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anti-national - Page 567

  • Les squatteurs ont-ils plus de droits que les propriétaires ?

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    Si vous avez du mal à trouver un appartement, squattez-le. En plus, c’est gratuit ! Et tant pis pour le propriétaire. Prenez-le par surprise : passé le délai de 48 heures, il est nécessaire de saisir le juge compétent pour obtenir une décision de justice ordonnant l’expulsion.

    Une jeune femme de 32 ans a fait les frais de cette réglementation absurde. Pour rembourser ses dettes, elle avait mis en vente un appartement sien, à Bagnolet. Elle avait même un preneur pour un prix qui lui permettait de faire un bénéfice, ses dettes une fois remboursées. Patatras ! Le jour de la transaction, l’appartement était occupé. Figurez-vous que les occupants clandestins sont « protégés au titre du droit au logement ». Passé le délai, aucune expulsion possible sans une procédure complexe.

    Comme un malheur n’arrive jamais seul, la jeune femme, qui aurait vainement tenté d’obtenir un rendez-vous du procureur, s’est vu signifier par un huissier que son appartement serait saisi et vendu aux enchères pour une trentaine de milliers d’euros. Face à cette aberration de la loi, elle s’est enchaînée à un poteau sur le parvis du tribunal de Bobigny et a entamé une grève de la faim. Sur le poteau, deux affichettes, comme un appel au secours : « Rendez-moi mon appartement » et « Grève de la faim ».

    Une bonne nouvelle, pourtant : on ne va pas la chasser du parvis. Contacté par Le Figaro, le commissariat de Bobigny a répondu qu’« aucune intervention des forces de police n’[était] prévue » (contre la propriétaire, il va de soi, pas contre les squatteurs) tant qu’il n’y a pas de « trouble à l’ordre public », sauf si le tribunal de grande instance le demande. Ouf ! Elle peut continuer de manifester son indignation, mais pas question de récupérer son appartement.

    En 2015, la presse avait relaté un fait divers similaire. Après le décès de son conjoint, chez qui elle habitait (quelle idée !), une octogénaire de Rennes avait voulu réintégrer un pavillon dont elle était propriétaire. Impossible ! Il avait été « emprunté » par des individus qu’elle ne put déloger. Ce sont les bizarreries d’une loi sur le droit au logement dont profitent souvent des spécialistes de la violation de domicile.

    L’article 17 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen a beau affirmer que « la propriété[est] un droit inviolable et sacré », la loi, étrangement, protège les squatteurs. Par humanité ? Pour assurer aux plus pauvres un besoin de première nécessité ? Les pouvoirs publics peuvent même utiliser le droit de réquisition, mais il est très encadré. Certaines associations ou partis politiques de gauche demandent d’ailleurs son extension : la propriété, c’est le vol, c’est bien connu.

    C’est à l’État qu’il appartient de mettre en œuvre une politique du logement, à la fois sociale et juste. Une politique pour tous, qui ne laisse pas sur le bord de la route (dans tous les sens du terme) des Français modestes, qui, souvent après un accident de la vie, n’ont pas les moyens de se loger. Mais il est aberrant de donner une priorité à des occupants illégaux sur des propriétaires qui ont le malheur de laisser un appartement vacant sans prendre le soin de le surveiller. À moins que de telles lois ne donnent bonne conscience – à peu de frais – aux gouvernements.

    Mais s’occuper des SDF français devient trop ordinaire. Des députés LREM viennent d’innover. Ils ont fait adopter deux amendements accordant des avantages fiscaux à qui accueillerait des réfugiés. Ah, les bonnes âmes ! Mais que se fatiguent-ils ainsi ? Il suffit d’encourager les migrants à squatter.

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/les-squatteurs-ont-ils-plus-de-droits-que-les-proprietaires/

  • Quand Monsanto triche pour faire accepter son Roundup

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     INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation deRadio Courtoisie) : 
    Sur les plus grands salons et foires agricoles européens, des hôtesses s’exprimaient aux noms de “groupes d’agriculteurs” qui se battaient pour l’autorisation du glyphosate. Elles étaient prêtes à répondre à toute interview des politiques ou de la presse.

    Mais aucun agriculteur européen n’était à l’origine ni ne soutenait ces groupes …

    Nommés “Free to farm”, “liberta di cultivare” ou encore “Agriculture et liberté”, ils étaient fabriqués par une société de lobbying, basée en Irlande, et payée par Monsanto.

    C’est Greenpeace qui a dévoilé cette mascarade.

    Car la société de lobbying irlandaise “Red Flag Consulting” pour sa propre promotion se vantait d’avoir pu influer au plus haut niveau des décisions européennes, afin “de changer la position de cibles identifiées au sein du gouvernement français, mais aussi allemand, anglais, polonais, espagnol, néerlandais, italiens et roumains”.

    Outre les moyens irréguliers auxquels Monsanto n’hésite pas à avoir recours ceci traduit une fois de plus du conséquent pouvoir des groupes de lobbying auprès de nos dirigeants…

    https://fr.novopress.info/212342/quand-monsanto-triche-pour-faire-accepter-son-roundup/

  • Perquisitions de La France Insoumise : et si Mélenchon avait raison ?

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    Par Étienne Tarride, avocat ♦ Est-il besoin de le préciser Mélenchon, ce n’est pas la tasse de thé de Polémia (et réciproquement) ? Faut-il pour autant se réjouir des persécutions dont La France Insoumise est la cible ? Pas sûr. C’est un abaissement du politique vis à vis des pouvoirs judiciaire et du médiatique. Après les poursuites contre François Fillon puis contre Marine Le Pen, c’est une étape de plus vers un régime totalitaire. Il suffit d’imaginer ce que nos médias diraient si une telle scène avait lieu non à Paris mais à Budapest, Varsovie, Moscou ou Rome. Maître Tarride fait le point. Polemia.

