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anti-national - Page 575

  • Le soutien à l’Aquarius parasité par les identitaires, par Francis Bergeron

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    Samedi étaient prévues des manifestations dans une trentaine de villes françaises en soutien à l’Aquarius. Les Identitaires, en occupant la veille le siège de SOS Méditerranée, l’association qui affrète ce bateau, ont totalement brouillé le message des immigrationnistes.

    Génération Identitaire est un mouvement formidablement organisé, à l’efficacité redoutable. Rien n’avait filtré de leur « mobilisation citoyenne pour la défense des Français », consistant à occuper symboliquement le siège de l’organisation SOS Méditerranée, qui affrète l’Aquarius. Comme l’a révélé l’avocat Goldnadel, par le biais d’associations écrans, SOS Méditerranée est financé par Open society, une association du milliardaire Soros, spéculateur, lobbyiste, et surtout immigrationniste.

    Un fort groupe militant identitaire s’est donc rendu dans les locaux de l’association, qu’il a occupés symboliquement, avant d’être délogé par la police. Les Identitaires avaient néanmoins eu le temps de déployer une banderole dénonçant « SOS Méditerranée complice du trafic d’êtres humains ».

    Malgré le caractère pacifique de cette manifestation, les mises en examen de 22 des manifestants ont été opérées sous des motifs traduisant un grand effort d’imagination : « violences en réunion », « séquestration », « participation à un groupement en vue de commettre des violences », « enregistrement et diffusion d’images violentes ». Néanmoins, aucun membre de SOS Méditerranée n’a pu obtenir un seul jour d’arrêt de travail, ce qui prouve l’absence de toute violence. Après 48 heures de garde à vue, les jeunes Identitaires ont d’ailleurs été libérés, mais avec interdiction de présence à Marseille.

    Dans un pays qui ressemble de plus en plus à l’Europe de l’Est à la veille de la chute du mur de Berlin, on reste enthousiasmé par l’intelligence de l’opération et le courage tranquille des militants.

    « Mélenchon en totale détresse »

    Seul Mélenchon a perdu son sang-froid, décidant de partir à l’assaut pour libérer les employés de SOS Méditerranée (alors que les locaux étaient déjà évacués). Stéphane Ravier a envoyé sur son compte twitter un message à l’Aquarius pour qu’il aille « récupérer Mélenchon car il semble en totale détresse ». Le sénateur de Marseille notait encore que « Mélenchon accourt au siège de SOS Méditerranée mais n’a pas trouvé le temps de venir honorer la mémoire de Laura et Mauranne, victimes du terrorisme islamiste ». Cette préférence antinationale laissera des traces durables à Marseille.

    Samedi, alors que les Français étaient censés se mobiliser en masse, en particulier à Marseille, pour soutenir l’Aquarius, on ne parlait, sur la Canebière, que de l’opération des Identitaires. Ces manifestations immigrationnistes ont d’ailleurs été des échecs : 3 500 personnes seulement à Marseille, malgré la gauche unie (pour une fois), et les dizaines d’associations participantes, 150 personnes à Lyon, moins de 200 à Caen, Lille, Bordeaux etc. La gauche et l’extrême gauche unies pour une « open migration » financée par un milliardaire apatride, cela donne certes des moyens, mais ce n’est plus suffisant pour faire descendre massivement les Français dans la rue.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/212222/le-soutien-a-laquarius-parasite-par-les-identitaires-par-francis-bergeron/

  • Les “fausses nouvelles”, ce sont “eux” !

