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anti-national - Page 603

  • Les immigrés mineurs isolés : qui sont-ils ?

    Lu sur Medscape :

    "Selon le rapport du Sénat datant de juin 2017, ce sont essentiellement des garçons (95%), en fin d’adolescence (les deux tiers ont plus de 16 ans) arrivant majoritairement d’Afrique. Les principaux pays d’origine sont ceux d’Afrique sub-saharienne (Mali, Guinée, Côte d’Ivoire, Cameroun, RDC, Nigéria) mais les mineurs isolés sont également originaires d’Afghanistan, du Pakistan, du Bangladesh, d’Erythrée, du Soudan, d’Angola, de Syrie et d’Europe de l’Est. Le choix de la France comme destination repose en partie sur une langue et une culture commune. C’est souvent le cas pour les mineurs isolés étrangers originaires d’Afrique francophone.

    Leur profil diffère sensiblement de celui des migrants adultes :beaucoup sont « mandatés » par leur famille, leur parcours « est bien souvent organisé par des filières » et ils cherchent plus des « opportunités économiques » que l’asile, affirme le rapport du Sénat.

    En 2010, en France, le nombre de mineurs migrants confiés aux départements était de 4000. En 2016, leur nombre a augmenté de 85% pour dépasser 25 000 jeunes pris en charge. Certaines évaluations parlent même de près de 50 000 jeunes migrants arrivés depuis 2017 sur le territoire.

    A savoir : Le mineur, contrairement à l’adulte, n’a pas à justifier d’un titre de séjour en France, donc ne peut pas être expulsé, reconduit à la frontière ou placé en rétention."

    Ceux qui accueillent de façon aveugle les mineurs étrangers doivent savoir qu'ils ne sont que de hameçons pour favoriser l'immigration de peuplement.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/les-immigr%C3%A9s-mineurs-isol%C3%A9s-qui-sont-ils-.html

  • Qu’est-ce qu’un envahisseur ?

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    Bernard Plouvier

    Dans l’imaginaire collectif d’Européens trop sensibles aux fééries hollywoodiennes - tellement schématiques en matière d’histoire qu’elles ne sont que caricatures -, l’invasion est une affaire sanglante, « pleine de bruit et de fureur », de viols et de rapts, de pillages et d’incendies.

    Il est exact que l’invasion des hordes d’Attila fut en grande partie cela, et bien davantage encore la déferlante mahométane en Ibérie, en Aquitaine et dans toute la moitié sud de la France ou en Italie méridionale. Puis la barbarie mongole s’abattit sur l’Europe orientale et centrale, et la turque en terres danubiennes. Tout ce la fut sanglant, raciste et ignoble, nul ne le conteste.

    L’actualité, en Europe occidentale et scandinave, prouve la persistance et la vivacité de ce type de comportement chez nombre de sauvageons africains, et leurs confrères proches et moyen-orientaux. Si les attentats individuels et collectifs ne défraient la chronique que de façon mensuelle, le vandalisme dirigé contre les installations publiques, les lieux de culte chrétien, les propriétés privées est affaire quotidienne, comme le sont les actes de racket, les vols, les viols et les agressions physiques… et si l’on en venait à dénombrer les manifestations verbales de racisme anti-Blancs, l’on devrait compter en secondes. Tout cela est bien connu – sauf de la presse gaucho-socialo-friquée.

    Il est une autre forme d’invasion, moins spectaculaire dans ses manifestations, mais infiniment plus pernicieuse : celle de la mendicité et du service rendu ou soi-disant tel. « Le Barbare peut franchir la frontière en suppliant ou en auxiliaire aussi bien qu’en agresseur… Il use de la prière ou du service plus souvent que de la violence » (Joseph Calmette, in Le monde féodal, 1934).

    Il est de fait que les Germains se sont initialement implantés dans l’Empire romain d’Occident comme auxiliaires ou comme réfugiés repoussés par les Slaves puis par les Huns. Ils ont d’ailleurs remarquablement aidé les Gallo-Romains à écraser l’envahisseur hunnique au Vesiècle. En outre, même lorsqu’ils se comportaient en pillards, ils régénéraient les populations occidentales par un fort utile apport génétique : on restait au sein de la même race continentale, l’européenne.

    De nos jours, le spectacle des réfugiés africano-asiatiques, chassés de chez eux par la barbarie islamique ou les jeux pervers des dirigeants US, est indéniablement pitoyable. Seulement, après avoir nourri et formé à un métier utile ces extra-Européens, n’avons-nous pas le devoir de les rendre à leurs continents d’origine, pour que ces ex-réfugiés, secourus et convertis à la technicité occidentale, civilisent leurs Nations d’origine ?

