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anti-national - Page 561

  • Deux mesures qui vont jeter un froid sur l’emploi dans les régions !

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    Le projet de loi de finances 2019 contient deux mesures « cachées » qui risquent de mettre en péril toute la filière du transport frigorifique et de la logistique frigorifique ! Rien que cela !

    C’est le message que fait passer Jean-Eudes Tesson, président de « la chaîne logistique du froid », association regroupant les professionnels du transport sous température dirigée : Transfrigoroute France, l’UNTF et l’USNEF.

    Le projet de loi de finances 2019 prévoit, en effet, la suppression du taux réduit sur la TICPE (la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques) et sur le gazole non routier (le GNR). Or, chaque professionnel du transport sous température dirigée sait qu’il faut alimenter en permanence le moyen de transport en énergie, que ce soit un conteneur ou une semi-remorque frigorifique, quand le tracteur est à l’arrêt. Cette énergie est fournie par des groupes frigorifiques fonctionnant au GNR. Il n’est pourtant pas difficile de comprendre, même pour un député LREM, que si on débranche son réfrigérateur, les denrées périssables qu’il contient seront vite perdues ! La profession estime que cette suppression des taux réduits entraînera une augmentation des taxes de 350 % ! Augmentation qui sera, naturellement, répercutée sur le prix des prestations, donc finalement sur le prix du yaourt ou de l’esquimau Gervais, si cela existe encore.

    Au surplus, il est envisagé, au nom de la protection de l’environnement, de mettre en place une « taxe additionnelle » sur les fluides frigorigènes HFC (hydrofluorocarbone) pour inciter les entreprises à accélérer le remplacement de ces fluides dangereux !

    Or, la logistique et le transport sont des secteurs d’activité très porteurs en termes d’emplois et d’investissements et il y a un cruel manque de main-d’œuvre. Pour 2018, 109.805 embauches sont prévues par l’Observatoire prospectif des métiers et des qualifications dans les transports et la logistique (OPTL). Et il s’agit essentiellement d’emplois régionaux susceptibles de redynamiser les territoires. Malheureusement, un emploi sur deux ne peut être pourvu, faute de candidats.

    Cette « péripétie » illustre bien, si besoin en était encore, l’incroyable incompétence des « gens qui nous gouvernent » et la mainmise totale des fonctionnaires de Bercy sur le pouvoir. Ces fonctionnaires sont des experts pour aller « gratter le fric » partout où c’est possible et se fichent « comme de l’an quarante » des conséquences pratiques de leurs décisions.

    Patrick Robert

    http://www.bvoltaire.fr/deux-mesures-qui-vont-jeter-un-froid-sur-lemploi-dans-les-regions/

  • Européennes : Macron mise sur l’éclatement de l’opposition – Journal du 26 octobre 2018

    Politique / Européennes : Macron mise sur l’éclatement de l’opposition
    Macron n’a pas dit son dernier mot. Alors que le président est au plus bas dans les sondages, la perspective des élections européennes ne semble pas l’effrayer. Il mise tout sur la division de ses adversaires

    Société / Carburants : le coup de pompe des automobilistes 
    Face à la flambée des prix des carburants, la riposte des automobilistes s’organise. Alors que les appels au blocage se multiplient, le gouvernement tente de désamorcer la polémique.

    International / Etats-Unis : les midterms sous haute tension 
    L’ancien président Barack Obama et des personnalités publiques soutenant le parti démocrate ont reçu des colis suspects aux Etats-Unis ! A quinze jours des élections de mi-mandat, l’épisode pourrait profiter aux opposant au président Donald Trump.

    International / Le Brésil amorce le tournant

    L’actualité en bref

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  • Nous ne sommes plus dans une immigration mais dans une invasion et une colonisation

    Nous ne sommes plus dans une immigration mais dans une invasion et une colonisation

    Invasion parce qu’on ne leur a pas demandé de venir et qu’ils forcent nos frontières. Colonisation parce qu’ils imposent leurs moeurs et leur religion. Dixit Eric Zemmour :

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  • Préférence nationale interdite ! Steeve Briois privé d’immunité parlementaire, par Caroline Parmentier

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    La raison pour laquelle l’immunité parlementaire des deux eurodéputés Steeve Briois et Sophie Montel a été levée, sur demande du ministre de la Justice Nicole Belloubet et sur dénonciation de l’association d’extrême gauche Les Maisons des potes (proche de SOS Racisme) est affolante : il n’est pas permis de défendre la priorité des Français chez eux, sans être poursuivi par la justice.

