pas un jour sans que l’on ait affaire à des MNA (mineurs non accompagnés, NDLR) impliqués dans des actes de délinquance. Un phénomène très prégnant dans le centre-ville », remarque une source policière. Impliqués dans des vols à l’arraché de bijou, de téléphone portable, parfois avec violence (voire sous la menace d’un couteau) et même dans des cambriolages. Recrutés aussi comme petites mains pour la vente de drogue ou de cigarettes de contrebande.

    Sentiment d’impuissance

    Le phénomène n’est cependant pas quantifié. Les services de police ne cachent plus leur sentiment d’impuissance face à ces mineurs, souvent hébergés en hôtel, interpellés la nuit après des agressions, puis placés en garde à vue mais renvoyés quelques heures plus tard vers les mêmes hébergements sans plus de contraintes. Du fait de leur statut de mineur, soumis à l’ordonnance de 1945.

    Depuis deux ans, les services de police tirent la sonnette d’alarme sur la multiplication des infractions du fait de ces jeunes livrés à eux-mêmes, qui débarquent en continu dans l’Hérault via des réseaux de passeurs. Notamment depuis le Maroc ou l’Albanie.

    Source : midilibre.fr

    https://www.news.suavelos.eu/montpellier-la-police-se-dit-impuissante-face-a-lexplosion-du-nombre-de-mineurs-etrangers-et-de-leur-criminalite/

  • D’anciens hôtels reconvertis en centres d’accueil pour migrants

    Une cinquantaine d’hôtels Formule 1 ont été rachetés et mis à disposition pour accueillir des sans-abris et des migrants. Pour mieux reloger et faire des économies…

    http://www.fdesouche.com/1098983-danciens-hotels-reconvertis-en-centres-daccueil-pour-migrants
  • La fondatrice des Femen au Brésil demande pardon aux chrétiens

    La fondatrice des Femen au Brésil demande pardon aux chrétiens

    Sarah Winter, fondatrice des Femen au Brésil en 2012, s’est livrée dans une vidéo :

    « Ce n’est pas une chose facile à faire, mais je demande pardon aux chrétiens pour nos protestations féministes… Nous sommes allées trop loin. » Répercutée quelques jours après Noël par le site LifeSiteNews, la repentance dans une vidéo YouTube de Sarah Winter, pseudonyme de militante de Sara Fernanda Giromini, fondatrice des Femen au Brésil puis militante du mouvement pro-bisexualité « Bastardxs », remonte au mois d’octobre dernier. Un mois après la naissance de son deuxième enfant, elle a exprimé son repentir pour l’avortement de son premier enfant, et a reconnu que la récente naissance du deuxième avait changé son regard sur le droit à la vie.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-fondatrice-des-femen-au-bresil-demande-pardon-aux-chretiens/

  • Combien de temps avant la « Purge » ?

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    Gérard Collomb ne pouvait être plus clair. Exhumé par Valeurs actuelles, le constat de celui qui fut notre ministre de l’Intérieur est sans appel. À la question du journaliste qui lui demandait ce qu’il craignait, « une partition ou une sécession », Collomb répondit ceci : « Oui, je pense à cela. C’est ce qui me préoccupe, d’ici cinq ans, la situation pourrait devenir irréversible. » Ces mots nous parviennent quelques jours après que le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a exprimé en direct ses craintes en observant une « colonisation à l’envers« .

    On peut souffler, tempêter, on peut laisser l’amertume nous ronger en pensant que cela fait trente ans que certains prophètes alertent sur l’épilogue inévitable. Nous en avons eu, des Cassandre qui prédisaient la chute de Troie. Nous avons eu nos cohortes de Byzantins préférant débattre du sexe des anges pendant que les Ottomans escaladaient leurs murailles. À la différence, sans doute, que nous sommes les citoyens d’une Troie qui est fatiguée de vivre, à la différence que nous ne débattons plus du sexe des anges mais de celui assigné à nos enfants par quelque construction sociale.

    On peut, effectivement, se rasseoir en se disant qu’on l’avait bien dit. Ou alors on peut se réjouir en considérant que cette situation dramatique n’est pas encore irréversible, justement.

    Les événements de ces derniers jours ont agi aussi comme un rappel du réel. D’un côté, des racailles se servant des réseaux sociaux pour appeler à la « Purge », du nom d’un film connu en France sous le titre d’American Nightmare. Le principe ? Pendant une nuit, tous les droits sont suspendus et malheur à ceux qui seraient hors de chez eux. Bien évidemment, c’était, à la base, la blague d’un ado confondant réalité et fiction, URL et IRL. Mais tellement emblématique de l’époque que nous vivons.

    Pendant ce temps, notre Président si mal élu se remet tranquillement d’un coup de fatigue. Pendant ce temps, notre Jupiter foudroyé depuis l’Olympe alerte sur un possible retour des années 30. Péchant par ignorance, il oublie un fait important : les émeutes du 6 février 1934 n’étaient qu’une conséquence de décennies de corruption et d’atermoiements. Le 6 février 1934 et les morts ont été le fait des princes de l’époque. Ce ne sont plus des bourgeois factieux que la France affronte mais des milliers de bandes ultra-violentes non intégrées et insensibles au sort du pays qui les accueille et les nourrit. Un pays tenu par des élites qui pratiquent l’auto-détestation de ce qu’ils sont ne saurait survivre, fût-il protégé par des frontières. Plus que jamais, il est urgent de faire aimer la France.

    Dans six mois, les européennes permettront aux électeurs d’imposer un Parlement anti-technocratique et souverainiste. Dans un peu plus d’un an, les municipales permettront aux électeurs d’élire des maires compétents. Dans un peu plus de trois ans, nous aurons la possibilité d’élire un chef de l’État et des députés câblés pour répondre à l’urgence. Mais il est illusoire d’engager une transformation en commençant par le haut. Principe de subsidiarité oblige, c’est par la base que le pays se transformera. C’est ce que Macron a oublié, et c’est sans doute sa plus grande erreur. Début de réponse le 17 novembre ?

    Marc Eynaud

    http://www.bvoltaire.fr/combien-de-temps-avant-la-purge/

  • À FRIVILLE-ESCARBOTIN (80) : LES CLANDESTINS SE FONT LA MALLE...

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    Un communiqué de Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France :

    La plupart des clandestins installés autoritairement à Friville-Escarbotin (80) par le préfet la semaine dernière, avec la complicité active de la municipalité, sont partis. D'une part, parce qu'ils souhaitent passer en Angleterre et vont tenter leur chance à Calais, Dieppe, Ouistreham ou Dunkerque. Et d'autre part, parce que, la veille de leur arrivée, les militants du Parti de la France avaient alerté les habitants de l'arrivée ces migrants. Il en a été de même à Moreuil (80).

    Quoi qu'en dise la presse locale xénophile pro-invasion, les habitants des communes concernées étaient en très grande majorité hostiles à l'installation de ces clandestins, et la mobilisation des militants locaux du Parti de la France a été particulièrement appréciée et soutenue.

    Partout où il le pourra, le Parti de la France sera aux côtés des Français qui refusent que leur commune soit colonisée par des migrants.

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/01/a-friville-escarbotin-80-les-clandestins-se-font-la-malle-6101769.html