    mensonge-bis-300x226.jpgOlivier Bost l’écrivait hier soir sur le site de RTL, il n’est pas certain que « la macronie (fasse) encore rêver »  !  « Alors que le remaniement se fait de plus en plus attendre, l’hypothèse selon laquelle la liste des membres du gouvernement ne serait pas encore complète, prend de plus en plus d’ampleur. Selon nos informations, Emmanuel Macron et Édouard Philippe auraient fait face à au moins cinq refus d’entrée au gouvernement, notamment pour le ministère de l’Intérieur et celui de la Culture. » Remaniement ou pas, le ministre de la Culture Françoise Nyssen,  pressentie comme étant sur le départ, défendait hier soir devant l’Assemblée nationale sa croquignolesque, inquiétante  et aberrante loi contre la manipulation de l’information, dite anti fake news en novlangue macrono-mondialiste. Si une dernière navette au Sénat est obligatoire avant le vote final, la loi a été adoptée malgré l’opposition de tous les groupes non macronistes. Rappelons qu’il s’agit  là aussi d’une  transposition d’une offensive  législative de verrouillage de l’opinion  menée  plus largement par les bruxellois au sein de l’UE.   En mars dernier,  Mme Nyssen  avait précisé lors des Assises du journalisme   à Tours  son programme de lutte contre les fausses nouvelles, qui avait été relaté par  le site Ojim.  « Notre démocratie est menacée par les fake news, qui alimentent la défiance », disait-elle,  « bobards qui ont toujours existé » mais dont la vitesse de diffusion et l’audience sont accrues par les outils numériques. 

    La future loi était-il rapporté par l’Ojim,   comporterait deux volets. « Un volet concernant les médias étrangers en période électorale »,  « un article écrit sur mesure contre Russia Today (RT) et Sputnik(…).  Le CSA pourrait suspendre ces médias temporairement, voire leur interdire d’émettre par tous moyens administratifs. Le deuxième volet concerne la diffusion de fausses nouvelles sur les réseaux sociaux, avec un mot clé la responsabilisation des acteurs du numérique (les GAFA). Primo, ceux ci auront un devoir de coopération avec l’État. Sous peine de sanctions (probablement). Secundo, en période électorale les contenus sponsorisés devront faire preuve de transparence : origine de l’information, identité du financeur, montant du financement. Tertio, toujours en période électorale, un juge des référés pourra en 48 heures bloquer une fausse nouvelle, voire faire supprimer un compte.»

    Devant les doutes et les objections des journalistes présents sur l’objectif poursuivi de  contrôle de l’informationFrançoise Nyssen avait « rétorqué que pour qu’une information soit censurée, elle devrait obéir à trois conditions : être manifestement fausse, être diffusée massivement, être diffusée artificiellement. La campagne contre François Fillon lors de l’élection présidentielle de 2017 ne tomberait pas, par exemple, sous le coup de la loi…» Last but not least, le dressage devant se faire dés le plus jeune âge, le ministre avait évoqué un « programme éducatif à déployer massivement » avec le doublement du « budget destiné à l’éducation des médias qui passera de 3 millions d’euros annuels à 6 millions », le recrutement de  « 400 jeunes du service public pour porter la bonne parole dans les écoles, des sortes de janissaires du Bien… »

    Hier soir,  Mme Nyssen n’a pas dévié de sa feuille de route a constaté l’Afp.  Au rayon des nouveautés, elle a cependant fait part du  « lancement d’une mission en vue de la création d’un conseil de déontologie de la presse », confié à l’ex-PDG de l’Afp, le macroniste  Emmanuel Hoog, - répondant ainsi  favorablement  à un vœu formulé par Jean-Luc Mélenchon–  «guidée par une conviction profonde: le premier rempart contre la désinformation et la manipulation de l’information reste les médias et les journalistes.»

