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anti-national - Page 605

  • Marine Le Pen convoquée pour une expertise psychiatrique : URSS, le retour

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    Jusqu’où ira le régime dans sa persécution du premier parti d’opposition ?

    Non, chers auditeurs, les faits ne se déroulent pas dans l’URSS du temps du regretté maréchal Brejnev qui internait ses opposants dans des hôpitaux psychiatriques, mais dans la France contemporaine, sous la présidence éclairée d’Emmanuel Macron. Rappelons la genèse de l’histoire. En décembre 2015, le journaliste Jean-Jacques Bourdin, recevant Gilles Kepel au micro de BFMTV, s’est payé l’incroyable culot de faire le parallèle entre le FN et… Daech ! Dénonçant, je cite un « dérapage inacceptable » et des « propos immondes », Marine Le Pen avait alors posté sur son compte Twitter trois photos d’exaction de l’Etat islamique, avec ce commentaire laconique : « M. Bourdin, Daech, c’est ça ! ». Le jour-même, Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur de l’époque, procédait à un signalement de ces photos auprès de la direction de la police judiciaire, et, séance tenante, le Parquet aux ordres lançait une enquête pour, je cite, « diffusion d’images violentes ». Un délit passible d’une amende de 75.000 euros et de 5 ans d’emprisonnement. « Je suis mise en examen pour avoir dénoncé l’horreur de Daech. Dans d’autres pays ça me vaudrait une médaille » avait alors ironisé la patronne du FN, ajoutant, je cite toujours : « La persécution politique n’a même plus la limite de la décence ». De son côté, Gilbert Collard, également mis en examen pour le même motif, avait enchéri, je cite : « Bourdin compare le FN à Daech : le poids des mots, le choc des bobos ! »

    Mais les limites de la décence viennent d’être pulvérisées…

    Dans le cadre de cette affaire, Marine Le Pen vient en effet d’être convoquée pour une… expertise psychiatrique ! « Bien entendu, je n’irai pas », a prévenu hier la patronne du Rassemblement National, ajoutant, je cite toujours : « J’attends de voir comment les magistrats comptent m’y contraindre », fin de citation. Rappelons que dans le cadre de l’affaire des assistants parlementaires du FN, les juges financiers français Renaud van Ruymbeck et Claire Thépaut – cette dernière, membre du très rouge Syndicat de la magistrature – ont obtenu la saisie de 2 millions d’euros d’aide publique due au Rassemblement national, alors même que l’affaire n’est pas encore jugée et que le parti de Marine Le Pen est donc présumé innocent. Oui, en vérité, toute ressemblance avec la défunte Russie brejnévienne ne serait que pure coïncidence…

    https://www.radiocourtoisie.fr/2018/09/21/bulletin-de-reinformation-du-21-septembre-2018/

  • Israël ou l’entité sioniste, le nouvel ennemi de la Russie

    De l’extrême-orient russe jusqu’aux contreforts du Caucase, l’ennemi est désigné par son nom : Israël ou l’entité sioniste

    Yandex s’est permis de traduire, la pensée de l’ours dans sa taïga “Tous constateront ces mesures -Traduire -Les Forces Russes Riposteront”

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    On le pressentait un peu, les militaires russes sont furieux et ne souhaitent plus qu’une chose :  remettre les israéliens à leur place.

    Des militaires russes patrouillent au Golan de plus en plus près des lignes israeliennes et ne s’encombrent plus d’établir un canal de communication avec ce qu’ils considèrent désormais comme l’ennemi. Raison officielle invoquée pour ces patrouilles au Golan :  la destruction de l’Ilyouchine Il-20 au large des côtes de Lattaquié, au nord de la Syrie.

    A Hmeimim, c’est la furie. Tous les officiers généraux russes réclament de Moscou plus de marges de manoeuvres face aux israéliens qui méritent une bonne raclée.

    De l’extrême-orient russe jusqu’aux contreforts du Caucase, l’ennemi est désigné par son nom :  Israël ou l’entité sioniste.

    Tel-Aviv qui ne compte pratiquement aucun ami dans le monde, vient de gagner un redoutable adversaire :  la Russie.

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  • Europe, le mur des Bernés reste à abattre, par Ivan Rioufol

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    Le progressisme, promu par Emmanuel Macron, s’enlise dans les mots creux. Le vent rebelle qui souffle sur l’Europe déplume les beaux discours de leurs inutiles fanfreluches. Ne restent que les carcasses, impostures mises à nu. Le mur des Bernés, édifié voilà un demi-siècle par les élites acquises au baratin pour préserver leur pouvoir, est à deux doigts de s’effondrer sous la tempête. Ce mur-là est symbolique. Mais il est comparable à celui de Berlin, qui tomba en 1989 sous le poids des mensonges officiels et de l’exaspération populaire. Une même révolution est aujourd’hui à l’œuvre, mue par un semblable besoin de vérité et de démocratie.