    Les agents de désinformation clament l’intérêt de la mixité des races et des civilisations pour assurer l’avenir de notre Europe, en complet désaccord avec les faits observés dans les pays multiraciaux : USA, Mexique, Brésil, pour prendre quelques exemples simples où fleurit la violence interraciale de façon quotidienne. On peut prendre ces bêlements de propagande pour ce qu’ils sont : la soumission aux intérêts de la grande distribution.

    De fait, les mêmes immigrés-réfugiés-envahisseurs consommeraient infiniment moins s’ils étaient restés chez eux. Accueillis par des États occidentaux, ils jouissent d’une multitude de lois à caractère social (même les immigrés clandestins ont droit à une allocation spécifique en France), en plus d’usages, pas toujours conformes à la loi, des organismes publics locorégionaux, enfin de dons issus de la charité privée. Pourquoi retourneraient-ils dans leurs gourbis insalubres alors qu’ils bénéficient de jouissances matérielles infiniment plus grandes que dans leur continent d’origine et contre un travail nettement moins harassant, voire pas de travail du tout ?     

    Or une question simple se pose. Qu’ont-ils à donner en contrepartie de tout ce que nous leur offrons ? De façon trop fréquente, ils nous font présent de rejetons peu doués, souvent délinquants, presque jamais courtois, en sus d’une religion conquérante, aux usages médiévaux adaptés à des continents où la rudesse et une conception très particulière des rythmes de travail sont opposées aux nôtres. L’esclavage et l’intolérance religieuse qui devient facilement meurtrière, le mépris intégral de la femme : de tout cela nous n’avons guère besoin.

    Les empires hellénistique et romain ont tenté d’amalgamer l’Afrique du Nord et le Proche-Orient à l’Europe - du moins celle qui était étendue de l’Atlantique et de la Méditerranée au Rhin et au Danube -, et cela fut un échec intégral.

    Pourquoi voudrait-on récidiver dans l’erreur ? Si c’est pour satisfaire l’esprit de lucre des très curieux « humanistes » de Wall Street, de la City londonienne et des multinationales, ou pour communier à la niaiserie, plus ou moins intéressée, des affairistes (souvent repris de justice) du Charity business, d’un pape étonnant et de politicien(ne)s toqué(e)s, ce n’est peut-être pas nécessaire.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La tiers-mondisation de la France est en marche

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    Par Nicolas Faure, entrepreneur  Deux rappeurs qui se battent dans un aéroport en ravageant un magasin et en retardant des dizaines de vol. La Gare Montparnasse qui ferme durant le week-end le plus chargé de l’année à cause d’un incendie dans un transformateur. Adrien Perez poignardé à mort par deux extra-européens ultra-agressifs alors qu’il tentait de porter secours à un ami. Alexandre Benalla, racaille mal dégrossie, possédant un pouvoir absolument inimaginable. Une femme violée par le conducteur d’une voiture avec laquelle elle effectuait un constat.
    L’actualité récente nous le démontre de manière éclatante : la tiers-mondisation de la France est en marche !

    Les racailles au pouvoir

    Benalla, une racaille avec les pleins pouvoirs

    Le pouvoir semble aujourd’hui faire la part belle aux racailles en tous genres.

    De manière évidente, l’affaire Benalla en est l’illustration la plus claire. Imaginez qu’Emmanuel Macron a donné à cet homme un pouvoir quasiment sans limite, alors même que celui-ci est incapable d’envoyer une simple lettre de motivation sans faire de très nombreuses fautes basiques comme nous l’apprend Valeurs Actuelles !

    C’est donc une racaille au niveau intellectuel moyen qui a obtenu des avantages incroyables de la part du personnage le plus puissant de la nation française ! Pire, une fois en position de force, Alexandre Benalla a continué à agir comme une vulgaire racaille de cité. Il a ainsi laissé libre cours à ses bas instincts violents en agressant des manifestants. Par ailleurs, il n’a pas hésité à rabrouer publiquement des policiers ou des gendarmes largement plus expérimentés et plus valeureux que lui, ce qui a d’ailleurs sans doute provoqué sa chute.

    En fait, Alexandre Benalla a été jusqu’au bout le symbole de cette tiers-mondisation rampante et insoutenable de la France. Incapable, odieux, agressif et imbu de lui-même, Alexandre Benalla est l’exemple même de la racaille promue par Emmanuel Macron.

    Avec une question lancinante sur toutes les lèvres : comment Macron, qui n’est lui pas précisément un complet imbécile, a pu donner de tels pouvoirs à Benalla ?

    Des racailles pour exemples

    Mais le pouvoir n’est pas que politique. Il est également culturel. Et, là aussi, la racaille est en pôle position. La musique qui se vend le plus en France, celle qui supplante peu à peu toutes les autres, c’est le rap ! Et le plus célèbre des représentants de cette musique particulièrement appréciée des jeunes français, c’est « Booba », Elie Yaffa de son vrai nom.