    Le Parlement européen a voté la levée d’immunité des eurodéputés Steeve Briois et Sophie Montel, poursuivis pour « provocation à la discrimination » pour avoir signé en 2013 une brochure interne au FN défendant la préférence nationale dans l’accès aux logements sociaux. Steeve Briois avait préfacé ce document à destination des élus municipaux (édité avant les municipales de 2014) en sa qualité de secrétaire général du Front national. Il était également signé par Sophie Montel, alors chargée de la coordination des élus au sein du secrétariat général et qui a quitté depuis le Rassemblement national. La justice française veut convoquer le maire d’Hénin-Beaumont et éventuellement le placer en garde à vue et le condamner parce qu’il a préconisé d’attribuer les logements sociaux en priorité aux Français.

    Lors d’un vote à main levée, les députés européens ont approuvé à une large majorité cette sanction. Comme l’a souligné Steeve Briois, « les députés LR ont voté la levée de mon immunité parlementaire : donc pour eux, défendre la priorité nationale, donc les Français, n’est pas acceptable et mérite d’être poursuivi devant les tribunaux. Ouvrez les yeux ! »

    Sur dénonciation des Maisons des potes

    C’est l’association antiraciste d’extrême gauche Les Maisons des potes, proche de SOS Racisme, qui a dénoncé le « Petit guide pratique de l’élu municipal Front national », estimant qu’il « incitait » les élus FN à « mettre en place la discrimination dans l’accès au logement social en réservant la priorité aux Français ».

    Le Front national, désormais Rassemblement national, a toujours défendu la préférence nationale, c’est même l’une des clés de voûte de son programme. C’est donc le parti tout entier qu’il faut désormais interdire.

    Steeve Briois dénonce une « persécution d’Etat » : « Cette nouvelle persécution judiciaire est surréaliste tant sur le fond que sur la forme. Demain, il ne sera plus possible à un homme ou mouvement politique de défendre la priorité des Français chez eux, sans être poursuivi par la justice. Une dictature de la pensée s’installe progressivement sans dire son nom et sous couvert d’humanisme : les Français doivent se faire entendre, au-delà de la liberté de leurs représentants politiques, c’est bien la leur qui est visée, et menacée. »

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 25 octobre 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Profs : à quand le « Balance ta racaille » ?

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    Est-ce que le gouvernement découvre vraiment avec cette vidéo de professeur braquée par un grand Black et ce hashtag « Pas de vague » que les professeurs sont confrontés chaque jour à l’intolérable ? Aux menaces, insultes et agressions et qui plus est contraints au silence ?

    Sur le modèle de « Meetoo », des professeurs de toute la France ont balancé sur les réseaux sociaux des témoignages anonymes glaçants évoquant des insultes, des étranglements mais aussi des menaces de la part de parents d’élèves. Ces nombreux enseignants se plaignent du manque de soutien de leur hiérarchie lors des conflits et des violences avec « certains élèves » révélant le malaise profond au sein de l’institution scolaire et les tensions entre les enseignants et les chefs d’établissements (surnommés CDE).

    Voici quelques-uns de ces témoignages :

    « On m’a craché dessus et on m’a menacé de me “castagner à la sortie”. Punition : aucune. Je porte plainte. CDE : “bon j’ai posé 3 jours d’exclusion, mais vous êtes dans le répressif, pas dans l’éducatif…” #pasdevague »

    « Un élève de 4e “légèrement” misogyne à une surveillante : “Toi, tu suces ma bite”. Aucune exclusion prononcée, pas de conseil de discipline malgré la demande de l’équipe enseignante. #pasdevague »

    « J’aurais aimé être soutenue lorsqu’une élève, il y a quelques années, m’a tapé dessus dans un couloir de mon établissement. Mais le conseil de discipline ne l’a pas même exclue. Et on m’a expliqué qu’il fallait prendre les choses moins à cœur. Voilà la réalité du terrain. #pasdevague »

