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anti-national - Page 565

  • Florian Philippot, un allié de poids pour le lobby LGBT…

    Florian Philippot, un allié de poids pour le lobby LGBT…

    Lu dans Présent :

    Invité d’Europe 1 le 19 octobre, Florian Philippot a insisté sur une cause qui lui « tient à cœur » : la « lutte contre l’homophobie », point fort de sa campagne pour les élections européennes et qu’il a « décidé d’écrire en toutes lettres » dans la charte des Patriotes – le parti qu’il a fondé l’automne dernier et qui compterait 8 000 adhérents, bien qu’un dissident divise ce nombre par dix. Et l’ancien vice-président du FN de marteler : « Les Patriotes sont pour le mariage gay. On ne reviendra pas dessus. Je crois que Nicolas Dupont-Aignan, Marine Le Pen et des gens chez Les Républicains veulent l’abroger, ce n’est pas notre cas. » On s’en doutait un peu…

    En 2013, alors qu’il refusait de manifester, il déclarait :

    “Notre position est très bien connue, nous sommes contre le mariage homosexuel.”

    https://www.lesalonbeige.fr/florian-philippot-un-allie-de-poids-pour-le-lobby-lgbt/

  • Mais qui agresse les homosexuels en France ? – Le mensonge sur l’homophobie, par Caroline Parmentier

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    Selon Joël Deumier, président de SOS Homophobie qui avait appelé à manifester samedi à Paris contre la recrudescence des violences homophobes, c’est « le pape, la Manif pour tous et Marcel Campion » dont « il faut condamner d’urgence les paroles LGBTphobes »… A la nuit tombée, c’est bien connu, ils se mettent tous en bandes et ils se livrent à des ratonnades de gays.

    De qui se moque-t-on avec cette énorme hypocrisie, cette nouvelle omerta ? On sait très bien qui aujourd’hui en France agresse les femmes, les Juifs et les homosexuels. Dans les écoles, dans certaines rues, dans les quartiers. Dans les pays appliquant la charia, l’homosexualité est un crime qui peut être puni par la lapidation. Plusieurs hadiths du Coran attribués à Mahomet condamnent l’homosexualité et prescrivent parfois également la peine de mort comme sanction. Les salafistes préconisent de jeter les sodomites du haut d’une tour.

    Selon l’étude allemande conduite par le Centre scientifique pour la recherche sociale de Berlin (WZB) en 2015, et menée par 160 scientifiques allemands dans 6 pays européens sur 9 000 personnes, « 85 % des musulmans sont homophobes ». Selon une autre étude belge, celle de la KUL (l’université de Louvain) « un jeune musulman sur cinq évite le contact avec les homos » : « Les personnes de confession musulmane, et principalement les jeunes garçons, se montrent clairement plus homophobes que les autres groupes de population », selon le professeur Hooghe, « ils deviennent même de plus en plus intolérants à l’égard des homos ». Cette étude-là remonte à 2012, car depuis, on a préféré casser le thermomètre.

    Réclamons une étude auprès des catholiques, des musulmans et des juifs

    « Un problème connu qu’il faut relativiser », minimisait déjà Edouard Delruelle, directeur adjoint du Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme : « Attention à ne pas stigmatiser les jeunes musulmans, à ne pas stigmatiser toute une communauté, on doit se battre tous ensemble contre toutes sortes de discriminations. » Mais ça, c’est le monde multiculturaliste, pluriethnique et plurisexuel qu’ils voudraient et dont ils rêvent. Ce n’est pas la réalité.

    A Paris samedi, le nouveau ministre de la Culture, Franck Riester, était à la manifestation. Il a rendu publique son homosexualité en 2011, tout comme le secrétaire d’Etat en charge du numérique, Mounir Mahjoubi, également présent au rassemblement, aux côtés du porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux. Ils ont défilé en scandant « stop aux LGBTphobies » et pour le droit d’« aimer librement ». Qu’ils en parlent donc à leurs chers musulmans, accueillis toujours plus nombreux depuis des années sans rien avoir à renier de l’islam.

    « Ils osent enfin parler », nous dit-on au 20 heures. Qu’ils disent l’entière vérité alors. Et réclamons une étude sur l’homophobie réalisée dans un échantillon de Français issus des principales religions de France et publions les résultats !