    Et celui-ci s’est particulièrement illustré récemment en affrontant son rival, lui aussi extra-européen, Kaaris , de son vrai nom Okou Armand Gnakouri. Les deux rappeurs, auparavant amis, se détestaient depuis plusieurs années. Une rivalité qui a trouvé sa conclusion dans un hall de l’aéroport d’Orly. Les images de la bagarre entre les deux rappeurs et leur bande d’amis violents ont fait le tour du web.

    Ces deux multi-millionnaires, adulés par les jeunes Français, ont donc décidé de ravager un magasin et de provoquer la fermeture d’une aile entière de l’aéroport pour régler leur différend.

    La France en voie avancée de tiers-mondisation

    Agressions sordides

    Adrien Perez est, comme Marin, un symbole. Celui de cette jeunesse européenne qui peut tomber sous les coups d’une autre jeunesse, extra-européenne celle-là, pour les motifs les plus futiles qui soient. En l’occurrence, Adrien Perez est mort en héros, en portant secours à un ami, violemment agressé par deux frères qui avaient déjà importuné le groupe d’amis à l’intérieur de la boite de nuit dans laquelle ils se trouvaient.
    Pour beaucoup de jeunes « de souche », cette scène n’est pas anodine. Elle résonne extrêmement fort avec leurs propres expériences en boite ou en bar de nuit. Il est aujourd’hui banal de voir des équipes de racailles, même dans des lieux encore préservés il y a quelques années.

    La tiers-mondisation de la France, c’est avant tout cette multiplication des agressions violentes, des rixes mortelles, des assassinats sauvages, des conflits ethniques. Qu’il s’agisse de l’assassinat d’Adrien Perez ou bien de l’égorgement d’un homme dans un bus parisien, l’actualité ne ment pas : la France sombre peu à peu dans un ensauvagement qui semble n’avoir aucune limite.

    Les infrastructures survivront-elles longtemps ?

    De même, la France semble irrémédiablement condamnée à voir péricliter ses infrastructures sous la pression – directe ou indirecte – de l’immigration extra-européenne. Qu’il s’agisse des rappels incessants – et vains – à la propreté dans les zones où la racaille prolifère ou bien du coût du maintien de certaines infrastructures handicapés indirectement par les dépenses liées à l’immigration, la tiers-mondisation de la France semble irréversible si rien n’est fait pour l’éviter.

    L’exemple de l’incendie du transformateur ayant entraîné la fermeture de la gare Montparnasse pendant plusieurs jours est un exemple de ces problèmes. Comment imaginer qu’une gare accueillant près de 54 millions de voyageurs par an puisse être touchée par un problème, certes important, sans solutions alternatives ou résolution rapide ?

    Pour contre la tiers-mondisation de la France, il est impératif d’agir rapidement. Et surtout, il est fondamental de bien faire comprendre aux Français – et aux Européens – que ne pas transformer sa nation en pays du tiers-monde, c’est déjà commencer par cesser d’importer le tiers-monde sur son sol.

    Nicolas Faure  15/08/2018

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Township sud-africain, par Diriye Amey [CC BY 2.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/tiers-mondisation-france-en-marche/

  • La France, 2e destination mondiale pour les immigrés

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    Quand on dresse la liste de chaque pays qui est le lieu d’immigration privilégiée d’autre pays, on voit que la France est en 2e position, a égalité avec la Russie mais loin derrière les Etats-Unis et devant l’Allemagne. A noter que le Japon n’est en tête dans aucun pays du monde, ce qui est logique puisque ce pays ferme ses frontières.

    Etats-Unis (30) : Allemagne, Arabie Saoudite, Bahamas, Bélize, Brésil, Canada, Corée du Sud, Costa Rica, Cuba, Equateur, Ethiopie, Guatemala, Guyana, Haïti, Honduras, Iran, Israël, Jamaïque, Japon, Liban, Mexique, Nigeria, Pérou, Philippines, Salvador, Suède, Thaïlande, Trinité & Tobago, Venezuela, Vietnam.

    France (13) : Algérie, Andorre, Belgique, Cameroun, Congo, Djibouti, Espagne, Gabon, Madagascar, Maroc, Portugal, Sénégal et Tunisie.

    Russie (13) : Arménie, Azerbaïdjan, Belarus, Estonie, Géorgie, Kazakhstan, Kirghizistan, Lituanie, Moldavie, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan et Ukraine.

    Allemagne (10) : Autriche, Croatie, Grèce, Hongrie, Italie, Macédoine du Nord, Pologne, Serbie, Tchéquie et Turquie.

    Afrique du Sud (7) : Botswana, Lesotho, Mozambique, Namibie, Swaziland, Zambie et Zimbabwe.