    Dans ce mouvement qui se généralise en Europe, le progressisme fait figure d’obstacle. Seuls 19 % des Français approuveraient le bilan du chef de l’État ; 60 % en seraient mécontents (Le Figaro, lundi). Macron, qui a lui-même théorisé son affrontement avec le “nationalisme”, ne voit pas que la contestation des citoyens, ce moteur de l’histoire, a quitté son camp pour rejoindre celui d’en face.

    Plus Macron se raidit face à ceux qu’il appelle aussi populistes, plus il se coupe d’une partie importante de la société française et européenne. Les maladresses qu’il répète quand il s’adresse aux gens lors de ses sorties montrent un homme incapable de maîtriser son arrogance. Dimanche, répondant à un jeune chômeur formé à l’horticulture, il lui a conseillé de “traverser la rue” pour travailler dans la restauration. Élu sur la promesse de résorber la fracture entre la France d’en haut et celle d’en bas, il accentue l’incompréhension entre les deux mondes. Il en est à réserver aux Oubliés qui se rebiffent ses plus vives attaques. La Macronie est un univers d’experts et de technocrates, pour qui le monde se résume à des chiffres. Comme le fait remarquer le philosophe Marcel Gauchet (L’Opinion, lundi) : “Notre problème fondamental, c’est que les gens qui nous gouvernent ne comprennent pas la société dans laquelle ils vivent.” La rupture pourrait être brutale.

    La machinerie idéologique mise au service du progressisme exacerbe les colères de ceux qui refusent l’oppression des pensées imposées.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 20 septembre 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Bistro Libertés avec Stéphane Édouard, le sociologue viré de M6 pour son franc-parler

  • Éric Zemmour a raison : les prénoms sont les symptômes de la santé d’une civilisatio

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    Les enfants ne sont pas responsables de leur prénom, les parents, si ! Après la polémique qui a opposé Éric Zemmour à la chroniqueuse Hapsatou Sy, dans la dernière émission des « Terriens du dimanche », le site Fdechouche a publié une étude sur l’octroi des prénoms en France. Elle constate la chute des prénoms issus du calendrier grégorien au profit de prénoms, plus ou moins excentriques, rattachés à une mode par nature éphémère, ou de prénoms musulmans.

    On ne s’étonne guère que, non seulement la Seine-Saint-Denis ou les Bouches-du-Rhône, mais de plus en plus de départements subissent ce phénomène. Certains se réjouissent du triomphe de la diversité française. D’autres, sans doute plus lucides, voient, dans le choix d’un prénom étranger, notamment musulman, la volonté de marquer sa différence et le refus de s’intégrer. Quand Éric Zemmour estime que la mère d’Hapsatou Sy « a eu tort » d’appeler ainsi sa fille, il considère avec regret que ce n’est pas un signe de la volonté de s’intégrer.

    Il est évident, surtout dans les circonstances actuelles, que donner un prénom lié à l’islam ne facilite guère l’intégration, encore moins l’assimilation. Pour Éric Zemmour, la France est « une terre avec une histoire, un passé » et « les prénoms incarnent l’histoire de la France » : l’affirmer, ce n’est pas insulter ceux qui portent un prénom étranger ni leur enlever le droit d’être un enfant de la République.

    Mais appeler aujourd’hui son enfant Mohammed n’est pas neutre. C’est, en effet, le prénom du prophète de l’islam (à la réputation pour le moins controversée). Loin d’être un signe positif d’intégration, c’est une marque de défiance envers la France, sa culture et ses racines, puisque l’islam ne fait aucune distinction entre le religieux et le politique. Rien n’empêcherait les parents, s’ils voulaient garder un lien avec leur culture d’origine, de manifester, pour eux et leurs enfants, la volonté de s’intégrer en choisissant, en premier, un prénom français et, en second, un prénom usité dans le pays d’où ils viennent.

    Mais veulent-ils, précisément, s’intégrer ? L’existence de quartiers où l’on se sent étranger quand on y pénètre est la preuve qu’une partie de la population d’origine immigrée ne souhaite pas aimer la France. Ou ne l’aimerait que si elle adoptait toutes les coutumes et les préjugés issus de l’islam. Il n’est même pas besoin d’être adepte des théories du Grand Remplacement pour constater que c’est déjà ce qui se passe dans certains territoires.

    Quand, dans Un président ne devrait pas dire ça, le livre de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, François Hollande révèle ce qu’il pense véritablement de l’immigration, de l’islam et de l’identité, il ne fait que répéter le sentiment de beaucoup de Français : « Comment peut-on éviter la partition ? Car c’est quand même ça qui est en train de se produire : la partition. » Dommage qu’il n’en ait pas tiré les conséquences quand il était au pouvoir.