    Chacun est libre de penser ce qu’il veut des cris et de la fureur de Jean Luc Mélenchon pendant les perquisitions menées à 7 heures du matin à son domicile, au siège du Parti de Gauche et au siège de la France Insoumise.
    Quel que soit le volume de ses imprécations, et leur caractère légèrement grandiloquent, puisque si son corps de parlementaire est sacré, le mien l’est aussi même si je ne suis rien qu’un petit fils de Français moyens, je pense pour ma part qu’il a parfaitement raison sur le fond.
    J’avancerai pour me justifier de cette opinion iconoclaste les raisons qui suivent.

    1 °) Une perquisition est et reste une mesure exceptionnelle dont tous ceux qui l’ont subie et même ceux qui y ont seulement assisté savent qu’elle est particulièrement traumatisante. La perquisition s’apparente plus à une peine qu’à un acte de procédure. C’est bien la raison pour laquelle elle est exceptionnelle. On peut d’ores et déjà douter que s’agissant des faits en cause elle ait été nécessaire.

    – Le nombre des députés LFI au Parlement Européen est de trois, et le préjudice, très éventuel par ailleurs, est minime.

    – Les comptes de la campagne présidentielle ont été analysés dans tous les sens depuis dix huit mois et l’on peut s’étonner que ce vieux marronnier judiciaire soit encore aussi vivace. Sur ce point, je ne saurais trop conseiller aux députés en exercice de faire sonner désormais leur réveil à six heures, surtout s’ils appartiennent à l’opposition et s’ils ont acheté un camembert, une bouteille de vin et des éclairs au chocolat qu’ils se sont fait rembourser.

    2°) Rien n’obligeait le parquet et la police à opérer à 7 heures du matin. Les perquisitions peuvent s’opérer à tout heure de la journée. S’il n’y a personne au domicile, il suffit de garder la porte et d’appeler l’intéressé. Personne ne me fera croire que le parquet et la police ne savent pas où trouver Jean-Luc Mélenchon assez rapidement pour que la station devant la porte soit de courte durée.

    3°) S’agissant d’une enquête préliminaire, enquête interminable vue l’ancienneté des faits, le Juge qui a validé la perquisition est un Juge des Libertés et de la Détention (JLD). Le JLD est un acteur particulièrement utile dans la vie judiciaire puisqu’il décide de la mise en détention des prévenus ou de leur remise en liberté. En l’espèce toutefois, le JLD n’est pas un Juge. Tout Juge est un homme ou une femme qualifié à trancher un litige après qu’ait eu lieu devant lui un débat contradictoire. Il n’y a pas de débat contradictoire en l’espèce puisque que la défense n’est pas entendue. Le Juge n’en n’est pas un.

    4° ) La procédure régissant les perquisitions est désormais inadaptée. Il est requis par la Loi que soit établi un procès verbal ou figure la liste des pièces saisies. Quand il s’agit de saisir des téléphones, iPhones, smartphones, ordinateurs et disques durs, cette liste ne peut pas être établie et contresignée par l’intéressé.

    5° ) S’agissant enfin d’une enquête essentiellement orientée à l’encontre du nommé Mélenchon comme le prouve la perquisition à son domicile, il est plus que douteux que les policiers et le parquet aient été fondés à lui interdire d’assister en personne à la perquisition au siège de la « France insoumise ». Certes un responsable de ce parti était présent mais je pense que la présence du principal intéressé était nécessaire et ce d’autant plus qu’aucun député Européen n’était présent.

    Les cris de Jean Luc Mélenchon auront au moins eu pour effet de rendre désormais incontournable l’examen de la procédure de perquisition qui m’apparait, s’agissant des politiques et des suspects de droit commun, contraire aux Droits de la défense et inadaptée aux moyens de communication modernes.
    Ce n’est déjà pas si mal.

    Ces perquisitions sont-elles d’inspiration politique ? Je n’en crois rien, surtout de la part d’un Président et d’un Gouvernement aussi populaire dans toutes les enquêtes d’opinion.

    Etienne Tarride 19/10/2018

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Rémi Noyon [CC BY 2.0], via FlickR

    https://www.polemia.com/perquisitions-de-la-france-insoumise-et-si-melenchon-avait-raison/

  • Génération Identitaire attaquée en justice par SOS Méditerranée : 56 personnalités prennent la défense des militants identitaires

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    L’ONG pro-migrants, responsable des sauvetages en mer à l’aide du navire « Aquarius », va se constituer partie civile dans le cadre de l’information judiciaire en cours contre Génération identitaire. Elle reproche à certains de ses membres l’attaque de son siège le 5 octobre dernier, à Marseille, rapporte France Info. Des poursuites ont été annoncées par voie de communiqué, mercredi 17 octobre.

    Dans son communiqué de presse, SOS Méditerranée écrit :

    L’attaque du 5 octobre a conduit à la mise en examen par le juge d’instruction des 22 assaillants. Les qualifications pénales retenues sont celles de « violences en réunion, séquestration, participation à un groupement en vue de commettre des violences, enregistrement et diffusion d’images violentes ».
    SOS MEDITERRANEE France ainsi que les victimes ont décidé de se constituer parties civiles dans le cadre de l’information judiciaire en cours. Un collège de défense formé par Maîtres Sébastien Mabile et François de Cambiaire, avocats au barreau de Paris, ainsi que Maître Vincent Schneegans, avocat au barreau de Marseille, est chargé de représenter l’association et ses salariés devant la justice.

    (…)

    « Lors de l’assaut des bureaux, des allégations gravement diffamatoires ont été portées à l’encontre de SOS MEDITERRANEE, l’accusant d’être complice des réseaux de passeurs ou de trafic d’êtres humains. Ces allégations tombent sous le coup de la loi pénale dès lors qu’elles portent atteinte à l’honneur et à la considération de SOS MEDITERRANEE », a commenté Maître Sébastien Mabile.
    Il a par ailleurs été constaté que plusieurs personnalités politiques et parlementaires ont relayé massivement dans la presse et sur les réseaux sociaux l’attaque commise contre les salariés de SOS MEDITERRANEE, reprenant voire se félicitant de cette intrusion illégale et violente dans les locaux de l’association.
    « Des poursuites seront intentées contre toute personne ayant fait l’apologie de cette attaque et/ou ayant repris les messages diffamatoires » a fait savoir Maître Mabile.
    Dans une tribune publiée sur le site de Valeurs Actuelles, une cinquantaine de personnalités ont pris la plume pour réclamer l’abandon des charges qui pèsent contre les militants identitaires.