    Arabie Saoudite (7) : Chypre, Egypte, Jordanie, Koweït, Pakistan, Syrie et Yémen.

    Royaume-Uni (5) : Afrique du Sud, Australie, Irlande, Kenya, Lettonie

    Argentine (4) : Bolivie, Chili, Paraguay et Uruguay.

    Australie (4) : Fidji, Nouvelle-Zélande, Papouasie-Nouvelle-Guinée et Royaume-Uni

    Portugal (4) : Angola, Cap Vert, Guinée Bissau et Sao Tome & Principe.

    Côte d’Ivoire (3) : Burina Faso, Guinée et Mali.

    Emirats Arabes Unis (3) : Inde, Oman et Qatar.

    Espagne (3) : Argentine, France et Gambie.

    Inde (3) : Bangladesh, Népal et Sri Lanka.

    Italie (3) : Roumanie, San Marin et Suisse.

    Nigeria (3) : Bénin, Ghana et Niger.

    Suède (3) : Danemark, Finlande et Norvège.

    Thaïlande (3) : Cambodge, Laos et Myanmar.

    Croatie (2) : Bosnie-Herzégovine et Slovénie

    Congo (2) : République Démocratique du Congo et Rwanda

    Danemark (2) : Groenland, Islande.

    Guinée (2) : Liberia et Sierra Leone.

    Kenya (2) : Ouganda et Somalie.

    Serbie (2) : Kossovo et Monténégro.

    Tchad (2) : Centrafrique, Soudan du Sud.

    Algérie : Sahara Occidental.

    Bangladesh : Libye.

    Belgique : Pays-Bas.

    Burkina Faso : Côte d’Ivoire.

    Corée du Sud : Mongolie.

    Gabon : Guinée Equatoriale.

    Ghana : Togo.

    Grèce : Albanie.

    Hong-Kong : Chine.

    Jordanie : Palestine.

    Kazakhstan : Corée du Nord.

    Koweït : Emirats Arabes Unis.

    Malaisie : Indonésie.

    Mexique : Etats-Unis.

    Népal : Bhoutan.

    Pays-Bas : Surinam.

    Pakistan : Afghanistan.

    Rwanda : Tanzanie.

    Sénégal : Mauritanie.

    Singapour : Malaisie.

    Soudan : Erythrée.

    Soudan du Sud : Soudan.

    Syrie : Irak.

    Tchéquie : Slovaquie.

    Turquie : Bulgarie.

    Ukraine : Russie.

    Venezuela : Colombie.

    Zimbabwe : Malawi.

    Pays inconnus : Burundi, Luxembourg, Taïwan, Timor oriental.

    A noter qu’il existe quelques « paires » de pays (première place mutuelle) pour les immigrés) : France-Espagne, Etats-Unis-Mexique, Russie-Ukraine, Royaume-Uni-Australie).

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/la-france-2e-destination-mondiale-pour-les-immigres/96622/

  • Mathieu Bock-Côté : « L'occupation touristique planétaire est une dépossession »

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    Le Mont Saint-Michel rongé par les masses de touristes

    Mathieu Bock-Côté s'alarme des méfaits du tourisme de masse qui produit une véritable dénaturation tant du voyage lui-même que des villes et des pays visités, en réalité à la manière d'un flot invasif. [Le Figaro, 10.08]. Peut-on « espérer que le tourisme se civilise après s'être démocratisé. » Force est de constater que nous n'en prenons pas le chemin. Il faudrait, nous semble-t-il, que l'ensemble de l'édifice social se recivilise après s'être démocratisé...  LFAR

    D'une année à l'autre, la belle saison confirme le statut de la France comme première destination touristique mondiale. On a d'abord tendance à s'en réjouir : n'est-ce pas le plus beau compliment que le monde puisse lui adresser ? On se rue vers elle pour admirer l'incroyable travail des siècles sur un territoire modelé par l'homme, qui a su à la fois fonder villes et villages, élever des cathédrales et dessiner des paysages. Si l'Amérique fascine spontanément qui veut contempler la nature sauvage et les grands espaces, l'Europe attire ceux qui s'émeuvent à bon droit de l'empreinte humaine sur la planète. S'ajoutent à cela des considérations prosaïques élémentaires : le tourisme est une industrie extrêmement lucrative. Qui serait assez bête pour se désoler de son expansion et des milliards qui l'accompagnent ?