    Caroline Parmentier

    Article paru danPrésent daté du 22 octobre 2018

    https://fr.novopress.info/212397/mais-qui-agresse-les-homosexuels-en-france-le-mensonge-sur-lhomophobie-par-caroline-parmentier/

  • Après Benalla, une affaire Borello ?

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    Par Françoise Monestier, journaliste pour Présent ♦ La nomination imminente, par décret du président de la République, du nouveau procureur de la République qui remplacera François Molins, parti à la retraite, confirmera s’il en était besoin l’exercice vertical du pouvoir d’Emmanuel Macron qui s’est rendu le 4 octobre prochain (date de la promulgation de la promulgation de la Vème République en 1958) sur la tombe du général de Gaulle, histoire de vouloir marcher dans les pas de celui qui mit la justice, réduite à une « autorité » , à son service et musela l’information au point de créer un ministère dévolu à cette tâche.

    S’agissant de la justice, Macron, défenseur acharné et protecteur des sémillants braqueurs de Saint-Martin, se serait opposé aux trois prétendants au poste de François Molins initialement retenus par Nicole Belloubet, qui obéit au doigt et à l’œil au maître des horloges élyséen. Car ce dernier a tout intérêt, par les temps qui courent, à avoir un procureur à sa botte, prêt à s’activer quand il faudra mettre à terre telle ou telle opposition, mais prêt également à fermer les yeux sur les égarements présidentiels, voire à les couvrir.

    L’affaire Benalla et les relations interlopes de ce dernier réservent encore bien des surprises. Quant à  la nomination de Philippe Besson comme consul de France à Los Angeles, elle n’en finit pas de faire des vagues. Enfin le récent marché de la déradicalisation (Paris et Marseille pour l’instant) confié un ami proche, le sulfureux  homme d’affaires Jean-Marc Borello condamné en 1999 à six mois de prison avec sursis pour « avoir facilité l’usage illicite de stupéfiants » quand il était PDG du Groupe Palace, propriété de la chanteuse Régine Zylberberg alias Régine, promet – pourquoi pas ? – des suites judiciaires qui  nécessiteront  un procureur  sinon complaisant, du moins compréhensif.

     Le fait du Prince

    Désireux de renvoyer l’ascenseur à Philippe Besson, qui avait ressenti un « élan mystique » doublé d’une « illumi-nation » en le regardant à la télévision, le 30 août 2016,  et qui avait fait un récit énamouré de la campagne présidentielle dans un récit qui fit  un véritable flop, Emmanuel Macron  a fait passer en pleine torpeur estivale un décret rajoutant 22 postes de consuls généraux à la liste des emplois « pour lesquels la nomination est laissée à la discrétion du gouvernement ». Et voilà Philippe Besson,  ami du couple présidentiel et polygraphe mondain habitué à faire ses confidences au mensuel homosexualiste Têtu récompensé  par une nomination de choix au consulat de France à Los Angeles (voir Présent du 1er septembre). Manque de bol pour lui, cette dernière n’est pas du goût du syndicat  CFDT du quai d’Orsay qui n’apprécie pas une telle récompense. Elle  figurait cependant en filigrane dans les propos que tenait Macron à la  brasserie de la Rotonde — au soir du premier tour des Présidentielles — quand il avait déclaré : «  Je protégerai les faibles et célébrerai les braves. C’est la France que je veux. » Pari gagné  dix-huit mois plus tard avec cette distinction hors normes et l’intolérable tolérance dont il vient de faire preuve à Saint-Martin en s’exhibant au côté de repris de justice à moitié  dévêtus et narguant ouvertement l’autorité quelle qu’elle soit.

    « Le vrai patron de Macron »

    S’agissant du magnifique cadeau fait à l’affairiste Jean-Marc Borello qui rafle la mise en emportant un marché très convoité, vu l’échec de la déradicalisation dans notre pays qui refuse la méthode forte au profit d’opérations poudre aux yeux destinées à endormir les foules et surtout à ne pas se mettre à dos la communauté musulmane, on ne peut que trouver dans ce choix la marque déposée du macronisme : le culot comme règle de conduite. Sacré « pape de l’économie mondiale et solidaire », président du Groupe SOS qui affiche 900 millions d’euros de chiffre d’affaires, Borello, en lequel Le Point voit « le vrai patron de Macron » a eu plusieurs vies avant d’enseigner à Sciences Po Paris dans les années 2000 et de préparer un  certain Emmanuel Macron à l’épreuve de « Questions sociales » du concours de l’ENA. Le courant passe tellement entre les deux hommes que Borello fait partie en 2016 des neuf « muses » ou plutôt des neuf délégués nationaux triés sur le volet par Macron pour marteler le message mondialiste du futur président et préparer le terrain. En janvier 2017, les cosmopolites du Forum de Davos lui décernent le prix décerné par le Fondation Schwab (fondateur du Forum) de l’entrepreneur social de l’année.