    Parce que l’action de Génération Identitaire est justifiée par les agissements délétères de SOS Méditerranée. 30 000 clandestins transportés en trois ans depuis les côtes libyennes alors même que, selon un rapport d’Interpol, 90% des passages de migrants vers l’Europe ont été organisés par des réseaux criminels.

    Parce que SOS Méditerranée est incapable de dire la vérité sur les conséquences de son action. Combien parmi les 30 000 migrants débarqués par l’Aquarius venaient vraiment de pays en guerre ? Combien se sont ensuite rendus coupables en Europe de délits et de crimes ?

    SOS Méditerranée prétend « sauver des vies » mais combien, par son action, en a-t-elle gâchées et détruites en Europe ?

    Parce que la grande majorité des Français refuse cette immigration massive imposée. A contrario, les 60 rassemblements organisés samedi 6 octobre par SOS Méditerranée ont été un échec avec moins de 8 000 personnes au total.

    Voici la liste des personnalités qui ont signé cette tribune : 
    Louis Aliot, Député RN des Pyrénées-Orientales ; Marie-Christine Arnautu, Députée Européen du RN ; Viktor Auber, Président Académia Christiana ; Wilfried Baron, Responsable départemental des Jeunes LR de la Nièvre ; Charles Beigbeder, Entrepreneur et élu de Paris, Président de la fondation « Le Pont Neuf » ; Guillaume Bernard, Historien de droit, Politologue ; Stéphanie Bignon, Présidente de Terre et Famille ; Jacques Bompard, Maire d’Orange (Ligue du Sud) ; Marie-Claude Bompard, Maire de Bollène (Ligue du Sud) ; Yann Bompard, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud) ; François Bousquet , Rédacteur en chef de la revue Eléments, Gérant de « La nouvelle librairie » ; Christine Boutin, Ancienne ministre, membre honoraire du Parlement ; Claude Chollet, Président de l’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique ; Thibaud Collin, Philosophe et essayiste ; Paul-Marie Couteaux, Haut fonctionnaire, essayiste et homme politique français ; Alain de Benoist, Philosophe et essayiste ; Jacques de Guillebon, Essayiste, directeur de la rédaction de L’incorrect ; Florent de Kersauson, Président fondateur de Nestadio Capital ; Quentin de Lacoste, Porte Parole de Racines d’Avenir (LR) ; Guillaume de Thieulloy, Politologue ; François de Voyer, Président de « Audace » ; Charles de Williencourt, Responsable Jeunes de l’Avant Garde ; Thierry Devige, Secrétaire général de « Audace » ; Aymeric du Chambon, Responsable jeunes de la Vienne du parti Chrétien-Démocrate ; Cédric Dudieuzère, Adjoint à la mairie du 7ème secteur de Marseille, RN ; Xavier Fruleux, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud) ; Marie-Thérèse Galmard, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud) ; Emmanuelle Gave, Directrice de l’Institut des Libertés, candidate aux Européennes 2019 sur la liste des Amoureux de la France ; Charles Gave, Economiste, financier, écrivain et entrepreneur français ; Vivien Hoch, Docteur en philosophie et entrepreneur ; Sébastien Jallamion, Président de l’association « Andèle », écrivain ; Michel Janva, Rédacteur en chef du site « Le salon beige » ; Patrick Jardin, Père de Nathalie Jardin, tuée par des terroristes islamistes au Bataclan ; Baptiste Laroche, Porte-parole des jeunes du parti Chrétien-Démocrate ; Christelle Lechevalier, Députée Européen du RN ; Rémi Ledoux, Délégué Jeunes LR 8e circonscription du Pas-de-Calais ; Quentin Limongi, Président de la « Cocarde Étudiante » ; Marie-France Lorho, Députée (Ligue du sud) ; Thierry Mariani, Ancien ministre, Membre honoraire du Parlement (LR) ; Barbara Mazières, Présidente du cercle Anjou conférence ; Emmanuelle Ménard, Députée de l’Hérault ; Robert Ménard, Maire de Béziers ; Jean Messiha, Haut-fonctionnaire ; Charles Millon, Ancien ministre de la Défense, Président de « L’Avant-Garde » ; Paul Nafilyan, Avocat au Barreau de Paris ; Frédéric Pichon, Avocat au Barreau de Paris ; Joseph Poidevin, Secrétaire général des jeunes du parti Chrétien-Démocrate ; Jean-Frédéric Poisson, Président du Parti Chrétien-Démocrate ; Stéphane Ravier, Sénateur RN ; Julien Rochedy, Ancien président du FNJ, entrepreneur ; Jean Servin, Président des jeunes du Parti Chrétien-Démocrate ; Erik Tegner, Président de Racine D’avenir (LR) ; Mylène Troszczynski, Députée Européen (RN) ; Christian Vanneste, Député honoraire du Nord, Président du RPF et de La Droite Libre.

    https://fr.novopress.info/212352/generation-identitaire-attaquee-en-justice-par-sos-mediterranee-56-personnalites-prennent-la-defense-des-militants-identitaires/

  • De Mayotte à Anjouan : le verrou de l’immigration sur le point de sauter

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    Les Comores sont entrées en ébullition ces derniers jours. Le président en poste Azali Assoumani, au pouvoir depuis 1999 à la suite d’un coup d’Etat, veut rester président à vie. Les habitants d’Anjouan, l’une des trois îles qui composent ce pays, ne l’entendent pas de cette oreille. Ils sont entrés en rébellion au début de cette semaine. A 70 kilomètres de Mayotte, et donc de terres françaises, des combats à l’arme lourde se déroulent actuellement dans les rues de Mutsamudu, la capitale locale, dont la médina est assiégée. Les rares témoins ont vu des morts, des blessés, des barrages sur les axes routiers, des hommes masqués qui s’affrontent à la kalachnikov ou au coupe-coupe.