    Pour le reste et sans surprise, le discours habituel a été débité: « Face la multiplication des tentatives de manipulation, il est urgent d’agir.» « Tous les garde-fous ont été instaurés et ce projet ne restreint en rien la liberté d’expression. L’intervention du juge sera encadrée. Pour qu’elle soit justifiée, l’information devra être manifestement fausse et diffusée de manière délibérée, massive et artificielle» «Les députés de gauche, l’UDI-Agi et Les Républicains ont dénoncé un texte inutile »  et relevé comme l’a fait Bruno Gollnisch que  « les fausses informations (sont)  déjà réprimées par la loi sur la presse de 1881.» « Ils ont également pointé une définition non-aboutie d’une fausse information, la difficulté pour un juge de trancher dans l’urgence sur des situations complexes et dénoncé le pouvoir de censure exorbitant accordé au Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA). »

    Mme Nyssen a rappelé  également le souhait du gouvernement  de donner autorité au CSA d’ « ordonner la suspension de la diffusion d’un service contrôlé par un Etat étranger ou sous l’influence de cet Etat s’il diffuse de façon délibérée de fausses informations de nature à altérer la sincérité du scrutin»

    Observons que Mme Nyssen n’a pas fait état ici,  oubli qui ne trompe personne, de  l’influence autrement plus prépondérante que les deux médias russes cités plus haut,  des quelques  milliardaires qui possèdent la quasi totalité des médias français et qui,  eux,  ont bien évidemment pesé  sur l’opinion, notamment lors de la dernière  campagne présidentielle.  Il semblerait  aussi que  l’influence de Washington sur nos campagnes électorales soit très largement  plus prégnante  sur  la désignation des personnalités à la tête de l’Etat que celle du  machiavélique  tsar Poutine qui,  depuis Moscou, voudrait déstabiliser notre démocratie française si exemplaire. Après tout,  Emmanuel Macron et Edouard Philippe (comme François Hollande, Laurent Wauquiez, Alain Juppé…)  sont l’un et l’autre des Young Leader de la French American Foundation Mais on va encore nous accuser de complotisme qui, comme chacun  le sait,  est une abomination intellectuelle qui nourrit la défiance vis-à-vis  des vérités officielles et obligatoires . Il faut, on doit  penser printemps! 

    Le blogue les crises rapportait également cette pénétration de l‘influence d’Etats étrangers  à l’Assemblée. Un article relatait la visite à Prague en décembre dernier, pour animer un séminaire de l’IRI(International Republican Institute), de Gabriel Attal (député, porte parole de LREM), de sa collègue  Aurore Bergé,  ancienne responsable numérique de la campagne d’Alain Juppé, membre de la commission des Affaires culturelles et de l’Éducation,vice-présidente du groupe d’amitié France-Israël. Ils étaient accompagnés par  Nicolas Tenzer ,  haut-fonctionnaire  très hostile à la Russie de Poutine et au courant national.  Or, « l’IRI est le bras armé du Parti Républicain américain pour interférer dans la vie politique des pays étrangers – pardon, pour Promouvoir la Liberté et la Démocratie dans le monde entier. Présidé durant 25 ans par John McCain, qui n’a passé la main que moins d’un mois avant son décès, cet Institut a été impliqué dans de nombreuses interventions à l’étranger (la plus souvent citée étant son rôle éventuel dans le coup d’État à Haïti en 2004). »

    Bref, comme  Bruno Gollnisch a eu l’occasion de le dire (voir ici ,  ici  ou encore ici)   comme nous l’écrivions  sur ce blogue en mars dernier, ce sont tous les médias sérieux mais  rétifs à la  catéchèse de ce Système antinational qui sont dans le collimateur. Une volonté gouvernementale de coercition qui  va s’accroître au fur et à mesure que les Français  rejoignent sans cesse plus nombreux le front du refus au mondialisme. Ce personnel politique qui se dresse ici sur ses ergots en invoquant nos intérêts nationaux fondamentaux est celui qui, par pusillanimité ou adhésion consciente au Parti de l’étranger, brade notre souveraineté nationale, ouvre nos frontières à tous les mauvais vents, organise l’immigration de peuplement… et qui parle au nom de la France au sein de notre démocratie confisquée.

    https://gollnisch.com/2018/10/10/les-fausses-nouvelles-ce-sont-eux/

  • Suppression des repas de substitution à Beaucaire : victoire pour le maire RN

    Suppression des repas de substitution à Beaucaire : victoire pour le maire RN

    Le Salon beige va-t-il être accusé de diffuser une fake news sur ce sujet ? Lorsqu’on lit les titres des médias rapportant la décision de justice, on peut effectivement douter du titre choisi ici :

