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anti-national - Page 567

  • Invasion migratoire : Une vague de 1000 clandestins chaque mois à Nantes

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Lors du conseil municipal de Nantes vendredi dernier, une rallonge budgétaire de 4 millions d’euros a été votée. Celle-ci était dévolue à la « mise à l’abri » des 698 migrants illégaux du square Daviais dans des gymnases jusqu’au moins la fin du mois d’octobre.

    Lors de cette réunion, il a été révélé que 30 à 40 sans-papiers continuent d’arriver chaque jour à Nantes, soit un millier par mois. Nantes fait ainsi parti du top 3 des villes françaises terre d’accueil pour les clandestins, avec Calais et Paris.

    Aïcha Bassal, adjointe à la vie associative, l’égalité, la lutte contre les discriminations a parlé de « moment important humainement » de solidarité avec « des hommes et des femmes qui quittent leur pays en guerre ».

    https://fr.novopress.info/212310/invasion-migratoire-une-vague-de-1000-clandestins-chaque-mois-a-nantes/

  • Suppression des frontières : la grande arnaque

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    Depuis le début des années 80, il nous est chanté sur tous les tons, tant par la droite que par la gauche, que la suppression des frontières et des taxes douanières qui les accompagnent permet aux consommateurs de bénéficier de prix bas et de créer des emplois grâce à l’ouverture de nouveaux marchés que permet la concurrence libre et non faussée.

    La réalité que nous constatons aujourd’hui est très éloignée de ces promesses fallacieuses.

    La suppression des taxes douanières n’a pas profité aux consommateurs mais aux marchands mondialistes. Le coût de la main-d’œuvre asiatique leur a permis des marges énormes auxquelles ils ont pu ajouter le montant des droits de douane supprimés.

    Ces taxes, qui ne sont plus perçues par l’État, ont été compensées par une augmentation de la fiscalité nationale, aussi bien sur le dos des contribuables consommateurs que des entreprises, qui ont dû ajouter à la concurrence déloyale ces nouveaux impôts et charges les rendant encore moins compétitives. Dans ces conditions, les industriels français ont été laminés. Les nombreux dépôts de bilan ont conduit à la suppression massive d’emplois.

    La mise en place de taxes douanières par le président Trump permet de confirmer ce diagnostic. L’économie des États-Unis reprend de la vitalité avec la création massive d’emplois.

    Il ne faut pas être surpris que les marchands, grands bénéficiaires du marché sans frontières et sans impôts, organisent un lynchage de ce président qui remet en cause leurs belles et juteuses affaires. Il est vrai que, pour eux, la vie est belle : ils se sont appropriés les impôts et laissent aux États le soin de financer les investissements nécessaires à leur business, y compris la défense militaire dans les pays dont ils exploitent les ressources naturelles !

    En France, le Président donne l’impression qu’il est toujours « associé gérant d’une affaire de fusions-acquisitions d’entreprises » pour optimiser les bénéfices de l’industrie financière contre l’intérêt de la France et des Français.

    Il est urgent de mettre fin à cette grande arnaque !

    Serge Grass

    http://www.bvoltaire.fr/suppression-des-frontieres-la-grande-arnaque/

  • Un ministre de la culture favorable à la répression sur internet

    Un ministre de la culture favorable à la répression sur internet

    Franck Riester, nouveau ministre LGBT de la culture, est un forcené des lois Hadopi. Il avait notamment été, sous le quinquennat Sarkozy, rapporteur des projets de loi Hadopi, qui avaient abouti à la création d’une Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet, à l’origine d’une traque électronique des internautes se livrant au piratage d’œuvres. Le député Emmanuelle Ménard prévient donc :

    Emmanuelle Ménard
     
    @menard2017

    Un ministre de la favorable à la répression sur Internet (ex rapporteur loi hadopi) ? Pire que @FrancoiseNyssen, on pensait ça impossible... C'est sûr, la culture va rester entre de bonnes mains.