    Au lieu de favoriser l’assimilation des populations d’origine immigrée, dont une grande partie est de confession musulmane, nos dirigeants, par angélisme ou par adhésion au multiculturalisme, cèdent aux revendications communautaires, dont relève le choix du prénom. C’est tout juste s’ils ne stigmatisent pas les parents qui choisissent un prénom tiré du calendrier des saints et ne se félicitent pas de voir fleurir les prénoms musulmans, comme un signe de renouveau.

    Nos dirigeants marchent sur la tête et, tels des nécrophiles, se réjouissent d’une France moribonde, oublieuse de ses racines.

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/eric-zemmour-a-raison-les-prenoms-sont-les-symptomes-de-la-sante-dune-civilisation/

  • Crises et populismes ?

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    Le Monde a titré il y a trois ou quatre jours : « la crise de 2008 a nourri le populisme » . Si c'est une découverte elle est tardive. Et l'on savait cela depuis bien longtemps. 

    Toutes les crises économiques, nourrissent les populismes. Les bons et les mauvais. Elles les nourrissent à proportion de leur gravité. Le Monde a sûrement en tête ce que la crise de 1929 a produit ou du moins contribué à produire en Europe et ailleurs. La seconde guerre mondiale. C'est bien les souvenirs de cette dernière que le titre du Monde entend raviver. 

    La crise de 2008 a été surmontée par la création monétaire, rien d'autre. 1160639909.jpgEt dans une quantité si considérable que la crise de 2008 - et le « remède » en question - pourraient bien en avoir préparé une autre d'une tout autre ampleur. On a simplement renvoyé les échéances à plus tard. Et l'on a continué de les gonfler démesurément. Ce qui n'a empêché ni le chômage de masse de perdurer, ni la croissance de rester faible, ni la pauvreté de s'étaler, ni nos infrastructures de vieillir considérablement, ni nos classes moyennes de s'appauvrir, ni les inégalités de se creuser éhontément,  dans des proportions inégalées dans l'Histoire. Etc. La crise a surtout nourri la crise ... 

    Mais il y a populisme et populisme. Entre lesquels les journalistes et les experts plus ou moins compétents ne distinguent pas. Populisme est un mot fourre-tout, sans définition précise, par lequel on désigne tout ce que l'on n'aime pas, que l'on réprouve, que l'on range dans le camp du Mal. Syndrome moralisateur oblige. On ne dialogue pas avec le Mal. Ces simplismes aussi commencent à vieillir, à lasser ... 

    Rapprocher allusivement les populismes d'aujourd'hui de ceux des années trente du siècle dernier, qui, en effet, conduisirent à la guerre, n'a d'autre but et d'autre effet que de discréditer, salir les populismes actuels. Les rendre « nauséabonds » selon la terminologie en vigueur. 

    Les populismes des années trente furent offensifs, guerriers, expansionnistes ou revanchards, ils tendaient à la guerre entre voisins, ou aux conquêtes coloniales.   Les populismes d'aujourd'hui, que la doxa condamne et que les politiques « progressistes » combattent, sont essentiellement défensifs. L'Italie, l'Autriche, les pays de Visegrad, et même les partis dits populistes, français, allemands, suédois ou autres, n'invitent aujourd'hui à aucune guerre européenne. Ils défendent leur identité, leurs traditions, leurs droits sur la terre où ils sont nés et avant eux leurs ancêtres depuis des lustres. Ils savent que cette terre leur appartient. Il y ont bâti une civilisation. Ce qui les motive et en un sens les unit, bien autrement que n'ont su le faire les fonctionnaires de Bruxelles, c'est leur refus d'une invasion étrangère massive venue d'Afrique ou d'Asie et qui implique leur mort. Ce qui les fonde et les unit c'est le rejet des masses de migrants déjà établis chez eux ou en route pour y venir. 

    Sans en avoir l'air, le Monde pratique là un très contestable amalgame. Pour effrayer, rappeler les mauvais souvenirs. Comme le fait aussi Emmanuel Macron qui se répand en déclarations alarmistes et accusatrices en ce sens biaisé - ce qui est nettement plus grave. Et ce sont des déclarations martiales pour le coup ! Feront-elles beaucoup de dupes ? Ce n'est même plus très sûr.  

    Retrouvez l'ensemble des chroniques En deux mots en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Société / PMA : Macron et le retour du sociétal – Journal du vendredi 21 septembre 2018

    1) Société  / PMA : Macron et le retour du sociétal

    C ‘était au programme d Emmanuel Macron, la Procréation Médicalement Assisté  est de retour dans le débat parlementaire…  une manière de satisfaire l’aile gauche du président ! L’opposition, elle, tente de s organiser.

    2) International : Trump face au défi des  élections de mi-mandat

    Deux ans après son  élection à la tête des Etats-Unis, Donald Trump doit faire face aux  élections de mi-mandat. Un test grandeur nature et une  échéance capitale lors de laquelle les démocrates entendent bien rebattre les cartes de la politique américaine.