    « Scandalisé », le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer promet ce lundi de « rétablir l’ordre dans les établissements » en instaurant des « mesures en profondeur ». C’est la 243e fois que l’on entend ce genre de promesse. Mais pour que la vérité sorte et que le mouvement suive le même principe que l’énorme campagne contre le harcèlement des femmes, il faut maintenant que les professeurs (et les élèves) aillent jusqu’au bout et balancent les racailles, le profil et l’identité de ceux qui harcèlent et terrorisent les profs. En commençant par le grand Black qui a braqué l’enseignante de Créteil, le Weinstein des profs en colère en quelque sorte. Et en appliquant une première sanction qui doit devenir automatique : couper les allocations familiales et faire rembourser les primes de rentrée scolaire aux familles de ce voyou et de celui qui a filmé la scène.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 23 octobre 2018

    https://fr.novopress.info/212403/profs-a-quand-le-balance-ta-racaille/

  • Madame Bouchard-Malawi, le futur qui nous attend si rien ne change

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    Par Bruno Mégret, polytechnicien, haut fonctionnaire, essayiste ♦ Les textes d’anticipation sont rares sur Polémia. Mais il est pourtant fascinant et pertinent d’imaginer le futur proche si rien n’est fait pour modifier le cours de l’histoire en Europe. Car ce qui différencie le pater familias traditionnel du jouisseur moderne, c’est bien la capacité de projection et d’anticipation, préalable nécessaire à toute action politique raisonnable. Nous publions donc le texte qui suit, rédigé par Bruno Mégret, en espérant qu’il reste ce qu’il est pour l’instant : de la science-fiction.
    Polémia.

    Madame Bouchard-Malawi répondait parfaitement aux critères maintenant exigés pour occuper son poste. Personne n’avait rien trouvé à redire ni dans son passé professionnel ni dans sa vie personnelle : aucune phrase déplacée, aucun avantage financier illicite. Mieux encore, se voulant totalement irréprochable dans ses nouvelles fonctions, elle habitait toujours son petit appartement du XVIIIe arrondissement et se rendait chaque jour à son bureau en vélo électrique après avoir accompagné elle-même ses enfants à l’école. Elle aurait pu être logée sur son lieu de travail et bénéficier d’une voiture de fonction mais madame Bouchard-Malawi était intraitable sur ce sujet : elle voulait mener la vraie vie comme ses compatriotes et refusait tous les avantages qui l’auraient coupé des Français. C’est d’ailleurs dans cet esprit qu’elle avait réduit sa rémunération à un niveau proche du Smic et qu’en dehors des manifestations officielles, elle prenait son repas dans une brasserie où elle réglait l’addition avec ses tickets restaurant. Bref,madame Bouchard-Malawi se voulait une Française comme les autres. Et c’est pour cette raison qu’elle avait été élue présidente de la République.

    Soutenue sans réserve par les médias, elle avait par ailleurs pleinement répondu à leur exigence de compassion et d’empathie. C’est ainsi que madame Bouchard-Malawi avait mené une campagne électorale originale, passant l’essentiel de son temps parmi les ONG humanitaires. On l’avait vu participer aux maraudes pour venir en aide aux sans-abri, elle avait dormi dans plusieurs centres de rétention pour migrants et c’est la plupart du temps aux restos du cœur ou auprès des mal-logés qu’on la trouvait à l’époque. Elle était aussi de tous les rassemblements pour les grandes causes médiatisées, comme la lutte contre le changement climatique ou l’action pour l’accueil des migrants.

    Si donc elle avait été élue contre la candidate populiste, ce n’était pas en faisant des concessions de fond, mais en usant de l’émotion et de l’affectif avec la complicité des médias. Car madame Bouchard-Malawi était très bien vue du Système : elle était une femme, elle était mariée à un homme de la diversité, son parcours la distinguait des élites universitaires ou des castes de fonctionnaires et, surtout, elle n’était pas une politicienne professionnelle. Chargée de communication dans une société privée, encore en fonction avant son élection, elle s’était engagée tardivement en politique, à l’époque où les partis voulaient favoriser la société civile. Portée par l’impératif de parité et une ambition aussi dévorante que cachée, elle avait très vite gravi les échelons, n’hésitant pas à utiliser les moyens les plus vils pour écarter ses concurrents. Très à l’aise devant les caméras où elle ramenait tous les débats aux problèmes des Français les plus défavorisés, elle était devenue une figure emblématique de la vie politique et le principal porte-parole de son parti.