    Il avait oublié de se censurer :

  • Viol collectif en Suède : les médias le taisent, Facebook censure

    Une jeune fille a été violée par six étrangers dans un appartement à Malmberget, près de Gällivare, dans l’extrême nord de la Suède.

    Voyant qu’aucun média n’en avait parlé, une amie de la mère de la victime, choquée et indignée, a signalé le fait sur Facebook.

    Son message a rapidement attiré l’attention… et a été vite censuré par Facebook – probablement par le biais de la hotline mise en place à l’initiative des sociaux-démocrates pour étouffer les informations sur la criminalité des migrants.

    Face à l’émotion suscitée par le message posté sur Facebook, la police a cependant été contrainte de confirmer sur son site web qu’un « viol grave » s’était produit dans la « région de Gällivare ».

    Comme 65 des 127 habitants de la rue où s’est produit le crime portent des noms « évidemment étrangers », beaucoup de politiciens locaux estiment que ce viol a pour cause l’échec des Suédois à intégrer les étrangers.

    Source : Fjällsjö Nyheter (10.10.2018) via Voice of Europe

    https://lesobservateurs.ch/2018/10/15/viol-collectif-en-suede-les-medias-le-taisent-facebook-censure/

  • La macrocrature traque la liberté d’expression, par Ivan Rioufol

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    La macrocrature, ce monde clos érigé autour du chef de l’Etat, vient de faire un pas supplémentaire dans la mise sous surveillance des opinions non officielles. Dans la nuit de mardi à mercredi, les députés ont voté en nouvelle lecture les deux propositions de lois destinées à lutter contre “la manipulation de l’information” en période électorale. Il est également prévu d’instituer un “conseil de déontologie de la presse”, qui serait confié à l’ex-président de l’AFP, Emmanuel Hoog. C’est la ministre de la Culture, Françoise Nyssen, qui est montée mardi à la tribune de l’Assemblée, comme on monte à l’échafaud, pour défendre ces textes potentiellement liberticides : une besogne dont il n’est pas certain qu’elle lui sauve la tête lors du remaniement gouvernemental, suspendu au bon plaisir d’Emmanuel Macron, plus despote que jamais. En mai, Françoise Nyssen avait déjà mobilisé l’audiovisuel public à des fins de propagande d’Etat. Elle lui avait donné comme mission de “devenir un miroir de nos différences”, en jugeant “les mâles blancs” trop nombreux à l’antenne.

    Taxant certains Français de “hautement réactionnaires”, l’ancienne éditrice avait également annoncé que les chaînes et radios auraient à “changer les mentalités sur le terrain”. Cette mentalité de garde-chiourme est une constante en Macronie : à peine élus, les député LaREM avaient, le 24 juillet 2017, complété l’article 1 de la loi sur la moralisation de la vie politique en y ajoutant un amendement “anti-raciste” inspiré de la Licra et destiné à accentuer l’arsenal répressif des délits d’opinion. Cette disposition avait été supprimée par le Conseil constitutionnel qui y avait vu une “atteinte disproportionnée à la liberté d’expression”.

    La liberté d’expression fait peur à la macrocrature, comme à tous ceux que la vérité effraie. En janvier dernier, Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement, avait dit vouloir soutenir “une information propre”, aseptisée en somme. Cette traque aux “fake-news”, qui conduirait le juge à décréter ce qui est vrai et ce qui est faux, n’est autre qu’une volonté d’instaurer une indéfendable vérité officielle. Le Sénat, qui s’est opposé en première lecture à ces textes dangereux, n’a aucune raison de changer d’avis. D’autant que le chef de l’Etat, qui abuse lui-même d’une communication mobilisée sur sa propre personne, ne donne pas l’exemple d’une tempérance dans l’interprétation de sa politique sublimée.