    Un sacré personnage au parcours accidenté

    Né en 1957, titulaire d’un simple bac, Borello fait ses classes à la mairie de Marseille. Il prend très vite la direction de Paris et devient un spécialiste de la lutte contre la toxicomanie, rejoint le cabinet de Gaston Defferre au ministère de l’Intérieur pendant deux ans pour finir à la Délégation chargée des nouvelles formations dans le cabinet de Laurent Fabius. Parallèlement à ces activités politiques, il fonde en 1984 avec Régine SOS Drogue International tout en gérant son parc hôtelier dont le fameux Palace et le Pavillon Ledoyen. Il fut également, avec la juge Eva Joly ou le conseiller d’Etat Philippe Sauzay, administrateur de l’Institut des Tourelles, célèbre centre pour mineurs délinquants qui prônait la rééducation par le « beau et le merveilleux » — en clair « la thérapie par le luxe ». Manque de chance pour son directeur Robert Mégel, fonctionnaire de la Protection judiciaire de la jeunesse,  plusieurs jeunes pensionnaires portèrent plainte contre lui pour viols et attouchements sexuels. Condamné à onze ans de prison en 2004, il fut défendu par de nombreuses personnes. Dont Borello.

    SOS aux multiples visages

    Le groupe SOS Drogue International créé par la chanteuse et Borello avait pour but au départ d’aider les drogués mais s’intéressa très vite aux malades du SIDA et développa des structures d’insertion et d’accueil en travaillant avec Pierre Bergé ou Jean-Luc Romero. Ce groupe devient très vite une entreprise qui prend le nom sobre de SOS et se trouve aujourd’hui à la tête de plus de 405 établissements, parmi lesquels des organisme d’insertion, des boutiques de commerce équitable, des centres éducatifs pour jeunes, 70 maisons de retraite et 9 hôpitaux. Il était  secondé jusqu’à récemment par un jeune loup de la Finance, Nicolas Hazard,  élu  Young Leader en 2015, et qui copine aussi bien avec Hidalgo en sa qualité de Président du Conseil stratégique de Paris que de Valérie Pécresse avec laquelle il fricote à la Région Ile de France !

    Quant à SOS Solidarités, un des maillons de la chaîne Borello, il a participé à la répartition des clandestins de Calais dans nombre de villages de notre pays. Ce qui n’a rien d’étonnant quand on sait que pour Borello «  l’accueil des migrants n’est pas une charge mais une chance. Il y a des emplois dont personne ne veut. Ils sont capables de s’intégrer. Il faut mettre en place les conditions pour cela ».

    Vous avez dit déradicalisation ?

    Imaginé après l’égorgement du père Hamel à Saint-Etienne du Rouvray  et l’échec cinglant du centre de déradicalisation de Pontourny, le dispositif RIVE (Recherche et intervention pour les violences extrémistes) était piloté jusque là  par l’Apcars, une association de réinsertion sociale qui travaillait en liaison avec des magistrats antiterroristes  et commençait à obtenir certains résultats. A l’annonce de la décision du gouvernement Philippe de changer de prestataire, ce fut la douche froide. Les futurs « clients » de Borello sont sûrs d’une chose. A défaut d’être déradicalisés, ils deviendront de futurs esclaves de son système  qui les recyclera dans une de ses nombreuses entreprises pour le plus grand bonheur du capitalisme financier dont il est la parfaite caricature.

    Françoise Monestier 20/10/2018

    Crédit photo : Capture d’écran d’une vidéo Youtube

    https://www.polemia.com/apres-benalla-une-affaire-borello/

  • Immigration : « on ne se fie pas à l’intelligence des Français » selon Laurent Obertone

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    L’immigration est-elle stable ou conduit-elle à un remplacement de population ? A quoi l’Europe ressemblera-t-elle dans un demi-siècle ? Quelles en sont les causes et aussi que faire ?

    Edouard Chanot a reçu l’essayiste Laurent Obertone, auteur de ‘La France interdite‘ (éditions Ring). Entretien choc.

    https://fr.novopress.info/212395/immigration-on-ne-se-fie-pas-a-lintelligence-des-francais-selon-laurent-obertone/

  • Vous avez dit racaille scolaire ?