    Suppression des repas de substitution à la cantine : la décision du maire de Beaucaire annulée (Midi Libre)

    Menus sans porc à la cantine : le maire RN de Beaucaire maintient leur suppression malgré la justice (Le Parisien)

    Menus sans porc à la cantine : le maire RN de Beaucaire perd en justice, mais maintient la suppression (France 3)

    La décision du tribunal administratif est la suivante :

    “Le tribunal administratif « a constaté que si le conseil municipal avait, par délibération du 19 avril 2014, donné délégation au maire pour exercer un certain nombre de compétences […] cette délégation ne portait pas sur l’organisation du service public de la restauration scolaire et périscolaire ». Le tribunal administratif en a ainsi déduit que « le maire de Beaucaire n’était pas compétent pour prendre la décision attaquée ».”

    Voici les explications du maire RN de Beaucaire, Julien Sanchez, justifiant la maintien légal de cette décision :

    Le tribunal administratif indique que c’est bien le conseil municipal qui devait seul se prononcer sur ce sujet. Il déboute les parties civiles de leurs cupides demandes de remboursements de frais de justice. La délibération du conseil municipal ayant été prise en juin 2018 postérieurement à la décision du maire et n’ayant pas été attaquée dans un délai de deux mois, les repas de substitution sont bel et bien définitivement supprimés à Beaucaire. Ils ne seront en aucun cas remis en place, d’autant que des raisons matérielles empêchaient d’en mettre en place dans de bonnes conditions. Ce choix est conforme à la circulaire du Premier ministre en date du 13 avril 2007, à la circulaire du ministre de l’Intérieur en date du 16 août 2011 et à la réponse ministérielle du ministre de l’Education Nationale en date du 23 janvier 2018.”

    https://www.lesalonbeige.fr/suppression-des-repas-de-substitution-a-beaucaire-victoire-pour-le-maire-rn/

  • Facebook préférerait-il que Causeur ne parle pas de Zemmour?

    Ces derniers jours, Facebook a refusé à Causeur deux contenus « sponsorisés » sans la moindre explication. Les publications concernées parlaient de Zemmour et de l’islamisme.

    Quand Causeur veut partager ce qu’il a de meilleur, il fait comme tout le monde : la promo de ses articles sur Facebook. Ses « followers » sont alors informés qu’un nouveau texte vient d’être publié et sont libres de le « liker », de le partager ou mieux, de le consulter.

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  • Génération Identitaire met une nouvelle fois SOS Méditerranée face à ses contradictions – Jérôme Barbet (Les Identitaires)

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    Vendredi 5 octobre, Génération Identitaire a occupé les locaux de l’association « SOS Méditerranée » à Marseille. En dénonçant la complicité de cette association avec les mafias de passeurs, les jeunes identitaires ont une nouvelle fois mis en lumière les contradictions de cette ONG. Alors qu’elle se revendique « humanitaire », elle est en réalité motivée par l’idéologie.

    Une idéologie qui l’aveugle au point qu’elle refuse de concéder que les seules politiques ayant permis de diminuer le nombre de décès en mer (en ramenant parfois son chiffre à zéro comme en Australie) ont été des politiques de fermeté. En Italie, les mesures prises par Matteo Salvini ont permis de diminuer le nombre de morts en mer de moitié en seulement quelques mois.

    Cette baisse a une explication très simple : les départs ont également diminué de moitié. Comme les identitaires le dénonçaient pendant l’opération Defend Europe en Méditerranée, l’action des ONG avait bien un effet de « pompe aspirante ». En s’approchant toujours plus des côtes libyennes, elles encourageaient de plus de plus d’Africains à tenter la traversée en prenant sans cesse plus de risques. Le nombre de morts ne faisait donc qu’augmenter. Aujourd’hui qu’elle n’y sont presque plus actives, le mot est passé chez les migrants et ils sont moins nombreux à vouloir prendre la mer.