    Du coup des bateaux, des « kwassas » (ou mangeoires à requins) surchargés de réfugiés ou de militants anti-régime débarquent actuellement à Mayotte.

    Or Mayotte est déjà submergée par l’immigration sauvage, l’île étant considérée comme la porte régionale vers l’Europe. Venus du continent africain, les immigrés passent d’île en île, de la Grande Comore à Mohéli, et de Mohéli à Anjouan, pour gagner Mayotte, qui est la France. Les femmes sont nombreuses aussi, les femmes enceintes, s’entend. Car une naissance à Mayotte, c’est la carte d’identité à la clé. Et la criminalité explose.

    Naufrage par submersion migratoire

    Les Mahorais avaient choisi de rester Français en 1974 et font partie de la Communauté européenne. Mais Mayotte est prise d’assaut, suscitant de violentes réactions des autochtones. Ce mercredi des bagarres ont éclaté entre Mahorais et immigrés, à Mamoudzou, la préfecture de Mayotte. Les manifestants tentent d’empêcher les immigrants d’avoir accès aux salles de soins d’un dispensaire, pour éviter qu’ils s’implantent définitivement.

    Les violences d’Anjouan risquent de créer une vague d’immigration telle que les habitants de Mayotte ne pourront plus s’opposer, que le verrou sautera, provoquant le premier naufrage par submersion migratoire d’un département français.

    Bizarrement, en métropole, un voile pudique est jeté sur cette situation. Et comme les anti-immigrants sont noirs de peau, personne ne s’avise de dénoncer leur racisme et leur xénophobie . Ils ont au moins cette chance, dans leur malheur.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • L’esclavagiste Fogiel devrait être en prison !

    L’esclavagiste Fogiel devrait être en prison !

    De Benoît Dumoulin dans l’Incorrect :

    Il est odieux de devoir rappeler des évidences. Il y a encore quelques années, on ne croyait pas qu’un jour, il faudrait prendre la plume pour s’opposer à cet immonde trafic de la GPA, que l’on devrait plutôt rebaptiser MEPA (marchandisation et esclavage pour autrui). Il est encore plus odieux de voir les médias – à commencer par Paris-Match – faire la promotion tranquille de l’ouvrage de Marc-Olivier Fogiel, sans lui rappeler les vérités les plus élémentaires.

    Car contrairement à ce que prétend Fogiel, il ne peut y avoir de GPA éthique. La GPA fait entrer, par principe, le corps humain dans le domaine du marché. Fogiel a acheté 9 000€ sur catalogue l’ovocyte d’une Américaine en prenant soin – dans un eugénisme désormais revendiqué – de choisir celui qui paraissait le plus sain (« il n’y a pas de maladie génétique dans la famille de Jane »). Question : sur son catalogue, le prix variait-il en fonction des qualités de la donneuse ? Fogiel fait sortir l’être humain du domaine de l’être pour le faire entrer dans le domaine de l’avoir. Supprimant la distinction fondamentale du code civil entre les personnes et les choses, il rend possible l’appropriation juridique et financière du corps humain et de ses produits. En cela, il est un esclavagiste des temps modernes.

    Il a ensuite loué deux fois de suite le même utérus d’une autre femme pour y implanter l’ovocyte choisi, au tarif de 15 000€ la grossesse. Qui pourrait légitimement soutenir qu’aucune relation psychique n’existe entre une femme et l’enfant qu’elle porte ? Serait-ce la même chose de porter un enfant et un panier de courses au supermarché ? Il y a confusion de l’être et de l’avoir. D’ailleurs, voit-on beaucoup de femmes très riches accepter d’être mère porteuse ? Il y a aussi, au cœur de toute GPA, une exploitation de la détresse des femmes. En cela, Fogiel est aussi un esclavagiste.

    En France, « Le corps humain, ses éléments et ses produits ne peuvent faire l’objet d’un droit patrimonial » (article 16-1 du code civil) et « il n’y a que les choses qui sont dans le commerce qui puissent être l’objet des conventions » (article 1128). C’est pourquoi, « toute convention portant sur la procréation ou la gestation pour le compte d’autrui est nulle » (article 16-7).

    Mais bizarrement, le code pénal ne punit que l’intermédiaire qui s’entremet dans un but lucratif entre deux personnes en vue d’une GPA et non celui qui la réalise à son profit. Si le gouvernement voulait vraiment s’attaquer au trafic d’êtres humains et respecter la dignité de la femme, il devrait faire voter une loi pour incriminer pénalement Marc-Olivier Fogiel et le faire mettre en prison.

    De plus, sa justification est confondante : il explique avoir eu recours à une vendeuse d’ovocytes différente de la mère porteuse, évitant ainsi à celle-ci de se sentir mère de l’enfant qu’elle porte. En dissociant la génitrice de la gestatrice, il brouille encore plus les repères de l’enfant qui, déjà arraché à sa gestatrice au lendemain de l’accouchement, ne pourra jamais savoir qui est sa vraie mère. Cela ne sera pas sans conséquences pour l’enfant, qui, un jour, sera en droit de demander des comptes à son père.

    Fogiel n’ignore pas que l’un des reproches fait à la GPA est d’instaurer une séparation radicale entre la mère et l’enfant. Qu’à cela ne tienne ! Ses filles iront voir leur mère porteuse une fois par an aux États-Unis. Passons sur la rareté d’une visite censée nourrir les besoins affectifs légitimes de l’enfant. Fogiel espère-t-il qu’un aller-retour Paris-Miami sera remboursé par la Sécurité Sociale ou pense-t-il réserver ce privilège à une élite financière ?

    Par ailleurs, il affirme avoir dépensé à peu près 100 000€ pour ses GPA. Imagine-t-on le poids qu’il fait peser à ses enfants et le peu de liberté qu’une telle relation marchande instaure ? Si ces derniers ne correspondent finalement pas au modèle souhaité, il pourra être tenté de leur rappeler qu’il a dépensé 100 000€ pour eux ! Quand on sait qu’il n’est jamais facile pour un père de laisser son enfant faire sa vie librement, on devine qu’il est d’autant plus dur de se détacher d’un enfant qui est le fruit d’une appropriation juridique et financière.