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    Bernard Plouvier

    Tout le monde savait depuis les années 1980 qu’il existait d’énormes problèmes de discipline dans les écoles publiques - celle de la République laïque, tellement pure et dure qu’un nombre effarant de jeunes mahométanes y exhibent un voile islamique, fort peu usité au Maroc pour prendre un contre-exemple simple.

    Il a fallu que deux mineurs d’âge, issus de l’immigration noire africaine, menacent une enseignante, l’un étant armé d’un pistolet (à plomb ou à amorce : les informations sont volontairement imprécises du côté du ministère de l’Intérieur), pour que l’on porte à la connaissance du public l’énorme scandale de l’insécurité à l’école, reflet de la pourriture du régime.

    Dès la fin des années 1980, diverses publications d’auteurs réputés de « droite extrême » dénonçaient les violences physiques (entre élèves ou par agression d’enseignants), le racket, le trafic de drogues... et certains parents de rejetons pourris n’hésitaient pas à en « remettre une couche », en insultant, voire en frappant les enseignants. On rappelle que chaque année quelques élèves se font poignarder dans les écoles de la Ripoublique ou sur le chemin menant au domicile parental.

    L’on a admiré que dans l’immigration exotique – d’origine africaine ou moyen-orientale –, l’on n’hésitait pas, quand on était un grand et gros homme, à frapper une femme, pourvu qu’elle ne soit pas mahométane (Oumma oblige). La condition féminine n’a pas été améliorée, en France, par l’importation des « chances pour la France », qui généra, d’abord et avant tout, un surcroît de violence, dans les rues et les immeubles d’habitation, mais aussi dans les écoles, dans les hôpitaux et dans les transports en commun.

    Or, les bonnes questions ne sont jamais posées.

    Pourquoi s’acharner à scolariser des sous-doués violents, éléments perturbateurs des élèves calmes et souhaitant apprendre ? Pourquoi continuer à distribuer des allocations diverses à des familles de voyous ?

    Pourquoi ne pas appliquer les lois déjà existantes ? Ses parents sont responsables des crimes et délits commis par un mineur d’âge. Frapper la famille d’amendes ou la menacer d’expulsion si elle n’est pas titulaire de la nationalité française sont des mesures conformes à la loi.

    Pourquoi ne pas créer des lois adaptées à l’actuelle situation explosive ? Le délinquant récidiviste doit être exclu de l’école, interné en centre de détention-rééducation (illusoire, en fait), ou mieux, réexpédié dans son pays originel, l’expulsion devant toucher l’ensemble de la famille si plusieurs de ses rejetons s’avèrent criminels ou délinquants inassimilables.

    Car, c’est une évidence : la canaille violente, racketteuse, trafiquante, incendiaire, rebelle à l’autorité légitime (à ses authentiques dépositaires, soit autre chose qu’un Benalla !), la crapule violeuse, l’adolescent porteur d’une arme, sont les fruits pourris d’une éducation ratée. Les parents portent l’écrasante responsabilité de cette situation, de ce ratage, de cette moisissure sociale, hautement contagieuse.

    L’État a pour rôle majeur d’assurer la protection des honnêtes citoyens, dans leur intégrité physique et morale et dans leurs biens. Que nos ministres prennent enfin conscience du problème, trente-cinq ans après sa survenue, c’est une bonne chose : « Mieux vaut tard que jamais » !

    En aucun cas, cette prise (très tardive) de conscience ne doit déboucher sur des mesures à l’eau de rose ni sur de nouveaux milliards d’euros gâchés inutilement dans les cités de non-droit.

    Il faut impérativement ramener l’ordre et commencer une politique d’expulsion des sujets inutilement arrivés et inassimilables : délinquants récidivistes, criminels, apologistes du terrorisme djihadiste.

    Mais aussi, les enseignants doivent quelque peu balayer devant leur porte. Ils ont, durant trente-cinq ans, beuglé sur tous les tons que les lanceurs d’alerte étaient des « fâââchistes ». Il est grand temps de comprendre que le Barbare n’est pas « devant notre porte », mais qu’il est déjà très largement implanté dans notre pays et que des mesures draconiennes s’imposent.