    Par ailleurs, ces ONG n’aident pas l’Afrique car aider ce continent, ce n’est certainement pas encourager sa jeunesse à émigrer. Pour monter à bord de l’Aquarius, il faut auparavant avoir déboursé environ 3 000 euros auprès des passeurs (Renaud Girard, grand reporter au service étranger du Figaro, le 23/06/2018). Ceux qui quittent l’Afrique ne sont donc pas les pauvres, mais la classe moyenne ou aisée. Celle qui, au lieu d’investir ces sommes d’argent importantes dans l’économie locale, préfère essayer d’envoyer un des leurs en Europe vers un Eldorado qui n’existe pas.

    Ces ONG refusent de voir la vérité en face. En réalité, elles se rendent complices des mafias de passeurs qui réalisent des chiffres d’affaires de plusieurs milliards d’euros et qui financent parfois le terrorisme. Par l’effet attractif de leur présence au large de la Libye, elles sont responsables des milliers de migrants qui sont morts en mer pour avoir tenté de les rejoindre.

    L’action de ce vendredi avait pour but de rappeler encore une fois que les intentions mises en avant par SOS Méditerranée ne correspondent pas aux effets catastrophiques de leur action. Au vu de ces faits accablants, la France ne doit en aucun cas accorder un pavillon à l’Aquarius (navire de SOS Méditerranée), elle doit au contraire le saisir !

    Jérôme Barbet

    Texte repris du site deLes Identitaires

    https://fr.novopress.info/212208/generation-identitaire-met-une-nouvelle-fois-sos-mediterranee-face-a-ses-contradictions-jerome-barbet-les-identitaires/

  • On a toujours raison à un moment ou a un autre... mais le mieux, c'est d'avoir raison au bon moment.

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    Giscard confie ses regrets au sujet du regroupement familial... Il est temps !

    Lu dur f.desouche.com cliquez ici :

    Comme rarement, l’ex-chef de l’État s’est livré au biographe Éric Roussel. Ses blessures, ses doutes, ses idéaux… Extraits en avant-première du livre.

    « Son grand regret, le regroupement familial, décidé par un simple décret de Jacques Chirac en 1976. (…) L’idée de faire venir les familles des immigrés paraissait, à l’époque, naturelle. Avec l’augmentation massive de l’immigration en provenance de pays musulmans, elle divise profondément. Raymond Barre, d’ailleurs, le suspendit pour trois ans, avant que le Conseil d’État annule cette décision au motif que le regroupement familial faisait désormais partie de principes généraux du droit. »

    Avec le recul, Valéry Giscard d’Estaing regrette cette initiative : « L’idée en soi était juste et généreuse (…) Mais elle a été mal appliquée, et j’ai eu le tort de ne pas plus surveiller l’application ; j’en ai donc la responsabilité (…) Nous visions le noyau familial tel que nous le connaissons et nous avons vu arriver des noyaux familiaux totalement différents. »

    Dans son essai, Le sens de la République, l’historien Patrick Weil a aussi révélé que le président avait eu le projet de dénoncer les Accords d’Evian pour pouvoir rapatrier quelque 500.000 Algériens en cinq ans.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/10/09/on-a-toujours-raison-a-un-moment-ou-a-un-autre-l-essentiel-e-6095569.html

  • Migrants clandestins expulsés de leur squat : des associations portent plainte

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    Compliquée, la vie de migrants clandestins. Cela se passe à Dijon, en Côte-d’Or. Ils pensaient, une fois parvenus à destination, prendre définitivement possession de logements gratis généreusement mis à leur disposition et les voilà, en définitive, contraints de poursuivre leur itinérance, odieusement expulsés d’un bâtiment à l’autre. Bâtiments dans lesquels, grâce à l’héroïque altruisme d’associations, ils s’introduisent en toute illégalité. Ces clandestins ont été expulsés fin août de leur avant-dernière demeure, mais cela n’empêche nullement quarante associations (rien que ça !) de porter plainte aujourd’hui contre le procureur de la République qui a ordonné cette expulsion.