    La séquence médiatique ouverte avec la publication de l’ouvrage de Fogiel participe donc d’une banalisation scandaleuse et criminelle de la GPA qui aurait mérité des rappels à l’ordre de la part du gouvernement et du CSA. Car, malgré ses dénégations, son témoignage ressemble à une opération de propagande voyeuriste dont l’unique objet est de nous faire accepter la GPA, pardon la MEPA. Mais, on ne lâchera rien, jamais, jamais, jamais !

    Cela étant dit, le livre de Fogiel fait un bide. Malgré l’intense propagande médiatique, ce livre n’est que 50ème dans le classement officiel editstat des 200 meilleures ventes. A titre de comparaison, le “Destin français” d’Eric Zemmour est toujours classé 10ème après 5 semaines de présence (et après avoir été classé directement 1er). Et ceci, en dépit de la censure des médias.

    D’après nos informations, en 12 jours (du 3 au 14 octobre), Fogiel n’a vendu que 4 643 livres. Même les LGBT ne s’intéressent pas à la GPA… Pour rappel : Zemmour vendait plus de 2 000 livres par jour lors de la parution.

    https://www.lesalonbeige.fr/lesclavagiste-fogiel-devrait-etre-en-prison/

  • Meilleure performance de l’économie américaine depuis dix ans : la Davocratie approuve, sous réserve…

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    Hier, c’était la Suisse. Aujourd’hui, ce sont les États-Unis. Le pays détrône, en effet, la patrie de la démocratie directe dans le tout récent classement du World Economic Forum (WEF), célèbre matrice des rencontres de Davos. Si le Vatican du mondialisme le dit, c’est donc vrai. Un changement de méthodologie a ainsi fait descendre la Suisse au quatrième rang, tandis que les États-Unis sont passés du deuxième au premier rang, suivis par Singapour, l’Allemagne, la Suisse, le Japon, les Pays-Bas, Hong Kong, le Royaume-Uni, la Suède et le Danemark. La France est au dix-septième rang.

    Faute de contrôle anti-dopage, il faut donc se contenter du résultat. Le Figaro Économie du 17 octobre précise : « Les experts du Forum ont démenti que l’étude ait été remodelée pour être au goût du président américain Donald Trump, qui a fait le déplacement à Davos en janvier pour vendre son slogan “America First” à l’élite mondiale réunie par le WEF dans la station alpestre suisse. » Car les critères ont été modifiés, faisant la part belle à la nouvelle économie technétronique californienne et aux services financiers, tout en ne jugeant plus la dette elle-même, mais plutôt la « dynamique de la dette ».

    Et « dynamique » il y a depuis moins de deux ans. Avec une économie qui, selon la Banque centrale, devient « la meilleure de l’époque moderne américaine », à contre-courant de la doxa défaitiste de l’époque Obama, celle du « nouveau normal » : croissance à 1-2 % ad vitam, impôts élevés sur les créateurs de richesses « locaux » pris en otage parce que ne pouvant se délocaliser, profits et emplois à l’étranger des groupes transnationaux compensés à l’intérieur par de vastes programmes sociaux comprenant « du pain et des jeux » ou « un salaire pour tous », doublement de la dette par Obama après que Bush l’eut lui-même doublée, etc.

    Aujourd’hui, la croissance a atteint les 4 %, il y a plus d’emplois créés que de main-d’œuvre disponible (emplois qualifiés) et l’on assiste à une renaissance des emplois industriels traditionnels, avec un taux de chômage en baisse, y compris dans les catégories traditionnellement sinistrées (Latinos et Afro-Américains), avec une diminution « automatique » de l’utilisation des coupons alimentaires par une masse importante de la population. Et le World Economic Forum d’embrasser l’idée qu’avec son nouveau moteur, l’économie mondiale s’engage à son tour sur la voie des 4 % de croissance pour 2018 et 2019.

    Nul doute qu’en cette période d’élections législatives, ces nouvelles seront abondamment exploitées par le président américain, qui a lancé un trait des plus trumpiens : « Si vous votez démocrate, c’est que vous êtes fatigués de gagner ! » Certes, mais le WEF liste une série de points fondamentalement préoccupants, en matière de guerre tarifaire, propriété intellectuelle, de corruption, de santé publique, de sécurité et criminalité, sans oublier la persistante inégalité sociale (revenus et capital) en croissance exponentielle depuis les années 80. Autant de critères où les suivants du classement font mieux que l’Amérique.

    S’agirait-il donc, ici, du rapport facilitateur d’une transition en souplesse pour celui ou celle qui succéderait à Trump ? Le futur « leader du monde libre » serait ainsi sacré leader économique mondial. Charge à lui de relancer le mondialisme des frontières ouvertes par ce trotsko-capitalisme qui a marqué la fin du XXe siècle.

    À Davos, rien n’est gratuit.

    André Archimbaud

    http://www.bvoltaire.fr/meilleure-performance-de-leconomie-americaine-depuis-10-ans-la-davocratie-approuve-sous-reserve/

  • Le migrant est l’avenir de Libération, par Francis Bergeron

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    Le manifeste lancé lundi par Libération : « Le migrant est l’avenir de l’homme » entend réinjecter dans l’air du temps un discours qui n’a plus guère la cote, celui selon lequel l’immigration serait « une chance pour la France », selon la formule de Bernard Stasi datée de 1984. A l’époque, ce slogan passait mieux. Mais c’est un discours de ce type que veut réhabiliter le quotidien du milliardaire israélien Patrick Drahi. Libération nous annonce donc que « le migrant est l’avenir du monde ».