    La vérité qui se dessine est celle d’un pouvoir autocratique, renfermé sur lui-même, qui cherche à étouffer la parole d’une société de plus en plus furieuse. Le trop libre et impertinent Internet sera la prochaine cible de ce pouvoir aux abois, qui donne des leçons de démocratie aux pays de l’Est sans vouloir s’attarder sur ses propres turpitudes. Faut-il ici rappeler l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 ? : “La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement”. Sous la macrocrature, ces principes élémentaires ne vont plus de soi. Il serait temps que les Français s’en inquiètent.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 10 octobre 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/212283/la-macrocrature-traque-la-liberte-dexpression-par-ivan-rioufol/

  • Etat de droit : quand la Macronie perquisitionne les deux principaux partis d’opposition

    Etat de droit : quand la Macronie perquisitionne les deux principaux partis d’opposition

    Marine Le Pen
     
    @MLP_officiel

    C’est le but exclusif de ces « enquêtes ». Les droits politiques de l’opposition sont lourdement bafoués. La démocratie se meurt ! MLP

    Marine Le Pen
     
    @MLP_officiel

    Avec cette pseudo affaire des assistants parlementaires, le pouvoir est donc en possession de tous les contenus, notes, contacts, etc., de tous les téléphones et ordinateurs, sur plusieurs années, des deux partis d’opposition à Emmanuel #Macron, le RN et LFI. MLP

    https://www.lesalonbeige.fr/etat-de-droit-quand-la-macronie-perquisitionne-les-deux-principaux-partis-dopposition/

  • Clandestins à Ouistreham : une situation bientôt apocalyptique ?

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    Ouistreham dans le Calvados, charmante cité balnéaire de Normandie, subit depuis 2016 une véritable invasion migratoire. La ligne de ferry qui relie Ouistreham à Portsmouth est régulièrement la cible des clandestins bien décidés à passer au Royaume Uni. Face à cette situation dramatique, les habitants se sont regroupés dans un mouvement de résistance avec l’association pour le Retour au Pays des Expatriés  (ARPE).

    Vous avez fondé à Ouistreham l’ARPE, Association pour le Retour au Pays des Expatriés. Pourquoi avoir choisi ce nom ?

    ARPE : Nous avons choisi ce nom, parce qu’on nous reproche souvent d’être « contre les migrants », alors que ce que nous demandons, c’est au final une solution très simple et de bon sens : le rapatriement des expatriés.

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  • La paupérisation... par l'impôt

    L’humoriste Alphonse Allais disait : « Il faut prendre l’argent là où il se trouve : chez les pauvres. D’accord, ils n’en ont pas beaucoup, mais ils sont si nombreux ! »

    Cette maxime est aujourd'hui largement appliquée par les gouvernements successifs qui se sont juste permis d'y adjoindre la classe moyenne. Celle-ci ayant eu tendance à s'accroître et engraisser avec les Trente Glorieuses, elle est en effet devenue la cible privilégiée de la nouvelle fiscalité. D'où le phénomène actuel constaté d'une paupérisation par l'impôt de cette classe moyenne, fragilisée de s'être trop enrichie pour échapper à l'impôt mais pas suffisamment riche pour justement pouvoir y échapper par la niche fiscale ou l'expatriation. Rappelons que si seulement 43 % des 38 millions de foyers fiscaux paient l'impôt sur le revenu, c'est aussi parce que sur les 22 millions qui en sont exemptés, sans doute un tiers l'est grâce aux divers mécanismes d'optimisation fiscale dont beaucoup sont réservés aux revenus les plus importants. Tout le monde n'a pas les moyens de se créer du déficit...

    Quoi qu'il en soit, cette spoliation fiscale de la classe moyenne prend sous Macron de nouvelles formes. D'abord, l'attaque contre l'immobilier. Ensuite, les efforts demandés aux retraités et futurs retraités. Enfin, le prélèvement à la source qui livre les petits contribuables pieds et poings liés à l'Etat.