    La plus urgente est d’organiser un référendum sur l’opportunité de fermer définitivement les frontières à l’immigration extra-européenne (ou de n’admettre que des migrants sélectionnés au cas par cas) et sur celle d’instaurer un retour à l’envoyeur des sujets inutilement importés.

    Après tout, l’unique souverain de l’État français n’est ni son Président de la République ni les roitelets de la Communauté européenne, mais la Nation française.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/10/22/vous-avez-dit-racaille-scolaire-6099107.html

  • MÉLENCHON VS "MACRONIE" : AFFAIRE POLITIQUE, JUDICIAIRE & MÉDIATIQUE ?

  • Pourquoi le conformisme est une lâcheté

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    Surtout, ne pas stigmatiser les minorités ethniques ! Le politiquement correct, cette novlangue européenne, oblige à fermer les yeux sur certains de leurs comportements pour éviter une accusation en racisme ou en discrimination. Résultats : parce que la justice britannique craignait des réactions islamophobes, elle a interdit aux médias d’évoquer les enquêtes et les procès sur des réseaux pédophiles pakistanais soupçonnés d’avoir violé des dizaines de jeunes filles blanches. L’omerta judiciaire n’a été levée que vendredi, à l’issue du verdict du tribunal de Leeds : il a condamné pour viols et agressions sexuelles vingt membres d’un gang ayant sévi de 2004 à 2011. De la même manière, le monde politique français feint de découvrir, depuis ce week-end, la violence et l’impunité qui se sont installées dans certains établissements scolaires des cités. “Nous allons rétablir l’ordre”, explique ce lundi Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education nationale, au Parisien.

    C’est ce quotidien qui a révélé, samedi, une vidéo tournée dans une salle de classe d’un lycée de Créteil (Val-de-Marne) : elle montre un élève de 15 ans, grand gaillard noir, pointant un révolver (qui se révèlera factice) sur la tempe d’une enseignante en lui ordonnant de le noter “présent” alors qu’il vient d’arriver en retard. Dans la vidéo, les élèves rient ; l’un d’eux se place devant l’objectif pour faire un doigt d’honneur. L’enseignante a attendu la diffusion de la scène pour porter plainte. Dimanche, place de la République à Paris, plusieurs milliers de personnes ont manifesté contre des violences homophobes, en se gardant d’être plus précises sur les agresseurs.

    Sous couvert d’humanisme et de morale, cet aveuglement collectif est une lâcheté. Celle-ci explique la perte d’autorité des professeurs, lâchés par leur hiérarchie, dans certains établissements scolaires, et les débordements haineux et sexistes de ceux qui se sentent protégés par leur statut de victime sociale. En Grande-Bretagne, le silence imposé n’a pas permis à la presse d’enquêter sur les réseaux criminels au prétexte qu’ils mettaient en cause des musulmans. “Ces hommes ont délibérément pris pour cibles des victimes vulnérables, les manipulant et les exploitant pour leur propre satisfaction sexuelle”, a dévoilé le ministère de la Justice après le jugement.

    Plutôt que de dénoncer ces tortionnaires, la pensée dominante s’en est prise au journaliste anglais Tommy Robinson, coupable d’avoir refusé de se plier aux injonctions de se taire et d’étouffer le scandale. Pour avoir enfreint l’interdiction de la Justice d’évoquer les arrestations et les procédures en cours, Robinson a été jeté en prison en mai dernier (mon blog du 4 juin), dans l’indifférence générale, y compris des journalistes français. Présenté par le discours dominant comme étant avant tout “un activiste d’extrême droite” et un “islamophobe”, ce lanceur d’alerte, libéré depuis sous caution, reste un infréquentable pour le monde politique et médiatique.

    Mais comment prendre au sérieux ces journalistes qui assurent défendre la liberté de la presse, quand ils se montrent incapables de s’indigner quand celle-ci est ouvertement méprisée ? Le conformisme médiatique est devenu l’ennemi de la démocratie.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 22 octobre 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/212388/pourquoi-le-conformisme-est-une-lachete/