    3) Economie / Les papy-poor : les anciens, nouvelles victimes de la précarité ! Une  étude du ministère de la Santé  nous apprend qu un senior sur dix vit en dessous du seuil de pauvreté  de quoi faire baisser la côte de popularité  du président auprès d’un segment de la population qui lui est jusqu’à présent acquis.

    4) Media / Le football sport populaire et luxe t l vis

    Serveur TVL

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  • Hans-George Maassen, chef du renseignement allemand, viré pour avoir contesté la « chasse » aux migrants après le meurtre d’un Allemand à Chemnitz

    Hans Georg Maassen chasse migrants meurtre Chemnitz
     Pour avoir osé affirmer que les manifestations organisées contre les migrants à Chemnitz, à la suite du meurtre d’un Allemand – un suspect irakien vient d’être remis en liberté –, n’avaient rien d’une chasse aux migrants, le patron du renseignement allemand (BfV) Hans-Georg Maassen a été prié de dégager. Angela Merkel l’a recyclé à un poste de secrétaire d’Etat du ministre fédéral de l’Intérieur afin de ne pas creuser un peu plus le hiatus avec l’aile droite de sa coalition, la CSU, qui détient ce portefeuille en la personne de Horst Seehofer. Le SPD, partenaire socialiste de Merkel, s’agitait pour exiger la destitution de Maassen.

    Le limogeage de Hans-Georg Maassen, dernier avatar de la vague d’un million de migrants

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  • Peter Szijjarto, chef de la diplomatie hongroise : “La Hongrie ne sera jamais un pays d’immigrés”

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    Peter Szijjarto, chef de la diplomatie hongroise, a récemment déclaré :

    La Hongrie ne sera jamais un pays d’immigrés. Nous protégerons toujours la sécurité du peuple hongrois. Nous ne permettrons jamais qu’un seul immigré illégal entre sur le territoire de notre pays”. L’homme s’est exprimé ainsi hier devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève. Il accuse également l’ONU de répandre des mensonges à propos de la politique migratoire de son pays et de vouloir mettre la Hongrie “sous tutelle”.

    Jean-Michel CADENAS@RassNational53

    Peter Szijjarto, chef de la diplomatie hongroise répond à Nathalie Loiseau, ministre chargée des affaires européennes : « La Hongrie est le seul pays en Europe à avoir organisé un référendum sur l’immigration » Pourquoi pas en France ? Ils connaissent déjà le résultat !

    https://fr.novopress.info/

  • Les détenus musulmans représenteraient un détenu sur quatre

    Chiffre du ministre de la Justice Nicole Belloubet

    Dans une lettre datée du 11 septembre 2018, que Valeurs actuelles a pu consulter, la ministre de la Justice Nicole Belloubet avance pour la première fois un chiffre précis. Répondant à un courrier du député européen du Rassemblement national Nicolas Bay, elle donne le nombre de détenus qui se sont inscrits « à un dispositif de restauration adapté » pendant le mois du ramadan.

    En l’absence de statistiques religieuses — interdites —, ce chiffre, jusqu’à présent très officieux, est le seul qui permette de se faire une idée de la place de l’islam dans les prisons françaises. En 2017, 17 899 personnes ont fait cette démarche, « soit 25,81 % de la population écrouée hébergée à cette période », précise la garde des Sceaux. Un détenu sur quatre serait donc musulman. Ce chiffre, « un indicateur sans doute très minoré », selon Bay, est faible en comparaison de ceux avancés dans le rapport parlementaire publié en 2014 par Guillaume Larrivé. Le député LR estimait alors « qu’environ 60 % de la population carcérale en France, c’est-à-dire 40 000 détenus, (pouvaient) être considérés comme de culture ou de religion musulmane ». Selon le directeur d’une prison d’Île-de-France, c’est « un peu moins de la moitié » des détenus qui demandent chaque année l’aménagement des repas pendant le ramadan. Sans compter, ajoute-t-il, ceux qui dissimulent leur religion « pour ne pas attirer l’attention du renseignement pénitentiaire ».

    Il n’en reste pas moins que les détenus professant l’islam sont surreprésentés dans nos prisons. En 2016, la part des musulmans représentait 8,8 % de la population française selon le très sérieux Pew Research Center, soit trois fois moins que dans la population carcérale. En février dernier, la Place Vendôme avait déjà révélé le nombre de détenus étrangers incarcérés dans nos centres : 15 000, soit 22 % de l’ensemble des prisonniers. Nicolas Bay de conclure : « Le lien entre immigration massive et insécurité est incontestable.

    https://www.lesalonbeige.fr/les-detenus-musulmans-representeraient-un-detenu-sur-quatre/