    Récapitulons. Ils sont 80, pour l’essentiel des Tchadiens, des Soudanais et des Maliens, dont on ne sait quand et par quels biais ils ont rejoint la France. Expulsés le 11 juillet d’un hôtel désaffecté de la rue des Ateliers de la capitale bourguignonne, au bout d’un mois à camper ici et là, les associations se sont emparées de seize appartements d’un bâtiment affecté au ministère des Armées, avenue de Stalingrad, d’où, le 28 août, ils en seront à nouveau expulsés. Et illico recasés dans un centre culturel de la ville.

    Au moins ont-ils un toit au-dessus de la tête, compatissez-vous. Détrompez-vous. En dépit, en plus, des « dons de matériel et de nourriture […], ils déplorent leurs conditions de vie » : « Plein de trucs leur manquent »« manger avec 80 personnes, c’est vraiment très dur », disent-ils, visages cachés, au micro de France 3 régions. Ne connaissent pas la cantine. Récriminations si ridicules dans la bouche de ceux qui ont vécu l’enfer (il paraît) qu’on se demande si elles ne leur sont pas soufflées par leurs protecteurs. Et ils souffrent, aussi, du froid ! Comme ces onze millions de Français, selon la fondation Abbé-Pierre, qui déclaraient, en 2018, se priver de chauffage pour éviter de se ruiner et, donc, se gèlent tout l’hiver ?

    « Les migrants ne sont pas des sous-hommes, ils ont droit à ce que leurs droits soient respectés dans une procédure comme tout un chacun », dit un monsieur bien comme il faut sur un ton d’instituteur. Des sous-hommes : tout de suite les grands mots ! Des migrants, qui auront peut-être la chance de faire partie des 86 % de demandeurs d’asile pour qui l’État, dans son plan Immigration, Asile et Intégration », va ouvrir, d’ici 2020, 97.000 places supplémentaires pour la modique somme de 1,58 milliard d’euros, et ce, pour la seule année 2019. 200 millions de plus qu’en 2018 : on sait où passe (entre autres) le rabotage des retraites…

    Bref, la kyrielle d’associations a donc décidé de contester l’expulsion de Stalingrad, pour cause de « procédure judiciaire non respectée » et… « violation de domicile » !

    Dans une société qui marche sur la tête, idée aussi loufoque peut-elle encore surprendre ? Non, évidemment. La preuve par Montpellier : en août dernier, un squatteur occupant le domicile d’un propriétaire montpelliérain, lequel avait réussi à changer sa serrure afin d’éviter à l’indélicat de s’y réintroduire, a bel et bien vu sa plainte pour violation de domicile enregistrée par la police !

    En tout cas, ce n’est pas la poursuite par les autorités concernant l’occupation du bâtiment du ministère des Armées pour « dégradations en réunion et introduction frauduleuse » qui va empêcher de dormir sur leurs deux oreilles et dans leur lit les activistes de ces dizaines d’associations, probablement subventionnées.

    Caroline Artus

    http://www.bvoltaire.fr/migrants-clandestins-expulses-de-leur-squat-des-associations-portent-plainte/

  • Yves Mamou : “Il existe bel et bien une préférence des élites françaises pour l’islam”

    Yves Mamou : “Il existe bel et bien une préférence des élites françaises pour l’islam”

    index.jpgYves Mamou, ancien journaliste du Monde et ancien collaborateur au Canard Enchaîné, à Libération et à La Tribune, vient de publier un ouvrage sur l’islamisme en France. Il répond au Figarovox :

    Selon vous, l’immigration et l’islamisation auraient pour conséquence d’empêcher les Français de «faire nation»? Quel lien faites-vous entre la supposée émergence perturbatrice de l’islam et la supposée désagrégation de la nation française?