    295210242.jpgMais on se désenvoûte assez rapidement de ce beau récit pour peu qu'on pense le tourisme de masse non plus seulement comme une opportunité économique mais comme un phénomène politique. D'ailleurs, dans La Carte et le territoire, Michel Houellebecq s'était déjà inquiété de ce qu'on pourrait appeler le devenir touristique de l'Europe, soit celui d'une civilisation s'offrant à l'humanité comme parc d'attractions, comme si elle n'avait plus que des vestiges monumentaux mais vidés de toute sève à présenter au monde. En se réinventant par sa promotion du tourisme de masse, elle consentirait à sa muséification définitive. Elle ne serait plus qu'un décor déshabité, témoignant d'une gloire passée qu'il ne viendrait à personne l'idée de restaurer. La gloire témoigne de temps tragiques et nous souhaitons plus que tout habiter une époque aseptisée.

    La logique du circuit touristique planétaire est facile à reconstruire. Lorsque le système du tourisme mondialisé happe un lieu, celui-ci est progressivement vidé de sa population, comme s'il fallait effacer une présence humaine résiduelle, datant de l'époque où la ville était d'abord habitée avant d'être visitée. Les derniers résidents sont de trop, sauf s'ils savent se plier à la nouvelle vocation du lieu.

    Globalement, les habitants seront remplacés par des employés convertis à la logique du capital mondialisé qui sont souvent d'ailleurs habitués à tourner dans son circuit. La population locale en vient même à reconnaître implicitement un statut d'extraterritorialité symbolique aux lieux sous occupation touristique. Elle devient elle-même touriste en son propre pays lorsqu'elle fréquente ces lieux.

    Sans surprise, ce sont les plus beaux quartiers qui sont ainsi arrachés de la ville où ils ont été construits pour accueillir les touristes qu'on peut se représenter comme l'armée de la mondialisation, qui partout, impose ses codes. C'est peut-être une figure nouvelle du colonialisme. Paradoxe : d'un côté, la ville vidée de son peuple est invitée à conserver ce qui la caractérise, à la manière d'un folklore pour ceux qui sont en quête d'authenticité, mais de l'autre, elle doit offrir les mêmes facilités et les mêmes enseignes qu'on trouve partout sur la planète, du magasin de luxe au Starbucks. Il ne faudrait surtout pas que le touriste se sente trop loin de chez lui. S'il égrène fièrement les destinations où il est passé, il ne cherche la plupart du temps qu'un dépaysement soft. S'il était vraiment ailleurs, ce serait probablement pour lui l'enfer. Le moderne vante les mérites de l'autre mais ne le voit jamais qu'à la manière d'une copie du même.

    C'est bien une dynamique de dépossession qui caractérise le tourisme de masse. Et ses ravages sont indéniables. Des masses humaines se jettent à un pas rythmé par les chansons mondialisées à la mode sur des destinations choisies et en viennent à les défigurer complètement. Elles n'ont souvent qu'un objectif: « immortaliser » leur passage avec un selfie destiné aux réseaux sociaux, au point même où la première chose qu'on croise aujourd'hui en voyage, ce sont d'exaspérants badauds qui se prennent en photo. Devant cette sauvagerie molle et souriante, certains en appellent à une résistance politique. On apprenait ainsi récemment que Venise, Barcelone, Dubrovnik ou Santorin cherchent activement des mesures pour contenir le flot humain qui les engloutira. Une chose est certaine : si le monde entier devient une destination touristique, plus personne ne sera chez lui et tout le monde sera chassé de chez soi.

    On voit là comment le système de la mondialisation s'empare du monde. On a beaucoup parlé ces dernières années du concept de France périphérique, formulé par Christophe Guilluy, qui sert à désigner les populations laissées de côté par la mondialisation. On pourrait en élargir la signification en parlant plus simplement des populations qui sont refoulées non seulement territorialement mais symboliquement à l'extérieur du système de la performance mondialisée parce qu'elles ne sont pas suffisamment adaptables, mobiles et interchangeables. On les juge mal préparées aux règles du nouveau monde de la mobilité maximale. Ce sont des populations retardataires, attachées à un lieu, une langue et peut-être même une tradition. Un tel enracinement ne se pardonne pas. On ne saurait jamais, sous aucun prétexte, être en décalage avec les exigences de ce qui passe pour la modernité.

    Ici et là, la critique du tourisme de masse se fait heureusement entendre, même si elle peut aussi devenir agaçante. On brandit facilement, en prenant la pose dandy, une éthique du voyageur qui saurait se glisser subtilement dans la ville, en laissant entendre que le voyage devrait être le privilège exclusif du petit nombre. Mais ce réflexe aristocratique porte une leçon intéressante. Le génie du voyageur authentique tient moins dans la consommation des destinations recherchées où il vivra des expériences préformatées que dans sa capacité à habiter plus d'un endroit dans le monde, en y développant ses habitudes, ce qui implique de prendre le temps de se familiariser avec les mœurs locales. Il n'est pas interdit d'espérer que le tourisme se civilise après s'être démocratisé et que les hommes se rappellent que le monde n'a pas pour vocation à se plier aux désirs de ceux qui fardent leur pulsion de conquête en sophistication cosmopolite.   