    C’est donc assez naturellement qu’elle avait été choisie pour être la candidate de sa formation à l’élection présidentielle. Il est vrai que toutes les personnalités qu’on aurait vues plus classiquement dans les habits d’un chef d’État avaient jeté l’éponge depuis longtemps jugeant la fonction trop exposée et par trop dépourvue de vrai pouvoir. Aussi était-elle apparue à certains comme une réponse à la crise qui frappait le monde politique. D’autres attendaient pour cela un homme providentiel, un homme d’État qui marque l’histoire, mais c’est madame Bouchard-Malawi qui était venue car c’est elle qui correspondait le mieux à l’état du pays et aux intérêts du Système.

    Madame Bouchard-Malawi était-elle consciente de faire le jeu de ce dernier ? Nul ne le sait, mais si c’était le cas elle n’en paraissait nullement gênée car pour elle les choses étaient simples. Les médias indiquaient la voie à suivre. Aussi portait-elle une grande attention aux propos des éditorialistes qu’elle reprenait toujours à son compte. S’agissant de la mise en œuvre de l’action de l’exécutif, elle s’en remettait aux hauts fonctionnaires qui l’entouraient. Ainsi, lorsqu’il s’agissait de trancher des dossiers complexes, elle suivait leur avis, d’autant qu’ils lui expliquaient toujours qu’il n’y avait qu’un choix réellement possible, celui qu’ils lui conseillaient. Quant à l’opposition, madame Bouchard-Malawi n’avait pas à s’en préoccuper, c’est la justice qui s’en chargeait.

    Son gouvernement ne lui causait pas de soucis, car madame Bouchard-Malawi avait de l’autorité. Au demeurant, la plupart de ses ministres étaient inexistants et les autres sévèrement tenus à la discrétion médiatique. Dans les rencontres internationales, madame Bouchard-Malawi qui se ne se laissait jamais démonter se comportait avec beaucoup d’aplomb comme à Paris. Ce faisant, elle défrayait la chronique par ses tenues et ses propos décalés. Mais personne ne lui en tenait rigueur car avec elle la France ne sortait pas de la ligne de plus grande pente définie à Bruxelles et à Washington. Aussi écoutait-on patiemment ses discours pleins de bons sentiments et c’est avec une indulgence amusée que ses pairs attendaient sa conclusion qui portait toujours de façon un peu obsessionnelle sur la nécessité de sauver la planète.

    Depuis son élection, madame Bouchard-Malawi occupait ses fonctions sans fléchir dans les sondages de popularité car, si les affaires du pays continuaient d’être gérées comme elles l’étaient avant elle, chacun avait compris qu’elle n’y était pas pour grand-chose. L’invasion migratoire, la déconstruction des valeurs et la désindustrialistion du pays se poursuivaient à un rythme toujours aussi soutenu si ce n’est davantage mais, avec elle, les Français avaient enfin un président qui leur ressemblait et qui vivait sur le même train qu’eux. Mieux encore, ils pouvaient compter au sommet de l’État sur une femme de compassion, d’émotion et d’empathie. Le Système, de son côté, y trouvait son compte. Quant à l’intéressée, elle avait compris qu’en continuant de jouer son rôle, elle aurait toujours le soutien des médias et qu’avec eux elle resterait intouchable.

    Certains avaient fait remarquer qu’elle avait tué le politique et occulté la France. Sans doute était-ce et est-ce d’ailleurs le but secret du Système. Heureusement nous n’en sommes pas encore là, mais si ça continue comme ça, madame Bouchard-Malawi pourrait bien devenir dans la réalité la figure cauchemardesque de notre futur.