  • Rappel : ASSOCIATION ÉCOEURÉE, DISCOTHÈQUE : LA NEW JUNGLE DE CALAIS RÉVÈLE SON VRAI VISAGE


     
    Jusque-là peu d’informations filtraient sur les conditions de vie au sein de la new jungle de Calais. Tout juste savait-on que plus de 3000 « réfugiés de guerre » s’entassaient dans ce bidonville dans des conditions «inhumaines » d’après les associations d’aide aux migrants. 
    De nouveaux éléments apparus dans la presse depuis la semaine dernière semblent contredire la version officielle. 
    Une ONG britannique, Human Relief Foundation (HRF), annonçait via son directeur Kassim Tokan, qu’elle cessait son aide après une visite du campement par ses bénévoles qui ont pu constater que les réfugiés en question, « 95 à 97% d’hommes en bonne santé », avaient l’intention de se rendre au Royaume-Uni juste pour « l’argent et de meilleures conditions de vie » et jetaient la nourriture et les vêtements qui leur étaient distribuées en abondance. On peut en effet observer aux alentours proches du centre Jules Ferry des monticules de vêtements et de nourriture jetés négligemment par les « réfugiés ». 
    Choqués par le gâchis et l’attitude des habitants du « bidonville » les dirigeants de l’ONG britannique ont décidé de réorienter leur aide vers les pays du Moyen Orient en guerre. 
    On savait que le campement illégal s’était organisé comme une petite ville informelle, par contre des photos parues sur facebook d’une discothèque en plein cœur de la new jungle ont choqué l’opinion publique. On peut y voir une structure toute équipée en sono, jeux de lumière et bar, pouvant accueillir au moins plusieurs dizaines de fêtards laissant pour le moins perplexe sur leurs conditions de vie « inhumaines ». 
    Les associations françaises chargées de l’aide aux migrants, pour la plupart grassement subventionnées, auraient-elles arrangé à « leur sauce » les conditions de vie au sein de la new jungle, étant les seules pouvant y pénétrer, pour entretenir financièrement une activité humanitaire basée sur l’apitoiement de l’opinion publique ? 
    Suite à ces révélations dérangeantes pour le milieu associatif « solidaire », la version officielle de l’immigration clandestine semble remise en question alors que la région Nord Pas de Calais subit plus que jamais une crise économique, sociale et politique. Le vote Front National ne s’est jamais aussi bien porté et la défiance envers la classe politique (et les associations sous perfusion) s’aggrave de manière irréversible.

  • #PasDeVague : vague de reflux contre Jean-Michel Blanquer

    #PasDeVague : vague de reflux contre Jean-Michel Blanquer

    Alors que plusieurs enseignants partagent sur les réseaux les violences dont ils ont été victimes, un professeur de SVT met en cause le ministre de l’Éducation nationale et son inaction dans la lutte contre les violences à l’école, lorsqu’il était recteur de l’académie de Créteil en 2008. Entre 2007 et 2009, Jean-Michel Blanquer “n’a rien fait” pour endiguer la violence qui sévissait dans l’académie de Créteil, selon Jérémy Destenave qui livre son témoignage au HuffPost. Ce professeur évoque des faits de violences envers des membres de l’équipe pédagogique du collège Karl-Marx de Villejuif.

    L’enseignant a interpellé le ministre dans une série de tweet, dans lesquels il évoque des faits remontants à l’année 2008. Il a notamment exhumé une lettre adressée au moment des faits à l’académie de Créteil, dans laquelle il évoque une série d’incidents au sein de cet établissement du Val-de-Marne. Ce dernier met en garde Jean-Michel Blanquer contre “de plus en plus de violences verbales (insultes, crachats) et physiques (gifles, coups, jets d’objets).” En annexe de ce courrier, une liste des incidents rencontrés dans l’établissement: trois gifles à un surveillant, une agression d’un surveillant avec un briquet, ou encore un portable volé à un professeur… Des gestes restés impunis. Malgré les avertissements répétés auprès de l’administration, rien n’a été fait pour endiguer cette vague de violence :

    Jean-Michel Blanquer était clairement au courant. Il n’a rien fait, il a été inefficace. (…) Tous mes collègues qui ont voulu porter plainte et parler de leurs problèmes, on leur a mis des bâtons dans les roues. Nous étions abandonnés.

    L’académie nous a envoyé des gens qui sont venus nous faire culpabiliser pour nous dire que s’il y avait des soucis c’était de notre faute, c’est parce que nous n’avions pas de bonnes méthodes.

    Le ministre de l’Éducation nationale a déclaré sur BFMTV, ce lundi :

    “Je sais bien qu’il y a parfois des réalités masquées dans la vie quotidienne de nos élèves et de nos professeurs, il est tout à fait normal qu’elles s’expriment. Ça ne me gêne pas que des gens disent ce qui leur arrive sur le terrain. On se plaint suffisamment des effets négatifs des réseaux sociaux pour ne pas se plaindre quand les réseaux sociaux permettent justement de prendre conscience d’un phénomène.”