    Mathieu Bock-Côté        

    4047151000.jpgMathieu Bock-Côté est docteur en sociologie, chargé de cours aux HEC à Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada. Ses travaux portent principalement sur le multiculturalisme, les mutations de la démocratie contemporaine et la question nationale québécoise. Il est l'auteur d'Exercices politiques (éd. VLB, 2013), de Fin de cycle: aux origines du malaise politique québécois (éd. Boréal, 2012) et de La dénationalisation tranquille (éd. Boréal, 2007). Son dernier livre, Le multiculturalisme comme religion politiquevient de paraître aux éditions du Cerf [2016].

    Sur le même sujet lire aussi dans Lafautearousseau ... 

    Marin de Viry : « Comment le tourisme de masse a tué le voyage »

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Nous sommes en PAYS OCCUPÉ, il faut entrer en RÉSISTANCE !

  • Les migrants : c’est bien pour se faire mousser ou se pousser du col

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    Les migrants : si on voulait être cynique, on dirait que ce n’est que du bonheur ! Pas pour les migrants, évidemment, mais pour tous ceux qui font leur miel de ces migrations de grande ampleur.

    Du bonheur, d’abord, pour les passeurs. Un article du Parisien, le 10 juillet dernier, révélait que, selon l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (UNODC), ce trafic d’êtres humains (2,5 millions de personnes) a rapporté entre 5,5 et 7 milliards de dollars en 2016. On est loin, bien sûr, de ce que rapporte le trafic de drogue – 243 milliards en 2015, selon ce même UNODC – qui touchait, en bout de chaîne, 183 millions de consommateurs dans le monde.

    Du bonheur, ensuite, pour toutes ces associations, organisations non gouvernementales qui se posent en corsaire de la cause humanitaire et, ce faisant, en complices passifs des passeurs. Du bonheur, sans doute, aussi, pour leurs donateurs qui s’offrent une bonne conscience, souvent déductible des impôts, comme c’est le cas en France. SOS Méditerranée, par exemple, qui arme l’Aquarius, serait financé à 98 % par des fonds privés. On notera quand même, pour l’anecdote, qu’en 2016, seize députés français, socialistes et radicaux de gauche, puisèrent dans leur réserve parlementaire pour subventionner cette association. On pourrait citer Bruno Le Roux, éphémère ministre de l’Intérieur de François Hollande, ou Sandrine Mazetier, vice-présidente de l’Assemblée nationale dans la précédente législature.

    Du bonheur, aussi, pour des rescapés politiques, déjà couverts d’honneurs et de prébendes, comme Jean-Claude Gayssot, longtemps membre du Parti communiste, ministre des Transports sous Jospin et qui, aujourd’hui, à 74 ans préside le port de Sète ou, pour être plus précis, le conseil d’administration de l’établissement public régional Port de Sète Sud de France. Un établissement qu’il préside depuis mars 2017 après une élection à l’unanimité, bien aidée par la présidente socialiste de la région Occitanie Carole Delga. Et le voilà qui se pousse du col, proposant d’ouvrir le port de Sète à l’Aquarius en authentique humaniste, un peu comme s’il régnait sur une république maritime. Il nous semblait pourtant qu’en 1797, Napoléon Bonaparte avait supprimé la dernière existante – je veux parler de Venise – en permettant qu’elle devienne une province de l’Empire autrichien !

    Du bonheur, enfin, pour Jean-Guy Talamoni, président de l’Assemblée de Corse qui s’érige, non seulement en donneur de leçons de morale humanitaire – car lui aussi propose que la Corse accueille l’Aquarius –, mais en potentat local qu’il n’est pas. En effet, on a peine à voir le rapport entre l’accueil des migrants et les compétences de la collectivité de Corse : aménagement du territoire, développement économique, culture et patrimoine, éducation et formation, langue, environnement… Jusqu’à nouvel ordre, Talamoni n’est pas le roi Théodore et la République est encore indivisible !

    Mais il est vrai que la nature a horreur du vide et que, pour l’instant, Emmanuel Macron, à vouloir pratiquer la politique du « en même temps », donne la curieuse impression que l’État français est aux abonnés absents sur ce dossier. On ne peut être gentil et méchant à la fois. Matteo Salvini l’a bien compris : il fait le méchant, et cela lui réussit pas trop mal pour l’instant. Alors, en France, ici et là, on se fait mousser, on se pousse du col en jouant les phares de l’humanité compatissante. C’est bien, pour cela, les migrants, surtout quand on sait que, de toute façon, on n’a pas autorité et compétence pour agir. Votre proposition d’accueil des migrants fera flop au large de la côte ? Pas grave, on aura fait parler de soi, fait croire qu’on est plus important qu’on ne l’est et gagné à pas cher des jetons de moralité.