    Bruno Mégret 21/10/2018

    https://www.polemia.com/madame-bouchard-malawi-le-futur-qui-nous-attend-si-rien-ne-change/

  • En France, les islamistes ont des complices : ceux qui minimisent leur influence

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    Ce ne sont pas seulement les islamistes déclarés qui menacent la France, mais tous ceux qui minimisent leur influence dans la société.

    Quand on entend le président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis n’admettre que du bout des lèvres l’existence de « dérives religieuses extrémistes », pour ajouter qu’il y en a des « islamiques » mais d’autres qui ne le sont pas, on comprend tout de suite qu’on a affaire à un relativiste, qui met toutes les religions sur le même plan. Mais ce relativisme, en laissant entendre que le christianisme ou le judaïsme ont aussi leurs intégristes, banalise les manifestations d’un communautarisme spécifique à l’islam.

    On peut comprendre qu’un élu de Seine-Saint-Denis déplore qu’on ne parle que des dérives communautaires, du trafic de drogue, de la violence gratuite ou intéressée, en occultant les réussites des quartiers. Il reste que, si l’on n’a pas conscience que l’islam mêle le temporel et le spirituel, le politique et le religieux – ce qui, précisément, le rend perméable à toutes les dérives sectaires –, on devient malgré soi un complice de l’islamisation progressive de la France.

    Les témoignages recueillis dans l’ouvrage dirigé par deux journalistes du Monde« Inch’Allah, l’islamisation à visage découvert », sont sans appel. Pour ne pas faire de vagues, on a laissé se développer dans les cités un processus identitaire qui non seulement va à l’encontre de toute intégration – ne parlons pas d’assimilation ! – mais favorise le développement de ghettos revendiqués : les Blancs s’en vont, les Arabes non musulmans ou bien intégrés font de même. Les islamistes peuvent en toute impunité imposer leur loi et leur culture, faire régner une terreur physique et psychologique. Gérard Collomb, peu avant son départ, avait lancé les « quartiers de reconquête républicaine » : c’est plutôt la République qui se fait conquérir.

    Ce président du conseil départemental qui, sur France 24, s’offusque de voir des quartiers de son département stigmatisés est un socialiste, qui cultive des préjugés de gauche. Un mélange d’angélisme, d’idéalisme et d’idéologie, une culture de l’excuse qui trouve toujours des explications sociales ou victimaires aux comportements les plus répréhensibles. Se rendent-elles compte, ces bonnes âmes, que leur relativisme revigore l’extrémisme islamique en en minimisant la portée ? Ce ne sont pas seulement les imams fanatiques qui propagent le communautarisme et la haine : ce sont aussi les politiciens qui, par clientélisme, cèdent aux revendications communautaires.

    Notre nouveau ministre de l’Intérieur ne s’est pas débarrassé de ce travers socialiste. Quand il fait un parallèle entre les femmes musulmanes qui portent le voile et le voile que portaient, autrefois, les femmes catholiques pour assister à la messe, se moque-t-il du monde ou se montre-t-il plus stupide qu’il ne l’est ? Il est vrai qu’Alain Juppé, lui aussi, qui n’en rate pas une quand il s’agit d’être dans le vent, avait raconté que sa mère se rendait à la messe avec un foulard et qu’il n’était guère choqué de le voir porté, de nos jours, par les femmes musulmanes.

    Autre signe précurseur de l’islamisation : Gérard Collomb aurait manifesté sa crainte de l’élection de maires salafistes aux prochaines élections municipales. Il faut dire qu’il leur a bien préparé le terrain, avec ses amis socialistes et macroniens. Au nom de quoi refuserait-on à des musulmans de se présenter sur des listes communautaristes ? Quand on met le doigt dans l’engrenage, tout le bras risque d’y passer. Il serait temps, pour les pouvoirs publics, de cesser de subir !

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/en-france-les-islamistes-ont-des-complices-ceux-qui-minimisent-leur-influence/

  • Avec Macron, l’agression fiscale se poursuit – Journal du 25 octobre 2018

    Fiscalité / Avec Macron, l’agression fiscale se poursuit
    Après cinq années de socialisme, les électeurs d’Emmanuel Macron pensaient en avoir fini avec la fiscalité oppressive… pas de chance après un an et demi de mandat, le président en marche est une pâle copie de ses prédécesseurs en la matière.