    Mais tout va aller mieux depuis que Macron a fait interdire les portables…

    https://www.lesalonbeige.fr/pasdevague-vague-de-reflux-contre-jean-michel-blanquer/

  • Un élève braque sa prof avec une arme factice : Castaner crée un comité stratégique !

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    Merci à Catherine Rouvier d'avoir écrit cet excellent billet ! 

    Dans notre civilisation du spectacle, il ne faut pas moins qu’un coup de théâtre pour qu’on s’aperçoive, soudain, de ce qui crève les yeux depuis pas mal de temps.

    Le 21 mars dernier, le proviseur du lycée Saint-Exupéry, à Créteil, était hospitalisé. Il avait reçu un coup de tête de l’un de ses élèves qui fut placé en garde à vue.

    Cette fois, c’est au lycée Branly de la même ville qu’à la fin d’un cours de première en « prévention santé environnement » (!), un lycéen a pointé une arme sur son enseignante pendant qu’un de ses camarades filmait, en lui intimant l’ordre de le noter « présent ».

    La vidéo, vue des milliers de fois sur les réseaux sociaux, a semblé réveiller le château étatique endormi.

    Le premier étonnement, après avoir vu la vidéo, c’est de lire : l’agresseur sera déféré dimanche au juge des enfants. Tu parles d’un enfant ! On ne serait pas un peu en décalage avec la réalité ?

    2054691781.pngAutre sujet d’étonnement : celui qui aurait introduit l’arme dans la classe a été interpellé, placé en garde à vue mais remis en liberté sans poursuites, l’arme, un pistolet à billes « de type airsoft » n’étant, aux yeux de parquet de Créteil, « qu’un jouet ». La consultation rapide d’un catalogue d’armurier nous apprend que l’objet en question est la réplique exacte d’une arme – un colt, en l’espèce. L’intention de terroriser est donc évidente. Mais on nous rassure : l’arme et les billes ont été détruites.

    Ce qui stupéfie, enfin, c’est la réaction des « autorités ».

    Le président du syndicat des collèges déclare : « On ne peut pas gérer tous les problèmes socio-économiques du pays. » Sous-entendu : c’est un « jeune » de banlieue, donc, c’est « la faute à la société ».

    Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, en charge des lycées, se dit « aux côtés des communautés éducatives » pour financer « tous les équipements de sécurité ». L’argent, toujours l’argent !

    Le président de la République a, lui, réagi en fin de soirée. « J’ai demandé au ministre de l’Éducation nationale et au ministre de l’Intérieur de prendre toutes les mesures pour que ces faits soient punis et définitivement proscrits de nos écoles. »

    Il manque un mot, non ? On ne proscrit pas un fait mais une personne… Mais personne ne semble l’envisager.

    Le directeur de l’établissement l’a dit : il est surpris de cet acte car il font au lycée des « séances de sensibilisation au respect ». Va-t-il virer les trois élèves ? Mais non, c’est les vacances ! « Alors, à la rentrée, on réunira un conseil de discipline. » Le 5 novembre, dans quinze jours !

    Le conseil ramolli par les vacances et ayant déjà oublié « l’incident » dira sans doute que c’était le dernier jour d’école et que, donc, c’était sûrement juste pour « rigoler », comme l’a déclaré le braqueur.

    La réponse de Castaner ne dénote pas, non plus, un désir farouche d’en découdre. Il va mettre en œuvre un « comité stratégique pour un plan d’actions ambitieux contre les violences visant les enseignants ».

    Quatorze mots pour ne rien dire.

    Par comparaison, un internat digne de ce nom a renvoyé un élève pour trois jours dans la minute où il avait fait « quelque chose de très grave ». Il avait « mis son doigt sur sa tempe et, en regardant la prof d’allemand bien en face, il avait tourné ». Sous-entendre que la prof est folle : trois jours immédiats d’exclusion.

    Lui, braquer une arme sur la tempe… rien.

    « Rien », comme notait Louis XVI le 14 juillet 1789… Juste la Révolution, au sens propre : la mise sens dessus dessous de la société.  


    Docteur d'Etat en droit public, avocat, maître de conférences des Universités

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/10/22/un-eleve-braque-sa-prof-avec-une-arme-factice-castaner-cree-6098833.html