    Remarquez que Libération ne parle pas d’« immigrés », de « sans-papiers », de « clandestins », ni même de « réfugiés ». Toutes ces appellations concernent a priori des hommes qui arrivent temporairement dans un pays, qui n’y étaient pas attendus, qui n’y sont pas forcément accueillis dans la joie et l’allégresse. Le mot « migrant », lui, recouvre une tout autre réalité. Il s’agit de populations que des phénomènes climatiques, économiques ou autres, transportent vers de nouvelles contrées, sans idée de retour.

    C’est un peu cette image que Libération veut imposer. L’Europe – la France tout particulièrement –, est une nouvelle « bonne frontière », pour des peuples en transhumance depuis l’Afrique et l’Asie.

    Parce que cet élan vers la vieille Europe a été souhaité, voulu, sans garde-fous, sans limites qualitatives ou quantitatives, il est possible de parler de grand remplacement. Le « pseudo-grand remplacement », comme écrivent parfois nos médias.

    Mais Libération, lui, ne truque pas son discours. Ce grand remplacement, il l’appelle de ses vœux. Pourquoi ? « Pour que la Méditerranée cesse d’être un cimetière. » Nous entrons alors dans le volet culpabilisateur du manifeste de Libération. Depuis 18 ans, 50 000 personnes auraient trouvé la mort en Méditerranée. Ces morts seraient donc, à en croire Libération, un nouveau crime commis par les hommes blancs d’une Europe égoïste. Comme l’écrit Hugues Moutouh dans une récente tribune du Figaro, il s’agit d’empêcher de « traiter du sujet comme il devrait l’être : uniquement sous l’angle politique et non à travers un prisme déformant, exclusivement humanitaire ».

    « Notre Europe vieillissante a besoin d’une population active renouvelée », écrit Libération. Si ce n’est pas du grand remplacement, cela y ressemble terriblement : renouveler la population active ; pousser les Français à ne plus avoir d’enfants… Faire ainsi de la place pour ces jeunes hommes venus de pays aux ressources plus limitées. « Nos budgets sociaux ont besoin de ces actifs cotisants dont le régime de la clandestinité les prive. »

    Une tendance anti-immigration de gauche

    Il s’agit clairement d’un appel à la régularisation générale des clandestins… au nom du renflouement des caisses sociales. Or nul n’ignore pourtant que la paupérisation actuelle et le taux de chômage qui ne se réduit pas ont notamment pour origine, en France, cette immigration non choisie, peu ou pas qualifiée. Régulariser les illégaux, ne pas viser à les renvoyer, serait, aujourd’hui, mettre en faillite l’ensemble de nos régimes de protection sociale.

    Libération se plaint également de l’apparition d’une tendance anti-immigration de gauche, en Europe : « La vieille droite y faisait son ordinaire, rejointe aujourd’hui par une ancienne gauche qui, en Allemagne, en France ou en Italie, espère ainsi sa part de gâteau électoral. »

    Le message de Libération s’adresse en fait à ce peuple de gauche qui met au premier rang de ses préoccupations la survie des systèmes sociaux, au risque de rejoindre « l’orthodoxie identitaire, l’archaïsme culturel, la crispation néo-nationaliste ». Que d’inquiétudes pour le bon vieux Libé !

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/212349/le-migrant-est-lavenir-de-liberation-par-francis-bergeron/

  • GB : Les visages du gang de violeurs d’adolescentes qu’avait voulu dévoiler Tommy Robinson enfin officiellement révélés

    (…) Nous pouvons révéler qu’un total de 20 hommes, principalement d’origine pakistanaise, ont été reconnus coupables de plus de 150 crimes contre 15 filles dans le cadre de trois procès distincts.

    Le gang de viol en réunion (grooming) que Tommy Robinson a voulu démasquer, ce pour quoi il a été emprisonné, a été condamné à une peine cumulée de 221 ans pour avoir violé, agressé et trafiqué des jeunes filles dont la plus jeune avait à peine 11 ans.

    Ce gang est l’auteur d’agissements ignobles entre 2004 et 2011, comprenant des dizaines de viols, des agressions sexuelles, du trafic de personnes, des enlèvements et de la prostitution d’enfants.

    Des images liées au gang ont été diffusées en direct par Tommy Robinson, qui a été emprisonné pour cela au motif d’outrage au tribunal car le juge avait imposé des restrictions strictes sur la divulgation.
    Ces affaires judiciaires stupéfiantes ne peuvent être rendues publiques que maintenant qu’un juge ait levé les restrictions imposées il y a près de 12 mois sur la diffusion d’informations à leur sujet.
    L’ignoble gang (de gauche à droite et de haut en bas) : Amere Singh Dhaliwal, Irfan Ahmed, Zahid Hassan, Mohammed Kammer, Raj Singh Barsran, Mohammed Rizwan Aslam, Abdul Rehman, Nahman Mohammed, Mansoor Akhtar, Mohammed Irfraz, Nasarat Hussain, Sajid Hussain, Faisal Nadeem, Mohammed Azeem, Wiqas Mahmud, Manzoor Hassan, Niaz Ahmed, Mohammed Imran Ibrar, Asif Bashir et Mohammed Akram

    Beaucoup de membres du gang étaient connus par leurs surnoms, comme Chiller, Dracula et Bully.
    D’autres procès sont prévus l’année prochaine, mais le juge a déclaré qu’il était temps que le public sache ce qui s’était passé et qui en était responsable.

    Le gang a été emprisonné au Leeds Crown Court.
    Les derniers actes ont eu lieu à Huddersfield, West Yorks, et font suite à des scandales similaires à Rotherham, Rochdale, Telford, Oxford et Newcastle.
    Le juge du Leeds Crown Courta déclaré que « la gravité (de l’infraction) dépassait de loin » tout ce qu’il avait vu auparavant.

    Nous pouvons maintenant révéler les grandes lignes :
    – Certaines victimes du gang ont été emportées à la sortie de l’école, dans leur uniforme.
    – D’autres ont été emportées de leurs familles de placement.
    – Elles ont été conduites dans des lieux éloignés et ont été maltraitées à maintes reprises par de multiples hommes.
    – Les familles des filles ont tiré la sonnette d’alarme après leur disparition.
    – Les travailleurs sociaux n’ont pas voulu garder un contact suffisant avec les familles ni prendre leurs demandes au sérieux.
    – Les policiers ont (parfois) rejeté la validité des demandes en considérant que ces filles étaient suffisamment expérimentées ou complices des sévices qu’elles subissaient.