    Le Grand Abandon est une tentative de reconstitution. J’ai essayé de savoir pourquoi et comment, à côté de la nation française, une nation islamique avait pu progressivement se constituer. Les déclarations fracassantes de Gérard Collomb, ex-ministre de l’Intérieur, au matin de sa passation de pouvoir à Edouard Philippe, Premier ministre, montrent que la juxtaposition de ces deux nations aujourd’hui en France engendre un risque d’affrontement. Nous sommes aujourd’hui «côte à côte» (sous-entendu musulmans et non-musulmans) a dit Gérard Collomb, mais rien ne garantit que demain nous ne serons pas «face à face». Cet avis de guerre civile en bonne et due forme a été proféré par l’homme qui, pendant un an et demi, Place Beauvau, a eu sous les yeux, au quotidien, tous les rapports de police et de gendarmerie.

    Gérard Collomb est partie prenante de l’élite politique française. Il abandonne son poste en informant que la guerre civile est à nos portes. Une fuite qui à elle seule justifie mon titre «Le Grand Abandon». L’avertissement aurait eu plus de force s’il avait été proféré par un ministre en exercice (…)

    En France, la nation islamique a été fabriquée de toutes pièces. Elle est le résultat d’une politique. Les élites françaises, c’est-à-dire les grands corps de l’État, les partis politiques, les experts, les magistrats, les médias, les élites culturelles… ont, pour de multiples raisons, plusieurs décennies durant – et encore aujourd’hui – encouragé et légitimé l’immigration musulmane.

    Cette préférence des élites pour l’islam a produit un fossé abyssal entre la France d’en haut et la France d’en bas (…)

    Peut-être, mais est-ce suffisant pour affirmer comme vous le faites que l’islamisme et l’immigrationnisme ont été voulus, théorisés, écrits et préparés à l’avance?

    L’immigration a été voulue et organisée, mais l’islamisation de cette immigration n’était sans doute pas inscrite au menu (…)

    La constance avec laquelle le Conseil d’État a aidé à la constitution d’une nation islamique en France est sidérante. Je liste dans mon livre tous les arrêts du Conseil d’État favorables à l’immigration musulmane, favorables au voile, favorables au burkini, favorables à la burqa, favorables aux familles polygames et j’en passe. Idem pour le Conseil constitutionnel qui trouve conforme à l’intérêt général de laisser les écoles salafistes proliférer ou de supprimer, au nom de la «solidarité», les peines qui frappaient autrefois les délinquants qui facilitaient l’immigration clandestine (…)

    Tout ce que j’avance dans mon livre est sourcé. Le Grand Abandon est riche de plus de 700 notes et références. L’ordonnancement et la mise en relation de ces faits étayés et vérifiés entre eux mettent en lumière une évidence: il existe bel et bien une préférence des élites françaises pour l’islam (…)

    «L’antiracisme politique qui sévit aujourd’hui n’a jamais eu pour but de combattre le racisme.» Que voulez-vous dire?

    Je n’ai pas remarqué de mobilisation des organisations antiracistes contre le rappeur Nick Conrad qui a chanté le meurtre des Blancs et des enfants blancs dans les crèches. Ni contre les Indigènes de la République ou le syndicat SUD Éducation qui ont organisé des séminaires «racisés» fermés aux «Blancs», ni contre Médine qui rêve de crucifier les laïcards au Golgotha, ni contre Mmes Ernotte (France Télévisions) et Nyssen (ministère de la culture) qui souhaitaient voir moins de «Blancs» à la télévision.

    En revanche, quand Éric Zemmour a affirmé que les immigrés étaient surreprésentés dans les prisons, ou quand Georges Bensoussan a tenté d’expliquer que l’antisémitisme sévissait dans une large frange de la population musulmane en France, les associations antiracistes se sont unies pour les traîner devant un tribunal. Au nom de la lutte antiraciste!