    Au moment où le point final est mis à ce papier, on apprend qu’Emmanuel Macron a annoncé que la France allait accueillir 60 migrants de l’Aquarius. On passe du cabotinage au cabotage.

    Georges Michel

    http://www.bvoltaire.fr/les-migrants-cest-bien-pour-se-faire-mousser-ou-se-pousser-du-col/

  • Un Afghan poignarde 4 personnes à Périgueux dont un blessé grave

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    Selon réalité & police il s’agit d’un demandeur d’asile afghan de 19 ans. Et selon la version officielle la piste terroriste serait écartée. Le fait que cet homme soit très probablement musulman relève donc du plus pur hasard.

    Un homme de 19 ans a poignardé quatre personnes en pleine rue à Périgueux lundi soir. L’un des blessés est dans un état grave. D’après les premiers éléments de l’enquête, il s’agirait d’un coup de folie. La piste terroriste est écartée.

    Les faits se sont déroulés vers 18h ce lundi soir, avenue Victor Hugo, l’une des artères principales du centre-ville de Périgueux. 

    Un homme torse nu et visiblement agité importune un groupe de jeunes filles. Deux ambulanciers qui passaient par là, s’interposent. Le suspect fait un aller-retour à son domicile, situé tout près, et revient avec un couteau de cuisine. Il porte alors une dizaine de coups de couteau aux ambulanciers. Les deux collègues arrivent à s’échapper et se rendent avec leur propre ambulance aux urgences de Périgueux. Le jeune homme ne s’arrête pas pour autant, il s’en prend à deux autres hommes, âgés d’une soixantaine d’années. L’un d’eux a été grièvement blessé au niveau du poumon. Le pronostique vital de la victime n’est pas engagé.

    Le suspect est finalement désarmé et maîtrisé par des passants. Interpellé par la police, il est actuellement en garde à vue au commissariat de Périgueux. Il s’agit d’un afghan âgé de 19 ans. L’acte terroriste est écarté par les enquêteurs. Le jeune homme est connu pour ses troubles psychologiques.  Source  France Bleu

    Cet Afghan ne serait donc qu’un malade de plus armé d’un couteau, le hasard voulant qu’il soit musulman. On se demande bien comment un demandeur d’asile logé en plein centre de Périgueux,  psychologiquement malade et dangereux, a pu parvenir jusqu’en France, s’y installer et y être en complète liberté ?

    http://www.medias-presse.info/un-afghan-poignarde-4-personnes-a-perigueux-dont-un-blesse-grave/96618/

  • Nos entreprises ont plié bagage en Iran. Quid de l' « Europe puissance » ?

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    L'usine Peugeot de Khodro, près de Téhéran, en 2016. (Photo BEHROUZ MEHRI/AFP) 

    C'est un fait que, nonobstant les ventes perdues, parfois considérables, la quasi-totalité des entreprises européennes, notamment celles du secteur automobile, aéronautique, et de l'énergie, mais pas seulement, ont plié bagage en Iran.

    Elles ont obtempéré sans broncher. La double menace de rétorsions sur le marché américain et de pénalités financières étatsuniennes pour les transactions avec l'Iran simplement parce qu'elles se traitent en dollars, ont amplement suffi à contraindre les entreprises européennes à se retirer sans délai du marché iranien. Peugeot-Citroën renonce à 300 000 véhicules annuels, Airbus à des intentions de commandes de l’ordre de 100 avions, et ainsi de suite.

    Qu'importe que la plupart des États signataires du traité sur le nucléaire iranien conclu sous Obama le proclament toujours en vigueur : après que Trump l'eut déchiré (mai 2018) et qu'il eut rétabli les sanctions qui frappaient l'Iran, ce traité s'est vidé de tout contenu. Les velléités de résistance européenne, un temps affirmées, parfois en termes bravaches, ont fait long feu. On a pensé à résister, on a envisagé de s'organiser pour cela. Puis, on a abandonné, calé, renoncé. Paroles verbales, volonté faible, réactivité nulle ! Résister était trop difficile, eût demandé trop d'efforts... Notamment des accords monétaires et financiers avec la Russie et sans-doute aussi avec la Chine. Les Européens n’en ont pas eu la volonté ni le courage. 

    Il faut bien en tirer les conclusions. s'agissant de la prétendue « Europe puissance ».  

    Qu'on le regrette ou non, et sans-doute faut-il le regretter, les faits sont là. Ceux qui ont dit, cru, professé que l'addition de 27 ou 28 économies nationales formant un marché unique de cinq cents millions de citoyens-consommateurs, constituaient ipso facto une puissance, et - pourquoi pas ? - la première du monde, ont été des naïfs, des incompétents ou des marchands d'illusions.  