    Concernant l'immobilier, Emmanuel Macron affirme vouloir favoriser l'investissement et sanctionner fiscalement la rente, improductive selon lui. Il amalgame donc rente et immobilier, d'une part, investissement et capital financier, d'autre part. Autrement dit, la relance macronienne passe par un allégement de la fiscalité financière compensé par un alourdissement de la fiscalité immobilière. Or, l'immobilier constitue souvent l'essentiel du patrimoine des Français moyens alors que les capitaux restent entre les mains d'un petit groupe au caractère oligarchique et au profil plus international. D'où le matraquage fiscal de la classe moyenne auquel on assiste aujourd'hui, coincée en France avec son immobilier, pendant que l'élite financière est préservée, au motif qu'elle est censée investir et que, surtout, elle peut à tout moment s'exiler si la pression fiscale s'accentue.

    La tranche la plus fragile de la classe moyenne-supérieure

    Dans les faits, on voit donc la fiscalité des plus hauts revenus financiers descendre de 60 % à 30 % avec le prélèvement forfaitaire unique, pendant que la fiscalité immobilière augmente, notamment avec le passage des prélèvements sociaux de 15,5 à 17,2 % qui touche avant tout les ménages les plus modestes. Ainsi, un couple de retraités non imposable et qui arrondit ses fins de mois avec la location d'un petit studio loué 300 € voit son imposition passer de 46,5 € à 51,6 €, ce qui peut paraître faible mais représente plus de 10 % d'augmentation...

    Avec l’IFI, Macron s'attaque cette fois-ci à ce que l'on peut appeler le ventre mou des patrimoines aisés ou, plus exactement, la tranche la plus fragile de la classe « moyenne-supérieure », celle dont le patrimoine repose avant tout sur un immobilier peu rentable et surtout peu mobile. Les hautes fortunes sont pour leur part ravies de ne plus acquitter d'ISF sur leurs biens financiers et peu leur chaut de payer encore un solde d’IFI sur leur résidence principale, secondaire, voire tertiaire qui, mises bout à bout représentent une part infime de leur patrimoine.

    La classe « moyenne-supérieure » voit donc son patrimoine s'étioler sous les coups de boutoir de l'IFI et des taxes foncières et finira sans doute par vendre des immeubles parfois de famille qui partiront alors dans l'escarcelle d'on ne sait qui ou d'on ne sait quoi, situé on ne sait où.

    Finies les remises gracieuses

    Quant aux retraités, tous, dès environ 22 000 € de revenus annuels pour un couple, subissent depuis le 1er janvier la fameuse hausse de CSG de 6,6 à 8,3 %. Or, il est évident que cette augmentation est plus durement ressentie par les petits dont le superflu est faible.

    Et si les petits salariés ont pu compenser la hausse de la CSG par une baisse des cotisations sociales, celle-ci est bien partie pour n'être que temporaire comme l'annonce l'augmentation des cotisations AGIRC-ARRCO au 1er janvier prochain, à l'occasion de la fusion des deux caisses. Les retraités de demain, à la différence des retraités actuels, continuent donc d'avoir des cotisations qui augmentent pour des prestations à venir qui ne cessent de baisser... Ce souci n'est pas celui des dirigeants qui bénéficient en général de retraites maison ou constituées lors de leur parcours à l'étranger et qui garantissent en principe le remplacement de tout ou partie de leur rémunération actuelle.

    Enfin, le prélèvement à la source n'arrangera pas l'affaire de ces petits contribuables pour qui l'impôt représente la charge de trop. Car comment déposer une remise gracieuse lorsque l'impôt a déjà été prélevé ? Les 200 000 démarches initiées annuellement en matière d'impôt sur le revenu risquent de s'estomper dans les années à venir, au grand soulagement de Bercy.

    Manuel Calambra monde&vie  27 septembre 2018