    Ces quelques exemples permettent de situer la zone d’action de l’antiracisme: faire taire tout critique de la «diversité». La «diversité» n’est pas un slogan antiraciste un peu creux. Je démontre dans mon livre que la «diversité» est en réalité une politique. Et cette politique passe par les organisations antiracistes subventionnées par l’État, par l’école où l’apprentissage de l’arabe est proposé aujourd’hui dès le primaire, par une politique du ministère de la Culture qui subventionne la «diversité» au cinéma et au théâtre, par l’Afnor qui labellise les entreprises pour plus de «diversité», par le Conseil supérieur de l’audiovisuel qui, avec son Baromètre de la «diversité» rêve d’imposer des quasi quotas ethniques sur le petit écran, et par divers lobbys comme le Club XXI d’Hakim el Karoui ou l’association Coexister… (…)

    Les services du Premier ministre diffusent actuellement des clips contre les violences sexistes. L’un de ces clips montre un «Blanc» qui agresse sexuellement une jeune fille d’origine maghrébine laquelle est défendue par une «Blanche» en couple avec un homme noir. Ce clip d’État d’une grande pureté idéologique assigne la violence sexuelle aux hommes Blancs et refuse d’évoquer celle qui peut aussi exister chez les «victimes» de couleur. J’affirme que cette victimisation forcenée des Français de couleur participe à la fabrication de la violence d’aujourd’hui (…)

    Vous reprochez aux politiques, notamment de gauche («islamo-gauchistes») leur clientélisme, mais vous le reconnaissez vous-même en introduction, les musulmans deviennent une composante à part entière de la population: il faut bien que des politiques leur parlent à eux aussi?

    La gauche clientéliste flatte le communautarisme islamique: baux emphytéotiques pour la construction de mosquées, heures de piscine réservées aux femmes, etc., cela dans le but de recueillir les voix des musulmans (…)

    Vous critiquez beaucoup aussi l’Église. Mais n’est-elle pas dans son rôle lorsqu’elle exprime une compassion à l’égard des migrants? Faut-il toujours tout ramener à une vision politique?

    (…) Quant à la compassion de l’Église pour les migrants musulmans, il est bon de rappeler que cette compassion est sélective. L’Église ne défend pas les Coptes quand ils sont massacrés en Égypte, elle proteste à peine contre l’authentique épuration ethnique qui frappe les chrétiens d’Orient, et elle n’a guère eu de mot charitable pour les Yazidis massacrés par l’État islamique. C’est cette sélectivité compassionnelle qui interroge. J’essaye de montrer dans mon livre que la charité affichée de l’Église envers les musulmans est aussi une politique (…)”

    https://www.lesalonbeige.fr/yves-mamou-il-existe-bel-et-bien-une-preference-des-elites-francaises-pour-lislam/

  • Les dérives du communautarisme à l’école pointées par une note des services de renseignement

    Repas, sorties scolaires, mixité garçon-fille… Dans certains établissements scolaires en France, des élèves reproduisent un comportement jugé communautaire, adopté par leurs parents. Et cela inquiète l’Education nationale.
    EXCLUSIF
    L’école est-elle de plus en plus victime de dérives communautaires ? Europe 1 a pu consulter en exclusivité une note ultra-confidentielle des services de renseignement, reçue par le cabinet du président de la République, du Premier ministre et de Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Education nationale, sur les signalements de cas de communautarisme musulman dans les établissements scolaires.

    Des cas parfois extrêmes. Si le nombre des faits rapportés est stable, les motifs sont de plus en plus inquiétants. Certaines choses ne sont tout simplement plus faisables dans toutes les écoles, pour des motifs religieux. L’exemple le plus frappant, le plus nouveau, signalé dans cette note, est celui d’élèves qui refusent d’avoir cours dans des classes comportant du mobilier rouge, jugé “haram”, c’est-à-dire interdit par le Coran. Cet exemple remonte d’un établissement du Nord de la France.

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