    Trump démontre qu'il n'y a de puissance économique et d'ailleurs aucune autre d'un type quelconque, notamment militaire, qu'adossée à une souveraineté. Trump incarne la nation américaine. Il décide souverainement en son nom. Mais il n'y a ni peuple, ni nation, ni État européens. En conséquence, il n'y a pas davantage d’ « Europe puissance ».

    Il nous faut bien nous répéter : il n'est, même en matière économique, de réelle puissance que politique.   

    Retrouvez l'ensemble des chroniques En deux mots en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/08/13/iran.html

  • Voile de Gap : Marlène Schiappa a pris son temps pour réagir…

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    Elle en a pris, du temps, pour réfléchir, Marlène Schiappa, depuis plusieurs jours que des femmes politiques LR et LREM, à propos d’une fillette portant le voile en affiche de la campagne publicitaire de l’enseigne américaine Gap, « Back to School », diffusée aux États-Unis et au Royaume-uni, se sont, de façon virulente, exprimées à plusieurs reprises sur la question. Décoiffant !

    Il faut dire qu’elle prend des vacances bien méritées, la secrétaire d’État à l’Égalité femmes-hommes, et qu’au bord de la mer, entourée de « mixité sociale » sans affreux « yachts pour milliardaires » au milieu de « tout le monde » (pour reprendre les mots de son interview donnée à La Provence, la semaine dernière), elle a autre chose à faire et à penser ! Et puis, qui sait si ce n’était pas un « choix éclairé » de la part de cette gamine, de se cacher les cheveux, puisque maman Schiappa « n’interdirait rien idéologiquement » à ses filles, n’est-ce pas ?

    En tout cas, côté féministes, éclairées celles-ci, on ne décolère pas. Non sans raison. C’est Florence Portelli, la vice-présidente du groupe LR au conseil régional d’Île-de-France, qui se montrait « assez abasourdie par le silence des féministes » en face de « ce genre d’affiche scandaleux »« En quoi une petite fille est un symbole sexuel »« en quoi son visage exprimerait quelque chose d’indécent » ? Finalement, Marlène est d’accord : « À 9/10 ans, ce n’est pas un choix de porter le voile. » Mais à onze, l’âge de son aînée, si ?

    Pour Valérie Boyer, la députée LR des Bouches-du-Rhône, voiler des gamines occidentales, contrées dans lesquelles se sont déchaînées les campagnes « MeeToo » et « BalanceTonPorc », tandis qu’en Orient « des femmes risquent leur peau pour l’enlever », est proprement inadmissible. Du côté de LREM, seule la députée Anne Lang s’est dite « heurtée » par cette affiche « tout à fait insupportable ».

    Mais Marlène a donc réagi, alors, où est le problème ? Le problème, c’est que Marlène Schiappa, si elle n’y avait pas été un peu obligée, dérangée par le coup de téléphone d’un journaliste à l’heure de l’apéro, aurait peut-être fait la sourde oreille.

    Féministe, Marlène Schiappa ? Une féministe, mais du XXIe siècle, qui voit dans le voile « un choix pour les femmes adultes » en même temps qu’« une forme de promotion de l’islam politique ». Mais alors, que peut bien signifier d’autre le voile porté par des mineures ? Mystère. Et contre l’expansion de cet islam politique, qui apparemment l’inquiète, que fait-elle, celle qui s’autodéfinit comme une ambitieuse ? On ne saura pas.

    Marlène Schiappa, la féministe type de notre époque, maniant avec aplomb des contradictions qu’aucune lueur de lucidité ne vient jamais ébranler. Une féministe d’un genre nouveau pour qui les « ennemis des droits de la femme et de l’homme » sont « les extrémistes nationalistes et les obscurantistes de l’autre ». Vous savez, ceux qui « s’allient » et « promeuvent un idéal de société mortifère dans lesquels les femmes n’ont plus de liberté ».

    Vous savez quoi ? En fait, Marlène, qui « s’imagine avoir des orgasmes à l’Assemblée », doit aimer se faire désirer. Apprécier que des journalistes « aillent la chercher ». Alors, celle qui reçoit « des menaces de mort et de viol » a pris son courage à deux mains pour envoyer un courrier à Gap. Pour lui remonter les bretelles, lui dire tout le mal qu’elle pensait de cette affiche promouvant l’obscurantisme musulman ? Notre culottée de féministe lui a tout bonnement demandé… de « s’expliquer ». Waouh !

    En Macronie, avec des féministes de cet acabit, les obscurantistes sont tranquilles…

    Caroline Artus

    http://www.bvoltaire.fr/voile-de-gap-marlene-schiappa-a-pris-son-temps-pour-reagir/