    Ils ont été emprisonnés pour une période allant de cinq ans à la perpétuité, avec un minimum de 18 ans d’emprisonnement.

    Des preuves déchirantes ont révélé comment les victimes ont été délibérément ciblées par le gang de Huddersfield, qui a abusé d’elles à volonté.

    L’une des filles, qui n’avait que 12 ans à l’époque, a été retirée de force de sa famille de placement après que ses agresseurs eurent dit au personnel : « Je veux la baiser. »

    Une autre a tenté de se suicider alors qu’une autre avait avorté après avoir été rendue enceinte par un de ses prédateurs.
    Toutes les filles menaient une vie chaotique et dysfonctionnelle.

    L’ancien chef du groupe d’extrême droite English Defence League a été emprisonné pendant 13 mois parce qu’on craignait qu’il fasse dérailler les procès.
    Tommy Robinson, sur Facebook, a diffusé en continu une diatribe d’une heure dans laquelle il a nommé les accusés et toutes les accusations auxquelles ils faisaient face.
    Cette diffusion était en violation flagrante de la sentence d’outrage au tribunal (contempt of court) rendue contre lui par le juge de première instance, et risquait sérieusement de porter préjudice aux procès.
    Les images des défendeurs à leur arrivée au tribunal de Leeds en mai ont été visionnées 250 000 fois.
    Le juge de première instance Geoffrey Marson avait alors déclaré que l’ordonnance visait à assurer l’intégrité de l’affaire.
    Robinson (de son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon) a été arrêté et incarcéré, mais libéré en août en appel.
    Un juge de l’Old Bailey devait décider la semaine prochaine s’il doit être condamné une seconde fois.

    C’est vers la fin du second de ces procès, en mai, que Tommy Robinson, fondateur de l’English Defence League, a été arrêté alors qu’il rapportait l’affaire en direct sur Facebook depuis l’extérieur du tribunal.

    Certaines des filles suivaient le mouvement par besoin d’attention, alors que d’autres, beaucoup plus naïves, croyaient sincèrement être dans des relations amoureuses.
    Mais ce que toutes les filles avaient en commun, c’était leur âge, leur isolement social et leur grande vulnérabilité.
    Tragiquement, chacune d’entre elles a ensuite été rejetée à plusieurs reprises par le système.
    Le procureur Richard Wright a dit au jury à chacun des trois procès : « Vous vous demandez peut-être pourquoi personne ne s’occupait du bien-être de ces filles. qu’il s’agisse de leur famille ou des personnes responsables à l’école, dans les services sociaux ou dans les forces de police ? Nous vous prouverons que les amis et les familles de bon nombre de ces filles étaient très inquiets pour elles.

    (…) Le meneur a été reconnu coupable de 54 infractions contre 11 victimes, dont le viol d’un enfant de moins de 13 ans. Au total, il a été reconnu coupable de 22 viols, agressions sexuelles, incitation d’un enfant à se livrer à des activités sexuelles, prostitution, trafic, trafic de drogue et coups. Il les inondait d’attention, leur faisait absorber de l’alcool et de la drogue et les préparer à s’adonner régulièrement au sexe avant de les prostituer à d’autres hommes.

    Le juge Geoffrey Marson a condamné les dix hommes à un total de 123 ans de prison – et a révélé comment ils ont imposé un régime de terreur.
    Lors du deuxième procès, huit membres du gang de grooming ont été condamnés à une peine totale de 98 ans pour une série d’infractions similaires.
    L’une des membres du groupe, Nasarat Hussain, 30 ans, a violé une des filles en uniforme scolaire alors qu’elle n’avait que 15 ans. Les abus ont eu lieu dans tout Huddersfield « dans des voitures, des parkings, des maisons, un salles de billard, un établissement d’alimentation à emporter, un parc et d’autres endroits ».
    Lors du troisième procès, quatre hommes ont été reconnus coupables de viol, de traite, de préjudice corporel et d’agression sexuelle. Ils seront emprisonnés le 1er novembre.

    (…) The Sun

    http://www.fdesouche.com/1090625-les-visages-du-gang-de-violeurs-dadolescentes-quavait-voulu-devoiler-tommy-robinson-enfin-officiellement-reveles

  • Nerfs solides, cuir épais, endogamie et viol démocratique

    agora.jpgA la sortie de son audition hier à Nanterre où il a été auditionné dans la foulée des perquisitions qui ont eu lieu mardi, dans le cadre de l’enquête ouverte sur ses assistants parlementaires européens et ses comptes de campagne, Jean-Luc Mélenchon s’est voulu serein. Il a insisté sur sa probité et celle de son parti. Les médias mettent ce matin  plus spécifiquement en cause  la société Médiascop de Sophia Chikirou, laquelle aurait surfacturé  des prestations au candidat de  LFI lors de la présidentielle. M Mélenchon a réitéré ses propos sur la dimension politique, persécutoire de cette affaire,  pouvoir macronien en comparaison  duquel feu “l’Etat RPR” avec ses magouilles et ses méthodes peu reluisantes,   aurait été de la gnognotte a-t-il affirmé. La veille, interrogé par l’agence Reuters, le député RN Sébastien Chenu a  douté  de la solidité des nerfs de M. Mélenchon après avoir vu les images “dévastatrices” de ce dernier, empêché de pénétrer dans ses bureaux en cours de perquisition.  “ On ne donne pas les clefs d’un pays à quelqu’un qui force des portes”, “quand il prend ses premiers coups, qui sont rudes, il dérape”, “il n’est pas solide parce qu’il n’est habitué en réalité à prendre ces coups-là.” “Il est le miroir de ce qu’a été le Front(National)  il y a trente ans, selon Sébastien Chenu, qui a souligné les similitudes entre la scène de mardi et un déplacement houleux de Jean-Marie Le Pen (…)  à Mantes-la-Jolie en 1997.” Au-delà des similitudes que certains pourront trouver entre les deux tribuns précités, précisons cependant que dès son ascension électorale dans les années 80,   les dirigeants et militants du FN furent  soumis à des persécutions, à des pressions politiques,  psychologiques , physiques même, à des traquenards, des coups tordus (Carpentras, Mantes-la-Jolie en sont deux exemples emblématiques)  autrement  plus importants et violents  que ceux  subis par LFI et son dirigeant.