    Société / Paris : une capitale clochardisée
    Alors qu’Anne Hidalgo est de plus en plus contestée à la mairie de Paris, la capitale continue sa descente aux enfers… aux problèmes de circulation et de propreté s’ajoute la recrudescence de sans-abri notamment des femmes.

    Economie / Français : vers un grand déplacement ?
    Alors que la situation économique du pays est morose et que les français sont de plus en plus inquiet de leur sécurité, une étude révèle qu’une très large majorité des jeunes entendent quitter le pays !

    Europe / Hongrie : Un 23 octobre entre commémoration et élections

    L’actualité en bref

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  • Zoom – Eudes Baufreton : Le combat de Contribuables Associés

  • Nous avons pour la première fois franchi le cap des 1 000 milliards d’euros de prélèvements public

    Nous avons pour la première fois franchi le cap des 1 000 milliards d’euros de prélèvements publics

    Lu sur l’IREF :

    Certes cela faisait longtemps qu’on en parlait, mais malgré tous les efforts d’augmentation des anciens impôts par ci, de création de nouvelles taxes par là, d’extension ailleurs de multiples prélèvements et contributions, on s’en rapprochait certes, mais on n’y arrivait pas. Or cette fois-ci c’est bon, car nous venons d’apprendre grâce au rapport Giraud que dès 2017 avec 1 038 milliards d’euros (soit une progression en euros courants de 55% depuis 2002 !) nous avions pour la première fois victorieusement franchi le cap de mauvaise espérance des 1 000 milliards d’euros de prélèvements publics et que depuis longtemps à la lutte avec le Danemark, nous sommes désormais vraiment les champions avec 45,3% de notre PIB engloutis par la pompe vorace de nos finances publiques. Naturellement, comme en France on joue collectif, ce succès est un succès d’équipe. Et là, sans prétendre à une exhaustivité fastidieuse, il faut quand même savoir rendre hommage à tous ceux qui -mieux que d’autres qui n’ont pourtant pas démérité- se sont obstinés sur ces dernières décennies à exiger des Français toujours plus, sans jamais ou presque leur offrir davantage.

    À tout seigneur, tout honneur : François Mitterrand dès son premier mandat a su procéder à de fortes augmentations de la quasi-totalité des prélèvement fiscaux et sociaux notamment sur le patrimoine et surtout. Il a su aussi fragiliser gravement et durablement toutes nos retraites avec sa promesse irresponsable de la retraite à 60 ans. Mais, c’est surtout à lui qu’on doit la géniale création de l’impôt sur la fortune. Certes son rendement demeura toujours somme toute assez modeste, mais ce sont les ravages de son sillage pernicieux, qui firent le plus de mal, puisque cet impôt a réussi à enclencher sur plusieurs décennies l’expatriation continue de hordes de contribuables ulcérés par un matraquage fiscal en règle. Sont en effet partis non seulement nombre des plus fortunés mais aussi certains des plus entreprenants, avec une perte sèche pour les finances publiques et plus largement pour l’économie du pays que l’Administration n’a jamais voulu communiquer, mais qui s’apparente sans doute, toutes proportions gardées, à la saignée et à l’exode provoqués quelque trois siècles auparavant par la désastreuse révocation de l’Édit de Nantes.

    Parmi les très grands encore, il faut réserver une place de choix à un certain Michel Rocard, inventeur émérite de la CSG avec dès l’origine un luxe de complexité de taux et d’assiette – la non-déductibilité partielle sera une trouvaille absolument géniale – qui montre qu’en France on voue toujours une admiration sans borne à ceux qui savent créer les nœuds les plus inextricables. En tout cas, un succès qui ne s’est jamais démenti depuis l’origine, puisque aujourd’hui la CSG soutire déjà chaque année aux Français 100 milliards d’euros -et sans doute demain beaucoup plus- et que depuis des lustres, elle est l’un des outils préférés des politiciens sans courage et sans imagination pour maintenir la dépense publique à des niveaux exorbitants et déraisonnables.