    Un climat  qui nécessitait en effet  d’avoir le cuir épais et du caractère pour ne  pas courber l”échine devant l’adversaire!  Climat qui  n’est guère plus serein aujourd’hui  pour  l’opposition nationale  au fur et à mesure que ce Système qui vacille sur ses bases,  montre les crocs  et tente désespérément, par tous les moyens,  de freiner la vague populiste… Autant dire que Marine  parle vrai quand elle dénonce  l’acharnement judiciaire contre le RN,  un  “gouvernement des juges. ”  Bruno Gollnisch tiendra d’ailleurs lundi prochain une conférence  de presse dans les locaux du Parlement  européen  à Paris,  au cours de laquelle il apportera de nouvelles révélations  dans l’affaire dite des assistants parlementaires du FN.

    Jean-Luc Mélenchon  est  une victime collatérale, par  symétrie en quelques sorte,  des tentatives desBruxellois de mater un peuple français qui rue de plus en plus fortement dans les brancards. Le dirigeant de LFI,  ont rapporté avec une certaine  gourmandise des médias qui lui font un peu payer son mépris pour la caste journalistique,  serait  désormais contesté en interne. Comme de juste,  ce serait   sa violence populiste, telle qu’elle s’est manifestée notamment  par son comportement lors des perquisitions évoquées plus haut,  qui gênerait un nombre croissant de ses sympathisants.

    La parole a été  ainsi donnée  ces dernières heures   à Clémentine Langlois, une ex-candidate LFI qui a créé un petit Collectif des insoumis démocrates (sic, les autres ne le sont pas?) qui s’insurge contre  le centralisme/dirigisme  des décisions  au sein de ce parti. Mais aussi contre les mauvaises manières de M Mélenchon au moment ou il tente de rassembler autour de lui  des figures de l’aile gauche du PS qui viennent d’en claquer la porte, comme  la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann et le  député européen Emmanuel Maurel.   Les médias font aussi état d’un ras-le-bol de députés comme  Clémentine Autain ou François  Ruffin (qui se positionnerait pour l’après-Mélenchon) mais qui n’oseraient pas encore sortir  du bois. A dire vrai, on peut ne pas aimer M. Mélenchon  mais Mme Autain, MM. Coquerel, Ruffin,  Corbière n’ont pas  son épaisseur…

    A ce tableau des critiques qui pleuvent sur LFI s’ajoutent les accusations d’homophobie et de complotisme  proférées par certains macronistes  contre  le jeune  Juan Branco.  Ex candidat LFI  dans le 93  lors des dernières législatives, par ailleurs avocat de M.  Mélenchon  (et de Julian Assange), M. Branco s’est fait connaître par le combat qu’il a également mené, à l’instar  notamment de Marine le Pen et de  Bruno Gollnisch au parlement européen,   contre la loi Hadopi . Il lui est reproché depuis mardi d’avoir analysé la nomination au poste de secrétaire d’Etat auprès de Jean-Michel Blanquer du socialiste strauss-kahnien Gabriel Attal,  élu en 2017 député sous les couleurs de LREM,  sous l’angle d’une “promotion-canapé.” M Branco en veut pour preuve le fait  que M. Attal  est pacsé   avec Stéphane Séjourné,  conseiller politique d’Emmanuel Macron et du  secrétaire d’État/porte-Parole Benjamin Griveaux. ” Tout Paris le sait, dit-il sur twitter,  mais il paraît que ces choses là ne se disent pas. Il ne faudrait pas brusquer notre si chère endogamie”

    M. Branco analyse aussi sous l’angle de “l’entre soi, du  népotisme, de l’ endogamie”,  la nomination au poste de secrétaire d ‘Etat à la transition  écologique de la très controversée  ex (?) lobbyste Emmanuelle Wargon,  fille de feu Lionel Stoléru,  qui fut  député et secrétaire d’Etat   de VGE  et de François Mitterrand.  Loin des “fantasmagories complotistes”, explique-t-il,  la jeune garde macroniste  consisterait  en  “un petit cercle d’ami(e)s plutôt incompétents qui par sociabilités successives ont pris le pouvoir de l’Etat. “

    Ce constat sur  l’existence de réseaux dont les happy few se cooptent  et se font la courte échelle n ‘est ni nouveau, ni très original, quand bien même émane-t-il d’un militant comme Juan Branco, lui aussi issu du sérail. Idem pour son analyse de ” la couardise des journalistes qui, le sachant, mais craignant le procès d’intention alors qu’ils ont pour rôle d’exposer les puissants, ont renoncé à leur mission, jouant d’inventions pour masquer au lecteur la réalité de ce qui devant leurs yeux se jouait. ” “L’élection de Macron écrit-il encore,  ne doit qu’à ça: une complaisance terrible face à un individu qui avait utilisé tous les leviers invisibles de la petite société parisienne pour se hisser à sa tête et s’imposer au pays. Le viol démocratique qui s’en est suivi aurait pu être évité. “

    Une réalité bien perçue  également  par un très grand nombre de nos compatriotes,  de tous bords politiques. Pour le reste, chacun aura compris que la volonté du RN  de rendre au peuple ses droits et  ses libertés, de redonner à notre pays sa respiration démocratique  n’ a pas grand chose à voir avec les vœux qui sont ceux de l’extrême gauche communiste ou socialo-trotskyste. Mais nous ne nous sentons pas obligés de dire que M Mélenchon et ses amis ont tort quand ils disent qu’il fait jour à midi. 

    https://gollnisch.com/2018/10/19/nerfs-solides-cuir-epais-endogamie-et-viol-democratique/