    On passera rapidement sur l’ère Chirac, qui ne dérogea certes pas vraiment aux funestes habitudes de dépense de ses prédécesseurs et qui vécut très bien du train de vie de l’État mis en place par son devancier. À son actif, l’ineffable trouvaille de la journée de solidarité du Lundi de Pentecôte, dont la mise en place fut si compliquée, si tatillonne, si injuste qu’on en disserte encore chaque année dans les documentations sociales à l’approche de la Fête de l’Esprit Saint. Pourtant à sa décharge, il faut reconnaître que lorsqu’il n’était encore qu’à Matignon, il fut le seul à courageusement apprendre à ses dépens ce qu’il en coûte de vouloir supprimer intégralement l’impôt sur la fortune, auquel tiennent tant tous ceux qui ne le payent pas.

    Discrètement certes, mais assez efficacement, la Présidence Sarkozy a tenu un rang somme toute honorable en majorant durant son mandat de près de 50% et sans coup férir le taux des prélèvements sociaux frappant notamment les revenus du patrimoine. Pourtant, il s’attaqua aussi, mais sans doute beaucoup trop tard, à une refonte de l’ISF pour le rendre moins oppressif. Mais son coup d’éclat fut sans nul doute, juste avant la campagne en vue de sa réélection, de porter à 30 ans de détention, pas moins, le délai d’exonération totale des plus-values immobilières, d’en renforcer aussi significativement le taux effectif d’imposition, avec un dispositif particulièrement sournois et injuste qui repoussait en fait – et qui repousse encore – sur les toutes dernières années l’essentiel de la réfaction d’assiette prorata temporis. Avec plus de trois millions de propriétaires de résidences secondaires qui se sont sentis immédiatement concernés, la sanction électorale fut immédiate, même si les partisans du candidat battu n’eurent jamais l’élégance de reconnaître son erreur flagrante et impardonnable.

    Ensuite, nous arrivons certes avec François Hollande à quelqu’un de beaucoup plus terne, mais reconnaissons qu’il sut avec son impôt à 75% sur les hauts revenus, même retoqué par le Conseil constitutionnel, séduire électoralement une majorité de Français dont l’inculture fiscale le dispute toujours à l’ignorance économique (Macron, qui le sait bien, utilisera d’ailleurs la même “ficelle” fiscale avec la promesse de suppression de la taxe d’habitation). D’autre part au fil du mandat, sur le plan des taux, des créations de taxes et de la complexité législative, on reconnut sans peine, alors que la protestation populaire grondait, qu’on avait bien à faire à un gouvernement socialiste.

    Dernier de la liste, mais non le moindre, Emmanuel Macron a tout de suite prouvé que les impôts et les prélèvements sociaux, c’était son affaire. Certes pour les baisser prétendait-il, avec la substitution bienvenue d’une “flat tax” sur les revenus mobiliers et le démantèlement prudemment partiel de l’ISF. Mais aussi en sens inverse avec une forte majoration immédiate et quasi-générale de la CSG, censée neutralisée entre autres par la promesse parfaitement démagogique citée plus haut d’une suppression progressive de la taxe d’habitation pour 80% des redevables. Or présentement nul ne sait encore comment ce “cadeau” sera financé et par quel tour de passe-passe cette taxe sera remplacée. Le Président a également montré une certaine virtuosité en jouant “forte” et avec aisance sur tous les claviers des taxes punitives, dont les verts fouettards réclament à cor et à cri l’aggravation et l’extension constantes, après avoir réussi notamment à transformer les factures d’EDF en avis d’imposition et à faire du moindre litre de carburant un vrai produit de luxe. Le nouveau mandat s’est illustré aussi par une grande première : au grand dam des entreprises concernées, le remplacement immédiat par un nouvel impôt voté d’urgence en quelques jours d’un impôt de plusieurs milliards d’euros qui venait tout juste d’être annulé par le Conseil d’État. On sut ainsi et tout de suite quel cas le législateur faisait des droits du contribuable et du respect du juge. […]”

    https://www.lesalonbeige.fr/nous-avons-pour-la-premiere-fois-franchi-le-cap-des-1-000-milliards-deuros-de-prelevements-publics/